Le réveillon 2 - histoire érotique

Maintenant Madeleine, attend avec impatience le jour et l'heure de sa folle décision. Elle est très fébrile, son mari quoi un peu déçu, il s'en veut de ne pas être à la hauteur. Il tente sur elle des trucs qu'il n'avait jamais fait, mais madeleine à la tête ailleurs, elle ne se rend pas compte des efforts que fait son mari, pour innover l'acte sexuel. Enfin le jour fatidique arrive, Madeleine passe une grande partie de la journée à la salle de bain ou devant sa coiffeuse. Elle change plusieurs fois de tenues, elle trouve que rien ne lui va.

Alain l'enlace et lui dit :

-Tu es belle ma chérie, même avec un sac en guise de jupe, tu fais des ravages !


Madeleine, l'embrasse en se blottissant contre lui et lui dit :

-Tu sais mon chéri, je n'ai plus trop envie d'y aller, chez Edmond, j'y renonce !


Alain fronce les sourcils et réplique :

-Ta décision a été fraichement mûrit, ces gens vont t'attendre. D'ailleurs, je souhaite que tu y ailles, que tu t'épanouisses sexuellement, prends chez d'autres ce que je ne peux te donner, d'ailleurs, tu me formeras, moi aussi, je veux apprendre !


Madeleine pince les lèvres et en soupirant fortement répond :

-Tu as raison mon chéri, il faut savoir choisir !


Enfin, elle opte pour une jupe, un string, un soutien-gorge à balconnets qui s'ouvre sur le devant et d'un corsage très échancré. Alain la regarde et lui dit :

-Oh la vache, on dirai une pute, là, il va fondre ton futur amant, vu comme tu es accoutrée, je suppose que madame va tomber sous ton charme et va se joindre à vous !


Madeleine, regarde son mari en faisant de gros yeux :

-Tu crois que je fais pute, oh alors, je me change !


Alain réagit :

-Non reste comme ça, tu es très sexy !

Bon, il est temps de partir, Madeleine parcourt quelques kilomètres puis arrive à destination devant un grand portail. La maison est plantée au centre d'un parc clôturé. Madeleine s'arrête, et sonne à l'entrée. La grande porte métallique s'ouvre et Madeleine va se garer près de l'immense maison. Sur le perron l'attend Edmond, il est souriant, mais étrangement, porte un peignoir de bain. Il lui tend la main et la fait entrer. Il la dirige vers le salon ou l'attend sa femme, elle est en peignoir également, elle regarde en souriant Madeleine qui s'avance pour la saluer. La femme donne son prénom (Lucienne) en lui serrant la main. Le tutoiement est préconisé. Elle la dévisage et lui passe la main sur ses rondeurs sans crier gare. Madeleine est prise à froid, elle a un geste de recul. Edmond l'invite à s'assoir et sert une boisson. Les trois font plus ample connaissance. Lucienne semble être une sacrée vicieuse, elle demande à Madeleine :

-Ouvre tes cuisses et remonte ta jupe !


Madeleine hésite, mais elle sait pour quelle raison elle est là. Donc, elle s'exécute. Lentement, elle ouvre les jambes, elle rougit un peu en soupirant. Lucienne lui demande :

-Ouvre plus, et caresse-toi !


Madeleine pince les lèvres puis progressivement descend la main vers son entrejambe. Timidement, elle passe plusieurs fois la main sur son string. Lucienne a les yeux qui pétillent, elle ouvre brusquement son peignoir, la coquine est nue en dessous. Elle ouvre les jambes et commence à se frotter la vulve, sans quitter la main de Madeleine qui s'agite sur son string. Les yeux de Lucienne lancent des éclairs, elle dit en soufflant comme un bœuf :

Arrache ton string, arrache-le, je t'en payerai un autre, vas-y arrache-le !

