LE REMPLACEMENT. (13/x)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE REMPLACEMENT. (13/x)
Merci à Nadia pour le relais sur les scènes saphique entre elle et moi, pardon, Aurélie ou Natacha, je pense que nous renouvellerons l’expérience si elle est d’accord bien sûr.
Un mois, un siècle que je suis parti de cet appartement, non seulement 48 heures que j’ai pris l’avion pour le château de Joyce ou mon client m’a fait faux bond mais m’a fait parvenir mon enveloppe et m’a permis de rencontrer la femme de rêve qu’est Nadia la courtisane.
• Miaou, miaou.
Putain de Grisette qui vient se frotter à mes jambes dès la porte ouverte, putain de téléphone qui sonne dans mon sac appelant sa putain de propriétaire même par intérim à reprendre son rôle de putain.
Putain de grisette car si Nadine avait refusé de la récupérer quand petite une voisine lui à donner pour éviter de la noyer, je serais resté la femme mariée à Vivian me contentant de ses petits coups de queue qui me satisfaisaient largement avant de goûter aux plaisirs défendus.
Putain, de grisette à qui je dois changer la litière et qui empeste l’appartement malgré ce qu’ils disent sur le paquet depuis les deux jours où je suis partie.
Putain de gentille grisette car c’est grâce à elle que je viens de vivre des moments de rêves avec la jolie et affectueuse Nadia.
Putain de téléphone que je mets à mon oreille.
• Allo.
Les clients semblent m’avoir laissé une nuit de repos mais j’avais coupé le putain de portable pour jouir tranquillement de la situation avec mon nouvel amour.
• Ce soir chez vous comme d’habitude.
Au secours qui est ce monsieur qui semble connaître ma sœur et qui veut que je vienne chez lui à 20 heures.
• Je m’excuse, je rentre de l’hôpital car j’ai reçu un coup sur la tête il y a deux jours une fenêtre m’ayant agressé et depuis j’ai des troubles de la mémoire.
Je deviens bonne car il y a peu dans la même situation j’aurais été incapable de trouver cette parade.
• À Saint-Maur-des-Fossés, oui j’ai noté la rue et le numéro de l’immeuble.
Si je vais venir malgré mon accident, soyer en sûr cela me changera les idées.
Tarif habituel.
Vous pouvez compter sur moi nous allons passer une agréable soirée.
Vous en êtes sûr, je vous ai toujours comblé.
Oui j’espère vous reconnaître quand je vous verrais mais sinon nous naviguerons à vue.
Si je me souviens de ce que vous aimez !
Il faudrait que je sache qui vous êtes et je saurais ce que vous aimez.
Dur la conversation, j’ai envie de lui dire d’attendre pour que j’appelle ma sœur mais comme elle roucoule avec mon mari j’ai peur qu’elle ne soit encore avec lui dans son déplacement.
• Nous verrons tout à l’heure, j’y compte bien à tout de suite je vais me faire belle pour vous.
Je raccroche mais ce putain de téléphone, bref ce téléphone sonne de nouveau.
• A non, pas ce soir je suis en mission.
Encore une nouvelle conversation qui part mal mais c’est un nouveau client et je réussis à reporter le rendez-vous pour demain soir.
J’ignore le nombre de passe que fait Nadia par semaine mais elle ferait bien de venir vivre à Paris avec moi il y a du travail pour deux putes aussi belles que nous.
C’est vrai elle travaille à ce quel m’a dit sur carnet d’adresses et semble avoir une activité principale chaque jour, si je suis une occasionnelle pour remplacer ma sœur elle aussi est une occasionnelle.
19 heures, taxi départ vers mon client avec lequel je vais être obligé de travailler à l’instinct.
Je sonne, l’immeuble est tout en marbre comme de nombreux immeubles dans la ville.
• Entre Véronica, t’attendre a été interminable.
Au secours, pourquoi Véronica ?
• Monte à l’étage, tes affaires sont dans la salle de bains, dès que tu es prête nous passerons à table comme d’habitude.
