Le retour d'Ulrich - histoire érotique

La mère supérieure du couvent des Dames, fait appelle au moine Ulrich, car elle n'arrive pas à driver une jeune none récalcitrante. Ulrich a la réputation d'être lubrique et pervers, c'est pour cette raison que Sœur Anna a recours à ses services.

Ulrich, ce moine bedonnant, petit et trapu, jusqu'à présent, à réussit à mater les insoumises quelles, qu'elles soient. Il est accompagné, dans sa tâche, de Frère Paul, un moine qui lui est très dévoué. La vieille mère fait entrer les deux hommes dans son bureau et leur explique qu'elle ne s'en sort pas avec la novice forte tête. Ulrich se frotte les mains en souriant et dit :


-Je peux voir la rebelle !


Sœur Anna fait demander la jeune novice. Aurélie est une grande fille élancée, avec des formes que cache mal sa longue aube de lin qui lui arrive aux chevilles. Elle regarde Ulrich, d'un sale œil. Le moine la dévisage et lui dit :

-Baisse les yeux, et regarde le sol, je vais te mater moi !

Il s'adresse à sœur Anna :


-Elle a fait quoi cette petite furie !


-Je l'ai surprise à plusieurs reprises, entrain de se masturber et se pénétrer avec une bougie, malgré mes menaces et les isolements dans sa cellule, elle reiter, elle se doigte en gémissant comme une bête !

Ulrich regarde sœur Anna en souriant. Lorsqu'elle raconte les faits, elle ravale sa salive, en serrant les dents et les poings. Ulrich est un vieux briscard, il se doute que la mère supérieure, mouille lorsqu'elle raconte ce qu'elle a vu. Il regarde Aurélie et lui demande de se mettre nue. Elle rechigne, mais avec l'aide de Paul, elle se retouve entièrement nue. Ulrich fait le tour de la none en souriant et dit :

-Je comprends qu'elle se masturbe, un corps comme le sien, a besoin de caresse, voir plus !


Anna ne quitte pas des yeux le corps nu d'Aurélie, elle se tremousse doucement sur sa chaise en cherchant la position idéale, pour que les grandes lèvres de sa chatte se frottent l'une contre l'autre à chacun de ses mouvements. Ulrich fait pencher en avant Aurélie et lui dit autoritairement :

-Écarte tes fesses et montre-nous ton anus !


Aurélie prend cela pour un jeu, elle ecarte le plus possible ses lobes charnus et s'expose en face des voyeurs. Ulrich ajoute :

-Ouvre ta chatte maintenant en te cambrant fortement en arrière !

La novice s'exécute, ses longs doigts écartent les grandes lèvres. Ulrich se penche pour admirer la gaine rouge, il dit en souriant :

-Cet endroit a besoin d'être labouré, il estb en jachère, aller allonge-toi sur le banc et Fait voir comment tu te branles !


Surprise de cette demande, Aurélie hésite. Ulrich s'approche d'elle et lui dit :

— Je te le répète, branle-toi salope !


Il lui donne une claque sur un sein, pour la motiver. Aurélie connait la réputation du moine, elle sait que si elle n'obeit pas cela va être l'enfer pour elle. Elle s'allonge sur le banc et commence doucement à se caresser la chatte. De sa main libre, elle ecarte les grandes lèvres vaginales, et enfonce deux doigts dans la gaine humide. Ulrich est très souriant, dit à sœur Anna donne lui une grosse bougie pour voir comment elle fait. Anna s'avance en tenant dans sa main l'engin de cire. Elle le donne à Aurélie, qui habilement se l'enfonce profondément dans le vagin et entreprend un va-et-vient. Anna sort de ses gonds, elle saisit brusquement la bougie et ramone rageusement la chatte de la jeune none en rageant :

-Non, non, dieu te punira pour ce que tu fais salope, c'est immonde de se faire des choses immorales, tu iras en enfer !

Tout en vociférant, Anna défonce la chatte d'Aurélie. Ulrich ricane, il est certain que la mère supérieure et une hystérique en manque de bites. Il observe un long moment le ramonage de la chatte de la novice avant d'intervenir. Il s'avance et retrousse sa robe de bure, il bande comme un cheval, il fait un signe à frère Paul qui comprend ce que veut Ulrich. Il accroche à la robe d'Anna et la lui replie sur les reins. Sous leurs longues robes, les sœurs et les frères sont nus. Ulrich regarde la chatte poilue d'Anna qui laisse échapper son jus. Trop, occuper de forer Aurélie, elle ne realise pas ce qu'il lui arrive.


