Le quinquagénaire de la piscine
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le quinquagénaire de la piscine
Que ceux qui ne supportent pas les récits, contant les histoires de mari trompé et de femme frivole, passent leur chemin, ce n'est pas pour eux !
Corinne a longtemps gardé pour elle, cette aventure extra conjugale.
Quelques semaines auparavant, elle avait subi les avances grossières d'un homme de cinquante ans, environ.
Il ne lui plaisait pas du tout, elle en avait même un peu peur !
L'homme était très directif, macho, et pas très beau, il faut l'avouer ! Même s'il était athlétique !
Il fréquentait la piscine municipale, ou ma belle aimait nager pour entretenir ses formes parfaites.
Malgré sa réticence, elle ne pouvait échapper à la vue d'une grosse bosse, dans le slip de bain de l'homme.
Lors d'une énième tentative d'approche, il lui dit:
"Ca me déranges pas que t'ais un p'tit copain ! Je suis pas jaloux, mais on peut se faire du bien sans lui en parler !".
"Laissez tomber, ça m'intéresse pas !".
"Tu verras ! Tu changeras d'avis !".
Un autre jour, sans qu'elle puisse réagir, il profite qu'ils soient seuls dans le vestiaire, pour lui montrer sa grosse verge en érection.
Elle fixe le membre épais, foncé et très veiné.
L'homme pratique le rasage intégral, ce qui augmente l'effet de taille et de longueur.
Même sa courbure excite ma belle, mais elle garde le contrôle et repousse la main de l'homme qui cherche à se faire toucher la bite.
Elle se lève, sort de la pièce, et va plonger dans la piscine, afin de calmer les idées perverses qui lui viennent.
L'homme ronge son frein, mais il reste décidé !
Les jours suivants, ma belle l'évite comme elle peut.
Nous sommes alors, un mercredi.
Corinne a sa journée de libre, et moi, je bosse à plusieurs kilomètres.
Elle a envie de jouir, les heures passent et le désir la tenaille de plus en plus.
Un peu avant mon retour, pour le repas de midi, elle se donne du plaisir en se masturbant.
Mais, comme c'est pas une pratique qu'elle affectionne beaucoup, elle s'arrête pour m'attendre.
Malheureusement, je la raisonne, je n'ai pas le temps de la baiser, ni de lui faire l'amour, je vais rater mon bus pour retourner au boulot !
J'ai horreur de la repousser, mais une heure pour manger, c'est peu !
Elle me regarde partir, très déçue.
Comme à son habitude, elle retourne à la piscine, pour une heure de nage.
Elle retombe nez à nez, sur l'homme entreprenant.
Elle l'évite à son arrivée, puis va nager.
Elle retourne au vestiaire, à la fin de l'heure.
L'homme n'est pas là, elle a un soupir de soulagement.
Elle sort de l'établissement, et se fait surprendre.
Il est adossé à la voiture de Corinne.
"Je t'attendai ! Tu veux pas venir chez moi ? En tout bien tout honneur ! Je te ramène aussitôt après ! j't'offre un verre ! J'ai besoin de me faire pardonner mon comportement !".
"Je... je sais pas !".
"Allez ! Laisses moi une chance !".
Elle réfléchit, cette nouvelle posture adoucie de l'homme, lui offre une image rassurante.
Elle sait très bien, que si elle accepte, elle devra repousser ses avances encore, puis, elle repense à ses quelques déballages de verge devant ses yeux.
Et elle se dit: Pourquoi pas ! J'ai envie de jouir, peut être qu'il sera assez endurant pour me calmer, mais je dois passer outre son aspect physique ! Bon ! Je verrai bien au moment fatidique !
"Bon, OK ! Tu me montres ou tu habites, je prend ma voiture ! On se suit !".
"Super, merci ma belle !".
L'homme habite sur les hauteurs de la ville, dans une villa assez chic.
Corinne est un peu intimidée, en entrant dans la maison.
Il offre une boisson, à ma belle, qui sait déjà qu'elle va accepter ses avances, elle a trop envie de baiser ! Il tombe à pic !
Immanquablement, il se rapproche d'elle.
Elle se sent piégée, et excitée à la fois, entre ses bras puissants.
"Laisses-toi faire ! S'il te plait ! Je suis sur que t'en as autant envie que moi !".
Elle tourne sa bouche pour éviter de l'embrasser au début.
Mais elle est envahie de bonnes sensations, au contact de sa main droite épaisse sur ses seins.
Elle gémit en se faisant mordre dans le cou, alors que la main gauche palpe ses fesses.
Il insiste longtemps, rassuré par la non réaction de ma femme.
Il se hasarde à demander:
"Ca te donne pas envie tout ça ?".
Elle sait qu'elle doit lui donner une réponse.
Elle choisit de le faire en dirigeant ses doigts vers sa grosse verge gonflée d'envie, et attire le visage de l'homme vers sa bouche.
