LE REMPLACEMENT. (7/x)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LE REMPLACEMENT. (7/x)
Le chapitre VI est écrit par Nadia habitué du château de Joyce.
C’est dans une balancelle au bord de la piscine que mon rêve se réalise quand Nadia me prend dans ses bras pour la première fois me faisant chavirer.
Sa bouche contre ma bouche, son souffle dans ma bouche.
Je gémis doucement, d’attente le plaisir que je sens monter et me fuir, monter et remonter, encore et encore.
Je suis tendue vers lui, froid plissé, poings serrés, muscle tétanisé, tremblante.
Le doigt se fait plus pressant, plus rapide mais s’arrête brusquement, me quitte pour mieux se glisser à l’entrée de ma fontaine .
Deux fois, trois fois, ils me pénètrent plus profondément, appuyant me fouillant, remontant et reprenant leur danse affolante sur mon clitoris gonflé, sans une seule fois l’éviter, les sensations se mélangent, se diluent, j’ignore ou mon plaisir va m’emporter et ce qui va se passer.
Tout ce que je ressens c’est une boule qui monte en moi, mes nerfs sont vrillés, une angoisse, une vague plus forte et plus profonde se propage et je sais que la main qui m’a mené là, qui m’accompagne, est là pour moi, elle me connaît, aussi bien que moi-même voir mien en même temps.
Elle m’amène plus haut et plus loin, parce qu’elle est autre, imprévue et connue tout à la fois, pour la deuxième fois mes cuisses se tendent, se contractent, tremblent de toute la tension de la montée inéluctable de la vague de plaisir qui monte, qui monte, ou va-t-elle s’arrêter !
Ses doigts se plantent dans mon sein, serrent, pincent, écrasent le bouton durci qui s’étire, le plaisir éclate, violent, et libérateur, me projette en avant au rythme des élancements, me secoue de contractions, et je crie dans sa bouche, cognent ses lèvres de mes lèvres crispées.
Mes cuisses se referment violemment sans être calmées, renforcées, protégées et prolongeant cet éclatement de jouissance, plus fort, plus accompli que le premier.
Son doigt arrête sa danse folle, posée, inerte, et reprend brusquement, une, deux secondes d’affolement supplémentaires, et une nouvelle pointe de plaisir, douloureuse et attendu, voulu.
Sa main se calme, se pose index et majeur de part et d’autre de mon clito, tout doucement, attentifs ses palpitations saccadées qui s’apaisent, le massant tendrement par des va-et-vient légers.
Je me détends lentement, agitée encore de cours frissons, et je deviens molle, me liquéfiant, heureuse, consciente à l’extrême et confiante en cette main qui s’est posée à plat sur mon sexe ravagé et le protégeant, l’enveloppe, le console et promet tellement de plaisirs futurs.
Je veux lui dire comment ce début de bonheur qu’elle m’apporte me chavire ?
Je reste blottie dans ses bras, je pleure doucement, parce que je suis si bien, parce que j’ai envie de rire et de crier du bonheur et du plaisir qu’elle m’apporte.
Elle me tient dans ses bras, je me serre contre elle, et ma bouche retrouve son cou, ma bouche exprime toute seule ce que je recens.
• Merci.
Je dis merci pour éviter de dire je t’aime.
Elle relève ma tête d’un doigt sous le menton, du pouce de l’autre main efface mes larmes, dépose un baiser sur mes yeux, un baiser sur mes lèvres, et me berce.
• Tu pleures toujours quand tu es heureuse ?
• C’est si bon.
Immobile, silencieuse, serrée l’une contre l’autre nous contemplons la voie lactée perdue dans nos pensées amoureuses.
Je veux que cela continue.
Je viens de découvrir un plaisir que j’ignorais malgré mes deux expériences lesbiennes, un plaisir que je veux à mon tour lui rendre.
C’est elle qui rompit le silence.
• Veux-tu te baigner ?
• Pourquoi pas !
Sans attendre elle se dénude, me dénude et plonge, je l’imite.
La température de l’eau est un peu fraîche, nous faisant un bien fou.
Nous nageons côte à côte jusqu’au moment où je m’agrippe au bord pour reprendre mon souffle.
Nadia, telle une naïade, arrive à ma hauteur plaque son corps contre le mien et me prends la bouche.
La fièvre s’emparant de nous devient si forte que nous sortons de l’eau.
• Je t’en conjure, reste avec moi cette nuit.
Je viens de prononcer ces quelques paroles à l’instinct sous l’effet d’une pulsion aussi irrésistible qu’incontrôlée.
• Es-tu sûr de toi ?
