LE REMPLACEMENT. (5/X)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LE REMPLACEMENT. (5/X)
À partir de ce chapitre V, Nadia pend en grande partie la plume et apporte sa touche féminine dans le déroulement de l’histoire de la nouvelle vie d’Aurélie.
Je voulais rester sage chez moi quand le téléphone de Nadine a sonné, Véronique qui semble bien connaître ma sœur car elle me tutoie en m’invitant à venir finir la soirée chez eux.
Chez eux car cette jolie femme est mariée et dans la soirée je viens de me faire sodomiser par Aurélien son mari.
C’est au champagne qu’ils me donnent une douche alors que je suis allongé sur la table de leur salle à manger et qu’il se relaie pour le boire entre mes cuisses.
La bouteille vide Véronique prend ma place et me prend par la main pour que nous formions ce que j’ai déjà fait avec ma cliente l’autre jour un 69.
Son mari vient à la hauteur de ma bouche et me plante son dard au fond de ma gorge en se masturbant, mes doigts étant dans la chatte de sa femme.
Il quitte ma gorge pour planter sa queue dans le vagin que j’écarte pour qu’il glisse plus facilement mais c’est bien inutile car elle mouille comme la belle salope qu’elle semble être.
La verge va du vagin à ma bouche m’apportant la cyprine qu’elle dégage.
J’aime le champagne qu’ils m’ont fait boire mais la liqueur qu’il m’apporte est très agréable surtout quand elle jouit devant mes yeux sa chatte s’ouvrant et se fermant au rythme de ses muscles intimes qu’elle sait faire fonctionner.
Un taxi pour le retour et à minuit après un bel orgasme que la bouche de Véronique m’a apporté un bain et à deux heures du matin dodo ma cagnotte s’étant grossie de trois mille euros supplémentaires.
Le lendemain, après avoir alimenté le système qui permet à la chatte grisette de Nadine pendant ces deux jours d’avoir ses croquettes et d’avoir mis une litière neuve dans le bac prévu à cet effet pour qu’elle face ses besoins encore un taxi pour Orly. Depuis que je suis devenu une pute c’est mon moyen de locomotion principal bien que je monte dans un avion et à dix-sept heures, nous atterrissons à Toulouse.
Comme prévu un homme m’attend avec une pancarte sur laquelle est marquée Natacha.
C’est le chauffeur qui doit me conduire sur les lieux de mon rendez-vous.
Je dois me rendre au château de Joyce où mon client m’attend quand ce maudit portable sonne.
Je peste contre moi-même d’avoir oublié de l’arrêter.
• Allo oui !
Le ciel me tombe sur la tête, mon rendez-vous m’apprend qu’il a eu un problème en début d’après-midi et est dans l’obligation de décommander notre soirée.
Il me rassure, la chambre reste toujours à ma disposition tout le week-end tout est réglé et l’enveloppe prévue initialement me sera remise à partir de vingt heures au bar de l’établissement.
Il faut une petite demi-heure pour franchir les grills d’une magnifique demeure avec deux tourelles de chaque côté, entourée d’un parc magnifique.
Sur la plaque en cuivre fixée sur le poteau de la grille d’entrée j’ai le temps de lire « Maison d’hôte libertine » Avant de venir quand j’ai eu la demande pour ce contrat je suis allé sur Internet et je savais à quoi m’attendre mais de voir le mot « libertine » pour la première fois de ma vie sur cette plaque je suis plongé dans ce monde inconnu pour moi, même si mon client m’a fait faux bond.
Il est plus de dix-huit heures quand l’on m’ouvre la porte de ma chambre.
Chambre magnifique dans les tons grenat avec les rideaux assortis, mais dans deux trois nuances moins marqué et un très grand lit à baldaquin où je risque de me perdre seule cette nuit.
Je prends un bain pour me détendre et pour récupérer du voyage.
Je m’étant nue sans enlever le couvre lit dans cette chambre digne d’une princesse.
Après cette petite sieste je me prépare, une robe de cocktail sans manche, moulante et à mi-cuisse avec mon dos nu.
Cette robe m’interdit le soutien-gorge je décide de ne rien mettre du tout dessous.
Une paire de « Dim-Up » et mes « Louboutin » célèbres paires de chaussures aux semelles rouges que j’ai trouvées dans les armoires de ma sœur qui en possèdent une dizaine terminent mon habillage.
