LE REMPLACEMENT. (2/X)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE REMPLACEMENT. (2/X)
Ayant appris par l’un de ses clients que Nadine ma jumelle se prostitue par l’intermédiaire d’un site d’escorte sur Internet, j’accepte de la remplacer sans que le client le sache.
Après un repas où la peur de la suite de la soirée m’a empêché de le savourer, nous sommes montés dans sa chambre et c’est assis sur ses genoux que mon cerveau se réveille prenant conscience que c’est à moi de faire voir la pro que je suis alors qu’en temps normal je suis dépendante de mon mâle.
• Aimerais-tu que je te suce ?
Il faut que je me pince, c’est moi qui viens de dire une telle phrase.
Bien sûr, en femme aimante, la fellation fait partie de la panoplie de ce que je fais à Vivian et qu’il apprécie. Je sais la faire, ayant bien vu Nadine la pratiquer chez notre tante, mais de là à la provoquer moi-même, je suis fière d’avoir franchi l’étape faisant de moi une salope bonne à baiser.
• J’adorerai ta bouche sur mon sexe.
Je m’agenouille, je la prends dans ma main, là sors de son écrin et une fois de plus je la compare, à celle de Vivian seule référence que j’ai des sexes d’homme de si prêt.
Plus grosse et plus longue j’ai dans ma main une bite avec laquelle je devrais pouvoir tirer ce que je suis venu chercher, du sexe à l’état pur.
Du sexe sans l’obligation de faire vibrer le cœur de l’autre.
Du sexe qui va me donner l’occasion de casser les tabous que depuis sa puberté Nadine à mille et mille fois cassé.
Du sexe qui va me permettre de rentrer chez moi avec des enveloppes pleines de beaux billets de cent et deux cents euros que j’aurais moi-même gagné même si c’est avec mon vagin.
Alors quand mes lèvres s’entourent autour de ce vit, c’est sans aucune pudeur que je la fais entrer jusqu’à ma glotte.
Je suis même très fière de lui faire une gorge profonde en la faisant entrer jusqu’à ce que mes lèvres touchent ses couilles chose qu’avec Vivian jamais je n’ai réussie.
• Tu me pompes comme une reine, je passe un merveilleux moment, je vais te baiser maintenant, tu la veux.
• Bien sûr, je suis venu pour cela, j’ai rêvé que tu allais me la mettre bien profonde, car ta voix au téléphone m’a subjugué.
• Tu es une escorte très bizarre, par moments j’ai l’impression que c’est la première fois que tu te donnes à ton client alors qu’à d’autres, je retrouve en toi les pros que d’habitude je fréquente chaque fois que je viens à Paris.
Viens sur le lit, met toi en levrette, je vais te déchirer la chatte.
C’est l’ultime étape qui me conduit à la trahison de mon contrat de mariage, il enfile une capote entre en moi d’une longue poussée me faisant émettre un râle que je voudrais cacher, mais qui vient due tréfond de mon corps et qui je suis obligé de le dire avaient depuis bien longtemps déserté mes étreintes avec mon mari.
Si je le satisfais sexuellement refusant rarement des pratiques assez poussées pour son bien, peu de fois, j’en retire le plaisir que cette queue d’un coup m’apporte.
Mince-le revoilà, j’ai envie de l’oublier pour vivre ce moment présent qui sera le seul avant de redevenir la femme sérieuse et aimante que j’étais avant d’avoir senti vibrer ce fichu téléphone oublié par Nadine.
• Je peux te prendre avec un peu de rudesse, j’ai bien quand vous les femmes, vous prenez votre plaisir malgré la puissance de notre charge.
• Oui.
Ce mot m’exaspère, car chaque fois que je le prononce, j’avance dans la luxure, mais je dois dire que je trouve cela de plus en plus excitant mais surtout bon.
Non pas de comparaison, j’ai promis, pourtant à partir de ce moment les claques sur mes fesses portées à la volée conjuguée à son sexe qui me déchire m’apporte l’orgasme de ma vie.
