LE RENDEZ-VOUS EST PRIS…(2)

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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LE RENDEZ-VOUS EST PRIS…(2)
C’est ainsi qu’un soir, en sortant de l’Hôpital, Babette me propose gentiment de m’attirer chez elle pour dîner, voire plus... Mais avant toute chose, elle doit se rendre dans une supérette, faire quelques achats.
Une fois chez Babette, nous avons bu du champagne, discuté, et bu encore. Babette me questionne sur mes préférences sexuelles. Mes goûts en matière de lingerie. Puis vient le sujet d’objets très spéciaux. Qui l'ont aidée jusqu’alors, à la satisfaire sexuellement.
-Tu ne peux pas savoir les sensations que j’ai éprouvées à les utiliser.
-Je l’imagine !
Et sans que je lui demande, la voilà qu’elle se lève, disparaît de ma vue pour revenir avec une boîte à chaussures. Elle y sort une paire de boules de geishas et un gode.
Sourire aux lèvres, elle relève sa jupe. Il m’en faut pas plus pour bander, même très dur. Tout en me fixant, elle prend en bouche le gode. Le suce, l’enduit de salive, avant de l’approcher délicatement dans sa chatte. Une fois les lèvres bien écartées par le tube de silicone, elle l’enfonce délicatement au fond de mon vagin. Au fil des allers et retours, son vagin se détend. Inutile de vous dire que je n’en perds pas une miette. À ne pas pouvoir m’empêcher de caresser ma verge à travers mon jean. Elle me fit signe d’approcher. Avec sa main libre, elle me caresse la verge.
- Oui, tu es dur mon chou. J’aime tellement ça !
D’un doigt, j’effleure ses lèvres intimes autour du gode.
- Oh oui c’est bon, gémit-elle. Oui… c’est bon. Mets-moi tes doigts dans le cul aussi, vas-y…
Je m’empresse d’obéir, je lui mets un puis deux doigts dans son anus. Il ne lui en faut pas plus pour jouir. Suite à cela, Babette se lève et s’installe au-dessus du seau à champagne. Et la voilà qu’elle se met à pisser dans l’eau des glaçons. La sonorité de son jet emplit l’espace du salon. Sans cesser de se vider, l’exhibitionniste effectue une volte-face au-dessus du récipient, et relève bien haut son cul cambré.
Alors que sa pisse s’écoule toujours, j’ai devant mes yeux, l’anus, qui s’entrouvre au milieu d’un blaireau de fils poivre et sel. Une fois qu’elle eut fini d’uriner, elle s’essuie les poils avec ses doigts.
Qu’elle porte à ses narines, les renifle, puis les lèche, les yeux dans les miens. Alors que nous dînons, Babette me questionne.
-Comment as-tu trouvé la caissière ?
-Pourquoi cette question ?
-J’ai besoin de ton avis !
-Je ne sais quoi te dire.
- Tu ne trouves pas qu’il émane d’elle une sensualité.
-Peut-être !
-Elle m’a tout de suite fait vibrer avec son sourire à la fois allumeur et adorable.
-Tu ne vas pas me dire que cela t’excite ?
-Oui… au plus haut point.
-Mais alors tu es lesbienne…
-Va savoir. Enfin, je ne serais pas contre une petite expérience de ce côté-là.
-Eh bien, moi qui te prenais pour une femme fidèle, voire respectable, je vais de surprise en surprise avec toi. Mais dis-moi, pourquoi tu me dis tout cela. À ce que je sache, tu n’as pas de compte à me rendre.
-Pour que tu ne sois pas étonné quand le jour viendra.
-Parce que…
-Oui, me coupe-t-elle, je veux que tu sois témoin de ma débauche…
-Je vois !
-Elle est assez réservée mais pleine de gentillesse. Elle n’a pas de mec.
-Qu’est-ce que tu en sais ?
-Parce qu’elle me l'a confiée, me laissant même penser qu’elle aime le sexe et qu’elle est assez ouverte à des aventures.
Ses yeux noirs s’étirent en une expression amusée.
-Laisse-moi faire, mon chou !
Au passage, elle palpe mes couilles, faisant se redresser ma queue.