Le moine passe sa grosse main rapeuse sur la chatte, enfonce aisément trois doigts dedans, et avec violence lui ramone le conduit gorgé de cyprine. Anna se cabre en gémissant, mais elle ne delaisse pas sa proie, au contraire, elle lui défonce la chatte avec la bite de cire. Ulrich retire ses doigts et présente à la chatte en feu, sa bite large et épaisse. Il l'enfonce d'un coup dans le ventre de la mère et s'accroche à ses hanches. Prise en levrette, Anna qui n'a connu pas beaucoup de bite pousse des râles d'enfer. Ulrich lui défonce la chatte avec des grands coups de bélier. Anna lâche la bougie et tombe a genoux sur le sol, Ulrich est toujours planté en elle, il lui travaille la chatte comme un soudard, jusqu'à ce que sœur Anna jouisse.

Paul attend les ordres de son maitre, pour pouvoir agir aussi. Ulrich s'acharne sur Anna, il dit entre deux hans qu'il pousse.


- Baisse la jeunette, Paul, punis là, pendant que je fini cette vieille peau !

Paul prend place entre les cuisses ouvertes d'Aurélie et lui enfonce son glaive profondément dans le ventre. Il commence ce qu'il croit être une punission. Aurélie s'accroche à lui en gémissant de plaisir. Ulrich fait hurler de plaisir Anna qui le supplie :

-Oh Ulrich, encore, encore, je vais mourir, oh oui, oui, je vais jouiiiiiiiiiiiir!

Anna défaille, elle jouit enfin sans avoir recours à ses doigts ou tout autres artifices. Le gros moine, donne encore quelques coups terribles de reins avant de déverser sa semence visqueuse dans le ventre de la demandeuse. Paul s'agite, la chatte d'Aurélie est étroite, sa bite en enserrée dans la gaine brulante, et cela lui procure un plaisir immense. Il ressort sa bite, pour la replonger d'un coup violent. Aurélie subit le mandrin de son amant en gémissant de bonheur. Ulrich se retire du ventre d'Anna, sa bite gluante laisse tomber sur le sol quelques gouttelettes de sperme. Le bougre bande comme un étalon. Il s'approche de Paul, lui retrousse sa robe et présente à l'anus son braquemart épais, et l'enfonce d'un seul coup de reins, jusqu'aux couilles. Paul pousse un gémissement, terrible, il dit :

-Oh, Ulrich, Ulrich mon maitre, tape fort dans le cul de ton esclave, oh comme c'est bon !

Paul, surement habitué, à ce genre d'exercice, gémit tout en défonçant Aurélie. La soumise geint à chaque enfoncement du pieu de Paul, elle se cabre et jouit en gémissant. L'enculage sévère que subit le moine est bénéfique, il envoie dans la chatte d'Aurélie un flot abondant de sperme. Ulrich serre les dents, il adore le cul de Paul, c'est pour cette raison qu'il le visite souvent. Encore quelques estocades et Ulrich envoie la sauce dans le cul de Paul, qui pousse un gémissement terrible en jouissant une seconde fois.

Enfin, les bites quittent les corps, et elles sont offertes aux deux femmes qui, avec voracités, suce et tète les manches gorgés de sangs, jusqu'à ce qu'ils envoies leur semence. Aurélie attend avec impatience la suite de la punission. Anna, essoufflée, caresse la poitrine opulente de la none, elle etire les mamelons, les écrase entre ses doigts noueux, elle a envie d'Aurélie la vieille gourmande. Elle finit par tomber à genoux entre ses cuisses et à lui dévorer la chatte. Ulrich attendait cette position depuis un moment, il presente à l'anus de la mère supérieure son gland et l'enfonce sans préliminaires dans le rectum d'Anna qui pousse un cri de douleur.


Rapidement, la vieille commence à prendre du plaisir à l'enculage violent que lui impose Ulrich. Elle jouit du cul tout en faisant Jouir Aurélie avec sa bouche