LE REMPLACEMENT. (20/21)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE REMPLACEMENT. (20/21)
Après une nuit pleine de surprise et pour nous et pour les deux couples libertin venus fêter l’anniversaire de l’un d’eux Mylène et moi nous nous reposons jusqu’au moment où nous réveillant j’arrive à garder la petite jusqu’à mon retour à Paris.
Nous nous amusons avec le jeune collègue de Mylène qui s’occupe du roomservice.
Mais ce jeu aiguise notre appétit et surtout nos envies de sexe car si mon amie a joui en se faisant déflorer en double pénétration les caresse à quatre mains de leurs deux femmes m’a satisfaite à moitié.
Une fois de plus je constate le chemin parcouru depuis ma jeunesse avec Nathacha prénom que je donne aujourd’hui depuis que je l’ai remplacé me prostituant à sa place et elle m'a place comme femme au foyer.
• Mylène vient avec moi, il fait beau, prenons un café sur la terrasse et après quelques longueurs dans la piscine nous reviendrons et nous ferons une dernière fois l’amour avant mon départ.
• Tu me feras voir ce que tu as dans ta valise dans le compartiment que tu as laissé fermé.
• Oui, j’ai quelques objets avec lesquels nous nous muserons.
Nous sortons sur la terrasse faisant bronzer nos corps car à Paris je vais dans un institut faire des UV les endroits ou je peux être nue quand il fait beau étant restreint.
• Bonjour mesdames, jolie matinée, nous avons de la chance d’avoir ce temps pendant notre séjour.
Les deux personnes âgées recouvertes de deux peignoirs qui viennent de venir à nos côtés ont de la prestance et le monsieur un accent américain fort prononcé.
• Voulez-vous une tasse de café, vous pouvez vous asseoir avec nous.
Merci, je veux bien que nous nous asseyions mais nous évitons le café nos vieux cœurs auraient du mal à le supporter.
Il s’assaille contrariant nos plans avec Mylène mais ils sont si émouvants se tenant par la main qu’il nous est difficile de dire non.
• Natacha, ces deux personnes sont en voyage de noces en France et hier matin avant mon repos je leur ai servi leur jus d’orange dans leur chambre.
C’est à ce moment que nous entendons une voiture démarrée et Sophie la main passée par la fenêtre nous fait un signe d’amitié.
Nous leur répondons et la voiture passe la grille du château.
• Tu vois Babette, j’avais raison, j’ai beau avoir la vue qui baisse, je l’avais bien reconnu quand nous la regardions hier depuis notre chambre faire l’amour avec ces deux beaux garçons près de la piscine.
• C’est vrai je le reconnais, vous m’avez rappelé ma jeunesse, c’est dans ce château avant qu’il devienne un lieu libertin que j’ai perdu ma virginité par le propriétaire que je venais d’épouser.
• Vous vous êtes mariée en France.
• Oui, j’étais venue dans votre pays avec les troupes américaines libérer l’Europe, j’étais infirmière.
Nous soignions des blessés de toutes les nationalités participant au combat, un jour j’ai vu arriver un jeune lieutenant français qui avait perdu un œil par un minuscule éclat d’obus qui s’il avait été plus gros l’aurait tué.
Il m’a séduite et c’est ainsi que les combats finis comme je lui avais promis je l’ai rejoint dans son château et après qu’Henri m’est épousé il m’a dépucelé.
• Sur le front vous êtes resté chaste.
• Nous avons eu mille occasions de faire craque - craque, comme vous dites dans votre si belle langue que j’ai plaisir à reparler pendant notre voyage de noces.
• Vous venez de vous marier.
• Il y a huit jours, et Bob m’a fait la surprise de m’offrir notre voyage de noces en France.
• J’entendais tellement parler du château où elle avait aimé et été aimée, j’ai fait réserver une chambre par mon majordome pensant que c’était un hôtel sans savoir que le château que madame a vendue après le décès de son mari était devenu un château pour couple libertin.
• Pourquoi êtes-vous resté ?
• Aux États-Unis nous habitons à Hollywood où je suis propriétaire de studios de cinéma et j’ai la faiblesse de dire que je suis le plus gros producteur de film porno.