Ma vie à cette époque était qu’insouciance. Une période qui se prêtait à toutes les expériences sexuelles. Un temps où je naviguais avec joie entre celles qui voulaient bien jouer avec moi.
Il ne lui a pris que quelques jours pour attirer la belle brune aux yeux marron de taille moyenne, avec un corps superbe et une belle poitrine dans ses filets. Il a suffi à Babette que de trois jours pour séduire la caissière, au nom de Nadia.
Babette ne perd pas de temps. Comme si le temps lui était compté.
Au fil de son discours, la voix de Babette se fait plus grave, prend des accents rocailleux. Je devine que la soirée va nous réserver bien des surprises. Babette met Nadia bien vite mise à l’aise. Elle lui caresse les jambes, les dénude, parcoure ses cuisses de ses doigts doux. Je la découvre encore une fois coquine. Et j’aime ça. Je me contente d’observer, passif.
-Oui, ma chère Nadia, tu en as envie, c’est pour ça que tu t’es laissée entraîner jusqu’ici !
La caissière baisse promptement la tête. Babette profite de sa détresse pour lui relever la robe sur ses reins. M’exposant les hanches larges de Nadia, charnues et les fesses boudinées dans une culotte de coton, que Babette baisse d’un coup. Tout de suite, Babette glisse la main dans la raie, jouant du poignet pour repousser les masses rebondies du fessier et s’insinue au creux du sillon. Nadia pousse un long soupir et écarte les jambes pour faciliter la fouille de Babette.
-Tu es déjà toute chaude, ma fille !
Elle donne un coup de poignet pour faire pénétrer davantage ses doigts dans l’entaille. Nadia gémit de plus belle. Tourne la tête pour me regarder par-dessus son épaule. La main de Babette s’agite par saccades, entre les fesses amples de la caissière qui plisse les yeux.
Saisie par une autre envie, la femme d’Antoine retire ses doigts d’un coup. Tout de suite, la robe de la caressée tombe comme un rideau sur sa croupe charnue. Pour mon plus grand regret.
Babette passe les doigts sur les lèvres de la caissière. Va jusqu’à les lui fourrer dans la bouche, l’obligeant ainsi à goûter sa propre saveur tout en continuant à lui parler sur le même ton rauque.
-Et moi, tu crois que je suis chaude aussi ? Tu veux voir ?
L’acquiescement de la caissière est à peine audible à cause des doigts de Babette contre son palais. Mais la jeunette semble avoir attendu ce moment depuis longtemps. D’elle-même, Nadia tombe à genoux devant sa partenaire. Retrousse l’ourlet de la robe. Comme à son habitude, Babette ne porte rien sous sa robe. La caissière pose tout de suite le visage sur le ventre.
Faisant glisser ses lèvres jusqu’au pompon de poils poivre et sel, qui s’étale entre les cuisses, remonte sur le haut des cuisses. La caissière ferme les yeux et frotte le visage dans le buisson. Nadia enfonce le nez et la bouche dans la fourrure avec une rapacité animale.
-Oh ma fille ! Si je m’attendais à ça de toi…
Sans relever les paupières, la caissière ouvre la bouche et insinue la langue dans la toison. Babette la retient par les cheveux, l’empêchant de fouiller davantage son entrecuisse velu.
La femme d’Antoine se saisit du poignet de la jeune fille et la guide jusqu’à la chambre. Moi à leurs basques. Babette s’installe sur son lit. Le dos sur le matelas, en appui sur les coudes. Elle éloigne ses cuisses, l’une de l’autre. Et me lance une œillade. J’ai le souffle court. Le sang qui me choque aux tempes.
La caissière a une expression béate. Paupières closes, front plissé, elle semble au bord de l’évanouissement. Les lèvres écartées, elle passe la langue sur la fente. Peigne les poils rêches, pour accéder jusqu’au bouton dilaté qui tarde entre les poils.
-Tu as l’air d’aimer ça !