Plus un mot n'est prononcé, Corinne veut jouir, peu importe avec qui, tant qu'il le fait bien !
Il la dénude assez rapidement, léchant, mordillant, ou lapant chaque endroit qui se dévoile.
Il aime l'entendre gémir.
"Hummm ! Je sens que je vais me régaler, ma belle !".
Elle est assise devant lui, sur un large fauteuil.
Il se dresse, et se déshabille.
C'est le moment qu'elle choisit pour approcher sa grosse verge de ses lèvres.
A l'instant précis, ou elle écarte la bouche, il lui imprime une douce poussée derrière la nuque pour la pénétrer.
Le gros gland vient remplir sa gorge, puis coulisse lentement sur sa lèvre inférieure.
Elle gémir de bonheur buccal.
Elle aime sa bite, c'est indéniable !
"Orhhhhhhhh ! Ouais ! C'est bon ! Depuis le temps que j'en rêve !".
"Mmmmmmm ! T'es content ? T'as eu ce que tu voulais ?".
"Hummm ! Oui ! Je regrette rien ! Ca valait le coup ! Elle vaut le coup ma queue ! Non ?".
"Mmmmmmmm ! Oui ! Ggggllllllllrp !".
Il se fait sucer un long moment, puis la saisit par le dessous des cuisses.
Il dirige son membre, vers l'entrée de son vagin, qui est particulièrement trempé.
"Regardes, ce que tu vas te prendre ma belle ! Tu la veux ?".
"Orhhhh ! Oui, je la veux ! Baises-moi, j'en peux plus ! J'veux jouir !".
"Ca vient ! Voila ! Comme ça !".
La grosse verge s'insère dans sa chatte, aidée de son abondante lubrification.
Elle attrape un coussin sous elle, pour le mordre.
"Muuuuuuuuuuuuummmmmmmmm !".
"C'est bon ! Elle te fait du bien ?".
Corinne oscille la tête pour acquiescer, sans lâcher le coussin.
Il bouge en elle, de plus en plus amplement, puis de plus en plus fort.
Elle profite d'une respiration pour lui crier:
"Arghhhhhhhh ! Oui, encore ! Putain, tu me baises bien, si j'avais su ! Je t'aurai laissé me baiser plus tôt ! Arhhhhhhh !".
"Tu vois qu'on était fait pour baiser ensemble ! Je l'ai su, dès que je t'ai vue ! Tiens ! Prends ça, ma belle !".
Corinne enchaine les orgasmes.
Elle est décontenancée, cet homme au physique sans envergure, la fait mieux jouir que son dernier amant !
Elle découvre même, que cela ajoute à son plaisir cérébral !
C'est décidé, désormais, elle regardera les hommes comme lui, d'une autre façon !
"Il te baise comme ça ? Ton mec ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Non ! Elle est pas aussi grosse !".
"Et les autres, qui te baisent ?".
"Arhhhhhhhhh ! comment tu le sais ?".
"Ca se voit dans tes yeux ! Que t'aime la bite ! Je me suis pas trompé, donc !".
"Arhhhhhhhh ! Non !".
"J'peux tout te faire ?".
"Arhhhhhh ! Oui, pourquoi ?".
Il la déplace pour la mettre en position de chienne soumise, puis, il plonge sa grosse verge, d'un coup puissant.
"Arhhgggggggghhhhhhhhhhh ! Oui, encore !".
Il la bloque entre ses deux mains puissantes, au niveau des hanches, et s'en donne à cœur joie, en la faisant crier de plaisir.
"Arhhhhhhhh ! Oh ! Putain, tu me baises trop bien !".
"T'es une bonne salope ! Tu le sais ?".
"Oui, je le sais ! Mais j'aime trop me faire défoncer comme ça !".
"On va voir, si tu assumes jusqu'au bout ! Alors !".
Il recule et dirige son gros gland vers son anus.
Il le masturbe longuement et constate qu'il s'ouvre un peu, naturellement.
"Hé ! Mais je vois que tu te laisses faire ! Donc, tu t'es déjà faite prendre par le cul, on dirait !".
"Oui, j'aime bien ça, aussi ! Mais vas y doucement ! J'ai pas connu beaucoup de queues comme la tienne !".
"Bien sur, je vais prendre mon temps ! T'en as envie ? Toi aussi ?".
"Oui ! Je sais que je vais prendre mon pied ! Encules-moi !".
"Hummm, j'aime quand tu me parles comme ça !".
Il se plie pour cracher de la salive sur son anus, puis reprend ses tentatives de pénétrations.
Elle l'aide en s'écartant les fesses, avec ses mains, tout en poussant sur son corps pour s'empaler d'elle même.
Elle pousse un petit cri, lorsque le gland passe sa collerette anale, puis ressort pour revenir plus profondément encore.
Et ainsi de suite, jusqu'à venir toucher son fondement anal.