• Et Babette était une de vos actrices.
• Non, après avoir vendu ici je suis revenu chez moi dans la ville et j’ai rejoint une congrégation religieuse ou je m’occupais des personnes étant tombé dans la drogue.
• Et c’est un soir où elle s’occupait de récolter des fonds pour son association dans une soirée de charité comme nous aimons tellement en faire dans notre pays que je l’ai vu et que nous sommes devenues amant le soir même.
Je vais vous paraître cru, c’était une vraie salope, nous tournions nos premiers films pornos et elle était plus cochonne que les plus cochonnes de mes actrices.
• J’avais été à bonne école, vous les Français vous avez le cul comme étendard et je peux vous dire que lorsque j’ai retrouvé mon château transformé en, lieu de plaisir vous êtes loin des soirées que nous avons passées avec Henri qui était un chaud lapin et qui m’a entraîné dans ses jeux les plus salaces.
Madame Gessica nous l’a fait visiter hier, j’ai voulu voir les caves, j’ai reconnu les endroits ou mon mari avait installé tout ce qu’il fallait pour notre plaisir dans ces soirées sans aucun tabou.
• Vous avez été la première libertine de ces lieux.
• Loin de moi cette idée, j’en ai été l’une parmi d’autres, le château construit bien avant moi nous survivra bien après que nous aurons été manger les pissenlits par les racines, jolie expression française que j’aime beaucoup.
• Avez-vous tourné dans un film que tourne votre mari ?
• Vous avez raison, un seul, il voulait me voir faire l'amour pris par d’autres hommes et j’ai fini par accepter de tourner « Cat la chatte chaude », Cat avait un masque de chat et l’on voyait mon corps pris jusqu’à des doubles pénétrations comme vous Mylène la nuit dernière.
Vous nous avez étonnés qu’une si jeune fille atteigne un tel degré de perversité mais nous avons rapidement compris que vous aviez une bonne éducatrice quand nous vous avons vu ressortir de votre chambre avec votre robe à carreaux plissée, j’avais l’impression de voir devant moi une chanteuse de ma jeunesse en France.
• Cela vous a fait de l’effet.
• Oui, mon mari bande mou depuis quelques années, il a été incapable d’honorer la jeune mariée le soir de ses noces il y a huit jours.
• J’avais un peu abusé du Bordeaux que nous nous étions fait livrer par un vieux viticulteur du coin que Babette connaît bien et que nous allons retrouver pour passer la journée dans son château.
• Vous l’avez connu lors de vos soirées ici.
• Il a été avec son épouse les plus fidèles des couples que nous fréquentions, son fils est le fils d’Henri, une blessure mal placée à la guerre l’empêchait d’avoir des enfants.
Il bandait plutôt deux fois qu’une et était le meilleur taureau de notre groupe sans pouvoir procréer, il fallait pérenniser le domaine et il fallait qu’Antoinette ait un enfant, dans ces temps-là les bidules modernes pour avoir des bébés étaient inconnus.
Nous baisions tous les soirs pour qu’elle ait cet enfant, je profitais du calibre de Lucien pendant que le mien lui remplissait sa chatte de sperme jusqu’au jour où leur fils est né.
Après nous nous fréquentions mais sans jamais baiser, de toute façon Henri est mort peu après et je suis retournée dans mon pays, un jour j’ai reçu une lettre me demandant en mariage car sa femme était morte mais c’était lors du tournage de mon film de cul et j’aimais Bob même si depuis il est loin d’être à la hauteur de l’appétit de sexe que j’ai encore malgré mon grand âge, • Hier je t’ai fait jouir.
• C’est vrai, vous voir tous les six a réveillé ta libido, je me suis mise à genoux sur un fauteuil devant la fenêtre, il est venu derrière moi et m’a pris par la chatte au début et quand vous avez accepté le deuxième homme il m’a enculé jusqu’à me faire jouir et décharger dans mon anus.
Voir cette dame patronnesse à qui l’on donnerait le bon dieu sans confession parler de ses parties de sexe et même de ses dépravations m’existe au plus haut point et ma chatte dégouline d’envie.