Voilà un point de séparation avec Vivian, même une petite claque sur mes fesses, lui paraîtrait incongru dans nos pratiques sexuelles quand il me prend alors que je m’aperçois que j’adore que mon client me claque mon fessier.
Quand j’ai accepté le rendez-vous après l’appel sur le portable dans mon subconscient, ce devait être pour vivre ce moment que j’ai dit oui.
La vie de couple très sage que j’accepte comparée à la vie libre de ma jumelle me devenait insupportable et il me fallait déchirer le voile que j’avais devant les yeux surtout à ce moment précis où il me laisse une nouvelle fois sucer sa queue pendant qu’il me suce la chatte avant de me pénétrer et de me pilonner pendant plus d’une demi-heure me laissant en sueur et pantelante.
Le coup de ma vie, au moment de le quitter, je suis satisfaite, je vais pouvoir retourner auprès de celui à qui je n’ai rien à reprocher à part d’être amoureux et de me faire l’amour avec tendresse.
Comment lui dire où lui faire comprendre ce à quoi j’aspire, ce sont des parties de baise no limitent que j’aimerais pratiquer tous les jours ?
Hélas, je dois reconnaître que tous ces moments torrides resteront, de jolis vœux pieux.
De retour à ma maison, j’ai un premier problème matériel, ou cacher les enveloppes pour éviter d’être découvert.
La pile de draps me semble la plus appropriée pour les cacher si Vivian changeait les draps, cela se saurait.
Ma sœur est revenue, je suis allé chez elle plusieurs fois et le téléphone est devenu invisible sauf une fois où il a sonné dans le sac de Nadine.
• Je répondrais plus tard, cela peut attendre.
Je savais que le fait qu’il sonne sans qu’elle réponde lui faisait perdre un client.
Une fois, j’ai failli lui dire de décrocher et que je la remplacerais, mais je me tiens à ma promesse d’avoir été infidèle une seule fois dans ma vie.
Je finis par trouver une place aux billets, c’est l’ouverture d’un simple livret de caisse d’épargne dans ma banque, ce qui m’a permis de voir que mon cul chez les putes valait trois mille euros.
Pardon trois mille cinq cents car mon client satisfait de ma prestation m’a donné cinq cents euros de gratte.
Et puis ce matin Nadine m’appelle, elle est au lit avec plus de trente-neuf de fièvre.
J’entre avec mes clefs et dès que j’arrive dans sa chambre, je la trouve au lit bien couvert et le nez tout rouge.
• Le médecin vient de venir, il m’a arrêté huit jours, tu peux aller me chercher mes médicaments.
• Bien sûr, j’ai vu l’ordonnance sur la table de salon.
Elle sort sa main de dessous la couette et, elle me fait tomber le ciel sur la tête.
• Connais-tu ce téléphone ?
Je deviens aussi rouge qu’elle avec sa fièvre.
• Depuis quand le sais-tu ?
• Quinze jours après mon retour quand un client a appelé me demandant de revenir à l’hôtel Le Dauphin pour rééditer la même soirée que celle qu’il avait passé à son dernier voyage.
Je lui ai dit oui et il a raccroché. Le Dauphin m’était inconnu et j’ignorais où il se trouvait. J’ai eu l’adresse par Internet et je m’y suis rendu, j’ai rapidement compris que s’il me connaissait, c’est parce qu’il te connaissait et que tu avais pris ma place ayant oublié mon téléphone sur la table en partant et que tu avais répondu, je me trompe.
• Non, c’est exact, j’y suis allé et j’ai passé une soirée qui restera toujours dans ma tête, mais qui sera la seule fois où j’aurais trompé Vivian.
• Non, j’ai besoin de toi.
• J’ai peur de ce que tu vas me demander.
• Non, tu vas aimer comme tu as aimé la première fois, mieux même, mes clients de ce soir son deux, ce sont mes meilleurs clients, je les rencontre une fois par mois et j’en retire des bénéfices substantiels.
