Le réveil d'un autiste, Rose pour Margo - histoire érotique

Nouvelles expériences pour Narcisse.

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.


Rose et Margo.

Cela fait quelques jours que Rose a remarqué un drôle de comportement de ses demi-sœurs Audrey et Barbara. Elles font des messes basses et pouffent comme des petites connes dès que Narcisse entre dans la pièce. Elle décide de les espionner et surprends l’une de leur conversation :
-Tu n’as toujours pas réussi à faire cracher « le sabre », demande Audrey.
-Non, mais ça a au moins un avantage, ça me change de mon « Jules », un vrai « Spidy Gonzales ».

Il ne faut pas être très maligne pour deviner qu’elles parlent de sexe. Elles ont commandé un nouveau gode ? Avec réservoir et ne savent pas s’en servir ? Ou alors… Ou alors… Vu qu’il n’y a qu’un seul mâle à la maison, ont-elles réussi à faire bander Narcisse ? Et que veut-dire qu’elles n’arrivent pas à le faire cracher ? Que de questions…
Rose parle de sa découverte avec Margo car Violette est trop prude et ces derniers temps, elle est plutôt attirée par les filles que les garçons.
-Qu’en penses-tu Margo ? Elles ont réussi à le faire bander ? Tu crois qu’on en serait capable, nous aussi ?
-Pour avoir la réponse, lui rétorque-t-elle, il n’y a qu’un seul moyen. On va tellement le chauffer qu’on sera vite fixées. Tu crois qu’il aura une bite comme celle qu’on a vu en tapant ; vidéo porno, 2 folie hors normes ? à voir…

Elles organisent donc un piège pour se retrouver seules avec leur cousin, et attaquent aussitôt leur travail de sape.
- Narcisse, tu es un gros coincé qui préfère passer son temps derrière ton ordinateur. Pourtant regarde ce qu’on a à t’offrir, on a pourtant des courbes là où il faut.

Rose est plus grande que Margo, un peu plus en chair et une taille de bonnet de soutien- gorge supplémentaire. Ce sont des filles sublimes et elles ne comprennent pas qu'il ne bande jamais en leur présence.
Pour le taquiner en gloussant, Rose se colle contre sa sœur et se met à la caresser comme si ça allait de soi, observant Narcisse pour voir sa réaction mais il ne bronche pas. Elle se met à embrasser Margo, pas juste un petit bisou sur la joue mais un gros patin sur la bouche avec la langue et tout et tout, ne cessant de tourner les yeux vers Narcisse pour espérer que cela fasse son petit effet. Puis elle le provoque en faisant lentement glisser une main dans son pantalon :
-Ça ne te donne-pas envie de te palucher, « frangin » ? Ça ne nous dérangeait pas, tu sais...

Avec stupeur, Narcisse voit Margo s'installer confortablement et faire de même. Il a devant lui deux superbes bombes sexuelles en train de se peloter à moins d’un mètre de lui. Normalement il y a quelques temps, il aurait eu envie de disparaître mais après les expériences avec Audrey et Barbara, son état d’esprit a beaucoup changé.
Il se régale du spectacle mais ne répond pas à la provocation.
-Alors ! Tu ne bandes toujours pas ? Tu n'es-pas un peu pervers de rester là à nous reluquer,
à nous laisser seules à nous caresser ? Tu pourrais au moins sortir ta queue qu’on puisse se rendre compte, insiste Rose.
Narcisse ni voyant aucun mal défait le bouton de son Jeans, descend la fermeture éclair et extirpe son sexe flasque de son caleçon pour l'exposer à la vue de ses cousines.
-Elle n’est pas mal quand même et de belle taille mais nous, on voudrait la voir dure, très dure…
Narcisse sait par les remarques d’Audrey et de Barbara qu’il est bien membré, mais ce qu’elles ne savent pas, c’est que depuis que son cerveau a surpassé le blocage dû sûrement à son autisme, il bande et débande à la demande. Il reste la bite à l'air comme un impuissant pendant qu'elles continuent de se masturber ne retenant pas leurs gémissements vraies ou simulés de plaisir. Il essaie d’imaginer leurs doigts s'activant sur leur minou.
-Touche-toi comme nous, l’encourage Rose, tu dois en mourir d'envie et il n'y a pas de mal à se faire du bien « frérot ». Si tu te touches je me caresse mes seins. Ça ne nous dérangerait pas, regarde, nous pensons très fort à cette belle queue qui est devant nous et qui ne demande qu’à s’exprimer.