• Mais vous vivez ensemble si j’ai bien compris depuis longtemps, pourquoi l’avoir épousé maintenant.
• Les docteurs me prédisent 6 mois de vie et je voulais qu’elle hérite de mes biens malgré les 2 garçons qu’elle m’a donnés et qui dirige ma société pendant que je vis ma vie à travers le monde car j’ai définitivement quitté Hollywood pour finir dans ces bras, là où je serais ce jour venu.
Mais vous avez peut-être d’autres choses à faire, nous allons nous préparer pour retrouver la bite de taureau de la jeunesse de ma femme, nul ne doute que comme moi le nom de taureau est la seule chose qui lui reste bien que je sois très fière de la jouissance que grâce à vous deux je lui ai apportée.
Nous les embrassons et ils repartent dans leur chambre les pas mal assurés mais si beau dans l’amour qu’ils se portent.
• J’aimerais finir ma vie comme eux en venant visiter ce château suivant où mes rencontres vont me conduire dans le futur, ils sont si beaux, j’espère que ce jour-là une jeune fille même pas née connaîtra son premier orgasme.
• En attendant moi aussi j’ai envie d’avoir un orgasme ma petite pute, tu es loin d’avoir fini de gagner tes 5 000 €.
Nous regagnions ma chambre et j’ouvre ma valise surtout le compartiment ou je range les objets que Nadia m’a conseillé d’acheter pour satisfaire mes clients.
• Des godes, tu as des godes.
• Oui mais des ceintures, tu les mets autour de ton ventre et tu as un sexe comme si tu étais un homme, je t’ai offert en cadeau pour Christophe rejoint par Tichris grâce à ta bonne initiative digne d’une escorte pro, sinon je t’aurais proposé de te déflorer sans penser à prendre ton anus.
• Puisque l’on est dans un jeu, si tu me prenais comme si c’était la première fois et que je fasse celle qui souffre lorsque cela s’est passé et où j’ai eu peu de douleur.
• On verra tout à l’heure, en attendant regarde cette bouteille d’huile adoucissante tu vas commencer par me faire voir ce que tu vaux en massages, mon corps est tendu comme un arc et tu vas me l’assouplir…
Nous nous amusons avec le jeune collègue de Mylène qui s’occupe du roomservice.
Mais ce jeu aiguise notre appétit et surtout nos envies de sexe car si mon amie a joui en se faisant déflorer en double pénétration les caresse à quatre mains de leurs deux femmes m’a satisfaite à moitié.
Une fois de plus je constate le chemin parcouru depuis ma jeunesse avec Nathacha prénom que je donne aujourd’hui depuis que je l’ai remplacé me prostituant à sa place et elle m'a place comme femme au foyer.
• Mylène vient avec moi, il fait beau, prenons un café sur la terrasse et après quelques longueurs dans la piscine nous reviendrons et nous ferons une dernière fois l’amour avant mon départ.
• Tu me feras voir ce que tu as dans ta valise dans le compartiment que tu as laissé fermé.
• Oui, j’ai quelques objets avec lesquels nous nous muserons.
Nous sortons sur la terrasse faisant bronzer nos corps car à Paris je vais dans un institut faire des UV les endroits ou je peux être nue quand il fait beau étant restreint.
• Bonjour mesdames, jolie matinée, nous avons de la chance d’avoir ce temps pendant notre séjour.
Les deux personnes âgées recouvertes de deux peignoirs qui viennent de venir à nos côtés ont de la prestance et le monsieur un accent américain fort prononcé.
• Voulez-vous une tasse de café, vous pouvez vous asseoir avec nous.
Merci, je veux bien que nous nous asseyions mais nous évitons le café nos vieux cœurs auraient du mal à le supporter.
Il s’assaille contrariant nos plans avec Mylène mais ils sont si émouvants se tenant par la main qu’il nous est difficile de dire non.
• Natacha, ces deux personnes sont en voyage de noces en France et hier matin avant mon repos je leur ai servi leur jus d’orange dans leur chambre.
