LE REFUGE. (2/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2015 dans la catégorie Plus on est
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LE REFUGE. (2/6)
Comme tous les ans, nous sommes partis faire notre randonnée de quatre jours au-dessus de Courchevel où nous réservons une chambre d’une année sur l’autre dans le même hôtel.
Albert, notre guide qui nous dirige dans ces montagnes depuis cinq ans a eu un accident de santé et c’est Christophe, jeune guide frais émoulu qui nous dirige cette année.
Dans le premier refuge le premier soir, je fais brièvement la connaissance d’une jeune allemande sous la douche et en nous savonnant nous nous caressons, première fois pour moi avec une femme.
Au fil de la journée, je remplis mes poumons moins développés que ceux de celle qui m’a fait goûter au début des plaisirs féminins, d’air si pur à plus de 2400 mètres d’altitude.
Un passage plus ardu que Germain franchit sans s’inquiéter de moi permet à Christophe de décrocher, de me passer derrière et comme de rien me placer sa main aux fesses pour me donner une impulsion vers le sommet de la pente.
Lorsqu’il enlève sa main, arrivée en haut de cette difficulté, j’aurais envie de m’arrêter et qu’il glisse ses doigts qui m’ont chauffé le cul tout le temps où ils étaient sur moi dans mon short pour caresser ma chatte.
Est-ce la chaleur du soleil qui nous tape sur la tête, mais ma vulve est mouillée comme il y a bien longtemps. J’ai l’impression que ma cyprine descend sur mes jambes et je fais passer ma main dessus pour vérifier.
À un moment, nous arrivons à une croix où le chemin se sépare en deux.
Christophe regarde sa carte et se gratte la tête.
• C’est à gauche.
• Non, chéri dis-lui, c’est à droite et le chalet est cinq kilomètres plus bas.
Il faut descendre.
• Non, il faut monter à gauche.
• Si Christophe dit que c’est à gauche, c’est lui le pro alors il sait ce qu’il fait.
C’est très bougon après le petit que je reprends en main les bretelles du sac à dos et que je m’engage à gauche.
Après quelques mètres je me retourne et les deux garçons me suivent semblant discuter d’une chose importante entre eux.
Voyant que je les regarde, ils s’arrêtent de parler arrivés à ma hauteur et me doublent facilement.
Nous faisons un peu plus de cinq kilomètres et de nouveau Christophe s’arrête, sort sa carte et semble embêté.
• Christophe reconnais-le, il fallait aller à droite à la croix.
• Oui, mais il est trop tard pour faire demi-tour, l’orage monte et je vais vous emmener à un refuge fermé cet été pour travaux, l’orage sera bientôt sur nous et il est plus prudent de faire un kilomètre que de faire les dix dans l’autre sens.
• Tu dis qu’il est en travaux, comment entrer ?
• Il faut me faire confiance, je suis venu pendant ma formation avant mon diplôme et j’ai vu où notre professeur à cacher la clef et je sais comment remettre l’eau chaude et le courant. De plus, si besoin il y a la radio qu’ils nous ont appris à faire fonctionner.
Nous avançons rapidement, car les éclairs commencent à zébrer le ciel tapant sur la montagne de l’autre côté de la vallée.
À cinq cents mètres au moment où nous voyons le refuge au détour du chemin, Germain, glisse sur une grosse pierre et s’écroule hurlant de douleur.
C’est sa cheville qui vient de lâcher.
Il faut faire rapidement, car l’orage arrive et quelques gouttes commencent à tomber.
Christophe relève son client et le porte presque sur les cinq cents mètres alors que je porte leurs sacs à dos.
Les premières rafales de vent nous rattrapent lorsque nous arrivons devant le porche.
Christophe assoit Germain près de la porte et contourne le refuge.
C’est par l’intérieur qu’il nous ouvre étant entré par le local technique.
La lumière est allumée lorsqu’un éclair frappe si près qu’un halo vert nous entoure.
J’ai tellement peur que sans m’en rendre compte, je me retrouve dans les bras de notre jeune guide.
