LE TESTAMENT D’UN SOLDAT INCONNU.
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE TESTAMENT D’UN SOLDAT INCONNU.
Deux ans que je suis dans cette tranché au pied de la colline de Douaumont.
Dix fois, cent fois je suis monté à l’assaut ou j’ai subi les assauts de notre ennemi.
Nos supérieurs viennent nous voir un par un de temps en temps pour nous remonter le moral mais nous savons bien que quand la canon tonne, soi il est loin soi ce sera pour nous et que les obus vont pleuvoir dans les minutes qui suivent.
La preuve en est que les deux dernières fois si le premier obus a épargné les copains, les deux suivants ont décimé trois de mes amis et que moi j’ai été à moitié enseveli quand une partie de la casemate est tombée.
J’ai demandé à voir un prêtre pour me confesser avant ma mort prochaine mais il m’a été répondu que le dernier qui était venu dans nos tranché avait lui-même reçu un obus en tire direct et que les morceaux qui en restaient seraient difficiles à recoller.
On voit là tous l’humour de nos supérieurs surtout qu’il a ajouté que le prochain ayant accepté de venir faire un tir au pigeon arriverait dans trois semaines au minimum.
Si c’est comme pour les renforts susceptibles de venir, ils devraient venir pour Noël et nous sommes bientôt à Pâques et il est vrai que nous avons reçu des frères jumeaux de dix-huit ans.
J’oublie de parler des retours au repos à l’arrière car pour nos responsables nous avons déjà la chance de faire partie des lignes arrière car nous sommes à cent mètres des lignes allemandes alors qu’une autre trancher se trouve à quatre-vingts mètres de cette même ligne.
Aussi j’ai décidé de t’écrire ces quelques lignes en guise de testament pour que si tu les reçois à l’adresse de chez nous que j’écris en haut des lignes que je vais écrire tu les lises à notre curé et qu’il recommande mon âme a Dieu s’il considère que les pêchers que je vais lui avoués mérite de m’être pardonné.
Si tu le fais, je te demanderai de lui demander de te donner à toi-même la ou les pénitences qu’il m’inflige pour que mon âme aille au moins au purgatoire et pas dans les enfers, ou j’ai peur d’avoir trop chaud, tu sais que je préfère le froid tu m’as assez reproché d’enlever les couvertures la nuit mettant ton joli petit cul à l’air.
Je vais essayer d’expliquer les choses que j’aurais pu mieux faire du mieux que je m’en souvienne et du mieux que je peux l’écrire en français car tu sais que l’école et moi cela a fait deux.
Certaines choses que je vais lui avouer vont peut-être te mettre mal à l’aise mais depuis que je retourne mon problème dans ma putain de tête c’est la seule solution que j’ai trouvée surtout que dans notre campement sous terre, après la mort de notre lieutenant un stock de papier et des crayons sont les seules choses que j’ai trouvées d’utiles.
Alors je commence.
Monsieur le curé, je vous écris comme dit précédemment pour vous dire mes pêchers dont certains je sais même pas si ce sont des pêchers.
J’oublie de parler des cuites que j’ai souvent prises avec Lucien mon copain chaque fois que nous arrivions à vous voler du vin de messe quand nous étions enfants de cœurs car je pense qu’ils sont trop vieux et se sont pardonnés d’eux même.
Je vous parlerai des choses à partir de la veille de mon mariage où j’ai été aux putes avec mes copains pour enterrer ma vie de garçon.
Nous avions été à la ville que vous connaissez bien, car un jour nous vous avons vu sortir de la petite rue que quand nous étions adolescents nous avons aimé aller perdre notre pucelage.
Loin de moi l’idée que vous aussi vous avez été voir ces demoiselles pour faire la chose mais vous aviez certainement une âme perdue à aller sauver comme la petite Marguerite la fille de Gertrude qui avait fini par tomber dans les pattes du beau Mario connu pour avoir cinq gagneuses dans ce secteur.
C’est d’ailleurs avec elle que j’ai forniqué ce soir-là, j’aime beaucoup ses dix-huit ans surtout que Jacqueline que je vais épouser est une vieille de vingt ans du moins dans les huit jour suivant celui ou devant vous elle va me dire oui, pardon qu’elle m’a dit oui et moi aussi.
Marguerite a été contente de me voir car nous nous connaissions et j’ai même été surpris qu’elle m’avoue avoir eu le béguin pour moi avant de rencontrer le beau Mario et que si elle avait tourné à la femme respectable elle aurait aimé que je lui fasse pondre une chié de gosse car elle les aime beaucoup.
J’ai failli lui proposer de partir avec moi surtout après qu’elle m’est sucée et avalée tout mon sperme car Jacqueline me suce mais refuse d’avaler le mien de sperme.