"Putain, ma belle ! Tu peux pas savoir comme je suis bien dans ton cul ! Ca aussi, j'en rêvais ! J'en pouvais plus de te reluquer le cul à la piscine !".
"Orhhhhhhhh ! Putain ! Elle me remplit bien ! Orhh ! Bouges ! Encules-moi maintenant !".
Il glisse lentement, en premier lieu, la laissant s'habituer à sa présence.
Puis, au fur et à mesure qu'elle lui lubrifie la bite, et qu'il ajoute de sa salive.
Il coulisse plus aisément et plus amplement en elle.
Elle crie son plaisir anal, qui monte et monte, sans cesse.
Jusqu'à la faire orgasmer, en la comblant de spasmes incontrôlables dans les cuisses.
Il la laisse reprendre un peu, puis la transperce à nouveau, en l'enculant de plus en plus fort.
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Tu me fais encore jouir du cul ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
C'est trop d'excitation pour lui, il craque et se déverse en elle, en agrémentant son éjaculation de puissants derniers coups de verge.
Elle se mord le bras en jouissant avec lui.
Il la couche sous lui, et se mouve encore longuement dans son cul, sans précipitation.
"Hummm ! Enfin ! Je t'ai eu ma belle ! C'était bon, tu trouves pas ?".
"Hummm ! Oui ! C'est vrai, j'aurai jamais pensé que tu me baiserais aussi bien ! T'es pas mon genre de mec, mais je m'en fous ! C'est trop bon !".
"On recommencera, alors ?".
"Oui ! Quand je pourrai me libérer !".
Lentement, ils se rhabillent, et elle rentre à l'appartement.
Elle est encore chamboulée par ce qu'elle vient de faire !
Baiser avec un homme, plus âgé que son père, et qui ne lui plait pas du tout !
Mais elle a adoré ça ! Même si elle ressent une plus forte douleur au vagin, qu'à l'anus, paradoxalement !
Pour cela, elle redoute mon retour ! Elle a assez joui, et craint que je la sollicite aussi.
Bien sur, elle aurait fait l'effort sans rien dire.
Elle m'aime trop pour se refuser à moi, mais l'homme l'a baisé trop fortement, pour en avoir envie encore.
Par chance, je serai trop fatigué par ma journée de travail.
Auparavant, elle a usé de tout le temps qu'elle avait, pour se libérer du sperme de son amant, et laisser échapper toutes ses flatulences d'après sodomie, avant que je ne rentre.
Elle prétexte une douleur au bas ventre, quand je lui demande ce qu'elle a, en la voyant poser sa main sur son nombril, à quelques reprises.
Leur seconde aventure se déroule à la piscine, il se fait sucer longuement, puis la baise un peu, pour finir dans sa gorge, avant de la laisser rentrer à l'appartement.
Il s'est contenté de ça, en sachant qu'il la retrouvera chez lui, le lendemain.
Elle est venue directement, il l'attend en peignoir.
Après quelques baisers appuyés et vicieux, il s'assoit sur une chaise en ouvrant son peignoir.
"Allez, suces moi bien la queue, ma p'tite cochonne !".
Elle glousse en lui dévorant la bite, s'attarde longuement sur ses couilles rasées.
C'est avec lui qu'elle a découvert ce plaisir, et m'emmènera à me raser moi aussi !
Il lui dit qu'il aime la baiser à l'insu de son mec, moi, en l'occurrence !
Ensuite, il la dénude et lui offre un interminable cunnilingus.
Elle connait son premier orgasme de la journée.
Il attrape son peignoir et sort un tube de gel de la poche.
Il s'en couvre la verge abondamment, pendant qu'elle se place en bout de canapé, prête à se faire saillir.
Elle est surprise du chemin qu'il choisit d'emprunter.
Le gros gland s'est collé à son anus !
"Jean-Pierre ! Tu vas pas ? Orhhh !".
"Si, ma belle ! Pourquoi pas ? Qu'est-ce qui nous en empêche ?".
"Arhhhhhhhh ! Orhhhh ! Putain ! C'est direct ! Ourhhhhhhh !".
Il insiste, aidé du lubrifiant, et parvient enfin à s'enfoncer jusqu'aux couilles dans son cul.
Il la bloque contre son ventre, le canapé l'aide beaucoup aussi.
Elle gémit.
"Alors, qu'est-ce que t'en penses ?".
"Oui, t'as raison, c'est bon comme ça, aussi ! Orhhhhhh ! Encules-moi maintenant !".
Pas de tendresse, entre eux ! Que du sexe ! Et il ne s'en prive pas !
Il lui détruit le cul sans vergogne ! Elle gueule ses orgasmes successifs.
Elle profite des moments de répits que lui offrent les changements de position.
Mais à chaque fois, elle se fait encore et encore, enculer.
Elle lui précise, en plus, que si il veut la baiser, il doit se laver la bite, pour éviter les infections.