A oui l’enveloppe, tu me fais mal de me faire payer les quelques minutes d’intimité que j’arrive à t’arracher, quand me pardonneras-tu mon aventure avec Jasmina, tu sais que je t’aime et je te promets que ce fut un moment d’égarement que tu me fais trop chère payer.
J’entre et il me désigne l’étage du doigt.
Je monte et après avoir ouvert deux portes dont celle des W.C je trouve la pièce d’eau.
Que suis-je censé faire, sur un cintre une robe du soir est pendue à la porte de la douche inutile pour moi car je me suis lavée intégralement après mon voyage en avion et comme avant chaque rendez-vous ?
Je passe la robe intégralement nue, je suis venue sans mes bijoux du moins ceux de ma sœur de peur de mettre l’un d’eux qui déplaise à mon client.
• Je vois que tu t’es souvenu que j’aime te voir dans la robe que je t’ai offert lord de notre premier rendez-vous.
Mince, les bijoux que je t’ai offerts, c’est vrai tu as des trous de mémoire j’aurais dû te dire de mettre ton tour de cou en diamant et les boucles d’oreilles qui vont avec aujourd’hui je te réserve une surprise.
Attends, je vais dans mon coffre en chercher pour les remplacer.
Il part et revient avec deux coffrets.
• J’ai bien fait d’en prendre deux quand je t’ai acheté le premier, tournes toi que je te place ton collier.
Le tour de cou est très beau et s’il parle de diamant se doit être de la verroterie même si l’illusion est étonnante.
• Met les boucles d’oreilles toi-même je veux éviter de te blaiser.
Je prends les deux gouttes d’eau que je place dans les trous de mes oreilles identiques à ceux de Nadine maman nous les ayant percé le même jour.
J’ai failli mettre mes deux petits diamants offerts par Vivian mais j’ai bien fait car ils auraient été ridicule comparé à ceux que je viens de mettre même si ce sont des répliques
• Voilà tu es parfaite, passons à table.
Repas succulent, le jeu commence à m’intéresser, j’espère seulement que je vais savoir quoi faire, si c’est écarter mes cuisses malgré l’épisode Nadia je dois me souvenir comment il faut faire.
Mon dernier client c’était il y a peu et baiser c’est comme le vélo quand on est monté une fois on sait le faire à vie même s’il y a une différence entre baiser avec son mari et baiser comme une pute avec son client comme celui qui joue un jeu devant moi en ce moment.
Au dessert il se lève prend quelque chose dans sa poche, il s’agenouille devant moi et ouvre un autre écrin à l’intérieur duquel se trouve une magnifique bague en diamant..
• Véronica veux-tu m’épouser ?
Je joue le jeu car je pense qu’il me faut lui pardonner ce qu’il croit être une infidélité.
• Oui mon aimée la bague que tu m’offres est très extraordinaire.
• Donne-moi ton doigt je vais te la passer, c’est le plus beau jour de ma vie, tu m’as enfin pardonné.
Je veux bien lui pardonner, Véronica, Jasmina c’est du pareil au même, le principal c’est que je retrouve le rythme des enveloppes comme celle que j’ai dans mon sac, avant qu’avec Nadine chaque partie de notre vie retrouve la place qu’elle occupait avant qu’elle parte en oubliant son téléphone chez elle.
Mon client se redresse et ouvre sa braguette sortant un sexe minuscule.
• Merci de reprendre notre vie là où nous l’avons laissé, tu veux bien me sucer.
Pourquoi suis-je venu, je suis là pour le satisfaire même si j’ai du mal à attraper son petit bout, j’avance ma bouche et c’est avec ma langue que je le titille lui permettant de gagner quelques millimètres mais bien dur tout de même ?
• Ça vient, je peux finir sur ta figure comme chaque fois te souviens-tu ?
Réelle, irréelle la frontière est ténue et quand il éjacule quelques gouttes de son sperme partent sur l’un de mes yeux, je finis par me demander jusqu’à quel point il joue un rôle comme une pute joue un rôle avec son clientJe prends la serviette posée sur la table et je m’essuie le visage.