Avec ton client le changement de fille a fonctionné sans qu’il s’en aperçoive ce soir, ce sera identique.
• Mais Vivian est rentré et sera là ce soir.
• J’y ai pensé, tu vas mettre une de mes tenues de travail et je vais mettre tes vêtements. Tu vas me conduire chez toi où je me coucherais, j’attendrais ton mari et il y verra que du feu.
Tu ne risques rien dans l’état où je suis, il y a peu de chances qu’il veuille me baiser.
• Non, te baiser.
Voilà comment ma jumelle balaye toutes mes belles résolutions alors que j’étais redevenue une femme honnête et aimante envers mon mari.
Je conduis Nadine chez moi où elle devient Aurélie et moi Nadine non, Natacha.
Je suis dans un taxi pour l’appartement de mes clients, car ma sœur en a certains qui la reçoivent directement chez eux.
Quand ils m’ouvrent la porte, je suis heureuse, car rapidement le brun me tend mon enveloppe.
Contrairement à la première fois, je la contrôle, comme me l’a dit de faire, celle qui est devenue moi et qui a dû retrouver mon mari étant rentré de son travail.
Les cinq mille euros prévus sont bien là et une nouvelle fois, il m’est impossible de faire marche arrière.
• Tu connais la salle de bain.
Et oui je connais, on a pensé à tout, Nadine a passé à son doigt mon alliance afin que Vivian n’ait aucun doute sur celle qui est dans son lit fort de l’expérience avec mon premier client.
Elle m’a fait une description de l’appartement dans lequel je pénètre, je prends le couloir à droite deuxième porte à gauche et je peux me mettre dans la même tenue qu’à l’hôtel à un détail près, Nadine me fait porter l’une de ses guêpières et j’ai ôté ma petite culotte.
Dans la glace, je vois une femme maquillée la poitrine relevée par sa guêpière révélant des seins entièrement dénudés perchés sur des talons hauts.
Nul doute que si j’étais un homme, mieux même deux, je payerais immédiatement cinq mille euros pour me baiser.
Elle m’a donné un bon point quand je lui ai expliqué, comment j’avais fait la première fois et qu’elle a été satisfaite de ma prestation comme novice chez les escortes et surtout les pratiques sexuelles que j’ai pratiquées.
La salle de bain possède une deuxième porte qui comme elle me l’a dite donne directement dans la chambre où ils m’attendent.
Dès que j’entre, je suis face à mes deux mâles entièrement nus, leurs bites commençant à se redresser en approchant d’eux.
Je m’accroupis dans une posture les jambes écartées comme une grenouille prête à sauter et ma fente bien rasée ouverte leur font voir mes chairs tendre et rose.
Je prends dans chaque main les bites à ma portée et les porte à ma bouche.
Il leur faut peu de temps pour bander prêt à me prendre. Je contourne la verge du blond et je m’attaque à ses couilles et ses boules que j’aspire l’une après l’autre.
J’en fais de même avec le brun constatant en passant qu’il en a une plus petite que l’autre.
Je me garde bien de lui faire remarquer, mais pour moi dans mes souvenirs ces hommes aux couilles de grosseur différente seront gravés dans ma mémoire.
Le moment de nouvelle découverte pour la salope que je souhaite devenir arrive.
Les deux hommes me prennent sous les bras et me portent sur le lit en me plaçant en levrette très près du bord.
Le brun contourne le lit et vient me la mettre une nouvelle fois dans la bouche pendant que le blond se place derrière moi et me lèche du clito jusqu’à l’anus, sa langue une fois sur deux le pénètre au plus loin de sa possibilité.
L’autre fois, c’est mon clito qui en plus du léchage doit supporter de petites morsures avec ses dents sans jamais lui faire trop de mal bien sûr.
Assailli pour la première fois de deux côtés par deux verges en érection je vois le chemin que je viens de parcourir en quelques heures.