Il n'en a pas envie et compte bien jouir en l'enculant !
C'est ma belle qui le fait craquer, en s'empalant sur lui comme une folle.
Dès qu'elle reconnait les râles de Jean-Pierre, qui révèlent son éjaculation, elle amplifie ses enfoncements sur sa grosse verge.
Il grogne son plaisir de jouir pleinement, dans son cul.
Elle ondule du bassin en orgasmant, elle aussi, sur sa bite.
Enfin, elle s'écroule sur son torse, épuisée de bonheur sexuel.
Ensuite, après un long moment de câlins, il la fait pivoter et retire sa grosse verge.
Il admire la béance anale qu'il lui a provoqué.
"Fais-sortir mon sperme ! J'adore ça ! Allez pousses !".
Le jus sort en plusieurs flots.
Elle gémit en faisant cela.
"Orhh ! T'es trop vicieux !".
"Dis-moi, ma p'tite salope ! Si t'es là ! C'est que t'aimes ça, toi aussi ! Pas vrai ?".
"Oui ! J'avoue !".
"Ca t'excite de baiser avec un mec comme moi ! Et moi j'adore penser que ton mec ne sait rien !".
"Arrêtes de parler de lui, je m'en veux déjà assez pour ça ! N'en rajoutes pas !".
"Ben si tu l'aimes, pourquoi t'es avec moi ?".
"C'est différent ! Toi, tu me baises ! Lui, c'est autre chose !".
"Il te baise pas ?".
"Si, mais pas autant que je le voudrais !".
"Tant mieux pour moi ! Donc ?".
"Oui, c'est à cause de mes envies que j'ai craqué avec toi ! Et parce que tu m'as montré ta queue, aussi ! J'arrivai plus à la chasser de ma tête !".
"Putain ! Si tu voyais l'état de ton anus ! Je te l'ai éclaté ma belle ! Tu comptes baiser avec lui, après ça ?".
"Euh, je sais pas ! On verra !".
Ils ont plus de temps, et recommencent pour une longue fellation, baise, à nouveau sodomie, puis éjaculation buccale, pour clore cette après-midi de plaisir.
Cette fois, la douleur au vagin est moins forte.
Elle me réclamera un gros câlin passionné, se faisant très chatte amoureuse, le soir venu.
Peu de mois, après, on a "La conversation" le plus importante de notre couple !
Je lui avoue mes penchants homosexuels, et mes rencontres continues.
Elle m'avoue ses aventures extra conjugales également, pour atténuer ma culpabilité en m'obligeant à assister à une baise avec Chris, un de ses amants réguliers.
Après le choc, et quelques jours de réflexions, on décide de continuer notre histoire.
Je ravale ma jalousie, je suis mal placé pour ça ! J'ai déjà plus de 300 amants au compteur !
De plus, le fait qu'elle accepte que je vive mon homosexualité librement, m'aide beaucoup dans l'acceptation de celle-ci.
J'ai découvert que j'aimais la voir jouir avec un autre, également !
On peut alors repartir sur des bases plus libres et saines !
Mais, elle ne me parlera de cet homme, que des années plus tard, en conversant sur le physique des hommes qui la baisent.
"Il y a longtemps que pour le sexe, le physique ne compte plus pour moi !".
"T'as compris ça, grâce aux clubs libertins !".
"Oui, mais pas que là ! Je l'ai su avant ! J'ai connu un homme qui me plaisait pas, mais il me baisait mieux que les autres ! Et pour rien gâcher, il avait une belle queue !".
Elle me raconte alors, leur relation, en ajoutant:
"Ce que j'aimais bien, avec lui, c'est que c'était, que du sexe ! Je risquais pas de tomber amoureuse ! Il me plaisait pas !".
"Mouais ! Il avait d'autres atouts ! Sa grosse bite apparemment!".
"Hummm ! C'était trop bon ! Mon amour ! On en a bien profité ! Jusqu'à ce que je m'en lasse ! J'suis passée à quelqu'un d'autre, ensuite ! Mais j'avoue que j'aimais comme il était vicieux !".
Elle me racontera quelques anecdotes croustillantes, tout au long des mois qui suivirent, lors de baises endiablées avec moi, afin de m'exciter ! Apparemment, il adorait l'enculer dès qu'il pouvait, et lui faire avaler son foutre !
Corinne a longtemps gardé pour elle, cette aventure extra conjugale.
Quelques semaines auparavant, elle avait subi les avances grossières d'un homme de cinquante ans, environ.
Il ne lui plaisait pas du tout, elle en avait même un peu peur !
L'homme était très directif, macho, et pas très beau, il faut l'avouer ! Même s'il était athlétique !
Il fréquentait la piscine municipale, ou ma belle aimait nager pour entretenir ses formes parfaites.
Malgré sa réticence, elle ne pouvait échapper à la vue d'une grosse bosse, dans le slip de bain de l'homme.