• Chérie, tu profites déjà de ma blessure pour me tromper !
Que répondre à ces propos hors de propos car seule la peur du coup de tonnerre dans le même temps que l’éclair a été la cause de ce mouvement bien que Christophe ait mis quelques secondes avant de me relâcher ?
Nous emmenons le blessé sur un lit dans le dortoir.
Christophe bien sûr à son diplôme de secouriste obligatoire dans son métier et après avoir défait la chaussure entraînant des cris insupportables de Germain tellement la douleur semble intense.
• J’ai peur que ce ne soit fracturé, je vais appeler les secours, l’hélico va venir le chercher avec un médecin. En attendant, prenez ces cachets qui vont vous faire dormir et qui calmeront la douleur, j’appelle.
La radio est dans la pièce où le gardien dort lorsque le refuge est ouvert, il la démarre, je vois des barres vertes scintiller.
• Allo, ici refuge de grand plan, j’appelle les services de sécurité.
Des craquements mais pas de réponses. L’orage semble brouiller les communications.
• J’essayerais lorsque l’orage sera passé.
Nous retournons près du blessé.
• Emmanuelle, tu dormiras dans le grand lit dans la chambre du gardien, je resterais près de notre blessé pour le surveiller.
• Mon cœur, nos vacances, sont terminées, tu as de la chance, tu vas survoler les alpes en hélicoptère.
• Fiche-toi de moi, Christophe fait passer une bonne soirée à Emmanuelle, il y a quelque chose à manger ?
• Rien, le refuge fermé, est complètement vidé des denrées, mais il reste peut-être des conserves dans l’espace sécurité.
Nous trouvons des raviolis que nous mangeons avec appétit après avoir fait manger notre blessé qui semble quelques minutes après s’écrouler gagné par le sommeil.
Dans toute la soirée qui suit un orage succèdent à un orage et plusieurs essais de la radio s’avèrent infructueux.
• Demain, je descendrai dans la vallée appeler les secours, vous resterez là, vous êtes en sécurité.
Je vais me coucher, demain si je descends à pied rapidement, il faut que je sois en forme.
• Bonne nuit Christophe, appelle-moi si Germain a un souci.
Je rentre dans la chambre et je trouve la douche personnelle du gardien qui me permet d’éviter de voir ma petite allemande arrivée.
Dans les minutes qui suivent, je tombe dans un sommeil profond sans aucun rêve.
Dans la nuit, je sens un corps se glisser sous le drap qui recouvre mon corps et le temps de me poser une question une main se pose sur ma chatte et attaque rapidement mon clitoris.
Germain a-t-il récupéré et veut me sauter ?
Un nouvel éclair, l’orage se prolongeant me fait voir que c’est Christophe qui s’est glissé dans mon lit.
Il m’a tellement chauffé depuis deux jours que sans penser à ce que je fais, je prends sa bouche dans ce baiser que mon inconscient espérait à chaque fois que Christophe me provoquait.
Sa main fait son effet et depuis bien longtemps je sens que la jouissance qui monte en moi est très supérieure à ce que je ressens dans les dernières fois que mon mari me fait l’amour.
Je sais que je viens de basculer dans le camp des salopes, car en pensant à Germain dormant dans son lit de douleur aurait dû me faire retrouver mes esprits, mais je descends ma main pour saisir ce pieu que j’aspire de plus en plus à recevoir en moi.
Pas besoin de le masturber, il bande comme jamais Germain n’a bandé, ma main tient cette verge de gros diamètre. Je glisse vers le bas et c’est ma bouche qui le reçoit, mon rêve de la nuit dernière était bien prémonitoire à la différence que Christophe était en train de me sodomiser alors que les autres hommes me déversaient leur sperme dans la bouche.
Je comprends pourquoi il a souhaité que je couche dans ce grand lit, car l’espace lui permet de pivoter pour venir me prendre ma vulve avec sa bouche.
Pour son jeune âge, la femme qui l’a formé s’il y en a une, a très bien travaillé, car il sait prendre son temps pour que mon plaisir monte graduellement en moi.