La caissière pousse un gémissement et accélère ses coups de langue, happant le bouton entre ses lèvres pour le sucer. Babette me jette un regard vicieux. M’invite à ne pas en perdre une miette. Elle relève haut les genoux pour exposer sa croupe nerveuse. Entre les fesses pommées dans le sillon tapissé de courts poils poivre et sel, l’anus saillie comme un large cratère irrégulier aux reliefs sombres.
La caissière se laisse charmer, et pose sa bouche sur l’anus. Le couvre de baisers tendres avant d’en faire le tour avec ses lèvres. L’agaçant avec une volupté manifeste. Elle finit par y enfoncer la langue, la faisant tourner dans le rectum, coulisser dans l’orifice qu’elle maintient ouvert des deux mains.
Mon sexe est si gonflé qu’il devient douloureux. Je reste comme hypnotisé à ma place, désirant me joindre à elles. Mais en même temps, je suis trop fasciné par ce qui se déroule sous mes yeux.
Avec un dernier coup de langue dans la raie, la caissière se redresse. Le visage humide, la voix éraillée. Elle se débarrasse avec des gestes fébriles de sa robe et dégrafe son soutien-gorge. Libérant des seins volumineux. Babette se redresse sur son lit. Un moment déconcertée, elle glisse ensuite sur son matelas pour poser son bassin au bord du lit. Une joie vicieuse éclaire le visage de la caissière. Assise sur le tapis, au coin du lit.
La coquine glisse sa main droite entre ses cuisses. Plongeant les doigts dans la touffe, que je devine humide. Je suis au bord de l’explosion. Ce qui se passe devant mes yeux efface tous les vices que j’ai connus tout le long de l’année.
Babette la saisit brutalement par les cheveux et l’attire à elle. Le visage de la caissière est tordu par une expression douloureuse. La fait s’étendre sur le lit. Exige d’elle qu’elle soulève lentement ses fesses. Qu’elle ramène ses genoux sous son ventre. Qu’elle creuse le dos, pour mieux étaler sa croupe. Fait balloter les sphères en les écartant davantage pour exhiber, au-dessus de la chatte entrouverte, un anus bosselé et poilu, d’un rouge si vif qu’il paraît déjà irrité.
Je n’en peux plus. Je vais finir par jouir sans me toucher. J’ôte précipitamment mon pantalon et m’avance, pénis dressé, en direction du lit. Babette me lance un regard complice. Elle approuve mon initiative et ne peut dissimuler son envie à la vue de ma queue gonflée. Elle porte la main, caressant ma queue de sa paume.La caissière reste dans sa posture, croupe levée, offerte. Mais tourne la tête par agacement, impatiente d’avoir la suite.
-Alors ? Lâche-t-elle, vous m’avez mise dans un état terrible. Vous n’allez pas me laisser comme ça !
Devant tant de dévergondage, je me mets à genoux, et je pose mon visage entre ses fesses et respire son odeur forte et poivrée.
Ma langue s’approche de son sexe. Que je mordille en accentuant ma pression sur sa vulve gonflée.
-Oui…oui… continue bouffe moi dévore moi… j’en ai trop envie !
Je glisse ma langue entre les deux lèvres, pour goûter à ses fluides.
-Il lèche divinement, n’est-ce pas ? Lâche Babette qui commence à entamer une agréable masturbation.
Pour ma part, je déguste Nadia de la langue, de mes doigts. Au centre de mon corps, une bouche chaude remplace bientôt la main. J'envoie mon index, titiller l’anus de Nadia. Qui vient à ma rencontre pour que je l’ouvre profondément. Cette dernière se tasse suite à la fouille de ses deux trous, l’amenant à un orgasme violent qui la fait se triturer en même temps très fort les seins.
-Oui… oui, le salaud me fait décoller !
Pas le temps de souffler que déjà Babette m’agrippe par les cheveux pour m’attirer à elle. Je plonge dans une fente dont une abondante production de mouille s’écoule. Dont j’honore ! Les deux femmes sur le lit, s’embrassent en frottant leurs poitrines. De mon côté, je m’applique à lécher Babette. À picoter son cul pour son grand plaisir.