Comme il m’a été demandé à vingt heures, je rejoins le bar pour prendre un apéritif.
En entrant, je suis agréablement surprise par l’ambiance cossue qui règne dans la pièce.
Dans le fond, face à l’entrer un bar tout en cuivre rouge.
À l’une des extrémités, deux couples, apparemment d’amis conversent entre eux, une coupe de champagne à la main.
Les deux hommes sont en complet trois-pièces alors que les femmes portent des robes qui sentent bon les noms de grands couturiers.
À l’autre extrémité, parlant avec la personne tenant le bar une femme magnifiquement belle, possédant une classe folle et beaucoup de charisme.
Je suis sous le charme, je me surprends à regarder cette femme étant conquise sans la connaître.
Elle exerce sur moi une fascination qui m’interdit de détacher mon regard d’une telle beauté même si je la vois que de dos.
Est-ce la conséquence de mes toutes premières expériences bisexuelles, mais je la regard comme une femme avec beaucoup d’envie ?
Je l’ai dit, elle est magnifiquement belle, probablement au début de la quarantaine quand dans un mouvement plein de grasse elle fait pivoter son siège se plaçant de côté pour moi.
Assez grande, mince et élancée, de longues jambes somptueuses, une poitrine superbement dessinée, mise en valeur par un décolleté laissant apparaître son sillon mammaire sur pratiquement toute sa longueur.
Assise sur ce tabouret de bar, les jambes croisées, sa robe fendue sur le côté montre la dentelle de ses jolis bas.
Continuant à descendre le long de ses jambes interminables, je suis en admiration en découvrant des mollets au galbe parfait ou ses pieds sont parfaitement mis en valeur dans des escarpins Garavani.
C’est étonnant mais c’est la première fois que je détaille une femme de la tête aux pieds avec des envies de luxure avec elle.
Étant plus près d’elle, mon impression s’accentue quand je vois son port de tête haut et assuré, presque princier.
Elle reprend sa position face au bar d’un mouvement de ses jolies fesses et je peux admirer son dos droit et à demi dénudé comme le mien bref elle a une classe fabuleuse que beaucoup de femmes, moi la première, aimeraient avoir.
La seule place libre se trouve à son côté, un peu timide impressionné par cette ambiance toute nouvelle pour moi qui a vécu dans ma jeunesse dans la banlieue parisienne, je m’y installe.
S’approchant la barmaid me salue.
• Bonsoir madame que voulez-vous boire.
• Une coupe de champagne pour noyer mon chagrin.
• Vous avez des soucis.
• Souci pas vraiment, plutôt une contrariété, je m’appelle Natacha.
• Je comprends mieux, j’ai quelque chose pour vous qu’un coursier a déposé tout à l’heure.
Elle se retourne pour ouvrir un tiroir situé derrière elle.
Elle sort une petite enveloppe qu’elle me donne discrètement.
Ce geste aussi discret fût-il est vu par ma voisine qui détourne le regard au moment où mes yeux se lèvent sur elle.
Sans en vérifier le contenu je la glisse dans mon sac.
• Vous m’accompagnez, il est difficile, voire gênant, de boire seul.
• Je suis avec madame qui m’a déjà offert une coupe.
Profitant de cette introduction et m’adressant à cette femme si belle et féminine.
• Accepteriez-vous une coupe vous aussi ?
Pourquoi ai-je prononcé ces paroles, à part mon attirance pour elle ?
Suis-je sous son charme ?
C’est la première fois que je ressens ce besoin de connaître une autre femme surtout depuis que j’ai appris à les faire jouir et qu’elles me fassent jouir ce qui était impensable il y a peu.
• Merci, je m’appelle Nadia et vous si j’ai bien compris, vous vous prénommez Natacha.
• Effectivement, j’arrive de Paris.
• Moi, je suis de la région, j’habite Aix-en-Provence et je suis venue voir mon amie qui gère ce château.
La situation, sauf à trinquer, me semble ambiguë.
Qu’il est difficile d’engager la conversation quand personne ne se connaît, rapidement voulant qu’elle reste près de moi je cherche ce que je peux dire, c’est la jolie barmaid qui vient à notre secours.
• Êtes-vous satisfaite de votre chambre ?
• Tout à fait, j’adore le rouge et plus particulièrement cette nuance soutenue, qui est très belle sans compter les tentures des fenêtres, qui sont magnifiques et sans oublier le lit à baldaquin qui est d’un romantisme.