Par moment ma lucidité me dit de le renvoyer près de celui que je cocufie à moins de dix mètres de nous et qui dort terrassé par les cachets.
Bien sûr, je continue, il est si bon de sentir ce jeune garçon avoir envie d’une femme bien plus vieille que lui et qui pourrait être mon fils, d’ailleurs son âge est-il différent de celui de Louis.
Enfin, il pivote de nouveau et je le prends en main pour l’aligner et le rentrer dans mon vagin.
Je retrouve mes vingt ans par les coups de reins que je donne pour profiter au maximum de mon bel étalon.
Ma chatte bien remplie commence à réagir et je démarre un bel orgasme aussi fort que ceux que je prenais dans le parc avec la peur d’être surprise.
Christophe tombe sur le côté voulant certainement reprendre son souffle avant de jouir et vouloir surtout j’en suis certaine continuer à me donner du plaisir avant d’en prendre lui-même.
Un coup de tonnerre avec l’éclair instantané me déchire les tympans et la lumière qui illumine la pièce me donne l’impression de voir une forme humaine non loin de notre lit.
L’éclair suivant me détrompe, j’ai mal vu et je bascule sur le corps de mon amant qui est toujours aussi bandé.
Je m’empale tout en l’embrassant lorsqu’il me sert dans ses bras certainement pour m’empêcher de m’échapper lorsque je sens quelqu’un monter sur le lit et venir se placer rapidement derrière moi et m’enculer.
Je demande à toute femme, comment elle réagirait si une verge entrait en elle sans savoir à qui elle appartient.
• Chérie, c’est moi, profite de ces deux verges en toi, on t’expliquera.
Rassurée d’entendre la voix de mon mari mais un peu choquée d’avoir eu l’impression d’avoir été manipulée je laisse mon corps décidé s’il les accepte ou s’il les refuse.
Rapidement il me répond par le premier râle de plaisir que ma bouche émet et que je sens ces ceux verges se frotter ensemble simplement séparées par ma petite paroi entre mon vagin et mon fondement, je sens le plaisir démarrer des deux endroits en même temps et dans l’orgasme des orgasmes, je dois tomber dans les pommes…
Albert, notre guide qui nous dirige dans ces montagnes depuis cinq ans a eu un accident de santé et c’est Christophe, jeune guide frais émoulu qui nous dirige cette année.
Dans le premier refuge le premier soir, je fais brièvement la connaissance d’une jeune allemande sous la douche et en nous savonnant nous nous caressons, première fois pour moi avec une femme.
Au fil de la journée, je remplis mes poumons moins développés que ceux de celle qui m’a fait goûter au début des plaisirs féminins, d’air si pur à plus de 2400 mètres d’altitude.
Un passage plus ardu que Germain franchit sans s’inquiéter de moi permet à Christophe de décrocher, de me passer derrière et comme de rien me placer sa main aux fesses pour me donner une impulsion vers le sommet de la pente.
Lorsqu’il enlève sa main, arrivée en haut de cette difficulté, j’aurais envie de m’arrêter et qu’il glisse ses doigts qui m’ont chauffé le cul tout le temps où ils étaient sur moi dans mon short pour caresser ma chatte.
Est-ce la chaleur du soleil qui nous tape sur la tête, mais ma vulve est mouillée comme il y a bien longtemps. J’ai l’impression que ma cyprine descend sur mes jambes et je fais passer ma main dessus pour vérifier.
À un moment, nous arrivons à une croix où le chemin se sépare en deux.
Christophe regarde sa carte et se gratte la tête.
• C’est à gauche.
• Non, chéri dis-lui, c’est à droite et le chalet est cinq kilomètres plus bas.
Il faut descendre.
• Non, il faut monter à gauche.
• Si Christophe dit que c’est à gauche, c’est lui le pro alors il sait ce qu’il fait.
C’est très bougon après le petit que je reprends en main les bretelles du sac à dos et que je m’engage à gauche.
Après quelques mètres je me retourne et les deux garçons me suivent semblant discuter d’une chose importante entre eux.
