LE REFUGE. (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE REFUGE. (4/6)
Je me présente, Emmanuelle la salope des refuges.
Bien aidés par mon mari qui a monté une cabale pour que je cède à Christophe jeune homme qui pourrait être mon fils dans un refuge où ils m’ont entraîné après que Germain m’eut fait croire que dans une chute, il s’était cassé un pied.
Pendant que je prenais Christophe comme amant et que ma chatte était pénétrée mon mari pendant l’orage est venue derrière moi et m’a sodomisé.
Pour la première fois, je profitais de deux bites manœuvrant ensemble dans mon corps. Elles m’ont entraîné vers un plaisir incommensurable.
Jamais je m’étais éclaté comme cette nuit.
Au matin après un bon café, nous reprenons la route et dans la soirée nous rejoignions notre chambre d’hôtel.
La fatigue de notre marche rapide car nous avons quitté le refuge de tous mes vices avec bien du retard en rapport des kilomètres à parcourir.
Christophe nous quitte jusqu’au dernier jour de notre séjour, car il a des obligations qu’il lui est difficile à déplacer.
Nous acceptons son départ après qu’il nous eut promis de venir habiter chez nous pendant la morte-saison pour lui.
De fin octobre à mars les chemins sont impraticables à pied et comme il est un guide pédestre, il est au repos.
Le retour à Paris se passe sans encombre avec dans ma tête toute les belles images que mon cerveau a enregistrées lorsque mes deux hommes me besognaient et que je voguais sur les sommets des alpes que nous avions admirés tout au long de notre marche.
La fin septembre est arrivée et c’est le jour de mon anniversaire.
Lorsque Germain est venu me rappeler sa promesse de m’emmener au restaurant.
· Prépare-toi pour vingt heures, habille-toi sexy, je veux que les hommes au restaurant bavent d’envie sur mon épouse.
À l’heure prévue nous sommes prêt et il m’emmène en taxi dans un restaurant du 1ère arrondissement assez banal en rapport de l’attente qu’il avait fait naître en moi.
La seule chose que j’apprécie, c’est les yeux des hommes regardant mon postérieur dans mon petit short avec mes bottes en cuir beige montant au-dessus de mes genoux, avec un chemisier blanc que j’avais mis et attaché sous mon soutien-gorge.
Au moment de partir Germain me rappel à l’ordre.
· Je t’ai dit sexy mon cœur, je veux que tu sois la reine de la soirée.
Enlève ton soutien-gorge pour faire voir à tous que si tu le voulais, tu pourrais toujours passer le test des jeunes mannequins qui doivent mettre un crayon sous leurs seins qui doit directement tomber au sol.
Cette phrase me va doit au cœur, mais si c’est pour atterrir dans ce petit restaurant, j’aurai gardé mon jean.
À si, un fait est à signaler, en face de moi une jeune femme dîne avec un monsieur plus vieux qu’elle, mais qui semble assez riche lorsque l’on regarde les bagues qu’il a aux doigts.
Il ressemble à Onassis l’armateur et milliardaire grec.
Son visage buriné d’homme ayant vécu a su séduire cette jeune femme.
À un moment du repas son mini à du remonter sans qu’elle le remarque car ses jambes légèrement écarté me fait voir sa fente totalement épilée.
Je pense qu’elle sait que je suis fasciné par cette vue, car lorsque je regarde de plus près, elle a des faux airs de la petite allemande dans le refuge le premier jour de notre escapade à Courchevel.
Dommage que nous soyons dans un restaurant, j’aimerais bien franchir le pas complètement des amours entre femmes avec une telle fille pétillante.
Au dessert, Germain sort de sa poche un écrin dans lequel il y a un collier avec un cœur en or.
Il se lève pour me le passer ce qui fait de nous le centre des personnes installé.
La jeune femme discrètement me fait un petit applaudissement qui me va droit au cœur.
Et puis le repas se termine.
En passant près de la jolie fille notre regard se croise et je sens ma petite chatte mouiller.