Mais Marguerite m’a dit que le bellâtre de Mario lui a dit que si elle partait avec un autre il le surinerait et qu’elle elle serait défigurée même s’il perdait du pognon.
Alors maintenant que le prochain obus où la baïonnette d’un allemand montant à l’assaut comme nous on y monte sera peut-être pour moi, je regrette de l’avoir laissé dans sa petite rue car c’était une sacrée baiseuse.
Vous voyez monsieur le curé j’ai eu des pensées impures qui méritent pénitences et toi Jacqueline excusez-moi d’en avoir eu pour une autre, mais j’avais de quoi en avoir quand j’ai vu ce que j’ai vu le soir de nos noces.
Alors que nous étions à la salle des fêtes pour le repas, toi Jacqueline avec ta robe blanche de ta pureté car tu m’avais toujours refusé de baiser avant cette nuit de noces maudite alors que j’avais trop bu, je me suis réveillé et pendant trois quart d’heure je t’ai vu te faire baiser par Lucien mon copain et témoin.
C’était à l’étage dans la petite salle permettant de ranger les tables que je t’ai vu ta robe relever ta petite culotte qu’il t’avait mise dans ta bouche pour éviter de ce que tu fasses du bruit sachant certainement que tu hurles chaque fois que mon sexe entre en toi et que ce jour-là je devais éviter de t’entendre.
Quand je t’ai fait l’amour le lendemain tu as crié si fort que j’ai compris que s’il t’avait muselé c’est qu’il savait que tu hurlais et que vous étiez amant depuis longtemps.
Monsieur le curé, est-ce péché que d’avoir regardé Lucien la faire mettre en levrette sur la table et venir la prendre dans sa chatte ?
J’ignorais s’il était dans sa chatte quand elle a dit qu’elle aimait qu’il lui taraude le cul, c’était bestial, tu étais bestiale Jacqueline.
Après que Lucien l’est rempli, elle s’est retournée et elle l’a sucé.
Quand nous sommes allés nous coucher avec ma femme elle a écarté les cuisses et comment elle a fait mais le lendemain les draps étaient tachés de sang, j’aurais dû lui dire que je savais que Julien se la mettait mais chaque fois que je la baise je pense à la queue qu’il lui enfilait et ma jouissance est deux fois plus forte.
Est-ce là encore péché monsieur le curé d’avoir regardé et d’y penser régulièrement surtout que par la suite je l’ai ais vu souvent se faire des choses et que chaque fois je me masturberais.
Masturberait, vous vous souvenez monsieur le curé, ce que nous disaient les curés au collège de curé ou mes parents m’avaient mis avec Lucien et qui nous disait que si on le faisait on finirait sourd.
Sourd je le suis mais c’est à cause d’un obus qui est tombé très prêt et qui m’a obligé d’aller à l’hôpital pendant trois jours avant qu’il me renvoie dans ma tranchée car il manque de soldats.
Ce qui est bizarre, c’est que Lucien il est absent dans les tranchées car il paraît qu’il a été réformé car il a une jambe plus courte que l’autre.
D’ailleurs monsieur le curé allez voir Jacqueline pour lui dire que je lui pardonne et que je lui donne l’autorisation de se remarier avec Lucien quand l’obus ou la baïonnette nous aura tué moi.
J’ai passé vite sur mon passage à l’hôpital où j’ai rencontré une jeune infirmière qui me parlait mais à qui je faisais celui qui était sourd et quand elle m’a fait un geste que j’ai interprété elle voulait de moi je l’ai prise sur un brancard où les infirmiers venaient d’enlever un copain ayant perdu une jambe.
Je suis resté quelques heures et elle m’a écrit sur un papier que j’avais mal interprété son geste car elle me disait qu’elle était fiancée mais qu’elle avait aimé même si à cause de moi elle avait trompé son fiancé.
Pour me faire voir qu’elle avait aimé et qu’elle en voulait encore elle m’a emmené dans sa chambre où deux autres copines habitaient et elle sait laisser faire simplement séparer par un paravent.
Je l’ai reprise dans la nuit et la copine du lit d’à côté est venue et j’ai compris qu’elle lui demandait de faire moins de bruit car elle mugissait autant que Jacqueline mugit.
Il y avait six mois sur la dernière perme que j’ai eue ou j’ai aussi baisé Jacqueline qui était enceinte pas de moi car dans les cinq mois qui ont précédé j’étais pas là.
Il doit être de Julien bien que j’aie vu le facteur qui la sautait aussi mais comme elle m’a donné un fils qui porte mon nom et mon prénom Jules alors comme je l’ai fait pour Lucien monsieur le curé je lui pardonne même si comme tous les jeunes sont partis il a plus de soixante ans.
