Le réveil d'un autiste, la préparatrice en pharmacie
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le réveil d'un autiste, la préparatrice en pharmacie
Un vrai miracle.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
La préparatrice en pharmacie.
Je m’appelle Lou-Hi-THO mais tout le monde préfère dire Lou. Mon père a épousé une Thaïlandaise et ils sont revenu habiter en France à ma naissance.
J'ai 26 ans et fait des études pour être infirmière mais finalement j'ai fini comme pharmacienne. Pour le moment je suis préparatrice en pharmacie depuis deux ans dans ce petit village. Je suis assez menue, je mesure 1 m 60, j'ai une petite poitrine orgueilleuse et d'après ce que je sais, je plais beaucoup à la gent masculine.
Je connais bien Narcisse qui vient régulièrement avec sa maman. Il est très introverti mais j'ai la chance qu'entre lui et moi tout se passe bien. Je connais son léger handicap et ne cherche pas à le brusquer. Depuis le COVID, je vois beaucoup moins de monde et suis surprise de le voir rentrer dans la pharmacie tout seul. Il attend que je sois libre pour venir à moi et me tend un papier sur lequel est marqué les désidératas de ses sœurs. Je lui prépare tout ça et lui demande s'il a besoin d'autre chose. Comme d'habitude il me répond avec une franchise déconcertante.
-J'ai besoin d'une boîte de préservatifs mais mes sœurs m’ont dit de bien spécifier qu’il me faudrait une taille au moins triple XL sinon plus. Je ne sais pas ce que ça veut dire mais je m'en remets entièrement à vous.
Il m'est arrivé déjà plusieurs fois que des hommes me demandent la même chose mais quand je leur demande qu'ils me prouvent qu'ils n'affabulent pas en me montrant l'objet correspondant à leur demande, ils ont vite fait de revenir à quelque chose de plus réaliste.
-Narcisse, tu n’exagères pas un peu ? Montre-moi ton sexe et je te dirai ce qu'il te faut.
Mais là, la réponse immédiate de Narcisse me stupéfie.
-Je ne savais pas qu’il fallait faire ça.
Je le vois aussitôt descendre ses mains vers son pantalon et ouvrir la braguette. Affolée, je le stoppe immédiatement mais pour ne pas le brusquer sachant la façon dont il réagit quelquefois, je lui demande de me suivre dans la salle de repos de la pharmacie.
Il reprend aussitôt dès la porte fermée comme si je ne l'avais pas interrompu et me présente, je dois le reconnaître, un pénis d'une assez belle taille malgré qu'il soit au repos.
-Narcisse, je dois reconnaître que tu n'es pas trop mal monté mais une taille XXL suffirait largement à ton bonheur. Me permets-tu de te retirer ton pantalon et ton boxeur pour avoir une vision plus réaliste de ta verge ? Et toujours sans aucun complexe, il me répond qu'il n'y voit aucun inconvénient.
J’abaisse donc jusqu'à ses chevilles les deux obstacles qui gâchent ma vue et constate aussi qu'il a une toison pubienne très drue. Comme s'il avait oublié ce détail, il me demande aussi.
-Ah oui, mes sœurs m’ont précisé de te demander si tu pouvais aussi t'occuper de ça.
On dirait que ma réputation de coiffeuse un peu spéciale est connue de toutes les filles du village et des alentours. Je suis plus habituée à tondre des femmes que des hommes, je dirais même plus que c'est la première fois que l'on me demande cela. Je sais que Narcisse n'aime pas qu'on le touche mais j'approche quand même ma main droite pour soulever la chose flasque pour constater que sa paire de couilles est aussi velue que son bas-ventre.
Sa première réaction instinctive est de reculer mais pour une fois il accepte que je le touche. J'assiste alors à un miracle, si je puis dire, et même à deux. Il me regarde et ses yeux expriment son assentiment et je sens immédiatement sans même branler sa queue qu’elle change de proportion. Jamais je n'ai vu un homme rentrer en érection aussi rapidement et aussi avec si peu d'excitation de ma part.
Son sexe se gorge de sang, s’allonge, croît encore et encore et s'affermit dans ma main qui a de plus en plus de mal à le contenir. Sa verge en durcissant prend une forme très incurvée vers le haut. Je n'ai jamais été confrontée de ma vie à un tel chibre !!! Je commence à comprendre la demande de ces sœurs, et d'ailleurs pourquoi ses sœurs font-elles ce genre de demande ? Je sais bien que Narcisse est un cas un peu spécial et qu'il lui faut parfois un peu d'aide pour exprimer ses désirs, mais pourquoi ses sœurs ?
