LE REFUGE. (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE REFUGE. (5/6)
Je viens de fêter mes quarante ans avec Germain, mon mari dans une boîte libertine où nous avons fait la connaissance de Corinne et Robert un couple ayant une grande différence d’âge et où pour la première fois j’ai fait l’amour depuis A jusqu’à Z avec cette jeune femme m’ayant apporté bien du plaisir depuis mon aventure dans un refuge avec une jeune allemande.
De retour chez nous, pour remercier mon époux quoiqu’il m’ait pris dans le Jacuzzi du club, je tiens à lui montrer ma reconnaissance. Je commence par lui sucer le sexe allant même jusqu’à lui faire une gorge profonde, il me sodomise pour finir par me remplir le con une nouvelle fois.
Il est bien tard lorsque je m’endors. Le lendemain, c’est dimanche et nous pouvons faire la grace matinée nos corps repus.
Il est onze heures quand je me lève seule dans l’appartement, Germain m’a mis un mot sur la table de la cuisine.
· Chérie, excuse- moi de t’abandonner après la nuit que nous avons passée.
Je pars à la boîte, car j’ai des documents importants à étudier.
Hier soir dans le Jacuzzi, nous avons discuté avec Robert qui m’a demandé ce que nous faisions.
Je lui ai parlé de l’entreprise et des problèmes pour trouver des partenaires afin d’investir et de nous développer.
Il est très intéressé et je dois le retrouver à midi au golf de Lésigny pour manger avec lui et parler du projet.
Chérie, je crois que nos soucis vont se terminer et nous allons pouvoir monter d’échelle dans notre vie.
C’est incroyable comment la vie tient à pas grand-chose, le fils du rasoir où nous étions pour l’entreprise soit de nous développer soit de vendre à une société requin va tourner en notre faveur, j’ai bien fait de céder au besoin d’ouverture que comme moi Germain a ressenti dans notre couple.
Ma fille Anaïs ces temps-ci depuis qu’elle est majeure découche tous les week-ends. Il faut bien que jeunesse se passe.
Quant à mon fils, il nous a quitté voilà un peu plus d’un an pour partir aux États-Unis étudier à Harvard. C’est pour payer tout cela que Germain est au travail aujourd’hui, car ce projet d’extension de la société est faite pour que nous passions du monde des petits au monde de ceux qui ont de quoi vivre sans souci jusqu’au moment de passer la main.
Je viens de finir une petite collation et je me prépare à partir faire mon jogging primordial pour moi le dimanche.
Mon téléphone sonne.
· Allo Emmanuelle, c’est Corinne, tu as le temps pour venir boire un café, je suis seule et je m’ennuie.
· J’allais faire mon jogging, j’arrive.
L’appelle de mon amie me met en joie, je cours jusqu’à son immeuble.
La porte est fermée, heureusement que je connais les deux prénoms marqués, je sonne.
· J’ouvre dernier étage, prends l’acenseur.
Lorsque j’arrive, elle passe juste la tête par la porte, car dès qu’elle me laisse passer, je comprends, elle est nue.
· Excuse-moi de te recevoir comme cela, je suis toujours nue chez moi et j’allais prendre mon bain.
Dépêche-toi d’entrer la baignoire risque de déborder.
Elle se retourne, je la suis admirant ses jolies fesses que j’ai bien caressé hier, mais sans les voir aussi bien.
Elle se retourne près de la baignoire.
· Cochonne, j’ai senti ton regard sur mes fesses, viens te baigner avec moi, il y a de la place pour trois.
En me proposant de venir avec elle je commence à me dévêtir et dès que je suis dénudée, nous entrons dans la baignoire vue la grandeur plus près d’un Jacuzzi.
Je retrouve les gestes de la savonnette que nous passons sur nos corps.
Nous nous rinçons et je l’essuie m’attardant sur sa petite chatte avec l’envie de la dévorer.
· Tu prends un café.
Elle me dirige sur la terrasse et nous nous installons dans des fauteuils sous une véranda s’ouvrant l’été.
Le couple habite au dernier étage de l’immeuble et à ce jardin sur la terrasse.
· Comment à tu connus Robert ?
· Très facilement, chez mes parents où il est venu m’enlever lorsque j’avais vingt ans.
· T’enlever ?