• C’était celle que tu m’avais donnée la dernière fois.
Mon regard bascule de l’une à l’autre avec un certain étonnement.
• Excusez-moi, vous êtes notre hôtesse ?
• Absolument !
• Désolée, mais je vous avais pris pour une employée de ce très bel établissement.
• Elle fait cela très bien, je lui dis chaque fois que je viens.
Ces quelques phrases nous suffisent pour trouver des terrains de conservation surtout quand notre hôtesse se rend vers les deux couples qui réclament une autre bouteille.
• Vous venez profiter du soleil pour le week-end.
• Non, j’avais, rendez-vous avec un ami qui m’a appris qu’il avait un empêchement, je me retrouve seule pour dîner.
• Si vous le voulez, on peut dîner ensemble, je repars pour Aix après avoir souper.
• Alors, on peut se tutoyer, j’ai horreur de dire vous je trouve cela prétentieux et arrogant.
• Bien sûr, Natacha tutoyons-nous !
C’est comme cela que cette femme, devant qui je suis en admiration, m’entraîne vers la salle du restaurant.
Nous choisissons nos plats agrémentés d’une bouteille de vin rosé du pays.
Nous entamons ce repas déjà un peu guillerettes conséquences des coupettes que nous avions bues au bar.
Les plats sont succulents, le vin fini de nous rendre quelque peu euphorique au point de pousser, Nadia à me poser une question qui semble la tarabuster.
• Puis-je te poser une question indiscrète, mais si cela te gêne je le comprendrais.
• Bien sûr !
• L’ami qui t’a fait faux-bond, c’était un client ?
Comment répondre à cette question sans dévoiler la personnalité que j’ai acceptée d’endosser en remplaçant Nadine ?
Après un moment d’hésitation pendant lequel son regard reste river au mien.
• Oui.
• Tu es une escorte.
• Oui.
• Moi aussi, quand tu es arrivée, je venais de quitter un homme avec qui je venais de passer l’après-midi et qui officiellement avait une obligation ce soir.
• Il est retourné rejoindre sa femme.
• Il y a de fortes chances.
• À mon tour puis-je te poser une question ?
• Bien sûr !
• Il y a longtemps que tu fais la pute…
Je voulais rester sage chez moi quand le téléphone de Nadine a sonné, Véronique qui semble bien connaître ma sœur car elle me tutoie en m’invitant à venir finir la soirée chez eux.
Chez eux car cette jolie femme est mariée et dans la soirée je viens de me faire sodomiser par Aurélien son mari.
C’est au champagne qu’ils me donnent une douche alors que je suis allongé sur la table de leur salle à manger et qu’il se relaie pour le boire entre mes cuisses.
La bouteille vide Véronique prend ma place et me prend par la main pour que nous formions ce que j’ai déjà fait avec ma cliente l’autre jour un 69.
Son mari vient à la hauteur de ma bouche et me plante son dard au fond de ma gorge en se masturbant, mes doigts étant dans la chatte de sa femme.
Il quitte ma gorge pour planter sa queue dans le vagin que j’écarte pour qu’il glisse plus facilement mais c’est bien inutile car elle mouille comme la belle salope qu’elle semble être.
La verge va du vagin à ma bouche m’apportant la cyprine qu’elle dégage.
J’aime le champagne qu’ils m’ont fait boire mais la liqueur qu’il m’apporte est très agréable surtout quand elle jouit devant mes yeux sa chatte s’ouvrant et se fermant au rythme de ses muscles intimes qu’elle sait faire fonctionner.
Un taxi pour le retour et à minuit après un bel orgasme que la bouche de Véronique m’a apporté un bain et à deux heures du matin dodo ma cagnotte s’étant grossie de trois mille euros supplémentaires.
Le lendemain, après avoir alimenté le système qui permet à la chatte grisette de Nadine pendant ces deux jours d’avoir ses croquettes et d’avoir mis une litière neuve dans le bac prévu à cet effet pour qu’elle face ses besoins encore un taxi pour Orly. Depuis que je suis devenu une pute c’est mon moyen de locomotion principal bien que je monte dans un avion et à dix-sept heures, nous atterrissons à Toulouse.
Comme prévu un homme m’attend avec une pancarte sur laquelle est marquée Natacha.