Peut-être qu’au purgatoire on pourra voir ce qui se passe en bas et que j’aurais la réponse en ce qui concerne celui qui m’a donné mon fils.
Je m’embrouille monsieur le curé à essayer de me faire pardonner tous mes pêchers mais j’ai oublié de vous dire que je touche de ma main libre la petite culotte de Georgette l’infirmière que j’avais mise dans ma poche et que j’ai oublié volontairement de lui redonner.
Pendant ma perme ou que j’ai su que j’étais cocu et futur papa je suis retourné voir Madeleine mais il restait qu’une vieille pute de plus de cinquante ans et qui m’a dit qu’elle avait rejoint un bordel pour soldat non loin d’ou je suis, peut-être que je serais épargné mais j’arrête on monte à l’assaut.
Je suis sauf, deux copains encore morts et un parti pour le peloton d’exécution car il a refusé de sortir de notre tranché, je suis avancé jusqu’à celle des Allemands et j’en ai vu un les yeux dans les yeux avant de lui planter ma billonnette dans le ventre, encore un qui viendra pas chez moi me percer.
Hier c’était les Allemands qui ont attaqué et mon copain qui est mort tout à l’heure le tiré au moment où j’allais me faire planter, dommage qu’aujourd’hui je sois trop loin de lui pour lui rendre la pareille.
Nous avons regardé ces papiers, il s’appelait Otto et venait de là où je connais Cologne, c’est peut-être de là que vient l’eau qui sent bon acheté et offert à Jacqueline a aimé que je lui achète.
Je lui ai même fait le compliment qu’un rien l’habillait quand elle en met et que je peux la prendre comme je l’aime.
Un seul problème avec cette eau de Cologne, la bouteille descend très vite et je me demande pour qui elle en met quand je suis parti au champ pour la journée.
J’espère que Lucien et le facteur sont les seuls qui me fassent cocu bien qu’elle me jure chaque fois que je reviens le soir et qu’elle me lave dans la cuisine dans la bassine où elle a lavé le linge qu’elle étend dans le jardin qu’elle m’aime.
Elle m’aime au point de me sécher avec la grande serviette et pour finir monsieur le curé de me prendre dans sa bouche et aspirer mon sperme mais je crois que je vous l’ai déjà dit.
J’ai sommeil mais j’entends le canon faire un tir de nuit, les Allemands essayent que nous dormions les moins possibles ce qui assure demain une attaque de leurs hommes.
Encore un oubli dans ce que je pensais vous dire monsieur le curé, l’allemand il était marié et il avait une photo de sa femme une magnifique jeune fille.
Je rigole il faut un peu, car c’était une grosse avec des seins très proche de ceux de Marguerite mais avec un cul deux fois plus large, il y avait un nom et une adresse, Greta et Brühl et la photo est prise devant un grand château comme Versailles que j’ai vu sur une carte postale.
J’ai fait à peu près le tour de ce qui pourrait être mes pêchers, bien sûr j’oublie tout le temps, mais dois-je vous le dire sans poser problème à la Janine votre bonne du curé que j’ai sauté de nombreuses fois au presbytère les jours et à l’heure ou vous êtes à confesse et un samedi ou vous aviez la dame catéchisme qui vient chaque semaine confesser ses pêchers pendant une demi-heure je l’ai prise en levrette dans la sacristie.
Ça tire encore, celui-là était tout proche, j’écris mon nom et mon adresse rapidement.
Léo…
Épilogue.
Cette lettre a été retrouvée près du corps d’un soldat inconnu qui semblait s’appeler Léo, c’est du moins le nom que le soldat avait écrit avant de mourir.
Je suis historien, l’armée s’était arrêtée à ce prénom dans ces recherches mais il y avait tellement de morts sans identité qu’il a été classé inconnu et certainement mis dans l’ossuaire de Douaumont.
Quand j’ai regardé les listes de l’armée de ceux qui étaient au front le jour où son décès avait eu lieu deux Léon y figurait.
Le premier venant de la région de Nevers avait son nom sur le monument aux morts pour la France mais était célibataire.
Et c’est en Bretagne à Carnac que j’ai retrouvé la trace de sa famille.
Le fils de Jacqueline vieux monsieur encore de ce monde et les actes de naissance et de décès de plusieurs des acteurs de la lettre de Léon m’ont appris que Jacqueline était morte après avoir épousé l’instituteur du village, Lucien était mort au front car malgré son problème de jambe il avait réussi à se faire enrôler car il supportait difficilement de passer pour un pleutre.
En ce qui concerne Madeleine elle a disparu aussi, certains du village qui était monté à Paris faire leur service militaire après-guerre l’aurait revue à Pigalle où elle tapinait.