C’est à ce moment que nous entendons une voiture démarrée et Sophie la main passée par la fenêtre nous fait un signe d’amitié.
Nous leur répondons et la voiture passe la grille du château.
• Tu vois Babette, j’avais raison, j’ai beau avoir la vue qui baisse, je l’avais bien reconnu quand nous la regardions hier depuis notre chambre faire l’amour avec ces deux beaux garçons près de la piscine.
• C’est vrai je le reconnais, vous m’avez rappelé ma jeunesse, c’est dans ce château avant qu’il devienne un lieu libertin que j’ai perdu ma virginité par le propriétaire que je venais d’épouser.
• Vous vous êtes mariée en France.
• Oui, j’étais venue dans votre pays avec les troupes américaines libérer l’Europe, j’étais infirmière.
Nous soignions des blessés de toutes les nationalités participant au combat, un jour j’ai vu arriver un jeune lieutenant français qui avait perdu un œil par un minuscule éclat d’obus qui s’il avait été plus gros l’aurait tué.
Il m’a séduite et c’est ainsi que les combats finis comme je lui avais promis je l’ai rejoint dans son château et après qu’Henri m’est épousé il m’a dépucelé.
• Sur le front vous êtes resté chaste.
• Nous avons eu mille occasions de faire craque - craque, comme vous dites dans votre si belle langue que j’ai plaisir à reparler pendant notre voyage de noces.
• Vous venez de vous marier.
• Il y a huit jours, et Bob m’a fait la surprise de m’offrir notre voyage de noces en France.
• J’entendais tellement parler du château où elle avait aimé et été aimée, j’ai fait réserver une chambre par mon majordome pensant que c’était un hôtel sans savoir que le château que madame a vendue après le décès de son mari était devenu un château pour couple libertin.
• Pourquoi êtes-vous resté ?
• Aux États-Unis nous habitons à Hollywood où je suis propriétaire de studios de cinéma et j’ai la faiblesse de dire que je suis le plus gros producteur de film porno.
• Et Babette était une de vos actrices.
• Non, après avoir vendu ici je suis revenu chez moi dans la ville et j’ai rejoint une congrégation religieuse ou je m’occupais des personnes étant tombé dans la drogue.
• Et c’est un soir où elle s’occupait de récolter des fonds pour son association dans une soirée de charité comme nous aimons tellement en faire dans notre pays que je l’ai vu et que nous sommes devenues amant le soir même.
Je vais vous paraître cru, c’était une vraie salope, nous tournions nos premiers films pornos et elle était plus cochonne que les plus cochonnes de mes actrices.
• J’avais été à bonne école, vous les Français vous avez le cul comme étendard et je peux vous dire que lorsque j’ai retrouvé mon château transformé en, lieu de plaisir vous êtes loin des soirées que nous avons passées avec Henri qui était un chaud lapin et qui m’a entraîné dans ses jeux les plus salaces.
Madame Gessica nous l’a fait visiter hier, j’ai voulu voir les caves, j’ai reconnu les endroits ou mon mari avait installé tout ce qu’il fallait pour notre plaisir dans ces soirées sans aucun tabou.
• Vous avez été la première libertine de ces lieux.
• Loin de moi cette idée, j’en ai été l’une parmi d’autres, le château construit bien avant moi nous survivra bien après que nous aurons été manger les pissenlits par les racines, jolie expression française que j’aime beaucoup.
• Avez-vous tourné dans un film que tourne votre mari ?
• Vous avez raison, un seul, il voulait me voir faire l'amour pris par d’autres hommes et j’ai fini par accepter de tourner « Cat la chatte chaude », Cat avait un masque de chat et l’on voyait mon corps pris jusqu’à des doubles pénétrations comme vous Mylène la nuit dernière.
Vous nous avez étonnés qu’une si jeune fille atteigne un tel degré de perversité mais nous avons rapidement compris que vous aviez une bonne éducatrice quand nous vous avons vu ressortir de votre chambre avec votre robe à carreaux plissée, j’avais l’impression de voir devant moi une chanteuse de ma jeunesse en France.
• Cela vous a fait de l’effet.