Lorsque je suis sur le trottoir l’envie de faire demi-tour pour demander son 06 à la petite, mais j’ai peur de passer pour une entremetteuse devant cet homme qui a su séduire.
On nous mène Germain, souhaite-t-il faire un tour de quartier avant de trouver un taxi et nous emmené à la maison pour que je le remercie du beau collier qu’il m’a offert.
Et puis sans ce que je m’en aperçoive, nous arrivons devant une porte au-dessus de laquelle est marqué club privé.
· Ou m’emmènes-tu ?
· Tu vois voir, c’est une surprise, j’espère que tu vas aimer sinon nous repartirons toi seule à la liberté de rester ou pas.
La porte s’ouvre et nous entrons dans une pièce à la lumière rouge qui m’empêche de comprendre où il nous a fait entrer.
J’entends que l’on me parle dans le dos.
· Si nous avions su que vous veniez ici, nous serions venus ensemble.
La jeune femme du restaurant est derrière moi avec son mari.
· Vous venez souvent ici, c’est la première fois que je vous vois, je vous aurais remarqué.
Elle est bien gentille, où sommes-nous, j’avoue qu’à ce moment, rien ne me fait comprendre.
· Mon mari m’a fait rentrer, mais j’avoue que je suis ignorante de ces lieux.
· Super vient, je vais te faire découvrir, tu vas aimer.
Elle me prend la main et m’entraîne dans la pièce suivante.
Une salle avec un bar où des personnes consomment principalement du champagne.
Enfin, je comprends ce que Germain m’offre pour mes quarante ans, nous sommes dans un club libertin.
· Je m’appelle Corinne et toi.
· Emmanuelle.
· C’est ton anniversaire, j’ai vu ton mari te faire ce joli cadeau que tu as au cou.
· Oui, j’ai quarante ans.
· Et moi trente dans deux jours, nous aurions pu naître le même jour. Viens avec moi.
Elle m’entraîne suivi de nos maris vers un vestiaire.
Germain m’a donné libre choix de partir et dans cette pièce lorsqu’il faut me mettre toute nue un instant de panique me prend.
Je suis loin d’être pudique, mais savoir que plusieurs yeux vont me jauger même si je sais que je n’ai rien à envier à ma jeune camarade, l’inconnue de ce que nous allons faire me fait un instant un peu peur.
· Emmanuelle profite de ce moment, c’est ton cadeau que je l’espère s’ancrera en toi tous le reste de notre vie.
Germain, c’est déjà mis nu et il enfile un peignoir mis à notre disposition.
Nous entrons dans une pièce où une scène centrale est occupée par deux couples qui font l’amour regardé par deux autres couples qui se caresse.
· Suis-moi !
Corinne m’entraîne me tenant par la main dans un couloir et nous entrons dans un espace où un lit est là qui nous attend.
· Bon anniversaire Emmanuelle, embrasse-moi !
Pour la première fois de ma vie une femme m’enlace et m’offre ses lèvres.
Je ressens enfin la finalité de ce que les relations entre femmes nous apportent.
Je dépasse le stade de la caresse prodigué avec la petite allemande pour ressentir la douceur des caresses des mains de ma nouvelle amie au plus profond de moi.
Un moment dans le brouillard où je me trouve, je vois Corinne avoir un geste d’humeur envers un homme qui est entré et souhaitait la caresser.
· Pardon excusé moi.
Le respect du choix de chacun me plait, car un moment j’ai eu peur que de ce genre d’endroit des hommes jouant les gros bras ne se sert de nous suivant leurs envies sans respecter le nôtre.
· Que tes caresses sont douces, comme si tes doigts étaient des plumes.
C’est moi l’aîné, mais c’est moi qui découvre les plaisirs qu’une femme peut apporter à une autre femme.
Alors, je me laisse guider et les orgasmes que Corinne m’arrache m’offrent le plus bel anniversaire de ma vie.
Elle éclate, elle aussi et après avoir repris notre souffle, elle se relève et m’entraîne dans une piscine où nos hommes se prélassent tout en buvant une coupe de champagne.