· J’aime dire qu’il m’a enlevé, car le soir où mes parents l’ont invité suite à une affaire qu’ils avaient traitée ensemble en Normandie où j’habitais, j’étais loin de penser que quelques jours plus tard je le suivrais dans cet appartement et que j’épouserais ce monsieur plus vieux de trente ans par rapport à moi, il y a dix ans.
· Tes parents ton vendu ?
· Idiote, lorsque je l’ai vu, j’ai été subjugué par cet homme ayant une telle prestance.
· Quelle profession exerce-t-il pour être aussi riche ?
· Il a des cliniques de chirurgie esthétique à Paris, Londres et Barcelone.
· Il y est en ce moment.
· Non, il opère lui-même que les cas les plus difficiles ou les femmes dont les maris payent pour que ce soit lui des sommes disproportionnées.
En ce moment comme tous les dimanches, il passe sa journée au golf de Lésigny avec deux de ses collègues.
· Excuse-moi, je le savais, Germain m’a laisser un mot me prévenant qu’il partait à notre usine pour présenter son projet à ton mari en mangeant là-bas à midi.
· De mon côté, je savais aussi ces détails, Robert m’a demandé ce que je pensais des confidences que ton mari lui avait faite alors qu’ils étaient plongés dans l’eau attendant que nous ayons fini de nous donner du plaisir.
Je lui ai dit de bien tout étudier, car sur ce genre d’affaires, j’ai un pif assez développé et jusqu’à ce jour tous ce que je lui ai suggéré, c’est avéré bénéfique pour les deux partis.
· Je t’en remercie, Germain peux avoir votre confiance, car son projet est en béton même s’il s’agit de pièce mécanique de très haute précision.
Nous avons dévié au moment où tu allais me dire, comment t’a-t-il enlevé ?
· Le lendemain midi, je recevais une invitation par un coursier à venir déjeuner à son hôtel et deux heures après j’entrais dans sa chambre pour qu’il me prenne mon pucelage.
Comme je te l’ai dit dans le club, Robert a une virilité qui m’a tout de suite comblée jusqu’au moment où j’ai eu des besoins de sexe féminin.
Robert a bien vu mon changement et le regard que je portais vers les filles que nous rencontrions.
Alors comme il tenait à moi comme je tiens à lui il m’a proposé d’aller dans des clubs libertins où j’ai pu rencontrer des femmes.
Tu es la dernière à mon tableau de chasse et je crois que tu es celle que je cherchais.
Très étonné par cette déclaration d’amour par cette jeune fille, j’essaye de me défendre.
· Tu sais, j’aime Germain et je souhaite rester avec lui.
· Moi aussi j’aime Robert, mais ce que je veux te faire comprendre, c’est que j’ai trouvé en toi la femme que je souhaite être dans dix ans et que comme pour mon mari, tu seras la dernière femme à qui je ferais l’amour.
Disant cela, elle s’avance jusqu’à mon fauteuil s’agenouille devant moi, elle m’écarte les cuisses et approche sa bouche de ma chatte toujours dénudée depuis le bain.
· Regarde, je vais te faire voir comment à coup sûr on fait jouir une femme, il suffit de lui caresser le point G.
· J’en ai entendu parlé, mais beaucoup disent que ces dus cinémas.
· Pose tes jambes sur les bras du fauteuil et ainsi amène-moi ta chatte bien en avant.
Devant celle qui depuis notre soirée, je prends cette position plus qu’impudique, je lui ouvre le centre de mon corps comme jamais je ne l’aie fait pour quiconque.
· D’abord, tu lèches bien pour que la chatte soit bien humectée.
Elle passe aux actes en même temps qu’elle le dit.
Cette simple lèche suffit pour que mon corps avance encore plus vers sa bouche et que je sente ma cyprine inonder mon anus.
· Bien, tu es prête.
Tu écartes les grandes lèvres de ta petite amie et tu introduisis trois doigts tournés vers le ciel.
· Attention, je vais jouir, tu es diabolique.
· Et ton point G te fera exploser lorsque je l’aurai trouvé et caressé.
Tes doigts bien à fond, tu sens, je les recourbe vers le haut et je recherche une petite zone très plate grand comme une pièce de deux centimes.
Ton point G est là et si tes doigts l’effleurent, regarde ce qui va arriver.
Pour voir, je vois ou plutôt je sens, car une jouissance que dis-je un raz-de-marée me submerge et les voisins doivent entendre le plaisir que je prends.