Je l'abandonne quelques instants pour aller voir dans les réserves si je trouve chaussure à son pied, ou plutôt une capote adaptée à un tel engin. Je reviens à lui, m’agenouille pour essayer le plus grand modèle de condom que nous avons à disposition dans la pharmacie.
Je dois me rendre compte que si pour la longueur ça irait à peu près, le diamètre de cette trique fait que le préservatif a un diamètre un peu trop juste et lui étrangle la hampe.
Je suis quand même un peu secouée parce que je suis en train de faire mais quand le vin est tiré il faut le boire. Je lui annonce donc que je vais voir à commander des préservatifs plus adaptés pour lui. Je lui dis donc de revenir dans deux jours au moment de ma pause de midi et d’aller directement à mon studio qui se trouve derrière la pharmacie. J'en profiterai pour prendre tout ce qu'il faut pour le tondre en même temps.
Je réalise qu'il bande toujours comme un âne et lui dit qu'il ne peut pas sortir de cette pièce dans cet état. J'assiste alors à un nouveau miracle, en quelques secondes, la décroissance de sa verge est aussi rapide que la croissance de tout à l'heure. Comme j'ai les yeux en billes de loto et la bouche ouverte,
-Mais comment fais-tu ça Narcisse ?
il me répond innocemment en me demandant ce qui ne va pas.
-Comment je fais quoi ?
-Comment peux-tu bander et débander aussi vite et sans même que l'on ne te touche ? J'ai jamais vu ça.
-Pourquoi ? Ce n'est pas normal ? Je fais quelque chose de mal ?
-Non, non Narcisse je le rassure, tu ne fais rien de mal mais je n'ai jamais vu un homme réagir d'une telle façon. Tu peux le faire quand tu veux ?
-Oui, mais mes sœurs disent que je suis un cas à part, que ce n’est pas normal que j'arrive aussi à bander pendant des heures.
-Tu arrives à bander pendant des heures ? Et tu le fais devant tes cousines ? Et après avoir éjaculer combien de fois ?
-C'est là qu'elles disent que je ne suis pas normal, je n'arrive pas à jouir.
-Tu me parles de tes cousines à tout bout de champ, elles te tripotent ?
-Oui, elles aiment bien me branler, me sucer. Elles me demandent aussi souvent de mettre mon engin dans leur fente, et même ailleurs…
Putain !!! Elles ne s’embêtent-pas dans cette famille ? Il faut dire qu’elles font ceinture avec le confinement et avec un tel étalon sous le même toit… Qui leur jetterait la pierre ? Après toutes ces révélations, je décide de lui faire les prélèvements nécessaires pour être sûr qu’il n’a pas le COVID, ou même des traces. Je lui prélève donc un peu de sang et j’en profiterai pour rechercher aussi les maladies vénériennes. On ne sait jamais et des fois que…
Deux jours plus tard, Narcisse sonne à la porte de Lou.
-Bonjour, entre Narcisse.
-Bonjour Lou, je suis revenu comme tu me l'as demandé. As-tu trouvé ce qu'il me fallait ?
-Oui, je le rassure, j'ai commandé plusieurs marques qui font dans les très grandes tailles mais ce que je ne sais pas s'il te faut un modèle avec ou sans réservoir. On va déjà commencer par tondre la vraie forêt vierge qui cache la beauté de ce que tu as entre les jambes.
Comme d'habitude et sans aucun complexe il retire tous ses vêtements et se présente complètement nu à moi comme s’il n'y avait rien de plus naturel au monde. Il est quand même bien foutu et pas uniquement au niveau de son organe. J'adopte un sabot à ma tondeuse pour raser une grande partie de sa toison pubienne et me sers pour sa verge et ses testicules d'une crème épilatoire très efficace dont je les enduits avec abondance. Comme l'autre jour, j'assiste au même spectacle hallucinant de cette croissance exponentielle sans que je ne l’aie excité le moins du monde. C'est vraiment un cas.
Je me lance et masse avec douceur ses parties génitales et sa formidable verge recourbée avec la crème épilatoire pendant quelques minutes le temps que son efficacité soit au maximum. Je rince ensuite les parties enduites de crème épilatoire mais devant un tel mâle, j'en oublie mon professionnalisme et continue plus que de raison à pétrir ces bourses pleines et cette verge décidément très appétissante, si appétissante que j'y vais maintenant franchement des deux mains sans même m’en rendre compte. J'ouvre la bouche et gobe cette énorme prune, sa queue est si raide et se dresse tellement haut qu'elle m'offre beaucoup de résistance quand je l'amène à l'horizontale pour pouvoir en prendre le bout en bouche.
A suivre… Lou.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
La préparatrice en pharmacie.
