Le réveil d'un autiste 2. Audrey
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le réveil d'un autiste 2. Audrey
Une famille tuyau de poêle, et quel tuyau !!!
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine.
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Audrey
Audrey comme sa sœur Barbara est une fille assez grande, 1m 72 pour 62 kilos, sportive, bien proportionnée, un bon 90C, des fesses fermes et musclées sans un atome de cellulite. Elle a fait venir Narcisse dans sa chambre pour un problème de chasse d’eau. Une fois le problème réglé par son cousin, il l’utilise aussitôt pour uriner sans aucune gêne, sortant son organe et le tenant d’une main d’où sort un jet doré qui atterrit au centre de la cuvette. Son pantalon est descendu sur ses cuisses et Audrey voit son slip, informe. Elle décide donc de commander sur un site des boxer aux design beaucoup plus moderne et coloré.
Quelques jours plus tard, elle reçoit sa commande par un livreur masqué. Elle appelle donc son cousin de nouveau dans sa chambre. Quand il arrive, Narcisse lui demande ce qui ne va pas, ce qu’il doit réparer ou changer.
-Ce que tu dois changer, Narcisse, c’est de sous-vêtements, tes slips sont à chier, allez, à poils et enfile ça !
Sans y voir aucun mal et étant donné que la nudité dans cette famille ne pose aucun problème, il retire pantalon et slip et passe le boxer que lui tend sa cousine. La taille choisie par Audrey est un peu limite et le tissu colle à la peau de son cousin, moulant la verge de Narcisse mal positionnée, il glisse sa main dans le caleçon pour la redresser lui offrant ainsi à un spectacle digne d'un appel au viol. Audrey réalise que c'est encore plus érotique que si son cousin était complètement nu devant elle. Elle s'approche de lui et caresse avec envie la bosse verticale qui déforme l'avant du boxer. Mais comme à son habitude, Narcisse ne réagit pas à cette excitation. Vexée, Audrey se jure d'arriver à faire bander son presque-frère et retente plusieurs jours de suite l'expérience mais elle n’arrive à rien.
Six jours plus tard, elle se rend dans la chambre de Narcisse et le trouve étendu sur son lit, n'ayant comme seul vêtement qu’un tee-shirt et un boxer. Pendant sa sieste, Narcisse comme beaucoup d’hommes a une érection réflexe qui ne nécessite aucune stimulation sexuelle pour survenir. La verge de Narcisse étant coincée contre sa jambe droite par le boxer, elle n'a pas eu d'autre choix que de grandir dans cette position. Mais ce qui surprend Audrey, c'est que le gland tout entier et même un peu plus ressort à l'air libre le long de la jambe de son cousin. Elle sait très bien que son organe au repos a déjà de belles proportions mais là, ça dépasse l’entendement.
Elle veut en avoir le cœur net, soulève avec la main gauche le boxer et de sa main droite va prendre l'organe tendu pour lui donner un peu plus de liberté. Mais elle n'y arrive pas donc elle baisse au maximum le boxer sur les cuisses de Narcisse pour réussir enfin à extraire son chibre.
Libéré des contraintes, le mandrin peut enfin s’exprimer et le sang affluer plus facilement. Il ne prend peut-être pas beaucoup plus de centimètres mais la circonférence augmente encore. Audrey a devant elle une verge impressionnante et tellement courbée qu’il n’y a que le gland qui touche le ventre de son cousin bien au-delà du nombril. Elle remet en place le boxer comme elle peut mais la ceinture élastique du sous vêtement ne peut cacher les nombreux centimètres qui en dépassent et la forte courbure de cette verge forme une protubérance arrondie qu’épouse au plus près son caleçon offrant un spectacle hyper érotique à Audrey.
Voulant enfin profiter de cette érection tant attendue, Audrey réveille son cousin en l'embrassant sur la bouche et une fois qu'elle s’est bien assurée qu’il a retrouvé tous ses esprits, elle pose de nouveau la main sur le gourdin et attire son attention :
-Eh tu bandes Narcisse, et pas qu'un peu ! Me permets-tu de jouer un peu avec ton instrument ?
Narcisse et peut-être un peu autiste, mais il est loin d'être idiot. Il y a longtemps qu'il s'est rendu compte que toutes ses cousines essayaient de le faire bander mais quelque chose chez lui, un élément déclencheur manquait. Comment refuser à Audrey de profiter enfin de son état. Dans son esprit, ou plutôt dans son cerveau, une connexion supplémentaire vient de s’établir.
-Je te donne carte blanche Audrey, je ne sais pas ce qui m'arrive.
