Le réveil d'un autiste, Tatiana 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le réveil d'un autiste, Tatiana 3
Faisons connaissance avec la mère de toutes ces débauchées.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana
Elles offrent toutes leur cul à Narcisse qui commence sur les genoux pour enfuir son chibre dans la première chatte offerte puis se redresse pour les prendre les unes après les autres, finissant en équilibre sur un fauteuil pour baiser Violette. La scène finit par cinq folles se partageant la dose de foutre toujours aussi conséquente de mon bébé. J’ai engendré une descendance complètement malade, malade de se partager un homme, un véritable étalon, mon bébé ! Il va falloir qu’elles s’expliquent… Mais comment réussit-il à les contenter toutes ?
Suite :
Je suis dans ma chambre. Je tourne dans mon lit comme une lionne en cage. Comment trouver le sommeil après ce que je viens de vivre ? Dans ma tête tourne les images quasiment obscènes mais réelles de luxure, de la luxure de mes propres filles qui ont fait d’un ange un véritable satyre ! j’ai aussi vu en image mais aussi en vrai l’incroyable verge de mon bébé, je l’ai branlé, je l’ai sucé… Je devrais en avoir honte mais je ne peux pas. C’est plus fort que moi, je voudrais être à la place de mes filles, être prise par mon bébé monté comme un âne.
Je mouille, mes mains doivent me donner du plaisir pour faire retomber cet incroyable envie de me lever, de courir dans sa chambre et de m’empaler sur un tel rostre.
Au réveil, je suis comme dans les vapes, la nuit était interminable, hachée par des envies insoutenables.
La journée se traine, j’essaie de l’éviter et décide en fin d’après-midi d’aller me détendre au jacuzzi avant le repas. Je somnole presque, les yeux fermés quand une petite vague me fait rouvrir les yeux. Narcisse vient de rentrer dans l’eau, je vois difractée par le liquide sa verge flasque. Il se positionne juste devant moi, me regarde les bras posés sur la margelle. Une nouvelle fois, je le vois en train d’entrer en érection rapide sans même se toucher. L’eau déforme encore plus et a un effet loupe. J’ai devant moi la représentation de certaines statues grecques de faunes aux chibres monstrueux.
Il se déplace dans l’eau, vient se coller contre moi et commence à me caresser le bras droit, percevant sous sa paume ma chair féminine si douce, si agréable au toucher. Narcisse devient plus entreprenant, massant entre ses doigts mon bras, descendant la main de plus en plus bas pour finir sur ma croupe. C'est la première fois qu'il palpe mes fesses, les fesses de sa mère adoptive, la personne qu’il chérit le plus au monde. Je pourrais lui dire de stopper, mais ses caresses ne font qu'accroitre mon plaisir. Il penche la tête pour téter avidement mes mamelons gonflés qui lui emplissent la bouche en continuant de palper mes fesses, j’éprouve un véritable plaisir à sentir mes chairs élastiques pressés entre ses doigts.
Ses deux caresses me font éprouver un véritable sentiment de bonheur et le souvenir de mon mari m'amenant irrémédiablement au plaisir avec de telles caresses.
Si les caresses associées aux succions de mes mamelons que Narcisse me prodigue ne sont pas aussi sensuelles que celles de son père, elles sont quand même fort agréables et je l’encourage malgré moi dans un murmure.
– Oui, c'est bien mon bébé Tu me fais du bien... Caresse mes fesses.
Les rondeurs jumelles de ma croupe sont une partie de mon anatomie qui peuvent me procurer un plaisir immense lors de rapport sexuel en jouant sur les terminaisons érogènes de mes fesses. Je n’y tiens plus et saisis son rostre.
-Et toi mon cœur ? Tu bandes vraiment pour moi ?
Narcisse a glissé le majeur de sa main droite dans le profond sillon qui sépare mes globes charnus, explorant ma chaude vallée humide à la recherche de l'orifice anal, c’est un peu trop rapide pour moi et je décide de reprendre la main, si l’on peut dire vu qu’elle serre déjà son chibre.
-Laisse faire « maman », mon bébé... Elle va te donner beaucoup de plaisir...
Ma main sur sa queue, rouge de honte et d’excitation que je n’ose pas le regarder en face, je commence à caresser et branler ce chibre majestueux. Il me demande alors :
-Comment tu la trouves ma bite ? Mes « sœurs » me disent que j’ai une queue d’âne.
Que lui répondre ?
-Ce n’est pas bien, ce qu’on fait mon bébé, mais pour répondre à ta question, oui, comparé à Hervé et au père d’Audrey et de Barbara, ta queue est vraiment exceptionnellement grosse. J’en ai jamais connues comme la tienne.