• Certaine, mais je dois t’avouer que j’ai peu de pratiquement féminine.
• Explique-toi.
• Tu es seulement la troisième femme à poser ta main sur moi.
Cette semaine j’avais un rendez-vous avec un couple, la dame est venue seule. J’étais totalement perdue, j’étais dans l’inconnue des rapports sexuels avec une femme mais j’ai réussi à la faire jouir, ça m’a profondément troublée malgré qu’il y ait une enveloppe entre moi et elle.
• Je vois !
Et là tu as envie de voir comment ça se passe avec une nana que tu as draguée ?
• Je t’ai draguée !
• Tu rigoles, dès que tu es entré dans le bar ton regard me déshabillait !
• D’accord je dois l’admettre, tu étais fascinante de beauté tu m’as fascinée, dès que je t’ai vu j’étais sous le charme et j’ai eu envie de toi.
• Alors pourquoi perdre du temps !
Nous enfilons nos robes à même la peau et nous nous dirigeons vers le hall avec ses sous-vêtements et nos chaussures à la main.
• Laisse-moi récupérer ma valise à l’accueil.
Après un bref passage par la réception, je l’entraîne vers ma chambre.
Notre désir l’une de l’autre, le plaisir de découvrir nos corps est tel que nous nous déshabillons dès la porte refermée.
Pour la deuxième fois, elle défait le bouton, dans ma nuque, qui tient ma robe, dégage mes épaules pour que cette dernière glisse au sol.
J’en fais de même avec la sienne, nous sommes nues, la peau encore fraîche de notre bain, je sens sa poitrine sur la mienne.
Nos tétons sont comme des obélisques érigés se battant en duel.
Notre excitation en est à son début mais elle monte, lentement, inexorablement.
On savait toutes les deux que cette progression insidieuse de notre plaisir nous conduira à l’extase.
Debout l’une contre l’autre dans la minuscule entrée, nos bouches se sont unies et nos langues se sont aguichées.
Un baiser fougueux, presque violent.
Nos mains partent en exploration courant sur le corps de l’autre.
Cet échange dur de longues minutes pendant lesquelles nos bouches restent soudées et que quand elle me tire les cheveux en arrière pour me fusiller d’un regard malicieux je meure d’envie.
Échange visuel de quelques secondes avant de mieux nous embrasser allant même jusqu’à nous mordre nos langues entraînant un rire les yeux dans les yeux.
Tu me mords, je te mords, tu ris je ris, tes yeux sont espiègles les miens aussi.
Je me liquéfie littéralement, je sens ma petite chatte s’humidifier comme je jamais je l’ai sentie.
Elle glisse sa main entre nous et descend jusqu’à ma caverne, la pénétrant avec deux doigts.
• Mais tu es trempée !
Voyons voir quel goût tu as.
Elle dégage sa main pour la monter à nos bouches séparées de quelques centimètres.
Elle dirige son majeur vers la mienne et glisse son index dans la sienne.
Une découverte simultanée du goût de ma chatte.
Après les avoir consciencieusement nettoyés elle dégage sa main.
• J’adore ton odeur, ta cyprine est douce et agréable.
• Je trouve aussi.
• Viens, je veux boire plus intensément à ta source.
Elle me prend par la main pour nous diriger vers le King-Size qui trône au milieu de la chambre.
D’un seul geste, ample et rapide, elle arrache la couette dégageant le drap de dessous, des draps en satin et assortis aux rideaux.
Sans ménagement elle me pousse au milieu du lit, leur fraîcheur et l’aspect brillant me fait frissonner jusqu’à avoir la chair de poule.
• As-tu froid ?
• Non, mais c’est la première fois que je couche dans de tels draps et ce contact glacé m’a électrisée.
Elle pose un genou sur le lit, puis l’autre et c’est à quatre pattes qu’elle vient s’allonger sur moi m’obligeant à écarter les jambes pour placer les siennes.
Elle se saisit de mes poignets pour remonter mes bras sur ma tête.
Je sens son pubis contre le mien, sa poitrine contre la mienne, ses tétons qui dardent agaçant les miens.
Sa bouche est presque à toucher la mienne, elle, comme moi, nous pouvons sentir nos respirations courtes et saccadées.
• Es-tu toujours décidée à t’abandonner à la déesse Sapho ?
• Plus que jamais !
• Laisse toi aller, lâche-toi, abandonne-toi, vide-toi la tête et suis ton corps.
Je vais te faire jouir comme jamais.
• Moi aussi je vais te rendre ce plaisir.
• Pas tout de suite !
Je veux d’abord te faire découvrir la plus belle et la plus forte des jouissances qu’une femme peut apporter à une autre femme.