Elle n'en demandait pas tant et lui ordonne de se lever et de retirer son maillot et son boxer. Il s'exécute sans rechigner et Audrey découvre enfin son cousin sous un autre angle. Déjà la raideur de la verge de Narcisse sort de l'ordinaire. Elle a la forme d'un sabre de corsaire avec une courbure si prononcée que la bête déjà dressée bien plus haut que l'horizontal fait que le champignon massif est à peine à quelques centimètres de son ventre. Une association d'idées fait tilt dans sa tête. Elle s'appelle Audrey SABRE et se demande si le patronyme de sa famille ne serait pas dû à un de ses ancêtres ayant eu le même attribut que Narcisse.
Le sexe énorme dans toute sa vigueur la laisse baba et elle murmure entre ses lèvres rien que pour elle :
- Ben alors, ça c'est de la queue !
Elle s’approche pour mieux voir, fascinée, et lui demande si elle peut toucher. Narcisse ni voyant aucun mal acquiesce. Audrey s'empare de la virilité tendue et commence une délicieuse masturbation. La main froide le fait sursauter mais Narcisse a l’air d’apprécier, on dirait qu’il adore même.
- Je t'ai fait mal ? S'enquit-elle.
- Non, c'est juste que tu as la main froide.
Ça la fait sourire. Elle n'arrête pas pour autant sa caresse.
Il lui demande innocemment.
- C'est donc ça être branlé ?
- Exactement « frérot ». Tiens, fais-le un peu toi-même.
Audrey lâche le membre pour laisser son cousin s'amuser aussi. Le gros dard plus retenu comme monté sur ressort vient taper sur le bas-ventre du garçon. Il se saisit de son sabre et trouve aussitôt le bon rythme et la bonne pression.
Mais elle est frustrée et reprend d'autorité la bite en main et s'active plus rapidement. Cela fait tout de suite son effet car le plaisir qu'elle lui procure se lit sur son visage. C'est la première fois qu'une fille le branle et il ne pensait pas que cela fût aussi bon.
Elle continue d’astiquer la grosse queue devant son visage, sentant la résistance de l’organe d’être tiré à l’horizontal. Audrey est excitée comme une malade et accélère le mouvement jusqu’à un certain point puis s’arrête ou fait de petits mouvements saccadés. L’énorme queue en gros plan, associée à son astiquage font que sa culotte est à essorer. Audrey n'y tient plus, approche ses lèvres et ouvre la bouche, tire sa langue pour la passer sur le gland cramoisi, titille le méat puis explore la totalité de la hampe jusqu'aux bourses prises dans les poils drus du bas-ventre de son cousin.
Elle recommence plusieurs fois avant de prendre la prune violette dans sa bouche. Elle doit écarter ses mâchoires au maximum mais malgré tout son bon vouloir n'arrive qu’à avaler que quelques centimètres de plus de ce phallus hors norme. Pendant plus d'une demi-heure elle s'escrime de toutes les façons possibles sur la lance de son cousin mais n'arrive pas à le faire cracher, ce qui est étonnant car en général les puceaux lors de leur première fois ont plutôt l'habitude d'être des éjaculateurs précoces.
Un appel pressant de sa sœur la ramène à la réalité. Elle abandonne donc Narcisse sans avoir réussi à le faire jouir. Elle est déçue mais se promet de recommencer le plus vite possible.
Les jours suivants sous des prétextes futiles, elle l’attire dans sa chambre pour recommencer l'expérience. Narcisse est grand et assez beau garçon, ses pectoraux et ses abdominaux constituant à eux-seuls un véritable plaisir du regard. Elle lèche cette musculature rêvée et s’agenouille devant le tissu qui cache sa verge. Audrey enlève doucement le boxer pour admirer l’imposant engin dont dispose son cousin. En quelques caresses maintenant, le pénis flasque reprend la forme de sabre si particulière. La verge est épaisse, le prépuce ne peut cacher un gland violacé énorme.
Audrey ne sait pas si cette vision incestueuse déforme la véritable taille de ce boutefeu mais elle reconnait que son cousin est incroyablement bien monté et elle ne rêve que d’une chose ; s’empaler sur l’énorme verge car malgré les grosses bites qu’elle a déjà connues, Audrey n’a jamais « pratiqué » un chibre pareil, d'un diamètre exceptionnellement large comme une courgette et en ayant aussi la longueur et la forme tordue.