Lors d'une énième tentative d'approche, il lui dit:
"Ca me déranges pas que t'ais un p'tit copain ! Je suis pas jaloux, mais on peut se faire du bien sans lui en parler !".
"Laissez tomber, ça m'intéresse pas !".
"Tu verras ! Tu changeras d'avis !".
Un autre jour, sans qu'elle puisse réagir, il profite qu'ils soient seuls dans le vestiaire, pour lui montrer sa grosse verge en érection.
Elle fixe le membre épais, foncé et très veiné.
L'homme pratique le rasage intégral, ce qui augmente l'effet de taille et de longueur.
Même sa courbure excite ma belle, mais elle garde le contrôle et repousse la main de l'homme qui cherche à se faire toucher la bite.
Elle se lève, sort de la pièce, et va plonger dans la piscine, afin de calmer les idées perverses qui lui viennent.
L'homme ronge son frein, mais il reste décidé !
Les jours suivants, ma belle l'évite comme elle peut.
Nous sommes alors, un mercredi.
Corinne a sa journée de libre, et moi, je bosse à plusieurs kilomètres.
Elle a envie de jouir, les heures passent et le désir la tenaille de plus en plus.
Un peu avant mon retour, pour le repas de midi, elle se donne du plaisir en se masturbant.
Mais, comme c'est pas une pratique qu'elle affectionne beaucoup, elle s'arrête pour m'attendre.
Malheureusement, je la raisonne, je n'ai pas le temps de la baiser, ni de lui faire l'amour, je vais rater mon bus pour retourner au boulot !
J'ai horreur de la repousser, mais une heure pour manger, c'est peu !
Elle me regarde partir, très déçue.
Comme à son habitude, elle retourne à la piscine, pour une heure de nage.
Elle retombe nez à nez, sur l'homme entreprenant.
Elle l'évite à son arrivée, puis va nager.
Elle retourne au vestiaire, à la fin de l'heure.
L'homme n'est pas là, elle a un soupir de soulagement.
Elle sort de l'établissement, et se fait surprendre.
Il est adossé à la voiture de Corinne.
"Je t'attendai ! Tu veux pas venir chez moi ? En tout bien tout honneur ! Je te ramène aussitôt après ! j't'offre un verre ! J'ai besoin de me faire pardonner mon comportement !".
"Je... je sais pas !".
"Allez ! Laisses moi une chance !".
Elle réfléchit, cette nouvelle posture adoucie de l'homme, lui offre une image rassurante.
Elle sait très bien, que si elle accepte, elle devra repousser ses avances encore, puis, elle repense à ses quelques déballages de verge devant ses yeux.
Et elle se dit: Pourquoi pas ! J'ai envie de jouir, peut être qu'il sera assez endurant pour me calmer, mais je dois passer outre son aspect physique ! Bon ! Je verrai bien au moment fatidique !
"Bon, OK ! Tu me montres ou tu habites, je prend ma voiture ! On se suit !".
"Super, merci ma belle !".
L'homme habite sur les hauteurs de la ville, dans une villa assez chic.
Corinne est un peu intimidée, en entrant dans la maison.
Il offre une boisson, à ma belle, qui sait déjà qu'elle va accepter ses avances, elle a trop envie de baiser ! Il tombe à pic !
Immanquablement, il se rapproche d'elle.
Elle se sent piégée, et excitée à la fois, entre ses bras puissants.
"Laisses-toi faire ! S'il te plait ! Je suis sur que t'en as autant envie que moi !".
Elle tourne sa bouche pour éviter de l'embrasser au début.
Mais elle est envahie de bonnes sensations, au contact de sa main droite épaisse sur ses seins.
Elle gémit en se faisant mordre dans le cou, alors que la main gauche palpe ses fesses.
Il insiste longtemps, rassuré par la non réaction de ma femme.
Il se hasarde à demander:
"Ca te donne pas envie tout ça ?".
Elle sait qu'elle doit lui donner une réponse.
Elle choisit de le faire en dirigeant ses doigts vers sa grosse verge gonflée d'envie, et attire le visage de l'homme vers sa bouche.
Plus un mot n'est prononcé, Corinne veut jouir, peu importe avec qui, tant qu'il le fait bien !
Il la dénude assez rapidement, léchant, mordillant, ou lapant chaque endroit qui se dévoile.
Il aime l'entendre gémir.
"Hummm ! Je sens que je vais me régaler, ma belle !".
Elle est assise devant lui, sur un large fauteuil.
Il se dresse, et se déshabille.
C'est le moment qu'elle choisit pour approcher sa grosse verge de ses lèvres.
A l'instant précis, ou elle écarte la bouche, il lui imprime une douce poussée derrière la nuque pour la pénétrer.
Le gros gland vient remplir sa gorge, puis coulisse lentement sur sa lèvre inférieure.