Je vais te faire hurler de plaisir.
• Mais toi ?
• On a toute la nuit devant nous !...
C’est dans une balancelle au bord de la piscine que mon rêve se réalise quand Nadia me prend dans ses bras pour la première fois me faisant chavirer.
Sa bouche contre ma bouche, son souffle dans ma bouche.
Je gémis doucement, d’attente le plaisir que je sens monter et me fuir, monter et remonter, encore et encore.
Je suis tendue vers lui, froid plissé, poings serrés, muscle tétanisé, tremblante.
Le doigt se fait plus pressant, plus rapide mais s’arrête brusquement, me quitte pour mieux se glisser à l’entrée de ma fontaine .
Deux fois, trois fois, ils me pénètrent plus profondément, appuyant me fouillant, remontant et reprenant leur danse affolante sur mon clitoris gonflé, sans une seule fois l’éviter, les sensations se mélangent, se diluent, j’ignore ou mon plaisir va m’emporter et ce qui va se passer.
Tout ce que je ressens c’est une boule qui monte en moi, mes nerfs sont vrillés, une angoisse, une vague plus forte et plus profonde se propage et je sais que la main qui m’a mené là, qui m’accompagne, est là pour moi, elle me connaît, aussi bien que moi-même voir mien en même temps.
Elle m’amène plus haut et plus loin, parce qu’elle est autre, imprévue et connue tout à la fois, pour la deuxième fois mes cuisses se tendent, se contractent, tremblent de toute la tension de la montée inéluctable de la vague de plaisir qui monte, qui monte, ou va-t-elle s’arrêter !
Ses doigts se plantent dans mon sein, serrent, pincent, écrasent le bouton durci qui s’étire, le plaisir éclate, violent, et libérateur, me projette en avant au rythme des élancements, me secoue de contractions, et je crie dans sa bouche, cognent ses lèvres de mes lèvres crispées.
Mes cuisses se referment violemment sans être calmées, renforcées, protégées et prolongeant cet éclatement de jouissance, plus fort, plus accompli que le premier.
Son doigt arrête sa danse folle, posée, inerte, et reprend brusquement, une, deux secondes d’affolement supplémentaires, et une nouvelle pointe de plaisir, douloureuse et attendu, voulu.
Sa main se calme, se pose index et majeur de part et d’autre de mon clito, tout doucement, attentifs ses palpitations saccadées qui s’apaisent, le massant tendrement par des va-et-vient légers.
Je me détends lentement, agitée encore de cours frissons, et je deviens molle, me liquéfiant, heureuse, consciente à l’extrême et confiante en cette main qui s’est posée à plat sur mon sexe ravagé et le protégeant, l’enveloppe, le console et promet tellement de plaisirs futurs.
Je veux lui dire comment ce début de bonheur qu’elle m’apporte me chavire ?
Je reste blottie dans ses bras, je pleure doucement, parce que je suis si bien, parce que j’ai envie de rire et de crier du bonheur et du plaisir qu’elle m’apporte.
Elle me tient dans ses bras, je me serre contre elle, et ma bouche retrouve son cou, ma bouche exprime toute seule ce que je recens.
• Merci.
Je dis merci pour éviter de dire je t’aime.
Elle relève ma tête d’un doigt sous le menton, du pouce de l’autre main efface mes larmes, dépose un baiser sur mes yeux, un baiser sur mes lèvres, et me berce.
• Tu pleures toujours quand tu es heureuse ?
• C’est si bon.
Immobile, silencieuse, serrée l’une contre l’autre nous contemplons la voie lactée perdue dans nos pensées amoureuses.
Je veux que cela continue.
Je viens de découvrir un plaisir que j’ignorais malgré mes deux expériences lesbiennes, un plaisir que je veux à mon tour lui rendre.
C’est elle qui rompit le silence.
• Veux-tu te baigner ?
• Pourquoi pas !
Sans attendre elle se dénude, me dénude et plonge, je l’imite.
La température de l’eau est un peu fraîche, nous faisant un bien fou.
Nous nageons côte à côte jusqu’au moment où je m’agrippe au bord pour reprendre mon souffle.
Nadia, telle une naïade, arrive à ma hauteur plaque son corps contre le mien et me prends la bouche.
La fièvre s’emparant de nous devient si forte que nous sortons de l’eau.
• Je t’en conjure, reste avec moi cette nuit.
Je viens de prononcer ces quelques paroles à l’instinct sous l’effet d’une pulsion aussi irrésistible qu’incontrôlée.
• Es-tu sûr de toi ?
• Certaine, mais je dois t’avouer que j’ai peu de pratiquement féminine.
• Explique-toi.