Voyant que je les regarde, ils s’arrêtent de parler arrivés à ma hauteur et me doublent facilement.
Nous faisons un peu plus de cinq kilomètres et de nouveau Christophe s’arrête, sort sa carte et semble embêté.
• Christophe reconnais-le, il fallait aller à droite à la croix.
• Oui, mais il est trop tard pour faire demi-tour, l’orage monte et je vais vous emmener à un refuge fermé cet été pour travaux, l’orage sera bientôt sur nous et il est plus prudent de faire un kilomètre que de faire les dix dans l’autre sens.
• Tu dis qu’il est en travaux, comment entrer ?
• Il faut me faire confiance, je suis venu pendant ma formation avant mon diplôme et j’ai vu où notre professeur à cacher la clef et je sais comment remettre l’eau chaude et le courant. De plus, si besoin il y a la radio qu’ils nous ont appris à faire fonctionner.
Nous avançons rapidement, car les éclairs commencent à zébrer le ciel tapant sur la montagne de l’autre côté de la vallée.
À cinq cents mètres au moment où nous voyons le refuge au détour du chemin, Germain, glisse sur une grosse pierre et s’écroule hurlant de douleur.
C’est sa cheville qui vient de lâcher.
Il faut faire rapidement, car l’orage arrive et quelques gouttes commencent à tomber.
Christophe relève son client et le porte presque sur les cinq cents mètres alors que je porte leurs sacs à dos.
Les premières rafales de vent nous rattrapent lorsque nous arrivons devant le porche.
Christophe assoit Germain près de la porte et contourne le refuge.
C’est par l’intérieur qu’il nous ouvre étant entré par le local technique.
La lumière est allumée lorsqu’un éclair frappe si près qu’un halo vert nous entoure.
J’ai tellement peur que sans m’en rendre compte, je me retrouve dans les bras de notre jeune guide.
• Chérie, tu profites déjà de ma blessure pour me tromper !
Que répondre à ces propos hors de propos car seule la peur du coup de tonnerre dans le même temps que l’éclair a été la cause de ce mouvement bien que Christophe ait mis quelques secondes avant de me relâcher ?
Nous emmenons le blessé sur un lit dans le dortoir.
Christophe bien sûr à son diplôme de secouriste obligatoire dans son métier et après avoir défait la chaussure entraînant des cris insupportables de Germain tellement la douleur semble intense.
• J’ai peur que ce ne soit fracturé, je vais appeler les secours, l’hélico va venir le chercher avec un médecin. En attendant, prenez ces cachets qui vont vous faire dormir et qui calmeront la douleur, j’appelle.
La radio est dans la pièce où le gardien dort lorsque le refuge est ouvert, il la démarre, je vois des barres vertes scintiller.
• Allo, ici refuge de grand plan, j’appelle les services de sécurité.
Des craquements mais pas de réponses. L’orage semble brouiller les communications.
• J’essayerais lorsque l’orage sera passé.
Nous retournons près du blessé.
• Emmanuelle, tu dormiras dans le grand lit dans la chambre du gardien, je resterais près de notre blessé pour le surveiller.
• Mon cœur, nos vacances, sont terminées, tu as de la chance, tu vas survoler les alpes en hélicoptère.
• Fiche-toi de moi, Christophe fait passer une bonne soirée à Emmanuelle, il y a quelque chose à manger ?
• Rien, le refuge fermé, est complètement vidé des denrées, mais il reste peut-être des conserves dans l’espace sécurité.
Nous trouvons des raviolis que nous mangeons avec appétit après avoir fait manger notre blessé qui semble quelques minutes après s’écrouler gagné par le sommeil.
Dans toute la soirée qui suit un orage succèdent à un orage et plusieurs essais de la radio s’avèrent infructueux.
• Demain, je descendrai dans la vallée appeler les secours, vous resterez là, vous êtes en sécurité.
Je vais me coucher, demain si je descends à pied rapidement, il faut que je sois en forme.
• Bonne nuit Christophe, appelle-moi si Germain a un souci.