Elle gémir de bonheur buccal.
Elle aime sa bite, c'est indéniable !
"Orhhhhhhhh ! Ouais ! C'est bon ! Depuis le temps que j'en rêve !".
"Mmmmmmm ! T'es content ? T'as eu ce que tu voulais ?".
"Hummm ! Oui ! Je regrette rien ! Ca valait le coup ! Elle vaut le coup ma queue ! Non ?".
"Mmmmmmmm ! Oui ! Ggggllllllllrp !".
Il se fait sucer un long moment, puis la saisit par le dessous des cuisses.
Il dirige son membre, vers l'entrée de son vagin, qui est particulièrement trempé.
"Regardes, ce que tu vas te prendre ma belle ! Tu la veux ?".
"Orhhhh ! Oui, je la veux ! Baises-moi, j'en peux plus ! J'veux jouir !".
"Ca vient ! Voila ! Comme ça !".
La grosse verge s'insère dans sa chatte, aidée de son abondante lubrification.
Elle attrape un coussin sous elle, pour le mordre.
"Muuuuuuuuuuuuummmmmmmmm !".
"C'est bon ! Elle te fait du bien ?".
Corinne oscille la tête pour acquiescer, sans lâcher le coussin.
Il bouge en elle, de plus en plus amplement, puis de plus en plus fort.
Elle profite d'une respiration pour lui crier:
"Arghhhhhhhh ! Oui, encore ! Putain, tu me baises bien, si j'avais su ! Je t'aurai laissé me baiser plus tôt ! Arhhhhhhh !".
"Tu vois qu'on était fait pour baiser ensemble ! Je l'ai su, dès que je t'ai vue ! Tiens ! Prends ça, ma belle !".
Corinne enchaine les orgasmes.
Elle est décontenancée, cet homme au physique sans envergure, la fait mieux jouir que son dernier amant !
Elle découvre même, que cela ajoute à son plaisir cérébral !
C'est décidé, désormais, elle regardera les hommes comme lui, d'une autre façon !
"Il te baise comme ça ? Ton mec ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Non ! Elle est pas aussi grosse !".
"Et les autres, qui te baisent ?".
"Arhhhhhhhhh ! comment tu le sais ?".
"Ca se voit dans tes yeux ! Que t'aime la bite ! Je me suis pas trompé, donc !".
"Arhhhhhhhh ! Non !".
"J'peux tout te faire ?".
"Arhhhhhh ! Oui, pourquoi ?".
Il la déplace pour la mettre en position de chienne soumise, puis, il plonge sa grosse verge, d'un coup puissant.
"Arhhgggggggghhhhhhhhhhh ! Oui, encore !".
Il la bloque entre ses deux mains puissantes, au niveau des hanches, et s'en donne à cœur joie, en la faisant crier de plaisir.
"Arhhhhhhhh ! Oh ! Putain, tu me baises trop bien !".
"T'es une bonne salope ! Tu le sais ?".
"Oui, je le sais ! Mais j'aime trop me faire défoncer comme ça !".
"On va voir, si tu assumes jusqu'au bout ! Alors !".
Il recule et dirige son gros gland vers son anus.
Il le masturbe longuement et constate qu'il s'ouvre un peu, naturellement.
"Hé ! Mais je vois que tu te laisses faire ! Donc, tu t'es déjà faite prendre par le cul, on dirait !".
"Oui, j'aime bien ça, aussi ! Mais vas y doucement ! J'ai pas connu beaucoup de queues comme la tienne !".
"Bien sur, je vais prendre mon temps ! T'en as envie ? Toi aussi ?".
"Oui ! Je sais que je vais prendre mon pied ! Encules-moi !".
"Hummm, j'aime quand tu me parles comme ça !".
Il se plie pour cracher de la salive sur son anus, puis reprend ses tentatives de pénétrations.
Elle l'aide en s'écartant les fesses, avec ses mains, tout en poussant sur son corps pour s'empaler d'elle même.
Elle pousse un petit cri, lorsque le gland passe sa collerette anale, puis ressort pour revenir plus profondément encore.
Et ainsi de suite, jusqu'à venir toucher son fondement anal.
"Putain, ma belle ! Tu peux pas savoir comme je suis bien dans ton cul ! Ca aussi, j'en rêvais ! J'en pouvais plus de te reluquer le cul à la piscine !".
"Orhhhhhhhh ! Putain ! Elle me remplit bien ! Orhh ! Bouges ! Encules-moi maintenant !".
Il glisse lentement, en premier lieu, la laissant s'habituer à sa présence.
Puis, au fur et à mesure qu'elle lui lubrifie la bite, et qu'il ajoute de sa salive.
Il coulisse plus aisément et plus amplement en elle.
Elle crie son plaisir anal, qui monte et monte, sans cesse.
Jusqu'à la faire orgasmer, en la comblant de spasmes incontrôlables dans les cuisses.