Extrêmement excitée par cet engin, elle s’agenouille pour présenter la queue devant son visage. Elle adore sucer une bite et une de cette taille la met dans tous ses états. Elle ouvre toute grande sa bouche et gobe son cousin, se régale à sucer cette grosse queue mais une question la taraude, s'il m'encule, est-ce que sa bite rentrera dans mon cul ? Mais ça fait trop longtemps qu’elle est à la diète. Elle ne peut plus attendre et saute véritablement sur le pénis de son jeune partenaire.
Son ventre la cuit, ses seins se transforment de pommes en obus. Audrey l’attire contre elle. Le seul contact de leurs peaux nues lui arrache un râle d’émoi. Elle le force à s’étendre sur le lit, le chevauche et descend droit sur son pénis dur et luisant de sa salive. Elle écarte ses lèvres intimes et guide d’une main fébrile l’énorme virgule qui la pénètre enfin et la sensation est intense. Le pieu est si formidable qu’il semble que son vagin va se déchirer mais elle est si mouillée que la bête glisse de plus en plus loin. Audrey se mord la lèvre inférieure pour éviter de hurler, regardant en bas pour voir cette poutre entrer en elle et écarter ses chairs sans pitié. Le gland touche le fond de son vagin et pourtant une partie de son bélier dépasse encore. La douleur/plaisir la rend folle mais la sensation d’être aussi pleine et possédée par son étalon de cousin la force à en vouloir encore plus. Elle monte et descend sur cette axe, gémissante et criante mais acceptant ce membre si viril. Son sexe vibre, broyant la verge de ses muscles intimes. Il gémit mais rien n’y fait. Elle a déjà connu plusieurs orgasmes mais lui n’a toujours pas joui. Pendant presque deux heures, elle a tout essayé, faisant découvrir à Narcisse des positions plus acrobatiques les unes que les autres. Ils sont tous les deux épuisés, mais le sabre est toujours sorti de son fourreau, toujours aussi dur, toujours prêt à forniquer, ses couilles sont toujours aussi pleines. Ils sont si essorés qu’ils s’endorment de fatigue.
Elle a beau retenter plusieurs fois l’expérience, rien n’y fait. Mais si lui n’atteint pas l’orgasme, elle ne s’en prive pas.
Quelques jours après en sortant de sa chambre, Audrey découvre une tâche suspecte dans le couloir juste devant la porte de sa chambre et se doute de quoi il s’agit. Ont-ils été espionnés, et par qui ?
A suivre… Barbara.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine.
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Audrey
Audrey comme sa sœur Barbara est une fille assez grande, 1m 72 pour 62 kilos, sportive, bien proportionnée, un bon 90C, des fesses fermes et musclées sans un atome de cellulite. Elle a fait venir Narcisse dans sa chambre pour un problème de chasse d’eau. Une fois le problème réglé par son cousin, il l’utilise aussitôt pour uriner sans aucune gêne, sortant son organe et le tenant d’une main d’où sort un jet doré qui atterrit au centre de la cuvette. Son pantalon est descendu sur ses cuisses et Audrey voit son slip, informe. Elle décide donc de commander sur un site des boxer aux design beaucoup plus moderne et coloré.
Quelques jours plus tard, elle reçoit sa commande par un livreur masqué. Elle appelle donc son cousin de nouveau dans sa chambre. Quand il arrive, Narcisse lui demande ce qui ne va pas, ce qu’il doit réparer ou changer.
-Ce que tu dois changer, Narcisse, c’est de sous-vêtements, tes slips sont à chier, allez, à poils et enfile ça !
Sans y voir aucun mal et étant donné que la nudité dans cette famille ne pose aucun problème, il retire pantalon et slip et passe le boxer que lui tend sa cousine. La taille choisie par Audrey est un peu limite et le tissu colle à la peau de son cousin, moulant la verge de Narcisse mal positionnée, il glisse sa main dans le caleçon pour la redresser lui offrant ainsi à un spectacle digne d'un appel au viol. Audrey réalise que c'est encore plus érotique que si son cousin était complètement nu devant elle. Elle s'approche de lui et caresse avec envie la bosse verticale qui déforme l'avant du boxer. Mais comme à son habitude, Narcisse ne réagit pas à cette excitation. Vexée, Audrey se jure d'arriver à faire bander son presque-frère et retente plusieurs jours de suite l'expérience mais elle n’arrive à rien.
Six jours plus tard, elle se rend dans la chambre de Narcisse et le trouve étendu sur son lit, n'ayant comme seul vêtement qu’un tee-shirt et un boxer. Pendant sa sieste, Narcisse comme beaucoup d’hommes a une érection réflexe qui ne nécessite aucune stimulation sexuelle pour survenir. La verge de Narcisse étant coincée contre sa jambe droite par le boxer, elle n'a pas eu d'autre choix que de grandir dans cette position. Mais ce qui surprend Audrey, c'est que le gland tout entier et même un peu plus ressort à l'air libre le long de la jambe de son cousin. Elle sait très bien que son organe au repos a déjà de belles proportions mais là, ça dépasse l’entendement.