Combien de temps suis-je resté tout en haut de ma jouissance quand je redescends, elle me regarde avec un grand sourire.
· Allez, va courir, on se revoit demain.
Je la quitte ayant les jambes encore flageolantes et il me faut plus de trois kilomètres pour retrouver ma foulée habituelle.
Le lendemain nos amis passent nous chercher pour fêter l’anniversaire de Corinne.
Ils nous emmènent dans un autre restaurant tout près du club où elle tient à finir la soirée.
Le restaurant est un ton supérieur à celui où je l’ai vu pour la première fois.
Mais le club m’attire de plus en plus.
C’est dans le Jacuzzi qu’elle m’entraîne et qu’elle me donne littéralement à Robert qui entre en moi ou plutôt que je m’assieds sur sa verge aperçue quelques secondes dans le vestiaire et qui a bien un diamètre assez conséquent.
Je veux voir ce qui est entré en moi et je me retire pour plonger et aller aspirer cette queue qui a du mal à entrer dans ma bouche.
Satisfaite de ce que j’ai vu, je retourne me faire remplir.
Je comprends pourquoi une jeune vierge a pu tomber amoureuse d’un tel homme qui dès la première fois avec son sexe éléphantesque a dû la faire jouir du premier coup.
Pendant que je plongeais regardée la bite de Robert, la coquine avait disparu avec Germain.
Notre jouissance commune prise, je sortais de l’eau et ayant la connaissance du terrain, je prenais le couloir et c’est dans la pièce où j’avais connu ma première expérience lesbienne que je les retrouve.
Je m’arrête sans qu’ils me voient et pour la première fois je vois mon mari prendre une autre femme que moi.
Je me glisse près d’eux et je place ma chatte de façon à ce qu’elle puisse la lécher pendant qu’à grands coups de reins, elle se fait pénétrer sans que je sache si c’est dans sa chatte ou son anus.
C’est moi qui enlève la capote qui protège les deux amants pour nettoyer la verge de celui qui me prend de plus en plus souvent depuis que nous avons retrouvé nos baises aussi intenses de notre jeunesse.
Dans les jours suivants, ils sont partis pour plusieurs jours à Barcelone où un certain nombre d’opérations attendent Robert.
Ces jours si comme je l’ai dit, je vois peu ma fille et le temps passe en allant travailler avec Germain, car il faut savoir que j’ai pris la responsabilité de tous ce qui est gestions de notre société et il est difficile de batifoler pendant ces moments-là…
De retour chez nous, pour remercier mon époux quoiqu’il m’ait pris dans le Jacuzzi du club, je tiens à lui montrer ma reconnaissance. Je commence par lui sucer le sexe allant même jusqu’à lui faire une gorge profonde, il me sodomise pour finir par me remplir le con une nouvelle fois.
Il est bien tard lorsque je m’endors. Le lendemain, c’est dimanche et nous pouvons faire la grace matinée nos corps repus.
Il est onze heures quand je me lève seule dans l’appartement, Germain m’a mis un mot sur la table de la cuisine.
· Chérie, excuse- moi de t’abandonner après la nuit que nous avons passée.
Je pars à la boîte, car j’ai des documents importants à étudier.
Hier soir dans le Jacuzzi, nous avons discuté avec Robert qui m’a demandé ce que nous faisions.
Je lui ai parlé de l’entreprise et des problèmes pour trouver des partenaires afin d’investir et de nous développer.
Il est très intéressé et je dois le retrouver à midi au golf de Lésigny pour manger avec lui et parler du projet.
Chérie, je crois que nos soucis vont se terminer et nous allons pouvoir monter d’échelle dans notre vie.
C’est incroyable comment la vie tient à pas grand-chose, le fils du rasoir où nous étions pour l’entreprise soit de nous développer soit de vendre à une société requin va tourner en notre faveur, j’ai bien fait de céder au besoin d’ouverture que comme moi Germain a ressenti dans notre couple.
Ma fille Anaïs ces temps-ci depuis qu’elle est majeure découche tous les week-ends. Il faut bien que jeunesse se passe.
Quant à mon fils, il nous a quitté voilà un peu plus d’un an pour partir aux États-Unis étudier à Harvard. C’est pour payer tout cela que Germain est au travail aujourd’hui, car ce projet d’extension de la société est faite pour que nous passions du monde des petits au monde de ceux qui ont de quoi vivre sans souci jusqu’au moment de passer la main.