Narcisse a du mal à se retenir de s'astiquer mais refuse de céder à leurs suppliques.
Rose commence à retirer son haut et lui dévoile ses seins enfermés dans un soutien-gorge arachnéen qui retient avec grand peine des seins vraiment énormes que Narcisse connait déjà très bien.
Margo ne veut pas reste à la traine et imite sa sœur, sa poitrine dans son soutif noir est moins orgueilleuse peut-être que celle sa jumelle mais est loin d'être plate, loin de là.
Sans le quitter du regard et dans un ensemble parfait, elles passent leurs mains derrière leur dos pour dégrafer les bretelles puis lui montrent leurs seins dénudés.
Pour la première fois, Narcisse réalise que ses sœurs sont de vraies bombes sexuelles aux corps superbe. D’un œil critique, il compare les seins de Rose plus volumineux, bien fermes avec de larges aréoles à ceux de Margo juste de bonne taille pour pouvoir tenir dans une main aux tétons pointus qui ne demandent qu’à être sucer.
Elles se caressent la poitrine, se pincent les mamelons tout en se doigtant la chatte, ne feignant-pas leur plaisir, approchant de l'apothéose et allant presque jusqu'à l’orgasme.
Leur respiration se synchronisent à leur soupir, s’attendant pour jouir en même temps.
Tu n’aimerais pas défoncer la chatte de l’une ou de l’autre ? Le taquine Rose. Moi je mouille comme une folle
- La mienne est toute rasée, renchérit Margo, mais tu le sais déjà.

Et elle se met à retirer son pantalon découvrant sa culotte trempée puis lève les jambes pour faire glisser lentement son sous-vêtement le long de ses cuisses procurant ainsi une vue sublime de sa petite fente imberbe aux lèvres gonflées à Narcisse. Une fois libérée de toutes entraves, elle écarte bien les cuisses pour lui offrir la meilleure vue qui soit. Voyant ça, Rose fait la même chose sans aucune hésitation présentant son ticket de métro de poils pubiens très ras.
Narcisse a désormais deux fabuleuses provocatrices de cousines complètement à poil devant lui qui reprennent leur masturbation devant ses yeux ébahis sans tarder, se caressant juste le clito pour voir sa réaction.
-Alors elle te plaît ma foufoune ? Demande Rose en s'enfonçant les doigts dans le vagin.
Il lui répond avec franchise.
-Oui, tu me montres un spectacle qui ne peut que plaire et je dois bien reconnaître que j'adore ça.
-Alors pourquoi tu ne bandes toujours pas ? Que doit-on faire ?
Margo part en extase en convulsant et en poussant de longs soupirs comme si c’était Narcisse qui l'avait fait jouir.
-Alors c'était bon ? Lui demande Rose, tu ne préférais-pas une belle queue ?
-La vache oui, j’en aurais bien besoin. Tu as intérêt à te faire pardonner Narcisse, viens me lécher c'est le moindre que tu puisses faire pour te faire pardonner.
-Tu es sûr qu’il en est capable, le puceau ?
-Il apprendra sur le tas, et pour ça, il n’a pas besoin de sa queue. Nous lui avons permis de nous mater alors c'est à son tour d’œuvrer.

Narcisse ne demande pas mieux, elles vont réaliser qu’il n’est pas si inexpérimenté que ça. Il approche de Margo se demandant si elle ne va pas changer d'avis au dernier moment car c’est quand même son cousin mais au lieu de ça elle écarte encore davantage les cuisses en une invite muette. Il s’agenouille fébrilement pour se mettre en position sous le regard amusé de Rose qui l’observe sans rien dire. Il se retrouve la tête pressée contre la fente de Margo qui veut accélérer les choses et surtout qu’il ne s’enfuit pas. Mais Narcisse ne rechigne pas à la tâche et lui broute le minou, commençant par lui donner des coups de langue. Elle a un sursaut de surprise en constatant que le « puceau » sait s’y prendre, et plutôt bien même... Elle est trempée et il goûte enfin au jus d'amour d'une autre de ses cousines. C'est fabuleux pour lui et il se régale. Elle le guide et lui conseille de s'appliquer sur son clito tout gonflé. Narcisse n’a aucun mal à le trouver et le titille du bout de la langue. Margo soupire bruyamment lorsque pas peu fier, il arrive quelques instants après à la faire jouir. Quelques gouttes suintent.
-Oui vas-y ! continue ! je vieeennnsss !!!!

Il redouble d'efforts et se fie à la respiration de plus en plus saccadée de Margo pour deviner si elle est près de la ligne d’arrivée. Elle lui agrippe les cheveux, son souffle devient court dans les dernières secondes.
-Oh ouiiiii ! Oui, oui, oui !!! Geint Margo en resserrant ses cuisses contre le visage de son cousin qui s'applique autant qu’il le peut, buvant à même la source.

Elle explose en tremblant de tout son corps, déversant des flots de cyprine en plein dans sa figure. Il récolte tout ce qu’il peut puis enfin se libère de l’étau de ses cuisses et se relève.
Margo a les yeux fermés, encore dans son trip quand elle entend sa sœur s’extasier.
-Oh putain ! Oh putain de merde ! Regarde, mais regarde donc ! C’est pas croyable ! Il bande Margo ! Il bande, et pas qu’un peu ! Je savais que quand ça arriverait un jour, que je verrais une grosse bite… Mais je ne m’attendais pas à ça !

A suivre… Rose et Margo