• Tu peux partir, change-toi et claque la porte en partant je vais me coucher, bien sûr le collier tu le laisses mais la bague comme les autres elle est à toi, je te rappellerais quand mon envie sera revenue.
Comme toujours tu es parfaite.
Il se retourne et se dirige vers sa chambre.
Je vais me changer en remettant la robe sur le cintre elle aussi maculé de sperme.
Je pose la parure sur la margelle du lavabo et je regarde la bague en la faisant tourner dans la lumière, c’est incroyable les imitations que l’on peut faire, elle brille comme un vrai diamant deux fois plus beau que celui que Vivian m’a offert le jour où il m’a demandé ma main et que doit avoir à son doigt Nadine.
Au matin je dors après être rentré chez moi.
• Alors sœurette on dort encore, je suis rentré et j’ai eu envie de te voir, tu as encore abusé hier soir.
• Je suis allé cher un de tes clients qui m’a offert une bague en plus de son enveloppe pour simplement que je le suce, regarde.
Je lui fais voir la bague que j’ai gardée au doigt.
• Merde tu es allée chez Louis, il y a des mois qu’il me harcelle pour que je quitte le tapin et que je vive avec lui, il m’affuble d’un prénom chaque fois changé et cela fait deux fois que j’ai refusé son appel.
Regarde des bagues identique à la tienne j’en ai déjà six dans ce tiroir, il se dit joaillier et aurait une boutique dans Paris mais c’est du pipeau c’est une petite bite qui a trouvé ce stratagème pour cacher son infirmité côté sexe.
Je file, je vais au marché acheter le nécessaire pour faire des pieds-paquets à mon mari c’est notre anniversaire de mariage ce soir.
Avant que je me retourne elle est partie me laissant seul avec le tiroir ouvert, toutes les bagues identiques sont là mais moi je garde cette dernière offerte à mon doigt.
Si le client d’hier est un peu fêlé Nadine doit oublier que la situation entre nous est temporaire et je regrette qu’elle soit partie si vite qu’elle garde une nouvelle fois ma place qui plus ait, elle a raison, le jour anniversaire où j’ai convolé avec Vivian.
• Allo Nadia je sais qu’il est de bonne heure, j’ai senti la nécessiter d’entendre le son de ta voix…
Un mois, un siècle que je suis parti de cet appartement, non seulement 48 heures que j’ai pris l’avion pour le château de Joyce ou mon client m’a fait faux bond mais m’a fait parvenir mon enveloppe et m’a permis de rencontrer la femme de rêve qu’est Nadia la courtisane.
• Miaou, miaou.
Putain de Grisette qui vient se frotter à mes jambes dès la porte ouverte, putain de téléphone qui sonne dans mon sac appelant sa putain de propriétaire même par intérim à reprendre son rôle de putain.
Putain de grisette car si Nadine avait refusé de la récupérer quand petite une voisine lui à donner pour éviter de la noyer, je serais resté la femme mariée à Vivian me contentant de ses petits coups de queue qui me satisfaisaient largement avant de goûter aux plaisirs défendus.
Putain, de grisette à qui je dois changer la litière et qui empeste l’appartement malgré ce qu’ils disent sur le paquet depuis les deux jours où je suis partie.
Putain de gentille grisette car c’est grâce à elle que je viens de vivre des moments de rêves avec la jolie et affectueuse Nadia.
Putain de téléphone que je mets à mon oreille.
• Allo.
Les clients semblent m’avoir laissé une nuit de repos mais j’avais coupé le putain de portable pour jouir tranquillement de la situation avec mon nouvel amour.
• Ce soir chez vous comme d’habitude.
Au secours qui est ce monsieur qui semble connaître ma sœur et qui veut que je vienne chez lui à 20 heures.
• Je m’excuse, je rentre de l’hôpital car j’ai reçu un coup sur la tête il y a deux jours une fenêtre m’ayant agressé et depuis j’ai des troubles de la mémoire.
Je deviens bonne car il y a peu dans la même situation j’aurais été incapable de trouver cette parade.
• À Saint-Maur-des-Fossés, oui j’ai noté la rue et le numéro de l’immeuble.