Je viens de finir une petite collation et je me prépare à partir faire mon jogging primordial pour moi le dimanche.
Mon téléphone sonne.
· Allo Emmanuelle, c’est Corinne, tu as le temps pour venir boire un café, je suis seule et je m’ennuie.
· J’allais faire mon jogging, j’arrive.
L’appelle de mon amie me met en joie, je cours jusqu’à son immeuble.
La porte est fermée, heureusement que je connais les deux prénoms marqués, je sonne.
· J’ouvre dernier étage, prends l’acenseur.
Lorsque j’arrive, elle passe juste la tête par la porte, car dès qu’elle me laisse passer, je comprends, elle est nue.
· Excuse-moi de te recevoir comme cela, je suis toujours nue chez moi et j’allais prendre mon bain.
Dépêche-toi d’entrer la baignoire risque de déborder.
Elle se retourne, je la suis admirant ses jolies fesses que j’ai bien caressé hier, mais sans les voir aussi bien.
Elle se retourne près de la baignoire.
· Cochonne, j’ai senti ton regard sur mes fesses, viens te baigner avec moi, il y a de la place pour trois.
En me proposant de venir avec elle je commence à me dévêtir et dès que je suis dénudée, nous entrons dans la baignoire vue la grandeur plus près d’un Jacuzzi.
Je retrouve les gestes de la savonnette que nous passons sur nos corps.
Nous nous rinçons et je l’essuie m’attardant sur sa petite chatte avec l’envie de la dévorer.
· Tu prends un café.
Elle me dirige sur la terrasse et nous nous installons dans des fauteuils sous une véranda s’ouvrant l’été.
Le couple habite au dernier étage de l’immeuble et à ce jardin sur la terrasse.
· Comment à tu connus Robert ?
· Très facilement, chez mes parents où il est venu m’enlever lorsque j’avais vingt ans.
· T’enlever ?
· J’aime dire qu’il m’a enlevé, car le soir où mes parents l’ont invité suite à une affaire qu’ils avaient traitée ensemble en Normandie où j’habitais, j’étais loin de penser que quelques jours plus tard je le suivrais dans cet appartement et que j’épouserais ce monsieur plus vieux de trente ans par rapport à moi, il y a dix ans.
· Tes parents ton vendu ?
· Idiote, lorsque je l’ai vu, j’ai été subjugué par cet homme ayant une telle prestance.
· Quelle profession exerce-t-il pour être aussi riche ?
· Il a des cliniques de chirurgie esthétique à Paris, Londres et Barcelone.
· Il y est en ce moment.
· Non, il opère lui-même que les cas les plus difficiles ou les femmes dont les maris payent pour que ce soit lui des sommes disproportionnées.
En ce moment comme tous les dimanches, il passe sa journée au golf de Lésigny avec deux de ses collègues.
· Excuse-moi, je le savais, Germain m’a laisser un mot me prévenant qu’il partait à notre usine pour présenter son projet à ton mari en mangeant là-bas à midi.
· De mon côté, je savais aussi ces détails, Robert m’a demandé ce que je pensais des confidences que ton mari lui avait faite alors qu’ils étaient plongés dans l’eau attendant que nous ayons fini de nous donner du plaisir.
Je lui ai dit de bien tout étudier, car sur ce genre d’affaires, j’ai un pif assez développé et jusqu’à ce jour tous ce que je lui ai suggéré, c’est avéré bénéfique pour les deux partis.
· Je t’en remercie, Germain peux avoir votre confiance, car son projet est en béton même s’il s’agit de pièce mécanique de très haute précision.
Nous avons dévié au moment où tu allais me dire, comment t’a-t-il enlevé ?
· Le lendemain midi, je recevais une invitation par un coursier à venir déjeuner à son hôtel et deux heures après j’entrais dans sa chambre pour qu’il me prenne mon pucelage.
Comme je te l’ai dit dans le club, Robert a une virilité qui m’a tout de suite comblée jusqu’au moment où j’ai eu des besoins de sexe féminin.
Robert a bien vu mon changement et le regard que je portais vers les filles que nous rencontrions.
Alors comme il tenait à moi comme je tiens à lui il m’a proposé d’aller dans des clubs libertins où j’ai pu rencontrer des femmes.
Tu es la dernière à mon tableau de chasse et je crois que tu es celle que je cherchais.
Très étonné par cette déclaration d’amour par cette jeune fille, j’essaye de me défendre.