-Mets…mets la moi vite mon chou… j’ai trop envie…
Pensant à mon plaisir, je me redresse et pose ma queue sur la cible. Que j’enfile d’un coup pendant que la caissière regarde. Sa main caresse alternativement mes couilles et l’anus de Babette. Feuillette nos chairs pendant que j’astique la femme d’Antoine. La coquine prend l’initiative d’écarter mes fesses et se met à lécher mon anus avidement, tout en nous caressant et en pénétrant doucement mon anus de son index, augmentant mes sensations au point que je dois prendre sur moi pour ne pas gicler trop vite.
Le devinant, Babette m’invite à m’occuper de Nadia. Je lui souris et retire mon sexe de sa fente que Nadia s’empresse de sucer. Comme pour le nettoyer, avant de se placer à genoux pour prendre la position levrette. Je m’enfonce dans son sexe ouvert.
Elle remue du cul et se met à téter la fente de Babette qui extériorise son bien-être. L’odeur de chattes en ruts remplit la chambre. Ce n’est plus tenable pour moi. Je ne peux me retenir plus longtemps, alors je me laisse aller. J’éjacule en le faisant savoir. De longues rasades alors qu’en même temps Babette jouit sous la langue de Nadia. Je m’affale sur elle tout en lui caressant la chatte.
Nous nous retrouvons tous les trois sur le lit. Irrécupérable, je profite de l’instant pour lécher subtilement puis gloutonnement les gros seins de Nadia, pendant qu’elle se caresse et que Babette l’aide. Comme un commun accord, moi et Babette, nous glissons entre les cuisses de la jeunette, et nos deux langues l’amènent rapidement à un orgasme qui la fit crier fort.
Je frotte ma queue contre les fesses de Babette. Comme à son habitude, elle a un besoin naturel. Je la suis jusqu’au toilettage. Alors qu’elle prend place sur la cuvette, cuisses écartées, je me mets à genoux tout près de son sexe et elle se laisse aller pendant que je colle ma bouche contre elle et qu’elle m’arrose de sa douche dorée et chaude en gémissant, excitée par la situation, elle pisse longuement et je goûte avec extase son nectar, puis essuie sa fente avec ma langue, recueillant une mouille abondante mêlée à de la pisse.
La nuit fut pleine de surprises hautement excitantes. J’ai pris leurs deux culs alternativement alors qu’elles étaient couchées l’une sur l’autre.
Une fois chez Babette, nous avons bu du champagne, discuté, et bu encore. Babette me questionne sur mes préférences sexuelles. Mes goûts en matière de lingerie. Puis vient le sujet d’objets très spéciaux. Qui l'ont aidée jusqu’alors, à la satisfaire sexuellement.
-Tu ne peux pas savoir les sensations que j’ai éprouvées à les utiliser.
-Je l’imagine !
Et sans que je lui demande, la voilà qu’elle se lève, disparaît de ma vue pour revenir avec une boîte à chaussures. Elle y sort une paire de boules de geishas et un gode.
Sourire aux lèvres, elle relève sa jupe. Il m’en faut pas plus pour bander, même très dur. Tout en me fixant, elle prend en bouche le gode. Le suce, l’enduit de salive, avant de l’approcher délicatement dans sa chatte. Une fois les lèvres bien écartées par le tube de silicone, elle l’enfonce délicatement au fond de mon vagin. Au fil des allers et retours, son vagin se détend. Inutile de vous dire que je n’en perds pas une miette. À ne pas pouvoir m’empêcher de caresser ma verge à travers mon jean. Elle me fit signe d’approcher. Avec sa main libre, elle me caresse la verge.
- Oui, tu es dur mon chou. J’aime tellement ça !
D’un doigt, j’effleure ses lèvres intimes autour du gode.
- Oh oui c’est bon, gémit-elle. Oui… c’est bon. Mets-moi tes doigts dans le cul aussi, vas-y…
Je m’empresse d’obéir, je lui mets un puis deux doigts dans son anus. Il ne lui en faut pas plus pour jouir. Suite à cela, Babette se lève et s’installe au-dessus du seau à champagne. Et la voilà qu’elle se met à pisser dans l’eau des glaçons. La sonorité de son jet emplit l’espace du salon. Sans cesser de se vider, l’exhibitionniste effectue une volte-face au-dessus du récipient, et relève bien haut son cul cambré.