Merci au téléphone d’avoir sonné et à ma sœur d’être tombé malade car je vois mal, comment j’aurais pu ressentir de telle sensation avec la seule verge de Vivian.
Je sens sans savoir comment que le meilleur pour moi est à venir…
Après un repas où la peur de la suite de la soirée m’a empêché de le savourer, nous sommes montés dans sa chambre et c’est assis sur ses genoux que mon cerveau se réveille prenant conscience que c’est à moi de faire voir la pro que je suis alors qu’en temps normal je suis dépendante de mon mâle.
• Aimerais-tu que je te suce ?
Il faut que je me pince, c’est moi qui viens de dire une telle phrase.
Bien sûr, en femme aimante, la fellation fait partie de la panoplie de ce que je fais à Vivian et qu’il apprécie. Je sais la faire, ayant bien vu Nadine la pratiquer chez notre tante, mais de là à la provoquer moi-même, je suis fière d’avoir franchi l’étape faisant de moi une salope bonne à baiser.
• J’adorerai ta bouche sur mon sexe.
Je m’agenouille, je la prends dans ma main, là sors de son écrin et une fois de plus je la compare, à celle de Vivian seule référence que j’ai des sexes d’homme de si prêt.
Plus grosse et plus longue j’ai dans ma main une bite avec laquelle je devrais pouvoir tirer ce que je suis venu chercher, du sexe à l’état pur.
Du sexe sans l’obligation de faire vibrer le cœur de l’autre.
Du sexe qui va me donner l’occasion de casser les tabous que depuis sa puberté Nadine à mille et mille fois cassé.
Du sexe qui va me permettre de rentrer chez moi avec des enveloppes pleines de beaux billets de cent et deux cents euros que j’aurais moi-même gagné même si c’est avec mon vagin.
Alors quand mes lèvres s’entourent autour de ce vit, c’est sans aucune pudeur que je la fais entrer jusqu’à ma glotte.
Je suis même très fière de lui faire une gorge profonde en la faisant entrer jusqu’à ce que mes lèvres touchent ses couilles chose qu’avec Vivian jamais je n’ai réussie.
• Tu me pompes comme une reine, je passe un merveilleux moment, je vais te baiser maintenant, tu la veux.
• Bien sûr, je suis venu pour cela, j’ai rêvé que tu allais me la mettre bien profonde, car ta voix au téléphone m’a subjugué.
• Tu es une escorte très bizarre, par moments j’ai l’impression que c’est la première fois que tu te donnes à ton client alors qu’à d’autres, je retrouve en toi les pros que d’habitude je fréquente chaque fois que je viens à Paris.
Viens sur le lit, met toi en levrette, je vais te déchirer la chatte.
C’est l’ultime étape qui me conduit à la trahison de mon contrat de mariage, il enfile une capote entre en moi d’une longue poussée me faisant émettre un râle que je voudrais cacher, mais qui vient due tréfond de mon corps et qui je suis obligé de le dire avaient depuis bien longtemps déserté mes étreintes avec mon mari.
Si je le satisfais sexuellement refusant rarement des pratiques assez poussées pour son bien, peu de fois, j’en retire le plaisir que cette queue d’un coup m’apporte.
Mince-le revoilà, j’ai envie de l’oublier pour vivre ce moment présent qui sera le seul avant de redevenir la femme sérieuse et aimante que j’étais avant d’avoir senti vibrer ce fichu téléphone oublié par Nadine.
• Je peux te prendre avec un peu de rudesse, j’ai bien quand vous les femmes, vous prenez votre plaisir malgré la puissance de notre charge.
• Oui.
Ce mot m’exaspère, car chaque fois que je le prononce, j’avance dans la luxure, mais je dois dire que je trouve cela de plus en plus excitant mais surtout bon.
Non pas de comparaison, j’ai promis, pourtant à partir de ce moment les claques sur mes fesses portées à la volée conjuguée à son sexe qui me déchire m’apporte l’orgasme de ma vie.