C’est le chauffeur qui doit me conduire sur les lieux de mon rendez-vous.
Je dois me rendre au château de Joyce où mon client m’attend quand ce maudit portable sonne.
Je peste contre moi-même d’avoir oublié de l’arrêter.
• Allo oui !
Le ciel me tombe sur la tête, mon rendez-vous m’apprend qu’il a eu un problème en début d’après-midi et est dans l’obligation de décommander notre soirée.
Il me rassure, la chambre reste toujours à ma disposition tout le week-end tout est réglé et l’enveloppe prévue initialement me sera remise à partir de vingt heures au bar de l’établissement.
Il faut une petite demi-heure pour franchir les grills d’une magnifique demeure avec deux tourelles de chaque côté, entourée d’un parc magnifique.
Sur la plaque en cuivre fixée sur le poteau de la grille d’entrée j’ai le temps de lire « Maison d’hôte libertine » Avant de venir quand j’ai eu la demande pour ce contrat je suis allé sur Internet et je savais à quoi m’attendre mais de voir le mot « libertine » pour la première fois de ma vie sur cette plaque je suis plongé dans ce monde inconnu pour moi, même si mon client m’a fait faux bond.
Il est plus de dix-huit heures quand l’on m’ouvre la porte de ma chambre.
Chambre magnifique dans les tons grenat avec les rideaux assortis, mais dans deux trois nuances moins marqué et un très grand lit à baldaquin où je risque de me perdre seule cette nuit.
Je prends un bain pour me détendre et pour récupérer du voyage.
Je m’étant nue sans enlever le couvre lit dans cette chambre digne d’une princesse.
Après cette petite sieste je me prépare, une robe de cocktail sans manche, moulante et à mi-cuisse avec mon dos nu.
Cette robe m’interdit le soutien-gorge je décide de ne rien mettre du tout dessous.
Une paire de « Dim-Up » et mes « Louboutin » célèbres paires de chaussures aux semelles rouges que j’ai trouvées dans les armoires de ma sœur qui en possèdent une dizaine terminent mon habillage.
Comme il m’a été demandé à vingt heures, je rejoins le bar pour prendre un apéritif.
En entrant, je suis agréablement surprise par l’ambiance cossue qui règne dans la pièce.
Dans le fond, face à l’entrer un bar tout en cuivre rouge.
À l’une des extrémités, deux couples, apparemment d’amis conversent entre eux, une coupe de champagne à la main.
Les deux hommes sont en complet trois-pièces alors que les femmes portent des robes qui sentent bon les noms de grands couturiers.
À l’autre extrémité, parlant avec la personne tenant le bar une femme magnifiquement belle, possédant une classe folle et beaucoup de charisme.
Je suis sous le charme, je me surprends à regarder cette femme étant conquise sans la connaître.
Elle exerce sur moi une fascination qui m’interdit de détacher mon regard d’une telle beauté même si je la vois que de dos.
Est-ce la conséquence de mes toutes premières expériences bisexuelles, mais je la regard comme une femme avec beaucoup d’envie ?
Je l’ai dit, elle est magnifiquement belle, probablement au début de la quarantaine quand dans un mouvement plein de grasse elle fait pivoter son siège se plaçant de côté pour moi.
Assez grande, mince et élancée, de longues jambes somptueuses, une poitrine superbement dessinée, mise en valeur par un décolleté laissant apparaître son sillon mammaire sur pratiquement toute sa longueur.
Assise sur ce tabouret de bar, les jambes croisées, sa robe fendue sur le côté montre la dentelle de ses jolis bas.
Continuant à descendre le long de ses jambes interminables, je suis en admiration en découvrant des mollets au galbe parfait ou ses pieds sont parfaitement mis en valeur dans des escarpins Garavani.
C’est étonnant mais c’est la première fois que je détaille une femme de la tête aux pieds avec des envies de luxure avec elle.
Étant plus près d’elle, mon impression s’accentue quand je vois son port de tête haut et assuré, presque princier.
Elle reprend sa position face au bar d’un mouvement de ses jolies fesses et je peux admirer son dos droit et à demi dénudé comme le mien bref elle a une classe fabuleuse que beaucoup de femmes, moi la première, aimeraient avoir.
La seule place libre se trouve à son côté, un peu timide impressionné par cette ambiance toute nouvelle pour moi qui a vécu dans ma jeunesse dans la banlieue parisienne, je m’y installe.