Alors que sa pisse s’écoule toujours, j’ai devant mes yeux, l’anus, qui s’entrouvre au milieu d’un blaireau de fils poivre et sel. Une fois qu’elle eut fini d’uriner, elle s’essuie les poils avec ses doigts.
Qu’elle porte à ses narines, les renifle, puis les lèche, les yeux dans les miens. Alors que nous dînons, Babette me questionne.
-Comment as-tu trouvé la caissière ?
-Pourquoi cette question ?
-J’ai besoin de ton avis !
-Je ne sais quoi te dire.
- Tu ne trouves pas qu’il émane d’elle une sensualité.
-Peut-être !
-Elle m’a tout de suite fait vibrer avec son sourire à la fois allumeur et adorable.
-Tu ne vas pas me dire que cela t’excite ?
-Oui… au plus haut point.
-Mais alors tu es lesbienne…
-Va savoir. Enfin, je ne serais pas contre une petite expérience de ce côté-là.
-Eh bien, moi qui te prenais pour une femme fidèle, voire respectable, je vais de surprise en surprise avec toi. Mais dis-moi, pourquoi tu me dis tout cela. À ce que je sache, tu n’as pas de compte à me rendre.
-Pour que tu ne sois pas étonné quand le jour viendra.
-Parce que…
-Oui, me coupe-t-elle, je veux que tu sois témoin de ma débauche…
-Je vois !
-Elle est assez réservée mais pleine de gentillesse. Elle n’a pas de mec.
-Qu’est-ce que tu en sais ?
-Parce qu’elle me l'a confiée, me laissant même penser qu’elle aime le sexe et qu’elle est assez ouverte à des aventures.
Ses yeux noirs s’étirent en une expression amusée.
-Laisse-moi faire, mon chou !
Au passage, elle palpe mes couilles, faisant se redresser ma queue.
Ma vie à cette époque était qu’insouciance. Une période qui se prêtait à toutes les expériences sexuelles. Un temps où je naviguais avec joie entre celles qui voulaient bien jouer avec moi.
Il ne lui a pris que quelques jours pour attirer la belle brune aux yeux marron de taille moyenne, avec un corps superbe et une belle poitrine dans ses filets. Il a suffi à Babette que de trois jours pour séduire la caissière, au nom de Nadia.
Babette ne perd pas de temps. Comme si le temps lui était compté.
Au fil de son discours, la voix de Babette se fait plus grave, prend des accents rocailleux. Je devine que la soirée va nous réserver bien des surprises. Babette met Nadia bien vite mise à l’aise. Elle lui caresse les jambes, les dénude, parcoure ses cuisses de ses doigts doux. Je la découvre encore une fois coquine. Et j’aime ça. Je me contente d’observer, passif.
-Oui, ma chère Nadia, tu en as envie, c’est pour ça que tu t’es laissée entraîner jusqu’ici !
La caissière baisse promptement la tête. Babette profite de sa détresse pour lui relever la robe sur ses reins. M’exposant les hanches larges de Nadia, charnues et les fesses boudinées dans une culotte de coton, que Babette baisse d’un coup. Tout de suite, Babette glisse la main dans la raie, jouant du poignet pour repousser les masses rebondies du fessier et s’insinue au creux du sillon. Nadia pousse un long soupir et écarte les jambes pour faciliter la fouille de Babette.
-Tu es déjà toute chaude, ma fille !
Elle donne un coup de poignet pour faire pénétrer davantage ses doigts dans l’entaille. Nadia gémit de plus belle. Tourne la tête pour me regarder par-dessus son épaule. La main de Babette s’agite par saccades, entre les fesses amples de la caissière qui plisse les yeux.
Saisie par une autre envie, la femme d’Antoine retire ses doigts d’un coup. Tout de suite, la robe de la caressée tombe comme un rideau sur sa croupe charnue. Pour mon plus grand regret.
Babette passe les doigts sur les lèvres de la caissière. Va jusqu’à les lui fourrer dans la bouche, l’obligeant ainsi à goûter sa propre saveur tout en continuant à lui parler sur le même ton rauque.