Voilà un point de séparation avec Vivian, même une petite claque sur mes fesses, lui paraîtrait incongru dans nos pratiques sexuelles quand il me prend alors que je m’aperçois que j’adore que mon client me claque mon fessier.
Quand j’ai accepté le rendez-vous après l’appel sur le portable dans mon subconscient, ce devait être pour vivre ce moment que j’ai dit oui.
La vie de couple très sage que j’accepte comparée à la vie libre de ma jumelle me devenait insupportable et il me fallait déchirer le voile que j’avais devant les yeux surtout à ce moment précis où il me laisse une nouvelle fois sucer sa queue pendant qu’il me suce la chatte avant de me pénétrer et de me pilonner pendant plus d’une demi-heure me laissant en sueur et pantelante.
Le coup de ma vie, au moment de le quitter, je suis satisfaite, je vais pouvoir retourner auprès de celui à qui je n’ai rien à reprocher à part d’être amoureux et de me faire l’amour avec tendresse.
Comment lui dire où lui faire comprendre ce à quoi j’aspire, ce sont des parties de baise no limitent que j’aimerais pratiquer tous les jours ?
Hélas, je dois reconnaître que tous ces moments torrides resteront, de jolis vœux pieux.
De retour à ma maison, j’ai un premier problème matériel, ou cacher les enveloppes pour éviter d’être découvert.
La pile de draps me semble la plus appropriée pour les cacher si Vivian changeait les draps, cela se saurait.
Ma sœur est revenue, je suis allé chez elle plusieurs fois et le téléphone est devenu invisible sauf une fois où il a sonné dans le sac de Nadine.
• Je répondrais plus tard, cela peut attendre.
Je savais que le fait qu’il sonne sans qu’elle réponde lui faisait perdre un client.
Une fois, j’ai failli lui dire de décrocher et que je la remplacerais, mais je me tiens à ma promesse d’avoir été infidèle une seule fois dans ma vie.
Je finis par trouver une place aux billets, c’est l’ouverture d’un simple livret de caisse d’épargne dans ma banque, ce qui m’a permis de voir que mon cul chez les putes valait trois mille euros.
Pardon trois mille cinq cents car mon client satisfait de ma prestation m’a donné cinq cents euros de gratte.
Et puis ce matin Nadine m’appelle, elle est au lit avec plus de trente-neuf de fièvre.
J’entre avec mes clefs et dès que j’arrive dans sa chambre, je la trouve au lit bien couvert et le nez tout rouge.
• Le médecin vient de venir, il m’a arrêté huit jours, tu peux aller me chercher mes médicaments.
• Bien sûr, j’ai vu l’ordonnance sur la table de salon.
Elle sort sa main de dessous la couette et, elle me fait tomber le ciel sur la tête.
• Connais-tu ce téléphone ?
Je deviens aussi rouge qu’elle avec sa fièvre.
• Depuis quand le sais-tu ?
• Quinze jours après mon retour quand un client a appelé me demandant de revenir à l’hôtel Le Dauphin pour rééditer la même soirée que celle qu’il avait passé à son dernier voyage.
Je lui ai dit oui et il a raccroché. Le Dauphin m’était inconnu et j’ignorais où il se trouvait. J’ai eu l’adresse par Internet et je m’y suis rendu, j’ai rapidement compris que s’il me connaissait, c’est parce qu’il te connaissait et que tu avais pris ma place ayant oublié mon téléphone sur la table en partant et que tu avais répondu, je me trompe.
• Non, c’est exact, j’y suis allé et j’ai passé une soirée qui restera toujours dans ma tête, mais qui sera la seule fois où j’aurais trompé Vivian.
• Non, j’ai besoin de toi.
• J’ai peur de ce que tu vas me demander.
• Non, tu vas aimer comme tu as aimé la première fois, mieux même, mes clients de ce soir son deux, ce sont mes meilleurs clients, je les rencontre une fois par mois et j’en retire des bénéfices substantiels.
Avec ton client le changement de fille a fonctionné sans qu’il s’en aperçoive ce soir, ce sera identique.