Il la laisse reprendre un peu, puis la transperce à nouveau, en l'enculant de plus en plus fort.
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Tu me fais encore jouir du cul ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
C'est trop d'excitation pour lui, il craque et se déverse en elle, en agrémentant son éjaculation de puissants derniers coups de verge.
Elle se mord le bras en jouissant avec lui.
Il la couche sous lui, et se mouve encore longuement dans son cul, sans précipitation.
"Hummm ! Enfin ! Je t'ai eu ma belle ! C'était bon, tu trouves pas ?".
"Hummm ! Oui ! C'est vrai, j'aurai jamais pensé que tu me baiserais aussi bien ! T'es pas mon genre de mec, mais je m'en fous ! C'est trop bon !".
"On recommencera, alors ?".
"Oui ! Quand je pourrai me libérer !".
Lentement, ils se rhabillent, et elle rentre à l'appartement.
Elle est encore chamboulée par ce qu'elle vient de faire !
Baiser avec un homme, plus âgé que son père, et qui ne lui plait pas du tout !
Mais elle a adoré ça ! Même si elle ressent une plus forte douleur au vagin, qu'à l'anus, paradoxalement !
Pour cela, elle redoute mon retour ! Elle a assez joui, et craint que je la sollicite aussi.
Bien sur, elle aurait fait l'effort sans rien dire.
Elle m'aime trop pour se refuser à moi, mais l'homme l'a baisé trop fortement, pour en avoir envie encore.
Par chance, je serai trop fatigué par ma journée de travail.
Auparavant, elle a usé de tout le temps qu'elle avait, pour se libérer du sperme de son amant, et laisser échapper toutes ses flatulences d'après sodomie, avant que je ne rentre.
Elle prétexte une douleur au bas ventre, quand je lui demande ce qu'elle a, en la voyant poser sa main sur son nombril, à quelques reprises.
Leur seconde aventure se déroule à la piscine, il se fait sucer longuement, puis la baise un peu, pour finir dans sa gorge, avant de la laisser rentrer à l'appartement.
Il s'est contenté de ça, en sachant qu'il la retrouvera chez lui, le lendemain.
Elle est venue directement, il l'attend en peignoir.
Après quelques baisers appuyés et vicieux, il s'assoit sur une chaise en ouvrant son peignoir.
"Allez, suces moi bien la queue, ma p'tite cochonne !".
Elle glousse en lui dévorant la bite, s'attarde longuement sur ses couilles rasées.
C'est avec lui qu'elle a découvert ce plaisir, et m'emmènera à me raser moi aussi !
Il lui dit qu'il aime la baiser à l'insu de son mec, moi, en l'occurrence !
Ensuite, il la dénude et lui offre un interminable cunnilingus.
Elle connait son premier orgasme de la journée.
Il attrape son peignoir et sort un tube de gel de la poche.
Il s'en couvre la verge abondamment, pendant qu'elle se place en bout de canapé, prête à se faire saillir.
Elle est surprise du chemin qu'il choisit d'emprunter.
Le gros gland s'est collé à son anus !
"Jean-Pierre ! Tu vas pas ? Orhhh !".
"Si, ma belle ! Pourquoi pas ? Qu'est-ce qui nous en empêche ?".
"Arhhhhhhhh ! Orhhhh ! Putain ! C'est direct ! Ourhhhhhhh !".
Il insiste, aidé du lubrifiant, et parvient enfin à s'enfoncer jusqu'aux couilles dans son cul.
Il la bloque contre son ventre, le canapé l'aide beaucoup aussi.
Elle gémit.
"Alors, qu'est-ce que t'en penses ?".
"Oui, t'as raison, c'est bon comme ça, aussi ! Orhhhhhh ! Encules-moi maintenant !".
Pas de tendresse, entre eux ! Que du sexe ! Et il ne s'en prive pas !
Il lui détruit le cul sans vergogne ! Elle gueule ses orgasmes successifs.
Elle profite des moments de répits que lui offrent les changements de position.
Mais à chaque fois, elle se fait encore et encore, enculer.
Elle lui précise, en plus, que si il veut la baiser, il doit se laver la bite, pour éviter les infections.
Il n'en a pas envie et compte bien jouir en l'enculant !
C'est ma belle qui le fait craquer, en s'empalant sur lui comme une folle.
Dès qu'elle reconnait les râles de Jean-Pierre, qui révèlent son éjaculation, elle amplifie ses enfoncements sur sa grosse verge.
Il grogne son plaisir de jouir pleinement, dans son cul.
Elle ondule du bassin en orgasmant, elle aussi, sur sa bite.
Enfin, elle s'écroule sur son torse, épuisée de bonheur sexuel.
Ensuite, après un long moment de câlins, il la fait pivoter et retire sa grosse verge.
Il admire la béance anale qu'il lui a provoqué.