Si je vais venir malgré mon accident, soyer en sûr cela me changera les idées.
Tarif habituel.
Vous pouvez compter sur moi nous allons passer une agréable soirée.
Vous en êtes sûr, je vous ai toujours comblé.
Oui j’espère vous reconnaître quand je vous verrais mais sinon nous naviguerons à vue.
Si je me souviens de ce que vous aimez !
Il faudrait que je sache qui vous êtes et je saurais ce que vous aimez.
Dur la conversation, j’ai envie de lui dire d’attendre pour que j’appelle ma sœur mais comme elle roucoule avec mon mari j’ai peur qu’elle ne soit encore avec lui dans son déplacement.
• Nous verrons tout à l’heure, j’y compte bien à tout de suite je vais me faire belle pour vous.
Je raccroche mais ce putain de téléphone, bref ce téléphone sonne de nouveau.
• A non, pas ce soir je suis en mission.
Encore une nouvelle conversation qui part mal mais c’est un nouveau client et je réussis à reporter le rendez-vous pour demain soir.
J’ignore le nombre de passe que fait Nadia par semaine mais elle ferait bien de venir vivre à Paris avec moi il y a du travail pour deux putes aussi belles que nous.
C’est vrai elle travaille à ce quel m’a dit sur carnet d’adresses et semble avoir une activité principale chaque jour, si je suis une occasionnelle pour remplacer ma sœur elle aussi est une occasionnelle.
19 heures, taxi départ vers mon client avec lequel je vais être obligé de travailler à l’instinct.
Je sonne, l’immeuble est tout en marbre comme de nombreux immeubles dans la ville.
• Entre Véronica, t’attendre a été interminable.
Au secours, pourquoi Véronica ?
• Monte à l’étage, tes affaires sont dans la salle de bains, dès que tu es prête nous passerons à table comme d’habitude.
A oui l’enveloppe, tu me fais mal de me faire payer les quelques minutes d’intimité que j’arrive à t’arracher, quand me pardonneras-tu mon aventure avec Jasmina, tu sais que je t’aime et je te promets que ce fut un moment d’égarement que tu me fais trop chère payer.
J’entre et il me désigne l’étage du doigt.
Je monte et après avoir ouvert deux portes dont celle des W.C je trouve la pièce d’eau.
Que suis-je censé faire, sur un cintre une robe du soir est pendue à la porte de la douche inutile pour moi car je me suis lavée intégralement après mon voyage en avion et comme avant chaque rendez-vous ?
Je passe la robe intégralement nue, je suis venue sans mes bijoux du moins ceux de ma sœur de peur de mettre l’un d’eux qui déplaise à mon client.
• Je vois que tu t’es souvenu que j’aime te voir dans la robe que je t’ai offert lord de notre premier rendez-vous.
Mince, les bijoux que je t’ai offerts, c’est vrai tu as des trous de mémoire j’aurais dû te dire de mettre ton tour de cou en diamant et les boucles d’oreilles qui vont avec aujourd’hui je te réserve une surprise.
Attends, je vais dans mon coffre en chercher pour les remplacer.
Il part et revient avec deux coffrets.
• J’ai bien fait d’en prendre deux quand je t’ai acheté le premier, tournes toi que je te place ton collier.
Le tour de cou est très beau et s’il parle de diamant se doit être de la verroterie même si l’illusion est étonnante.
• Met les boucles d’oreilles toi-même je veux éviter de te blaiser.
Je prends les deux gouttes d’eau que je place dans les trous de mes oreilles identiques à ceux de Nadine maman nous les ayant percé le même jour.
J’ai failli mettre mes deux petits diamants offerts par Vivian mais j’ai bien fait car ils auraient été ridicule comparé à ceux que je viens de mettre même si ce sont des répliques
• Voilà tu es parfaite, passons à table.
Repas succulent, le jeu commence à m’intéresser, j’espère seulement que je vais savoir quoi faire, si c’est écarter mes cuisses malgré l’épisode Nadia je dois me souvenir comment il faut faire.