· Tu sais, j’aime Germain et je souhaite rester avec lui.
· Moi aussi j’aime Robert, mais ce que je veux te faire comprendre, c’est que j’ai trouvé en toi la femme que je souhaite être dans dix ans et que comme pour mon mari, tu seras la dernière femme à qui je ferais l’amour.
Disant cela, elle s’avance jusqu’à mon fauteuil s’agenouille devant moi, elle m’écarte les cuisses et approche sa bouche de ma chatte toujours dénudée depuis le bain.
· Regarde, je vais te faire voir comment à coup sûr on fait jouir une femme, il suffit de lui caresser le point G.
· J’en ai entendu parlé, mais beaucoup disent que ces dus cinémas.
· Pose tes jambes sur les bras du fauteuil et ainsi amène-moi ta chatte bien en avant.
Devant celle qui depuis notre soirée, je prends cette position plus qu’impudique, je lui ouvre le centre de mon corps comme jamais je ne l’aie fait pour quiconque.
· D’abord, tu lèches bien pour que la chatte soit bien humectée.
Elle passe aux actes en même temps qu’elle le dit.
Cette simple lèche suffit pour que mon corps avance encore plus vers sa bouche et que je sente ma cyprine inonder mon anus.
· Bien, tu es prête.
Tu écartes les grandes lèvres de ta petite amie et tu introduisis trois doigts tournés vers le ciel.
· Attention, je vais jouir, tu es diabolique.
· Et ton point G te fera exploser lorsque je l’aurai trouvé et caressé.
Tes doigts bien à fond, tu sens, je les recourbe vers le haut et je recherche une petite zone très plate grand comme une pièce de deux centimes.
Ton point G est là et si tes doigts l’effleurent, regarde ce qui va arriver.
Pour voir, je vois ou plutôt je sens, car une jouissance que dis-je un raz-de-marée me submerge et les voisins doivent entendre le plaisir que je prends.
Combien de temps suis-je resté tout en haut de ma jouissance quand je redescends, elle me regarde avec un grand sourire.
· Allez, va courir, on se revoit demain.
Je la quitte ayant les jambes encore flageolantes et il me faut plus de trois kilomètres pour retrouver ma foulée habituelle.
Le lendemain nos amis passent nous chercher pour fêter l’anniversaire de Corinne.
Ils nous emmènent dans un autre restaurant tout près du club où elle tient à finir la soirée.
Le restaurant est un ton supérieur à celui où je l’ai vu pour la première fois.
Mais le club m’attire de plus en plus.
C’est dans le Jacuzzi qu’elle m’entraîne et qu’elle me donne littéralement à Robert qui entre en moi ou plutôt que je m’assieds sur sa verge aperçue quelques secondes dans le vestiaire et qui a bien un diamètre assez conséquent.
Je veux voir ce qui est entré en moi et je me retire pour plonger et aller aspirer cette queue qui a du mal à entrer dans ma bouche.
Satisfaite de ce que j’ai vu, je retourne me faire remplir.
Je comprends pourquoi une jeune vierge a pu tomber amoureuse d’un tel homme qui dès la première fois avec son sexe éléphantesque a dû la faire jouir du premier coup.
Pendant que je plongeais regardée la bite de Robert, la coquine avait disparu avec Germain.
Notre jouissance commune prise, je sortais de l’eau et ayant la connaissance du terrain, je prenais le couloir et c’est dans la pièce où j’avais connu ma première expérience lesbienne que je les retrouve.
Je m’arrête sans qu’ils me voient et pour la première fois je vois mon mari prendre une autre femme que moi.
Je me glisse près d’eux et je place ma chatte de façon à ce qu’elle puisse la lécher pendant qu’à grands coups de reins, elle se fait pénétrer sans que je sache si c’est dans sa chatte ou son anus.
C’est moi qui enlève la capote qui protège les deux amants pour nettoyer la verge de celui qui me prend de plus en plus souvent depuis que nous avons retrouvé nos baises aussi intenses de notre jeunesse.
Dans les jours suivants, ils sont partis pour plusieurs jours à Barcelone où un certain nombre d’opérations attendent Robert.
Ces jours si comme je l’ai dit, je vois peu ma fille et le temps passe en allant travailler avec Germain, car il faut savoir que j’ai pris la responsabilité de tous ce qui est gestions de notre société et il est difficile de batifoler pendant ces moments-là…
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