• Tu es seulement la troisième femme à poser ta main sur moi.
Cette semaine j’avais un rendez-vous avec un couple, la dame est venue seule. J’étais totalement perdue, j’étais dans l’inconnue des rapports sexuels avec une femme mais j’ai réussi à la faire jouir, ça m’a profondément troublée malgré qu’il y ait une enveloppe entre moi et elle.
• Je vois !
Et là tu as envie de voir comment ça se passe avec une nana que tu as draguée ?
• Je t’ai draguée !
• Tu rigoles, dès que tu es entré dans le bar ton regard me déshabillait !
• D’accord je dois l’admettre, tu étais fascinante de beauté tu m’as fascinée, dès que je t’ai vu j’étais sous le charme et j’ai eu envie de toi.
• Alors pourquoi perdre du temps !
Nous enfilons nos robes à même la peau et nous nous dirigeons vers le hall avec ses sous-vêtements et nos chaussures à la main.
• Laisse-moi récupérer ma valise à l’accueil.
Après un bref passage par la réception, je l’entraîne vers ma chambre.
Notre désir l’une de l’autre, le plaisir de découvrir nos corps est tel que nous nous déshabillons dès la porte refermée.
Pour la deuxième fois, elle défait le bouton, dans ma nuque, qui tient ma robe, dégage mes épaules pour que cette dernière glisse au sol.
J’en fais de même avec la sienne, nous sommes nues, la peau encore fraîche de notre bain, je sens sa poitrine sur la mienne.
Nos tétons sont comme des obélisques érigés se battant en duel.
Notre excitation en est à son début mais elle monte, lentement, inexorablement.
On savait toutes les deux que cette progression insidieuse de notre plaisir nous conduira à l’extase.
Debout l’une contre l’autre dans la minuscule entrée, nos bouches se sont unies et nos langues se sont aguichées.
Un baiser fougueux, presque violent.
Nos mains partent en exploration courant sur le corps de l’autre.
Cet échange dur de longues minutes pendant lesquelles nos bouches restent soudées et que quand elle me tire les cheveux en arrière pour me fusiller d’un regard malicieux je meure d’envie.
Échange visuel de quelques secondes avant de mieux nous embrasser allant même jusqu’à nous mordre nos langues entraînant un rire les yeux dans les yeux.
Tu me mords, je te mords, tu ris je ris, tes yeux sont espiègles les miens aussi.
Je me liquéfie littéralement, je sens ma petite chatte s’humidifier comme je jamais je l’ai sentie.
Elle glisse sa main entre nous et descend jusqu’à ma caverne, la pénétrant avec deux doigts.
• Mais tu es trempée !
Voyons voir quel goût tu as.
Elle dégage sa main pour la monter à nos bouches séparées de quelques centimètres.
Elle dirige son majeur vers la mienne et glisse son index dans la sienne.
Une découverte simultanée du goût de ma chatte.
Après les avoir consciencieusement nettoyés elle dégage sa main.
• J’adore ton odeur, ta cyprine est douce et agréable.
• Je trouve aussi.
• Viens, je veux boire plus intensément à ta source.
Elle me prend par la main pour nous diriger vers le King-Size qui trône au milieu de la chambre.
D’un seul geste, ample et rapide, elle arrache la couette dégageant le drap de dessous, des draps en satin et assortis aux rideaux.
Sans ménagement elle me pousse au milieu du lit, leur fraîcheur et l’aspect brillant me fait frissonner jusqu’à avoir la chair de poule.
• As-tu froid ?
• Non, mais c’est la première fois que je couche dans de tels draps et ce contact glacé m’a électrisée.
Elle pose un genou sur le lit, puis l’autre et c’est à quatre pattes qu’elle vient s’allonger sur moi m’obligeant à écarter les jambes pour placer les siennes.
Elle se saisit de mes poignets pour remonter mes bras sur ma tête.
Je sens son pubis contre le mien, sa poitrine contre la mienne, ses tétons qui dardent agaçant les miens.
Sa bouche est presque à toucher la mienne, elle, comme moi, nous pouvons sentir nos respirations courtes et saccadées.
• Es-tu toujours décidée à t’abandonner à la déesse Sapho ?
• Plus que jamais !
• Laisse toi aller, lâche-toi, abandonne-toi, vide-toi la tête et suis ton corps.
Je vais te faire jouir comme jamais.
• Moi aussi je vais te rendre ce plaisir.
• Pas tout de suite !
Je veux d’abord te faire découvrir la plus belle et la plus forte des jouissances qu’une femme peut apporter à une autre femme.
Je vais te faire hurler de plaisir.
• Mais toi ?
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