-Je veux te prendre « maman »
-Moi aussi j’en ai envie mon bébé, mais…
Je désire de plus en plus qu'il me pénètre. Il s'approche de moi et me serre contre lui, je ressens une drôle d’impression quand je sens sur mon bas-ventre la dureté de sa virilité.
Il passe sa main droite entre nos corps et caresse avec lenteur mon sexe ruisselant, insère le majeur à l'intérieur de ma fente humide et commence un lent va et vient le doigt courbé vers le haut, me faisant chavirer de plaisir.
- Ne t'inquiète pas, je vais y aller doucement.
Il a plié les jambes et baissé son rostre. Je serre un peu les dents, mais ne peut retenir un cri de surprise quand sa queue pénètre dans l’antichambre de mon sexe.
- Oui, oh !!!!
Narcisse s'enfonce doucement, puis s'arrête à mon cri, comme pour me laisser le temps d'apprécier ces premiers instants, puis reprend le rythme de sa pénétration, s'enfonçant et se retirant tous les quelques centimètres de gagnés... A chaque aller-retour, je pousse des grognements de plaisir. Jamais une verge ne m’a remplie aussi complètement. Narcisse se redresse un peu plus et me pénètre un peu plus vite. J’ai beau m’agripper à ses épaules, je comprends vite que je ne peux que m'empaler sur sa queue.
Dans la même seconde je réalise qu’il ne parvient pas à rentrer la totalité de son membre, il est bien trop long pour ma petite chatte, tel le sexe géant qui hantait mes fantasmes. Je le chevauche et sa bite coulisse en moi de manière tendre et puissante. Les coups de queue de mon bébé me font prendre un pied incroyable. Jamais je n’ai été limée par un gourdin pareil.
Il continue et me la mettre à fond, infatigable. Il ressort de moi en bandant toujours : c'est un cas rare mon bébé. J’inverse les rôles. Je veux qu’il arrive à connaître l’orgasme libérateur, moi je ne les compte plus, qu’il éjacule sur mes seins ou dans ma bouche, attendant son sperme comme une offrande.
-Tu veux jouir dans le minou de « maman » ?
Il ne me répond pas, fixant les lourds fruits de chair de ma poitrine, je décide d’accélérer ma chevauchée érotique, me pistonnant le vagin comme jamais avec exaltation. Chaque pénétration de cette longue verge courbe à l'intérieur de ma chatte déclenche dans mon corps un foisonnement de frissons sensuels que j’ai rarement ressenti. Mon corps n'est plus qu'une pelote d’aiguille qui met mes nerfs à rude épreuve. Ce plaisir intense a pris possession de mes organes sexuels, de mon cerveau, me faisant haleter comme une pucelle ressentant ses premiers émois.
-Oh oui mon chéri d’amour, c'est trop bon... Je t'aime... Oh oui, je t'aime mon bébé... Je sens ton gros nœud au plus profond de mon ventre... Et toi mon cœur, tu aimes que « maman » te chevauche ?
Il ne me répond pas, acquiesçant de la tête, élargissant encore et encore ma grotte à plaisir de son énorme engin. J’en frissonne de plaisir, me faisant oublier que je fais mon mari cocu avec son neveu. Je reprends ma sensuelle chevauchée érotique, d'abord lentement, le torse penché en avant, m'arrangeant pour frôler de mes tétons outrageusement gonflés, le visage de Narcisse, essayant d’exacerber son plaisir comme il m'envahit irrésistiblement. Je passe en mode furie-nymphomane, disant des choses que je n’imaginais pas possible d’entendre sortir de ma bouche d’épouse soumise.
-Oh oui putain, oui ! Tu me remplis la chatte comme jamais elle ne l’a connue, je me sens toute chose avec une telle queue, vas-y baise-moi, baise-moi fort, fais ce que tu veux de ta salope de « maman », mon bébé chéri !
Les floc-floc-floc de ma chatte mouillée et baisée remplissent bruyamment la pièce ainsi que le claquement de ses couilles sur mes fesses. Je gémis sans pouvoir m’arrêter pendant que ma chatte s’active avec force sur ce sabre infatigable. Mes seins gonflés ballotent dans tous les sens pendant que je lime ma chatte comme une vraie chienne en chaleur sur cette trique qui ne veut décidément jamais cracher.
- Vas-y fort, bourrine-moi la chatte, mets ton gourdin jusqu’au fond de mon vagin, Hervé n’est jamais allé aussi loin et aussi fort, et je n’aurais pas cru adorer autant ça. Tu me fais jouir encore, je veux jouir pendant que tu me démontes sauvagement, ma chatte est toute à toi et n’attend plus que tu la remplisses de ton sperme, jouis en moi mon bébé, jouis, jouis, jouis...