Je m’appelle Lou-Hi-THO mais tout le monde préfère dire Lou. Mon père a épousé une Thaïlandaise et ils sont revenu habiter en France à ma naissance.
J'ai 26 ans et fait des études pour être infirmière mais finalement j'ai fini comme pharmacienne. Pour le moment je suis préparatrice en pharmacie depuis deux ans dans ce petit village. Je suis assez menue, je mesure 1 m 60, j'ai une petite poitrine orgueilleuse et d'après ce que je sais, je plais beaucoup à la gent masculine.
Je connais bien Narcisse qui vient régulièrement avec sa maman. Il est très introverti mais j'ai la chance qu'entre lui et moi tout se passe bien. Je connais son léger handicap et ne cherche pas à le brusquer. Depuis le COVID, je vois beaucoup moins de monde et suis surprise de le voir rentrer dans la pharmacie tout seul. Il attend que je sois libre pour venir à moi et me tend un papier sur lequel est marqué les désidératas de ses sœurs. Je lui prépare tout ça et lui demande s'il a besoin d'autre chose. Comme d'habitude il me répond avec une franchise déconcertante.
-J'ai besoin d'une boîte de préservatifs mais mes sœurs m’ont dit de bien spécifier qu’il me faudrait une taille au moins triple XL sinon plus. Je ne sais pas ce que ça veut dire mais je m'en remets entièrement à vous.
Il m'est arrivé déjà plusieurs fois que des hommes me demandent la même chose mais quand je leur demande qu'ils me prouvent qu'ils n'affabulent pas en me montrant l'objet correspondant à leur demande, ils ont vite fait de revenir à quelque chose de plus réaliste.
-Narcisse, tu n’exagères pas un peu ? Montre-moi ton sexe et je te dirai ce qu'il te faut.
Mais là, la réponse immédiate de Narcisse me stupéfie.
-Je ne savais pas qu’il fallait faire ça.
Je le vois aussitôt descendre ses mains vers son pantalon et ouvrir la braguette. Affolée, je le stoppe immédiatement mais pour ne pas le brusquer sachant la façon dont il réagit quelquefois, je lui demande de me suivre dans la salle de repos de la pharmacie.
Il reprend aussitôt dès la porte fermée comme si je ne l'avais pas interrompu et me présente, je dois le reconnaître, un pénis d'une assez belle taille malgré qu'il soit au repos.
-Narcisse, je dois reconnaître que tu n'es pas trop mal monté mais une taille XXL suffirait largement à ton bonheur. Me permets-tu de te retirer ton pantalon et ton boxeur pour avoir une vision plus réaliste de ta verge ? Et toujours sans aucun complexe, il me répond qu'il n'y voit aucun inconvénient.
J’abaisse donc jusqu'à ses chevilles les deux obstacles qui gâchent ma vue et constate aussi qu'il a une toison pubienne très drue. Comme s'il avait oublié ce détail, il me demande aussi.
-Ah oui, mes sœurs m’ont précisé de te demander si tu pouvais aussi t'occuper de ça.
On dirait que ma réputation de coiffeuse un peu spéciale est connue de toutes les filles du village et des alentours. Je suis plus habituée à tondre des femmes que des hommes, je dirais même plus que c'est la première fois que l'on me demande cela. Je sais que Narcisse n'aime pas qu'on le touche mais j'approche quand même ma main droite pour soulever la chose flasque pour constater que sa paire de couilles est aussi velue que son bas-ventre.
Sa première réaction instinctive est de reculer mais pour une fois il accepte que je le touche. J'assiste alors à un miracle, si je puis dire, et même à deux. Il me regarde et ses yeux expriment son assentiment et je sens immédiatement sans même branler sa queue qu’elle change de proportion. Jamais je n'ai vu un homme rentrer en érection aussi rapidement et aussi avec si peu d'excitation de ma part.
Son sexe se gorge de sang, s’allonge, croît encore et encore et s'affermit dans ma main qui a de plus en plus de mal à le contenir. Sa verge en durcissant prend une forme très incurvée vers le haut. Je n'ai jamais été confrontée de ma vie à un tel chibre !!! Je commence à comprendre la demande de ces sœurs, et d'ailleurs pourquoi ses sœurs font-elles ce genre de demande ? Je sais bien que Narcisse est un cas un peu spécial et qu'il lui faut parfois un peu d'aide pour exprimer ses désirs, mais pourquoi ses sœurs ?
Je l'abandonne quelques instants pour aller voir dans les réserves si je trouve chaussure à son pied, ou plutôt une capote adaptée à un tel engin. Je reviens à lui, m’agenouille pour essayer le plus grand modèle de condom que nous avons à disposition dans la pharmacie.