Je rentre dans la chambre et je trouve la douche personnelle du gardien qui me permet d’éviter de voir ma petite allemande arrivée.
Dans les minutes qui suivent, je tombe dans un sommeil profond sans aucun rêve.
Dans la nuit, je sens un corps se glisser sous le drap qui recouvre mon corps et le temps de me poser une question une main se pose sur ma chatte et attaque rapidement mon clitoris.
Germain a-t-il récupéré et veut me sauter ?
Un nouvel éclair, l’orage se prolongeant me fait voir que c’est Christophe qui s’est glissé dans mon lit.
Il m’a tellement chauffé depuis deux jours que sans penser à ce que je fais, je prends sa bouche dans ce baiser que mon inconscient espérait à chaque fois que Christophe me provoquait.
Sa main fait son effet et depuis bien longtemps je sens que la jouissance qui monte en moi est très supérieure à ce que je ressens dans les dernières fois que mon mari me fait l’amour.
Je sais que je viens de basculer dans le camp des salopes, car en pensant à Germain dormant dans son lit de douleur aurait dû me faire retrouver mes esprits, mais je descends ma main pour saisir ce pieu que j’aspire de plus en plus à recevoir en moi.
Pas besoin de le masturber, il bande comme jamais Germain n’a bandé, ma main tient cette verge de gros diamètre. Je glisse vers le bas et c’est ma bouche qui le reçoit, mon rêve de la nuit dernière était bien prémonitoire à la différence que Christophe était en train de me sodomiser alors que les autres hommes me déversaient leur sperme dans la bouche.
Je comprends pourquoi il a souhaité que je couche dans ce grand lit, car l’espace lui permet de pivoter pour venir me prendre ma vulve avec sa bouche.
Pour son jeune âge, la femme qui l’a formé s’il y en a une, a très bien travaillé, car il sait prendre son temps pour que mon plaisir monte graduellement en moi.
Par moment ma lucidité me dit de le renvoyer près de celui que je cocufie à moins de dix mètres de nous et qui dort terrassé par les cachets.
Bien sûr, je continue, il est si bon de sentir ce jeune garçon avoir envie d’une femme bien plus vieille que lui et qui pourrait être mon fils, d’ailleurs son âge est-il différent de celui de Louis.
Enfin, il pivote de nouveau et je le prends en main pour l’aligner et le rentrer dans mon vagin.
Je retrouve mes vingt ans par les coups de reins que je donne pour profiter au maximum de mon bel étalon.
Ma chatte bien remplie commence à réagir et je démarre un bel orgasme aussi fort que ceux que je prenais dans le parc avec la peur d’être surprise.
Christophe tombe sur le côté voulant certainement reprendre son souffle avant de jouir et vouloir surtout j’en suis certaine continuer à me donner du plaisir avant d’en prendre lui-même.
Un coup de tonnerre avec l’éclair instantané me déchire les tympans et la lumière qui illumine la pièce me donne l’impression de voir une forme humaine non loin de notre lit.
L’éclair suivant me détrompe, j’ai mal vu et je bascule sur le corps de mon amant qui est toujours aussi bandé.
Je m’empale tout en l’embrassant lorsqu’il me sert dans ses bras certainement pour m’empêcher de m’échapper lorsque je sens quelqu’un monter sur le lit et venir se placer rapidement derrière moi et m’enculer.
Je demande à toute femme, comment elle réagirait si une verge entrait en elle sans savoir à qui elle appartient.
• Chérie, c’est moi, profite de ces deux verges en toi, on t’expliquera.
Rassurée d’entendre la voix de mon mari mais un peu choquée d’avoir eu l’impression d’avoir été manipulée je laisse mon corps décidé s’il les accepte ou s’il les refuse.
Rapidement il me répond par le premier râle de plaisir que ma bouche émet et que je sens ces ceux verges se frotter ensemble simplement séparées par ma petite paroi entre mon vagin et mon fondement, je sens le plaisir démarrer des deux endroits en même temps et dans l’orgasme des orgasmes, je dois tomber dans les pommes…
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