• Mais Vivian est rentré et sera là ce soir.
• J’y ai pensé, tu vas mettre une de mes tenues de travail et je vais mettre tes vêtements. Tu vas me conduire chez toi où je me coucherais, j’attendrais ton mari et il y verra que du feu.
Tu ne risques rien dans l’état où je suis, il y a peu de chances qu’il veuille me baiser.
• Non, te baiser.
Voilà comment ma jumelle balaye toutes mes belles résolutions alors que j’étais redevenue une femme honnête et aimante envers mon mari.
Je conduis Nadine chez moi où elle devient Aurélie et moi Nadine non, Natacha.
Je suis dans un taxi pour l’appartement de mes clients, car ma sœur en a certains qui la reçoivent directement chez eux.
Quand ils m’ouvrent la porte, je suis heureuse, car rapidement le brun me tend mon enveloppe.
Contrairement à la première fois, je la contrôle, comme me l’a dit de faire, celle qui est devenue moi et qui a dû retrouver mon mari étant rentré de son travail.
Les cinq mille euros prévus sont bien là et une nouvelle fois, il m’est impossible de faire marche arrière.
• Tu connais la salle de bain.
Et oui je connais, on a pensé à tout, Nadine a passé à son doigt mon alliance afin que Vivian n’ait aucun doute sur celle qui est dans son lit fort de l’expérience avec mon premier client.
Elle m’a fait une description de l’appartement dans lequel je pénètre, je prends le couloir à droite deuxième porte à gauche et je peux me mettre dans la même tenue qu’à l’hôtel à un détail près, Nadine me fait porter l’une de ses guêpières et j’ai ôté ma petite culotte.
Dans la glace, je vois une femme maquillée la poitrine relevée par sa guêpière révélant des seins entièrement dénudés perchés sur des talons hauts.
Nul doute que si j’étais un homme, mieux même deux, je payerais immédiatement cinq mille euros pour me baiser.
Elle m’a donné un bon point quand je lui ai expliqué, comment j’avais fait la première fois et qu’elle a été satisfaite de ma prestation comme novice chez les escortes et surtout les pratiques sexuelles que j’ai pratiquées.
La salle de bain possède une deuxième porte qui comme elle me l’a dite donne directement dans la chambre où ils m’attendent.
Dès que j’entre, je suis face à mes deux mâles entièrement nus, leurs bites commençant à se redresser en approchant d’eux.
Je m’accroupis dans une posture les jambes écartées comme une grenouille prête à sauter et ma fente bien rasée ouverte leur font voir mes chairs tendre et rose.
Je prends dans chaque main les bites à ma portée et les porte à ma bouche.
Il leur faut peu de temps pour bander prêt à me prendre. Je contourne la verge du blond et je m’attaque à ses couilles et ses boules que j’aspire l’une après l’autre.
J’en fais de même avec le brun constatant en passant qu’il en a une plus petite que l’autre.
Je me garde bien de lui faire remarquer, mais pour moi dans mes souvenirs ces hommes aux couilles de grosseur différente seront gravés dans ma mémoire.
Le moment de nouvelle découverte pour la salope que je souhaite devenir arrive.
Les deux hommes me prennent sous les bras et me portent sur le lit en me plaçant en levrette très près du bord.
Le brun contourne le lit et vient me la mettre une nouvelle fois dans la bouche pendant que le blond se place derrière moi et me lèche du clito jusqu’à l’anus, sa langue une fois sur deux le pénètre au plus loin de sa possibilité.
L’autre fois, c’est mon clito qui en plus du léchage doit supporter de petites morsures avec ses dents sans jamais lui faire trop de mal bien sûr.
Assailli pour la première fois de deux côtés par deux verges en érection je vois le chemin que je viens de parcourir en quelques heures.
Merci au téléphone d’avoir sonné et à ma sœur d’être tombé malade car je vois mal, comment j’aurais pu ressentir de telle sensation avec la seule verge de Vivian.
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