S’approchant la barmaid me salue.
• Bonsoir madame que voulez-vous boire.
• Une coupe de champagne pour noyer mon chagrin.
• Vous avez des soucis.
• Souci pas vraiment, plutôt une contrariété, je m’appelle Natacha.
• Je comprends mieux, j’ai quelque chose pour vous qu’un coursier a déposé tout à l’heure.
Elle se retourne pour ouvrir un tiroir situé derrière elle.
Elle sort une petite enveloppe qu’elle me donne discrètement.
Ce geste aussi discret fût-il est vu par ma voisine qui détourne le regard au moment où mes yeux se lèvent sur elle.
Sans en vérifier le contenu je la glisse dans mon sac.
• Vous m’accompagnez, il est difficile, voire gênant, de boire seul.
• Je suis avec madame qui m’a déjà offert une coupe.
Profitant de cette introduction et m’adressant à cette femme si belle et féminine.
• Accepteriez-vous une coupe vous aussi ?
Pourquoi ai-je prononcé ces paroles, à part mon attirance pour elle ?
Suis-je sous son charme ?
C’est la première fois que je ressens ce besoin de connaître une autre femme surtout depuis que j’ai appris à les faire jouir et qu’elles me fassent jouir ce qui était impensable il y a peu.
• Merci, je m’appelle Nadia et vous si j’ai bien compris, vous vous prénommez Natacha.
• Effectivement, j’arrive de Paris.
• Moi, je suis de la région, j’habite Aix-en-Provence et je suis venue voir mon amie qui gère ce château.
La situation, sauf à trinquer, me semble ambiguë.
Qu’il est difficile d’engager la conversation quand personne ne se connaît, rapidement voulant qu’elle reste près de moi je cherche ce que je peux dire, c’est la jolie barmaid qui vient à notre secours.
• Êtes-vous satisfaite de votre chambre ?
• Tout à fait, j’adore le rouge et plus particulièrement cette nuance soutenue, qui est très belle sans compter les tentures des fenêtres, qui sont magnifiques et sans oublier le lit à baldaquin qui est d’un romantisme.
• C’était celle que tu m’avais donnée la dernière fois.
Mon regard bascule de l’une à l’autre avec un certain étonnement.
• Excusez-moi, vous êtes notre hôtesse ?
• Absolument !
• Désolée, mais je vous avais pris pour une employée de ce très bel établissement.
• Elle fait cela très bien, je lui dis chaque fois que je viens.
Ces quelques phrases nous suffisent pour trouver des terrains de conservation surtout quand notre hôtesse se rend vers les deux couples qui réclament une autre bouteille.
• Vous venez profiter du soleil pour le week-end.
• Non, j’avais, rendez-vous avec un ami qui m’a appris qu’il avait un empêchement, je me retrouve seule pour dîner.
• Si vous le voulez, on peut dîner ensemble, je repars pour Aix après avoir souper.
• Alors, on peut se tutoyer, j’ai horreur de dire vous je trouve cela prétentieux et arrogant.
• Bien sûr, Natacha tutoyons-nous !
C’est comme cela que cette femme, devant qui je suis en admiration, m’entraîne vers la salle du restaurant.
Nous choisissons nos plats agrémentés d’une bouteille de vin rosé du pays.
Nous entamons ce repas déjà un peu guillerettes conséquences des coupettes que nous avions bues au bar.
Les plats sont succulents, le vin fini de nous rendre quelque peu euphorique au point de pousser, Nadia à me poser une question qui semble la tarabuster.
• Puis-je te poser une question indiscrète, mais si cela te gêne je le comprendrais.
• Bien sûr !
• L’ami qui t’a fait faux-bond, c’était un client ?
Comment répondre à cette question sans dévoiler la personnalité que j’ai acceptée d’endosser en remplaçant Nadine ?
Après un moment d’hésitation pendant lequel son regard reste river au mien.
• Oui.
• Tu es une escorte.
• Oui.
• Moi aussi, quand tu es arrivée, je venais de quitter un homme avec qui je venais de passer l’après-midi et qui officiellement avait une obligation ce soir.
• Il est retourné rejoindre sa femme.
• Il y a de fortes chances.
• À mon tour puis-je te poser une question ?
• Bien sûr !
• Il y a longtemps que tu fais la pute…
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