-Et moi, tu crois que je suis chaude aussi ? Tu veux voir ?
L’acquiescement de la caissière est à peine audible à cause des doigts de Babette contre son palais. Mais la jeunette semble avoir attendu ce moment depuis longtemps. D’elle-même, Nadia tombe à genoux devant sa partenaire. Retrousse l’ourlet de la robe. Comme à son habitude, Babette ne porte rien sous sa robe. La caissière pose tout de suite le visage sur le ventre.
Faisant glisser ses lèvres jusqu’au pompon de poils poivre et sel, qui s’étale entre les cuisses, remonte sur le haut des cuisses. La caissière ferme les yeux et frotte le visage dans le buisson. Nadia enfonce le nez et la bouche dans la fourrure avec une rapacité animale.
-Oh ma fille ! Si je m’attendais à ça de toi…
Sans relever les paupières, la caissière ouvre la bouche et insinue la langue dans la toison. Babette la retient par les cheveux, l’empêchant de fouiller davantage son entrecuisse velu.
La femme d’Antoine se saisit du poignet de la jeune fille et la guide jusqu’à la chambre. Moi à leurs basques. Babette s’installe sur son lit. Le dos sur le matelas, en appui sur les coudes. Elle éloigne ses cuisses, l’une de l’autre. Et me lance une œillade. J’ai le souffle court. Le sang qui me choque aux tempes.
La caissière a une expression béate. Paupières closes, front plissé, elle semble au bord de l’évanouissement. Les lèvres écartées, elle passe la langue sur la fente. Peigne les poils rêches, pour accéder jusqu’au bouton dilaté qui tarde entre les poils.
-Tu as l’air d’aimer ça !
La caissière pousse un gémissement et accélère ses coups de langue, happant le bouton entre ses lèvres pour le sucer. Babette me jette un regard vicieux. M’invite à ne pas en perdre une miette. Elle relève haut les genoux pour exposer sa croupe nerveuse. Entre les fesses pommées dans le sillon tapissé de courts poils poivre et sel, l’anus saillie comme un large cratère irrégulier aux reliefs sombres.
La caissière se laisse charmer, et pose sa bouche sur l’anus. Le couvre de baisers tendres avant d’en faire le tour avec ses lèvres. L’agaçant avec une volupté manifeste. Elle finit par y enfoncer la langue, la faisant tourner dans le rectum, coulisser dans l’orifice qu’elle maintient ouvert des deux mains.
Mon sexe est si gonflé qu’il devient douloureux. Je reste comme hypnotisé à ma place, désirant me joindre à elles. Mais en même temps, je suis trop fasciné par ce qui se déroule sous mes yeux.
Avec un dernier coup de langue dans la raie, la caissière se redresse. Le visage humide, la voix éraillée. Elle se débarrasse avec des gestes fébriles de sa robe et dégrafe son soutien-gorge. Libérant des seins volumineux. Babette se redresse sur son lit. Un moment déconcertée, elle glisse ensuite sur son matelas pour poser son bassin au bord du lit. Une joie vicieuse éclaire le visage de la caissière. Assise sur le tapis, au coin du lit.
La coquine glisse sa main droite entre ses cuisses. Plongeant les doigts dans la touffe, que je devine humide. Je suis au bord de l’explosion. Ce qui se passe devant mes yeux efface tous les vices que j’ai connus tout le long de l’année.
Babette la saisit brutalement par les cheveux et l’attire à elle. Le visage de la caissière est tordu par une expression douloureuse. La fait s’étendre sur le lit. Exige d’elle qu’elle soulève lentement ses fesses. Qu’elle ramène ses genoux sous son ventre. Qu’elle creuse le dos, pour mieux étaler sa croupe. Fait balloter les sphères en les écartant davantage pour exhiber, au-dessus de la chatte entrouverte, un anus bosselé et poilu, d’un rouge si vif qu’il paraît déjà irrité.