A suivre : Tatiana
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana
Elles offrent toutes leur cul à Narcisse qui commence sur les genoux pour enfuir son chibre dans la première chatte offerte puis se redresse pour les prendre les unes après les autres, finissant en équilibre sur un fauteuil pour baiser Violette. La scène finit par cinq folles se partageant la dose de foutre toujours aussi conséquente de mon bébé. J’ai engendré une descendance complètement malade, malade de se partager un homme, un véritable étalon, mon bébé ! Il va falloir qu’elles s’expliquent… Mais comment réussit-il à les contenter toutes ?
Suite :
Je suis dans ma chambre. Je tourne dans mon lit comme une lionne en cage. Comment trouver le sommeil après ce que je viens de vivre ? Dans ma tête tourne les images quasiment obscènes mais réelles de luxure, de la luxure de mes propres filles qui ont fait d’un ange un véritable satyre ! j’ai aussi vu en image mais aussi en vrai l’incroyable verge de mon bébé, je l’ai branlé, je l’ai sucé… Je devrais en avoir honte mais je ne peux pas. C’est plus fort que moi, je voudrais être à la place de mes filles, être prise par mon bébé monté comme un âne.
Je mouille, mes mains doivent me donner du plaisir pour faire retomber cet incroyable envie de me lever, de courir dans sa chambre et de m’empaler sur un tel rostre.
Au réveil, je suis comme dans les vapes, la nuit était interminable, hachée par des envies insoutenables.
La journée se traine, j’essaie de l’éviter et décide en fin d’après-midi d’aller me détendre au jacuzzi avant le repas. Je somnole presque, les yeux fermés quand une petite vague me fait rouvrir les yeux. Narcisse vient de rentrer dans l’eau, je vois difractée par le liquide sa verge flasque. Il se positionne juste devant moi, me regarde les bras posés sur la margelle. Une nouvelle fois, je le vois en train d’entrer en érection rapide sans même se toucher. L’eau déforme encore plus et a un effet loupe. J’ai devant moi la représentation de certaines statues grecques de faunes aux chibres monstrueux.
Il se déplace dans l’eau, vient se coller contre moi et commence à me caresser le bras droit, percevant sous sa paume ma chair féminine si douce, si agréable au toucher. Narcisse devient plus entreprenant, massant entre ses doigts mon bras, descendant la main de plus en plus bas pour finir sur ma croupe. C'est la première fois qu'il palpe mes fesses, les fesses de sa mère adoptive, la personne qu’il chérit le plus au monde. Je pourrais lui dire de stopper, mais ses caresses ne font qu'accroitre mon plaisir. Il penche la tête pour téter avidement mes mamelons gonflés qui lui emplissent la bouche en continuant de palper mes fesses, j’éprouve un véritable plaisir à sentir mes chairs élastiques pressés entre ses doigts.
Ses deux caresses me font éprouver un véritable sentiment de bonheur et le souvenir de mon mari m'amenant irrémédiablement au plaisir avec de telles caresses.
Si les caresses associées aux succions de mes mamelons que Narcisse me prodigue ne sont pas aussi sensuelles que celles de son père, elles sont quand même fort agréables et je l’encourage malgré moi dans un murmure.
– Oui, c'est bien mon bébé Tu me fais du bien... Caresse mes fesses.
Les rondeurs jumelles de ma croupe sont une partie de mon anatomie qui peuvent me procurer un plaisir immense lors de rapport sexuel en jouant sur les terminaisons érogènes de mes fesses. Je n’y tiens plus et saisis son rostre.
-Et toi mon cœur ? Tu bandes vraiment pour moi ?
Narcisse a glissé le majeur de sa main droite dans le profond sillon qui sépare mes globes charnus, explorant ma chaude vallée humide à la recherche de l'orifice anal, c’est un peu trop rapide pour moi et je décide de reprendre la main, si l’on peut dire vu qu’elle serre déjà son chibre.
-Laisse faire « maman », mon bébé... Elle va te donner beaucoup de plaisir...
Ma main sur sa queue, rouge de honte et d’excitation que je n’ose pas le regarder en face, je commence à caresser et branler ce chibre majestueux. Il me demande alors :
-Comment tu la trouves ma bite ? Mes « sœurs » me disent que j’ai une queue d’âne.
Que lui répondre ?
-Ce n’est pas bien, ce qu’on fait mon bébé, mais pour répondre à ta question, oui, comparé à Hervé et au père d’Audrey et de Barbara, ta queue est vraiment exceptionnellement grosse. J’en ai jamais connues comme la tienne.
-Je veux te prendre « maman »
-Moi aussi j’en ai envie mon bébé, mais…
Je désire de plus en plus qu'il me pénètre. Il s'approche de moi et me serre contre lui, je ressens une drôle d’impression quand je sens sur mon bas-ventre la dureté de sa virilité.