Elle veut en avoir le cœur net, soulève avec la main gauche le boxer et de sa main droite va prendre l'organe tendu pour lui donner un peu plus de liberté. Mais elle n'y arrive pas donc elle baisse au maximum le boxer sur les cuisses de Narcisse pour réussir enfin à extraire son chibre.
Libéré des contraintes, le mandrin peut enfin s’exprimer et le sang affluer plus facilement. Il ne prend peut-être pas beaucoup plus de centimètres mais la circonférence augmente encore. Audrey a devant elle une verge impressionnante et tellement courbée qu’il n’y a que le gland qui touche le ventre de son cousin bien au-delà du nombril. Elle remet en place le boxer comme elle peut mais la ceinture élastique du sous vêtement ne peut cacher les nombreux centimètres qui en dépassent et la forte courbure de cette verge forme une protubérance arrondie qu’épouse au plus près son caleçon offrant un spectacle hyper érotique à Audrey.
Voulant enfin profiter de cette érection tant attendue, Audrey réveille son cousin en l'embrassant sur la bouche et une fois qu'elle s’est bien assurée qu’il a retrouvé tous ses esprits, elle pose de nouveau la main sur le gourdin et attire son attention :
-Eh tu bandes Narcisse, et pas qu'un peu ! Me permets-tu de jouer un peu avec ton instrument ?
Narcisse et peut-être un peu autiste, mais il est loin d'être idiot. Il y a longtemps qu'il s'est rendu compte que toutes ses cousines essayaient de le faire bander mais quelque chose chez lui, un élément déclencheur manquait. Comment refuser à Audrey de profiter enfin de son état. Dans son esprit, ou plutôt dans son cerveau, une connexion supplémentaire vient de s’établir.
-Je te donne carte blanche Audrey, je ne sais pas ce qui m'arrive.
Elle n'en demandait pas tant et lui ordonne de se lever et de retirer son maillot et son boxer. Il s'exécute sans rechigner et Audrey découvre enfin son cousin sous un autre angle. Déjà la raideur de la verge de Narcisse sort de l'ordinaire. Elle a la forme d'un sabre de corsaire avec une courbure si prononcée que la bête déjà dressée bien plus haut que l'horizontal fait que le champignon massif est à peine à quelques centimètres de son ventre. Une association d'idées fait tilt dans sa tête. Elle s'appelle Audrey SABRE et se demande si le patronyme de sa famille ne serait pas dû à un de ses ancêtres ayant eu le même attribut que Narcisse.
Le sexe énorme dans toute sa vigueur la laisse baba et elle murmure entre ses lèvres rien que pour elle :
- Ben alors, ça c'est de la queue !
Elle s’approche pour mieux voir, fascinée, et lui demande si elle peut toucher. Narcisse ni voyant aucun mal acquiesce. Audrey s'empare de la virilité tendue et commence une délicieuse masturbation. La main froide le fait sursauter mais Narcisse a l’air d’apprécier, on dirait qu’il adore même.
- Je t'ai fait mal ? S'enquit-elle.
- Non, c'est juste que tu as la main froide.
Ça la fait sourire. Elle n'arrête pas pour autant sa caresse.
Il lui demande innocemment.
- C'est donc ça être branlé ?
- Exactement « frérot ». Tiens, fais-le un peu toi-même.
Audrey lâche le membre pour laisser son cousin s'amuser aussi. Le gros dard plus retenu comme monté sur ressort vient taper sur le bas-ventre du garçon. Il se saisit de son sabre et trouve aussitôt le bon rythme et la bonne pression.
Mais elle est frustrée et reprend d'autorité la bite en main et s'active plus rapidement. Cela fait tout de suite son effet car le plaisir qu'elle lui procure se lit sur son visage. C'est la première fois qu'une fille le branle et il ne pensait pas que cela fût aussi bon.
Elle continue d’astiquer la grosse queue devant son visage, sentant la résistance de l’organe d’être tiré à l’horizontal. Audrey est excitée comme une malade et accélère le mouvement jusqu’à un certain point puis s’arrête ou fait de petits mouvements saccadés. L’énorme queue en gros plan, associée à son astiquage font que sa culotte est à essorer. Audrey n'y tient plus, approche ses lèvres et ouvre la bouche, tire sa langue pour la passer sur le gland cramoisi, titille le méat puis explore la totalité de la hampe jusqu'aux bourses prises dans les poils drus du bas-ventre de son cousin.