Je n’en peux plus. Je vais finir par jouir sans me toucher. J’ôte précipitamment mon pantalon et m’avance, pénis dressé, en direction du lit. Babette me lance un regard complice. Elle approuve mon initiative et ne peut dissimuler son envie à la vue de ma queue gonflée. Elle porte la main, caressant ma queue de sa paume.La caissière reste dans sa posture, croupe levée, offerte. Mais tourne la tête par agacement, impatiente d’avoir la suite.
-Alors ? Lâche-t-elle, vous m’avez mise dans un état terrible. Vous n’allez pas me laisser comme ça !
Devant tant de dévergondage, je me mets à genoux, et je pose mon visage entre ses fesses et respire son odeur forte et poivrée.
Ma langue s’approche de son sexe. Que je mordille en accentuant ma pression sur sa vulve gonflée.
-Oui…oui… continue bouffe moi dévore moi… j’en ai trop envie !
Je glisse ma langue entre les deux lèvres, pour goûter à ses fluides.
-Il lèche divinement, n’est-ce pas ? Lâche Babette qui commence à entamer une agréable masturbation.
Pour ma part, je déguste Nadia de la langue, de mes doigts. Au centre de mon corps, une bouche chaude remplace bientôt la main. J'envoie mon index, titiller l’anus de Nadia. Qui vient à ma rencontre pour que je l’ouvre profondément. Cette dernière se tasse suite à la fouille de ses deux trous, l’amenant à un orgasme violent qui la fait se triturer en même temps très fort les seins.
-Oui… oui, le salaud me fait décoller !
Pas le temps de souffler que déjà Babette m’agrippe par les cheveux pour m’attirer à elle. Je plonge dans une fente dont une abondante production de mouille s’écoule. Dont j’honore ! Les deux femmes sur le lit, s’embrassent en frottant leurs poitrines. De mon côté, je m’applique à lécher Babette. À picoter son cul pour son grand plaisir.
-Mets…mets la moi vite mon chou… j’ai trop envie…
Pensant à mon plaisir, je me redresse et pose ma queue sur la cible. Que j’enfile d’un coup pendant que la caissière regarde. Sa main caresse alternativement mes couilles et l’anus de Babette. Feuillette nos chairs pendant que j’astique la femme d’Antoine. La coquine prend l’initiative d’écarter mes fesses et se met à lécher mon anus avidement, tout en nous caressant et en pénétrant doucement mon anus de son index, augmentant mes sensations au point que je dois prendre sur moi pour ne pas gicler trop vite.
Le devinant, Babette m’invite à m’occuper de Nadia. Je lui souris et retire mon sexe de sa fente que Nadia s’empresse de sucer. Comme pour le nettoyer, avant de se placer à genoux pour prendre la position levrette. Je m’enfonce dans son sexe ouvert.
Elle remue du cul et se met à téter la fente de Babette qui extériorise son bien-être. L’odeur de chattes en ruts remplit la chambre. Ce n’est plus tenable pour moi. Je ne peux me retenir plus longtemps, alors je me laisse aller. J’éjacule en le faisant savoir. De longues rasades alors qu’en même temps Babette jouit sous la langue de Nadia. Je m’affale sur elle tout en lui caressant la chatte.
Nous nous retrouvons tous les trois sur le lit. Irrécupérable, je profite de l’instant pour lécher subtilement puis gloutonnement les gros seins de Nadia, pendant qu’elle se caresse et que Babette l’aide. Comme un commun accord, moi et Babette, nous glissons entre les cuisses de la jeunette, et nos deux langues l’amènent rapidement à un orgasme qui la fit crier fort.
Je frotte ma queue contre les fesses de Babette. Comme à son habitude, elle a un besoin naturel. Je la suis jusqu’au toilettage. Alors qu’elle prend place sur la cuvette, cuisses écartées, je me mets à genoux tout près de son sexe et elle se laisse aller pendant que je colle ma bouche contre elle et qu’elle m’arrose de sa douche dorée et chaude en gémissant, excitée par la situation, elle pisse longuement et je goûte avec extase son nectar, puis essuie sa fente avec ma langue, recueillant une mouille abondante mêlée à de la pisse.
La nuit fut pleine de surprises hautement excitantes. J’ai pris leurs deux culs alternativement alors qu’elles étaient couchées l’une sur l’autre.
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