Il passe sa main droite entre nos corps et caresse avec lenteur mon sexe ruisselant, insère le majeur à l'intérieur de ma fente humide et commence un lent va et vient le doigt courbé vers le haut, me faisant chavirer de plaisir.
- Ne t'inquiète pas, je vais y aller doucement.
Il a plié les jambes et baissé son rostre. Je serre un peu les dents, mais ne peut retenir un cri de surprise quand sa queue pénètre dans l’antichambre de mon sexe.
- Oui, oh !!!!
Narcisse s'enfonce doucement, puis s'arrête à mon cri, comme pour me laisser le temps d'apprécier ces premiers instants, puis reprend le rythme de sa pénétration, s'enfonçant et se retirant tous les quelques centimètres de gagnés... A chaque aller-retour, je pousse des grognements de plaisir. Jamais une verge ne m’a remplie aussi complètement. Narcisse se redresse un peu plus et me pénètre un peu plus vite. J’ai beau m’agripper à ses épaules, je comprends vite que je ne peux que m'empaler sur sa queue.
Dans la même seconde je réalise qu’il ne parvient pas à rentrer la totalité de son membre, il est bien trop long pour ma petite chatte, tel le sexe géant qui hantait mes fantasmes. Je le chevauche et sa bite coulisse en moi de manière tendre et puissante. Les coups de queue de mon bébé me font prendre un pied incroyable. Jamais je n’ai été limée par un gourdin pareil.
Il continue et me la mettre à fond, infatigable. Il ressort de moi en bandant toujours : c'est un cas rare mon bébé. J’inverse les rôles. Je veux qu’il arrive à connaître l’orgasme libérateur, moi je ne les compte plus, qu’il éjacule sur mes seins ou dans ma bouche, attendant son sperme comme une offrande.
-Tu veux jouir dans le minou de « maman » ?
Il ne me répond pas, fixant les lourds fruits de chair de ma poitrine, je décide d’accélérer ma chevauchée érotique, me pistonnant le vagin comme jamais avec exaltation. Chaque pénétration de cette longue verge courbe à l'intérieur de ma chatte déclenche dans mon corps un foisonnement de frissons sensuels que j’ai rarement ressenti. Mon corps n'est plus qu'une pelote d’aiguille qui met mes nerfs à rude épreuve. Ce plaisir intense a pris possession de mes organes sexuels, de mon cerveau, me faisant haleter comme une pucelle ressentant ses premiers émois.
-Oh oui mon chéri d’amour, c'est trop bon... Je t'aime... Oh oui, je t'aime mon bébé... Je sens ton gros nœud au plus profond de mon ventre... Et toi mon cœur, tu aimes que « maman » te chevauche ?
Il ne me répond pas, acquiesçant de la tête, élargissant encore et encore ma grotte à plaisir de son énorme engin. J’en frissonne de plaisir, me faisant oublier que je fais mon mari cocu avec son neveu. Je reprends ma sensuelle chevauchée érotique, d'abord lentement, le torse penché en avant, m'arrangeant pour frôler de mes tétons outrageusement gonflés, le visage de Narcisse, essayant d’exacerber son plaisir comme il m'envahit irrésistiblement. Je passe en mode furie-nymphomane, disant des choses que je n’imaginais pas possible d’entendre sortir de ma bouche d’épouse soumise.
-Oh oui putain, oui ! Tu me remplis la chatte comme jamais elle ne l’a connue, je me sens toute chose avec une telle queue, vas-y baise-moi, baise-moi fort, fais ce que tu veux de ta salope de « maman », mon bébé chéri !
Les floc-floc-floc de ma chatte mouillée et baisée remplissent bruyamment la pièce ainsi que le claquement de ses couilles sur mes fesses. Je gémis sans pouvoir m’arrêter pendant que ma chatte s’active avec force sur ce sabre infatigable. Mes seins gonflés ballotent dans tous les sens pendant que je lime ma chatte comme une vraie chienne en chaleur sur cette trique qui ne veut décidément jamais cracher.
- Vas-y fort, bourrine-moi la chatte, mets ton gourdin jusqu’au fond de mon vagin, Hervé n’est jamais allé aussi loin et aussi fort, et je n’aurais pas cru adorer autant ça. Tu me fais jouir encore, je veux jouir pendant que tu me démontes sauvagement, ma chatte est toute à toi et n’attend plus que tu la remplisses de ton sperme, jouis en moi mon bébé, jouis, jouis, jouis...
A suivre : Tatiana
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite.....
Affaire de famille
encore, j'adore
Ma chatte est avide d'un tel chibre.
J'aime ses histoires, mais ce que je kiffe le plus, c'est de voir ses vidéos où il nous démontre qu'il est monté comme Narcisse, et pas que...