Je dois me rendre compte que si pour la longueur ça irait à peu près, le diamètre de cette trique fait que le préservatif a un diamètre un peu trop juste et lui étrangle la hampe.
Je suis quand même un peu secouée parce que je suis en train de faire mais quand le vin est tiré il faut le boire. Je lui annonce donc que je vais voir à commander des préservatifs plus adaptés pour lui. Je lui dis donc de revenir dans deux jours au moment de ma pause de midi et d’aller directement à mon studio qui se trouve derrière la pharmacie. J'en profiterai pour prendre tout ce qu'il faut pour le tondre en même temps.
Je réalise qu'il bande toujours comme un âne et lui dit qu'il ne peut pas sortir de cette pièce dans cet état. J'assiste alors à un nouveau miracle, en quelques secondes, la décroissance de sa verge est aussi rapide que la croissance de tout à l'heure. Comme j'ai les yeux en billes de loto et la bouche ouverte,
-Mais comment fais-tu ça Narcisse ?
il me répond innocemment en me demandant ce qui ne va pas.
-Comment je fais quoi ?
-Comment peux-tu bander et débander aussi vite et sans même que l'on ne te touche ? J'ai jamais vu ça.
-Pourquoi ? Ce n'est pas normal ? Je fais quelque chose de mal ?
-Non, non Narcisse je le rassure, tu ne fais rien de mal mais je n'ai jamais vu un homme réagir d'une telle façon. Tu peux le faire quand tu veux ?
-Oui, mais mes sœurs disent que je suis un cas à part, que ce n’est pas normal que j'arrive aussi à bander pendant des heures.
-Tu arrives à bander pendant des heures ? Et tu le fais devant tes cousines ? Et après avoir éjaculer combien de fois ?
-C'est là qu'elles disent que je ne suis pas normal, je n'arrive pas à jouir.
-Tu me parles de tes cousines à tout bout de champ, elles te tripotent ?
-Oui, elles aiment bien me branler, me sucer. Elles me demandent aussi souvent de mettre mon engin dans leur fente, et même ailleurs…
Putain !!! Elles ne s’embêtent-pas dans cette famille ? Il faut dire qu’elles font ceinture avec le confinement et avec un tel étalon sous le même toit… Qui leur jetterait la pierre ? Après toutes ces révélations, je décide de lui faire les prélèvements nécessaires pour être sûr qu’il n’a pas le COVID, ou même des traces. Je lui prélève donc un peu de sang et j’en profiterai pour rechercher aussi les maladies vénériennes. On ne sait jamais et des fois que…
Deux jours plus tard, Narcisse sonne à la porte de Lou.
-Bonjour, entre Narcisse.
-Bonjour Lou, je suis revenu comme tu me l'as demandé. As-tu trouvé ce qu'il me fallait ?
-Oui, je le rassure, j'ai commandé plusieurs marques qui font dans les très grandes tailles mais ce que je ne sais pas s'il te faut un modèle avec ou sans réservoir. On va déjà commencer par tondre la vraie forêt vierge qui cache la beauté de ce que tu as entre les jambes.
Comme d'habitude et sans aucun complexe il retire tous ses vêtements et se présente complètement nu à moi comme s’il n'y avait rien de plus naturel au monde. Il est quand même bien foutu et pas uniquement au niveau de son organe. J'adopte un sabot à ma tondeuse pour raser une grande partie de sa toison pubienne et me sers pour sa verge et ses testicules d'une crème épilatoire très efficace dont je les enduits avec abondance. Comme l'autre jour, j'assiste au même spectacle hallucinant de cette croissance exponentielle sans que je ne l’aie excité le moins du monde. C'est vraiment un cas.
Je me lance et masse avec douceur ses parties génitales et sa formidable verge recourbée avec la crème épilatoire pendant quelques minutes le temps que son efficacité soit au maximum. Je rince ensuite les parties enduites de crème épilatoire mais devant un tel mâle, j'en oublie mon professionnalisme et continue plus que de raison à pétrir ces bourses pleines et cette verge décidément très appétissante, si appétissante que j'y vais maintenant franchement des deux mains sans même m’en rendre compte. J'ouvre la bouche et gobe cette énorme prune, sa queue est si raide et se dresse tellement haut qu'elle m'offre beaucoup de résistance quand je l'amène à l'horizontale pour pouvoir en prendre le bout en bouche.
A suivre… Lou.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Brave petite fille
On a toujours besoin de petites mains, surtout quand on a une grosse bite.
Oui
Des mains expertes.
peut-être que oui, peut-être que non, tu le sauras dans le prochain épisode
Va-t-elle réussir à le faire jouir ?