• Oui, mon mari bande mou depuis quelques années, il a été incapable d’honorer la jeune mariée le soir de ses noces il y a huit jours.
• J’avais un peu abusé du Bordeaux que nous nous étions fait livrer par un vieux viticulteur du coin que Babette connaît bien et que nous allons retrouver pour passer la journée dans son château.
• Vous l’avez connu lors de vos soirées ici.
• Il a été avec son épouse les plus fidèles des couples que nous fréquentions, son fils est le fils d’Henri, une blessure mal placée à la guerre l’empêchait d’avoir des enfants.
Il bandait plutôt deux fois qu’une et était le meilleur taureau de notre groupe sans pouvoir procréer, il fallait pérenniser le domaine et il fallait qu’Antoinette ait un enfant, dans ces temps-là les bidules modernes pour avoir des bébés étaient inconnus.
Nous baisions tous les soirs pour qu’elle ait cet enfant, je profitais du calibre de Lucien pendant que le mien lui remplissait sa chatte de sperme jusqu’au jour où leur fils est né.
Après nous nous fréquentions mais sans jamais baiser, de toute façon Henri est mort peu après et je suis retournée dans mon pays, un jour j’ai reçu une lettre me demandant en mariage car sa femme était morte mais c’était lors du tournage de mon film de cul et j’aimais Bob même si depuis il est loin d’être à la hauteur de l’appétit de sexe que j’ai encore malgré mon grand âge, • Hier je t’ai fait jouir.
• C’est vrai, vous voir tous les six a réveillé ta libido, je me suis mise à genoux sur un fauteuil devant la fenêtre, il est venu derrière moi et m’a pris par la chatte au début et quand vous avez accepté le deuxième homme il m’a enculé jusqu’à me faire jouir et décharger dans mon anus.
Voir cette dame patronnesse à qui l’on donnerait le bon dieu sans confession parler de ses parties de sexe et même de ses dépravations m’existe au plus haut point et ma chatte dégouline d’envie.
• Mais vous vivez ensemble si j’ai bien compris depuis longtemps, pourquoi l’avoir épousé maintenant.
• Les docteurs me prédisent 6 mois de vie et je voulais qu’elle hérite de mes biens malgré les 2 garçons qu’elle m’a donnés et qui dirige ma société pendant que je vis ma vie à travers le monde car j’ai définitivement quitté Hollywood pour finir dans ces bras, là où je serais ce jour venu.
Mais vous avez peut-être d’autres choses à faire, nous allons nous préparer pour retrouver la bite de taureau de la jeunesse de ma femme, nul ne doute que comme moi le nom de taureau est la seule chose qui lui reste bien que je sois très fière de la jouissance que grâce à vous deux je lui ai apportée.
Nous les embrassons et ils repartent dans leur chambre les pas mal assurés mais si beau dans l’amour qu’ils se portent.
• J’aimerais finir ma vie comme eux en venant visiter ce château suivant où mes rencontres vont me conduire dans le futur, ils sont si beaux, j’espère que ce jour-là une jeune fille même pas née connaîtra son premier orgasme.
• En attendant moi aussi j’ai envie d’avoir un orgasme ma petite pute, tu es loin d’avoir fini de gagner tes 5 000 €.
Nous regagnions ma chambre et j’ouvre ma valise surtout le compartiment ou je range les objets que Nadia m’a conseillé d’acheter pour satisfaire mes clients.
• Des godes, tu as des godes.
• Oui mais des ceintures, tu les mets autour de ton ventre et tu as un sexe comme si tu étais un homme, je t’ai offert en cadeau pour Christophe rejoint par Tichris grâce à ta bonne initiative digne d’une escorte pro, sinon je t’aurais proposé de te déflorer sans penser à prendre ton anus.
• Puisque l’on est dans un jeu, si tu me prenais comme si c’était la première fois et que je fasse celle qui souffre lorsque cela s’est passé et où j’ai eu peu de douleur.
• On verra tout à l’heure, en attendant regarde cette bouteille d’huile adoucissante tu vas commencer par me faire voir ce que tu vaux en massages, mon corps est tendu comme un arc et tu vas me l’assouplir…
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