Madeleine obéît, elle tire sur le fin tissu qui se déchire, elle arrache le string, qui maintenant en lambeau, traine sur le sol. Lucienne insiste :

-Branle-toi fort :


La main de Madeleine reprend avec plus d'énergie le frottement de sa vulve, sa chatte s'humidifie de plus en plus. Celle de Lucienne est un vrai ru en crue. Elle serre les dents et brusquement s'enfonce quatre doigts dans la chatte. Elle entreprend un ramonage violent de son intimité en grimaçant. Edmond se lève, il passe derrière Madeleine et lui ouvre le corsage, il dégrafe le soutien-gorge qui libère les deux obus, ornés de mamelons larges et épais. Il les saisit et, comme un expert, les triture. Madeleine grogne, ses doigts s'évertuent à agacer son clito qui prend des proportions inhabituelles. Une flaque de cyprine se trouve devant Lucienne qui grogne comme un fauve en cage en se fouillant la chatte avec acharnement. Soudain, elle se cbare et dit :

-Je vais te bouffer la chatte Madeleine !

Lucienne se lève et s'agenouille devant Madeleine, elle regarde la vulve en eau, que la branleuse vient de quitter. Elle avance sa tête entre les cuisses largement ouvertes, et plaque sa bouche sur les grandes lèvres qui pendent légèrement. Lucienne les aspire avec violence, Madeleine se cabre en gémissant. La bouche vorace de la femme est très efficace, elle suce les lèvres, tète le clito. Les aspirations sont si violentes que Madeleine défaille. C'est sa première relation lesbienne, elle pousse un long râle lorsque la langue agile de Lucienne, s'enfonce dans son vagin pour le fouiller dans tous ses recoins. Madeleine est prise de frissons incontrôlables, elle se cambre et jouit fortement. Son cœur bat à se rompre dans sa poitrine, sa respiration est saccadée. Lucienne lui demande :


-Bouffe-moi la chatte ma chérie, je suis en ébullition !



Madeleine, encore sous le coup de la jouissance, se lève difficilement et s'agenouille à son tour devant les cuisses ouvertes de son amante. Elle tente de reproduire ce que lui a fait Lucienne. L'hôte gémit en agitant son bassin. Edmond fait tomber son peignoir, il bande fortement, mais n'intervient pas encore, il regarde sa femme prendre son pied. Lucienne avance son bassin sur le bord du fauteuil, elle se cambre et c'est en jouissant, qu'elle hurle :


Bouffe-moi le cul, oui, le cul, Edmond va m'enculer !

La bouche de Madeleine descend sur l'anus boursoufflé de la demandeuse, et passe plusieurs fois sa langue sur l'anneau ridé. Elle aspire le mieux possible la rondelle brune, qui s'ouvre légèrement. Elle enfonce rapidement sa langue dans l'anus qui se referme sur l'intrus. C'est en poussant fortement que la langue s'enfonce de quelques centimètres dans le muscle rectal. Lucienne pousse un râle de bête blessée en criant :

-Oh putain, c'est bon, fouille, fouille ma chérie, tu auras droit aussi à ce même service !


Lucienne jouit du cul sous les assauts fréquents de la langue de Madeleine. Lucienne dit :

-Edmond à toi, éclate-moi, le cul mon chéri, montre à Madeleine comment tu sais bien enculer !


Madeleine cesse la place à Edmond, qui place sa queue raide comme une barre de fer contre l'anus encore entrouvert de sa femme, un petit coup de reins suffit pour que son braquemart, s'enfonce jusqu'aux couilles dans le rectum de la demandeuse. Madeleine regarde, émerveillée, l'enculage parfait qu'Edmond pratique sur sa femme. Elle grogne à chaque coup de pilon, mais rapidement, elle jouit du cul sous les yeux hébétés de la voyeuse Madeleine. Edmond lui ravage le cul en s'accrochant à ses hanches, ses coups de bélier sont redoutables, Lucienne jouit une seconde fois en grognant comme un animal en rut. Edmond déverse sa semence au plus profond des entrailles brûlants de la femme gourmande. Il se retire en souriant, il regarde Madeleine et lui dit prenons un verre, après, ça sera ton tour d'être visitée.


Les trois se désaltèrent, avant de reprendre les ébats. Lucienne fait allonger Madeleine sur la petite table, et place sous ses reins un coussin. Elle se place face à elle et commence à lui lécher la chatte, pour descendre vers le temple de Sodome, la coquine ne cesse de changer d'orifices. Madeleine est au bord de la syncope, la langue agile de son amante la fait pâmer de bonheur. Son œillet est bien ouvert, la langue de Lucienne, s'engage dans la petite ouverture en faisant cabrer Madeleine. C'est sa première jouissance du cul. Elle n'en revient pas tellement c'est intense. Sa chatte est un volcan prêt à exploser.