Mon dernier client c’était il y a peu et baiser c’est comme le vélo quand on est monté une fois on sait le faire à vie même s’il y a une différence entre baiser avec son mari et baiser comme une pute avec son client comme celui qui joue un jeu devant moi en ce moment.
Au dessert il se lève prend quelque chose dans sa poche, il s’agenouille devant moi et ouvre un autre écrin à l’intérieur duquel se trouve une magnifique bague en diamant..
• Véronica veux-tu m’épouser ?
Je joue le jeu car je pense qu’il me faut lui pardonner ce qu’il croit être une infidélité.
• Oui mon aimée la bague que tu m’offres est très extraordinaire.
• Donne-moi ton doigt je vais te la passer, c’est le plus beau jour de ma vie, tu m’as enfin pardonné.
Je veux bien lui pardonner, Véronica, Jasmina c’est du pareil au même, le principal c’est que je retrouve le rythme des enveloppes comme celle que j’ai dans mon sac, avant qu’avec Nadine chaque partie de notre vie retrouve la place qu’elle occupait avant qu’elle parte en oubliant son téléphone chez elle.
Mon client se redresse et ouvre sa braguette sortant un sexe minuscule.
• Merci de reprendre notre vie là où nous l’avons laissé, tu veux bien me sucer.
Pourquoi suis-je venu, je suis là pour le satisfaire même si j’ai du mal à attraper son petit bout, j’avance ma bouche et c’est avec ma langue que je le titille lui permettant de gagner quelques millimètres mais bien dur tout de même ?
• Ça vient, je peux finir sur ta figure comme chaque fois te souviens-tu ?
Réelle, irréelle la frontière est ténue et quand il éjacule quelques gouttes de son sperme partent sur l’un de mes yeux, je finis par me demander jusqu’à quel point il joue un rôle comme une pute joue un rôle avec son clientJe prends la serviette posée sur la table et je m’essuie le visage.
• Tu peux partir, change-toi et claque la porte en partant je vais me coucher, bien sûr le collier tu le laisses mais la bague comme les autres elle est à toi, je te rappellerais quand mon envie sera revenue.
Comme toujours tu es parfaite.
Il se retourne et se dirige vers sa chambre.
Je vais me changer en remettant la robe sur le cintre elle aussi maculé de sperme.
Je pose la parure sur la margelle du lavabo et je regarde la bague en la faisant tourner dans la lumière, c’est incroyable les imitations que l’on peut faire, elle brille comme un vrai diamant deux fois plus beau que celui que Vivian m’a offert le jour où il m’a demandé ma main et que doit avoir à son doigt Nadine.
Au matin je dors après être rentré chez moi.
• Alors sœurette on dort encore, je suis rentré et j’ai eu envie de te voir, tu as encore abusé hier soir.
• Je suis allé cher un de tes clients qui m’a offert une bague en plus de son enveloppe pour simplement que je le suce, regarde.
Je lui fais voir la bague que j’ai gardée au doigt.
• Merde tu es allée chez Louis, il y a des mois qu’il me harcelle pour que je quitte le tapin et que je vive avec lui, il m’affuble d’un prénom chaque fois changé et cela fait deux fois que j’ai refusé son appel.
Regarde des bagues identique à la tienne j’en ai déjà six dans ce tiroir, il se dit joaillier et aurait une boutique dans Paris mais c’est du pipeau c’est une petite bite qui a trouvé ce stratagème pour cacher son infirmité côté sexe.
Je file, je vais au marché acheter le nécessaire pour faire des pieds-paquets à mon mari c’est notre anniversaire de mariage ce soir.
Avant que je me retourne elle est partie me laissant seul avec le tiroir ouvert, toutes les bagues identiques sont là mais moi je garde cette dernière offerte à mon doigt.
Si le client d’hier est un peu fêlé Nadine doit oublier que la situation entre nous est temporaire et je regrette qu’elle soit partie si vite qu’elle garde une nouvelle fois ma place qui plus ait, elle a raison, le jour anniversaire où j’ai convolé avec Vivian.
• Allo Nadia je sais qu’il est de bonne heure, j’ai senti la nécessiter d’entendre le son de ta voix…
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