Elle recommence plusieurs fois avant de prendre la prune violette dans sa bouche. Elle doit écarter ses mâchoires au maximum mais malgré tout son bon vouloir n'arrive qu’à avaler que quelques centimètres de plus de ce phallus hors norme. Pendant plus d'une demi-heure elle s'escrime de toutes les façons possibles sur la lance de son cousin mais n'arrive pas à le faire cracher, ce qui est étonnant car en général les puceaux lors de leur première fois ont plutôt l'habitude d'être des éjaculateurs précoces.
Un appel pressant de sa sœur la ramène à la réalité. Elle abandonne donc Narcisse sans avoir réussi à le faire jouir. Elle est déçue mais se promet de recommencer le plus vite possible.
Les jours suivants sous des prétextes futiles, elle l’attire dans sa chambre pour recommencer l'expérience. Narcisse est grand et assez beau garçon, ses pectoraux et ses abdominaux constituant à eux-seuls un véritable plaisir du regard. Elle lèche cette musculature rêvée et s’agenouille devant le tissu qui cache sa verge. Audrey enlève doucement le boxer pour admirer l’imposant engin dont dispose son cousin. En quelques caresses maintenant, le pénis flasque reprend la forme de sabre si particulière. La verge est épaisse, le prépuce ne peut cacher un gland violacé énorme.
Audrey ne sait pas si cette vision incestueuse déforme la véritable taille de ce boutefeu mais elle reconnait que son cousin est incroyablement bien monté et elle ne rêve que d’une chose ; s’empaler sur l’énorme verge car malgré les grosses bites qu’elle a déjà connues, Audrey n’a jamais « pratiqué » un chibre pareil, d'un diamètre exceptionnellement large comme une courgette et en ayant aussi la longueur et la forme tordue.
Extrêmement excitée par cet engin, elle s’agenouille pour présenter la queue devant son visage. Elle adore sucer une bite et une de cette taille la met dans tous ses états. Elle ouvre toute grande sa bouche et gobe son cousin, se régale à sucer cette grosse queue mais une question la taraude, s'il m'encule, est-ce que sa bite rentrera dans mon cul ? Mais ça fait trop longtemps qu’elle est à la diète. Elle ne peut plus attendre et saute véritablement sur le pénis de son jeune partenaire.
Son ventre la cuit, ses seins se transforment de pommes en obus. Audrey l’attire contre elle. Le seul contact de leurs peaux nues lui arrache un râle d’émoi. Elle le force à s’étendre sur le lit, le chevauche et descend droit sur son pénis dur et luisant de sa salive. Elle écarte ses lèvres intimes et guide d’une main fébrile l’énorme virgule qui la pénètre enfin et la sensation est intense. Le pieu est si formidable qu’il semble que son vagin va se déchirer mais elle est si mouillée que la bête glisse de plus en plus loin. Audrey se mord la lèvre inférieure pour éviter de hurler, regardant en bas pour voir cette poutre entrer en elle et écarter ses chairs sans pitié. Le gland touche le fond de son vagin et pourtant une partie de son bélier dépasse encore. La douleur/plaisir la rend folle mais la sensation d’être aussi pleine et possédée par son étalon de cousin la force à en vouloir encore plus. Elle monte et descend sur cette axe, gémissante et criante mais acceptant ce membre si viril. Son sexe vibre, broyant la verge de ses muscles intimes. Il gémit mais rien n’y fait. Elle a déjà connu plusieurs orgasmes mais lui n’a toujours pas joui. Pendant presque deux heures, elle a tout essayé, faisant découvrir à Narcisse des positions plus acrobatiques les unes que les autres. Ils sont tous les deux épuisés, mais le sabre est toujours sorti de son fourreau, toujours aussi dur, toujours prêt à forniquer, ses couilles sont toujours aussi pleines. Ils sont si essorés qu’ils s’endorment de fatigue.
Elle a beau retenter plusieurs fois l’expérience, rien n’y fait. Mais si lui n’atteint pas l’orgasme, elle ne s’en prive pas.
Quelques jours après en sortant de sa chambre, Audrey découvre une tâche suspecte dans le couloir juste devant la porte de sa chambre et se doute de quoi il s’agit. Ont-ils été espionnés, et par qui ?
A suivre… Barbara.
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Les avis des lecteurs
Qui va le faire jouir?
De vraies petites salopes
Il était innocent, avant que...
Je ne le nie pas
L'avatar a aussi un sacré sabre