"Fais-sortir mon sperme ! J'adore ça ! Allez pousses !".
Le jus sort en plusieurs flots.
Elle gémit en faisant cela.
"Orhh ! T'es trop vicieux !".
"Dis-moi, ma p'tite salope ! Si t'es là ! C'est que t'aimes ça, toi aussi ! Pas vrai ?".
"Oui ! J'avoue !".
"Ca t'excite de baiser avec un mec comme moi ! Et moi j'adore penser que ton mec ne sait rien !".
"Arrêtes de parler de lui, je m'en veux déjà assez pour ça ! N'en rajoutes pas !".
"Ben si tu l'aimes, pourquoi t'es avec moi ?".
"C'est différent ! Toi, tu me baises ! Lui, c'est autre chose !".
"Il te baise pas ?".
"Si, mais pas autant que je le voudrais !".
"Tant mieux pour moi ! Donc ?".
"Oui, c'est à cause de mes envies que j'ai craqué avec toi ! Et parce que tu m'as montré ta queue, aussi ! J'arrivai plus à la chasser de ma tête !".
"Putain ! Si tu voyais l'état de ton anus ! Je te l'ai éclaté ma belle ! Tu comptes baiser avec lui, après ça ?".
"Euh, je sais pas ! On verra !".
Ils ont plus de temps, et recommencent pour une longue fellation, baise, à nouveau sodomie, puis éjaculation buccale, pour clore cette après-midi de plaisir.
Cette fois, la douleur au vagin est moins forte.
Elle me réclamera un gros câlin passionné, se faisant très chatte amoureuse, le soir venu.
Peu de mois, après, on a "La conversation" le plus importante de notre couple !
Je lui avoue mes penchants homosexuels, et mes rencontres continues.
Elle m'avoue ses aventures extra conjugales également, pour atténuer ma culpabilité en m'obligeant à assister à une baise avec Chris, un de ses amants réguliers.
Après le choc, et quelques jours de réflexions, on décide de continuer notre histoire.
Je ravale ma jalousie, je suis mal placé pour ça ! J'ai déjà plus de 300 amants au compteur !
De plus, le fait qu'elle accepte que je vive mon homosexualité librement, m'aide beaucoup dans l'acceptation de celle-ci.
J'ai découvert que j'aimais la voir jouir avec un autre, également !
On peut alors repartir sur des bases plus libres et saines !
Mais, elle ne me parlera de cet homme, que des années plus tard, en conversant sur le physique des hommes qui la baisent.
"Il y a longtemps que pour le sexe, le physique ne compte plus pour moi !".
"T'as compris ça, grâce aux clubs libertins !".
"Oui, mais pas que là ! Je l'ai su avant ! J'ai connu un homme qui me plaisait pas, mais il me baisait mieux que les autres ! Et pour rien gâcher, il avait une belle queue !".
Elle me raconte alors, leur relation, en ajoutant:
"Ce que j'aimais bien, avec lui, c'est que c'était, que du sexe ! Je risquais pas de tomber amoureuse ! Il me plaisait pas !".
"Mouais ! Il avait d'autres atouts ! Sa grosse bite apparemment!".
"Hummm ! C'était trop bon ! Mon amour ! On en a bien profité ! Jusqu'à ce que je m'en lasse ! J'suis passée à quelqu'un d'autre, ensuite ! Mais j'avoue que j'aimais comme il était vicieux !".
Elle me racontera quelques anecdotes croustillantes, tout au long des mois qui suivirent, lors de baises endiablées avec moi, afin de m'exciter ! Apparemment, il adorait l'enculer dès qu'il pouvait, et lui faire avaler son foutre !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je me rends bien compte que je ne fais pas assez ressortir notre amour commun.
Malgré nos penchants pervers, le plus important restait notre amour et notre couple !
Personne n'est parfait, on a fait des erreurs, mais on a toujours fait le bon choix à la fin !
La meilleure preuve est que l'on est encore ensemble après 40 ans de vie commune !
Et on aime se prendre la main dans la rue.
Tous ces souvenirs sexuels sont derrière nous, mais on a bien profité de nos corps et des plaisirs de la vie !
Malgré nos penchants pervers, le plus important restait notre amour et notre couple !
Personne n'est parfait, on a fait des erreurs, mais on a toujours fait le bon choix à la fin !
La meilleure preuve est que l'on est encore ensemble après 40 ans de vie commune !
Et on aime se prendre la main dans la rue.
Tous ces souvenirs sexuels sont derrière nous, mais on a bien profité de nos corps et des plaisirs de la vie !
On à bien compris que ce couple dysfonctionnel cherche son plaisir ailleurs. L’être humain n’est pas fait pour vivre seul.
Ils ont trouvé la solutions à leurs problèmes.
Ça prend toute sorte de monde pour faire un monde.
Ils ont trouvé la solutions à leurs problèmes.
Ça prend toute sorte de monde pour faire un monde.