Je rejoins Germain qui reçoit mon corps sur le sien en même temps que Corinne couvre celui de Robert, son mari.
Robert, moi qui pensais au restaurant que c’était Onassis.
· Chérie empale-toi, je bande depuis que je t’ai vu suivre ton amie, j’imaginais ce que vous faisiez et j’ai beaucoup aimé.
· Mon cœur quel merveilleux anniversaire tu m’as offert, c’était si bon de faire l’amour avec Corinne.
· Meilleur qu’avec moi ?
· Différent, oui c’est cela différent.
· Corinne, mon homme me remplit la chatte, toi aussi.
· Oui, Robert est très bien monté, tu l’as peut-être vu lorsqu’il s’est déshabillé.
· J’avais trop peur pour regarder son sexe, mais arrête de me parler, je vais éclater comme avec toi tout à l’heure.
Quelle nuit.
· Dans deux jours, je reviens avec Robert pour mon anniversaire, je te le prêterais et c’est Germain ton mari qui sera mon cavalier servant de mes trente ans, nous vous offrons le.
Elle s’arrête net, la jouissance la submerge et je l’entends poucer un gémissement à la limite du cri de plaisir qui vient se mélanger au mien lorsque mon homme m’offre mon dernier cadeau en m’envoyant de grandes giclées au fond de ma chatte qui retrouve nos élans d’il y a vingt ans.
Sans nous en rendre compte l’heure a filé et après un denier vers de champagne au bar, nous quittons appelons un taxi pour les quatre nos amis habitant à un kilomètre de chez nous sur les bords de marne.
Nous les déposons et une dernière fois j’ai le plaisir de sentir les lèvres de la première femme qui m’aura fait jouir sous les miennes.
Nous échangeons nos numéros de téléphone promettant de nous appeler.
Le temps va me durer à attendre deux jours pour la retrouver et aussi la bite de son homme qui m’a été promis et que j’ai hâte de découvrir.
Merci mon homme de me faire connaître ce nouveau pan de ma vie que je vais dévorer à belles dents…
Bien aidés par mon mari qui a monté une cabale pour que je cède à Christophe jeune homme qui pourrait être mon fils dans un refuge où ils m’ont entraîné après que Germain m’eut fait croire que dans une chute, il s’était cassé un pied.
Pendant que je prenais Christophe comme amant et que ma chatte était pénétrée mon mari pendant l’orage est venue derrière moi et m’a sodomisé.
Pour la première fois, je profitais de deux bites manœuvrant ensemble dans mon corps. Elles m’ont entraîné vers un plaisir incommensurable.
Jamais je m’étais éclaté comme cette nuit.
Au matin après un bon café, nous reprenons la route et dans la soirée nous rejoignions notre chambre d’hôtel.
La fatigue de notre marche rapide car nous avons quitté le refuge de tous mes vices avec bien du retard en rapport des kilomètres à parcourir.
Christophe nous quitte jusqu’au dernier jour de notre séjour, car il a des obligations qu’il lui est difficile à déplacer.
Nous acceptons son départ après qu’il nous eut promis de venir habiter chez nous pendant la morte-saison pour lui.
De fin octobre à mars les chemins sont impraticables à pied et comme il est un guide pédestre, il est au repos.
Le retour à Paris se passe sans encombre avec dans ma tête toute les belles images que mon cerveau a enregistrées lorsque mes deux hommes me besognaient et que je voguais sur les sommets des alpes que nous avions admirés tout au long de notre marche.
La fin septembre est arrivée et c’est le jour de mon anniversaire.
Lorsque Germain est venu me rappeler sa promesse de m’emmener au restaurant.
· Prépare-toi pour vingt heures, habille-toi sexy, je veux que les hommes au restaurant bavent d’envie sur mon épouse.
À l’heure prévue nous sommes prêt et il m’emmène en taxi dans un restaurant du 1ère arrondissement assez banal en rapport de l’attente qu’il avait fait naître en moi.
La seule chose que j’apprécie, c’est les yeux des hommes regardant mon postérieur dans mon petit short avec mes bottes en cuir beige montant au-dessus de mes genoux, avec un chemisier blanc que j’avais mis et attaché sous mon soutien-gorge.
Au moment de partir Germain me rappel à l’ordre.
· Je t’ai dit sexy mon cœur, je veux que tu sois la reine de la soirée.
Enlève ton soutien-gorge pour faire voir à tous que si tu le voulais, tu pourrais toujours passer le test des jeunes mannequins qui doivent mettre un crayon sous leurs seins qui doit directement tomber au sol.
Cette phrase me va doit au cœur, mais si c’est pour atterrir dans ce petit restaurant, j’aurai gardé mon jean.
À si, un fait est à signaler, en face de moi une jeune femme dîne avec un monsieur plus vieux qu’elle, mais qui semble assez riche lorsque l’on regarde les bagues qu’il a aux doigts.
Il ressemble à Onassis l’armateur et milliardaire grec.
Son visage buriné d’homme ayant vécu a su séduire cette jeune femme.
À un moment du repas son mini à du remonter sans qu’elle le remarque car ses jambes légèrement écarté me fait voir sa fente totalement épilée.
Je pense qu’elle sait que je suis fasciné par cette vue, car lorsque je regarde de plus près, elle a des faux airs de la petite allemande dans le refuge le premier jour de notre escapade à Courchevel.
Dommage que nous soyons dans un restaurant, j’aimerais bien franchir le pas complètement des amours entre femmes avec une telle fille pétillante.
Au dessert, Germain sort de sa poche un écrin dans lequel il y a un collier avec un cœur en or.
Il se lève pour me le passer ce qui fait de nous le centre des personnes installé.
La jeune femme discrètement me fait un petit applaudissement qui me va droit au cœur.
Et puis le repas se termine.
En passant près de la jolie fille notre regard se croise et je sens ma petite chatte mouiller.
Lorsque je suis sur le trottoir l’envie de faire demi-tour pour demander son 06 à la petite, mais j’ai peur de passer pour une entremetteuse devant cet homme qui a su séduire.
On nous mène Germain, souhaite-t-il faire un tour de quartier avant de trouver un taxi et nous emmené à la maison pour que je le remercie du beau collier qu’il m’a offert.
Et puis sans ce que je m’en aperçoive, nous arrivons devant une porte au-dessus de laquelle est marqué club privé.
· Ou m’emmènes-tu ?
· Tu vois voir, c’est une surprise, j’espère que tu vas aimer sinon nous repartirons toi seule à la liberté de rester ou pas.
La porte s’ouvre et nous entrons dans une pièce à la lumière rouge qui m’empêche de comprendre où il nous a fait entrer.
J’entends que l’on me parle dans le dos.
· Si nous avions su que vous veniez ici, nous serions venus ensemble.
La jeune femme du restaurant est derrière moi avec son mari.
· Vous venez souvent ici, c’est la première fois que je vous vois, je vous aurais remarqué.
Elle est bien gentille, où sommes-nous, j’avoue qu’à ce moment, rien ne me fait comprendre.
· Mon mari m’a fait rentrer, mais j’avoue que je suis ignorante de ces lieux.
· Super vient, je vais te faire découvrir, tu vas aimer.
Elle me prend la main et m’entraîne dans la pièce suivante.
Une salle avec un bar où des personnes consomment principalement du champagne.
Enfin, je comprends ce que Germain m’offre pour mes quarante ans, nous sommes dans un club libertin.
· Je m’appelle Corinne et toi.
· Emmanuelle.
· C’est ton anniversaire, j’ai vu ton mari te faire ce joli cadeau que tu as au cou.
· Oui, j’ai quarante ans.
· Et moi trente dans deux jours, nous aurions pu naître le même jour. Viens avec moi.
Elle m’entraîne suivi de nos maris vers un vestiaire.
Germain m’a donné libre choix de partir et dans cette pièce lorsqu’il faut me mettre toute nue un instant de panique me prend.
Je suis loin d’être pudique, mais savoir que plusieurs yeux vont me jauger même si je sais que je n’ai rien à envier à ma jeune camarade, l’inconnue de ce que nous allons faire me fait un instant un peu peur.
· Emmanuelle profite de ce moment, c’est ton cadeau que je l’espère s’ancrera en toi tous le reste de notre vie.
Germain, c’est déjà mis nu et il enfile un peignoir mis à notre disposition.
Nous entrons dans une pièce où une scène centrale est occupée par deux couples qui font l’amour regardé par deux autres couples qui se caresse.
· Suis-moi !
Corinne m’entraîne me tenant par la main dans un couloir et nous entrons dans un espace où un lit est là qui nous attend.
· Bon anniversaire Emmanuelle, embrasse-moi !
Pour la première fois de ma vie une femme m’enlace et m’offre ses lèvres.
Je ressens enfin la finalité de ce que les relations entre femmes nous apportent.
Je dépasse le stade de la caresse prodigué avec la petite allemande pour ressentir la douceur des caresses des mains de ma nouvelle amie au plus profond de moi.
Un moment dans le brouillard où je me trouve, je vois Corinne avoir un geste d’humeur envers un homme qui est entré et souhaitait la caresser.
· Pardon excusé moi.
Le respect du choix de chacun me plait, car un moment j’ai eu peur que de ce genre d’endroit des hommes jouant les gros bras ne se sert de nous suivant leurs envies sans respecter le nôtre.
· Que tes caresses sont douces, comme si tes doigts étaient des plumes.
C’est moi l’aîné, mais c’est moi qui découvre les plaisirs qu’une femme peut apporter à une autre femme.
Alors, je me laisse guider et les orgasmes que Corinne m’arrache m’offrent le plus bel anniversaire de ma vie.
Elle éclate, elle aussi et après avoir repris notre souffle, elle se relève et m’entraîne dans une piscine où nos hommes se prélassent tout en buvant une coupe de champagne.
Je rejoins Germain qui reçoit mon corps sur le sien en même temps que Corinne couvre celui de Robert, son mari.
Robert, moi qui pensais au restaurant que c’était Onassis.
· Chérie empale-toi, je bande depuis que je t’ai vu suivre ton amie, j’imaginais ce que vous faisiez et j’ai beaucoup aimé.
· Mon cœur quel merveilleux anniversaire tu m’as offert, c’était si bon de faire l’amour avec Corinne.
· Meilleur qu’avec moi ?
· Différent, oui c’est cela différent.
· Corinne, mon homme me remplit la chatte, toi aussi.
· Oui, Robert est très bien monté, tu l’as peut-être vu lorsqu’il s’est déshabillé.
· J’avais trop peur pour regarder son sexe, mais arrête de me parler, je vais éclater comme avec toi tout à l’heure.
Quelle nuit.
· Dans deux jours, je reviens avec Robert pour mon anniversaire, je te le prêterais et c’est Germain ton mari qui sera mon cavalier servant de mes trente ans, nous vous offrons le.
Elle s’arrête net, la jouissance la submerge et je l’entends poucer un gémissement à la limite du cri de plaisir qui vient se mélanger au mien lorsque mon homme m’offre mon dernier cadeau en m’envoyant de grandes giclées au fond de ma chatte qui retrouve nos élans d’il y a vingt ans.
Sans nous en rendre compte l’heure a filé et après un denier vers de champagne au bar, nous quittons appelons un taxi pour les quatre nos amis habitant à un kilomètre de chez nous sur les bords de marne.
Nous les déposons et une dernière fois j’ai le plaisir de sentir les lèvres de la première femme qui m’aura fait jouir sous les miennes.
Nous échangeons nos numéros de téléphone promettant de nous appeler.
Le temps va me durer à attendre deux jours pour la retrouver et aussi la bite de son homme qui m’a été promis et que j’ai hâte de découvrir.
Merci mon homme de me faire connaître ce nouveau pan de ma vie que je vais dévorer à belles dents…
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