Le facteur était mort avant la fin de la guerre d’une cirrhose du foie ainsi que le curé et sa bonne.
Alain a su sur le lit de mort de sa maman qu’il était le fils d’un routard des fermes dont elle lui a donné le prénom mais qu’il a refusé de me le donner car son vrai père était un dénommé Léon qui était mort soldat inconnu à Verdun.
Avec la lettre l’armée avait conservé dans la même enveloppe une photo d’une grosse Allemande devant un château qui se prénommait Greta mariée à Otto de Brühl près de cologne. Alain m’a promis d’aller avec sa femme Juliette dont le père lui aussi est mort au front en Allemagne pour savoir et peut-être leur dire qu’Otto était mort en héraut comme hélas beaucoup d’autres et la petite culotte de la jeune infirmière qui m’a été impossible de retrouver manquant trop d’élément…
Dix fois, cent fois je suis monté à l’assaut ou j’ai subi les assauts de notre ennemi.
Nos supérieurs viennent nous voir un par un de temps en temps pour nous remonter le moral mais nous savons bien que quand la canon tonne, soi il est loin soi ce sera pour nous et que les obus vont pleuvoir dans les minutes qui suivent.
La preuve en est que les deux dernières fois si le premier obus a épargné les copains, les deux suivants ont décimé trois de mes amis et que moi j’ai été à moitié enseveli quand une partie de la casemate est tombée.
J’ai demandé à voir un prêtre pour me confesser avant ma mort prochaine mais il m’a été répondu que le dernier qui était venu dans nos tranché avait lui-même reçu un obus en tire direct et que les morceaux qui en restaient seraient difficiles à recoller.
On voit là tous l’humour de nos supérieurs surtout qu’il a ajouté que le prochain ayant accepté de venir faire un tir au pigeon arriverait dans trois semaines au minimum.
Si c’est comme pour les renforts susceptibles de venir, ils devraient venir pour Noël et nous sommes bientôt à Pâques et il est vrai que nous avons reçu des frères jumeaux de dix-huit ans.
J’oublie de parler des retours au repos à l’arrière car pour nos responsables nous avons déjà la chance de faire partie des lignes arrière car nous sommes à cent mètres des lignes allemandes alors qu’une autre trancher se trouve à quatre-vingts mètres de cette même ligne.
Aussi j’ai décidé de t’écrire ces quelques lignes en guise de testament pour que si tu les reçois à l’adresse de chez nous que j’écris en haut des lignes que je vais écrire tu les lises à notre curé et qu’il recommande mon âme a Dieu s’il considère que les pêchers que je vais lui avoués mérite de m’être pardonné.
Si tu le fais, je te demanderai de lui demander de te donner à toi-même la ou les pénitences qu’il m’inflige pour que mon âme aille au moins au purgatoire et pas dans les enfers, ou j’ai peur d’avoir trop chaud, tu sais que je préfère le froid tu m’as assez reproché d’enlever les couvertures la nuit mettant ton joli petit cul à l’air.
Je vais essayer d’expliquer les choses que j’aurais pu mieux faire du mieux que je m’en souvienne et du mieux que je peux l’écrire en français car tu sais que l’école et moi cela a fait deux.
Certaines choses que je vais lui avouer vont peut-être te mettre mal à l’aise mais depuis que je retourne mon problème dans ma putain de tête c’est la seule solution que j’ai trouvée surtout que dans notre campement sous terre, après la mort de notre lieutenant un stock de papier et des crayons sont les seules choses que j’ai trouvées d’utiles.
Alors je commence.
Monsieur le curé, je vous écris comme dit précédemment pour vous dire mes pêchers dont certains je sais même pas si ce sont des pêchers.
J’oublie de parler des cuites que j’ai souvent prises avec Lucien mon copain chaque fois que nous arrivions à vous voler du vin de messe quand nous étions enfants de cœurs car je pense qu’ils sont trop vieux et se sont pardonnés d’eux même.
Je vous parlerai des choses à partir de la veille de mon mariage où j’ai été aux putes avec mes copains pour enterrer ma vie de garçon.
Nous avions été à la ville que vous connaissez bien, car un jour nous vous avons vu sortir de la petite rue que quand nous étions adolescents nous avons aimé aller perdre notre pucelage.
Loin de moi l’idée que vous aussi vous avez été voir ces demoiselles pour faire la chose mais vous aviez certainement une âme perdue à aller sauver comme la petite Marguerite la fille de Gertrude qui avait fini par tomber dans les pattes du beau Mario connu pour avoir cinq gagneuses dans ce secteur.
C’est d’ailleurs avec elle que j’ai forniqué ce soir-là, j’aime beaucoup ses dix-huit ans surtout que Jacqueline que je vais épouser est une vieille de vingt ans du moins dans les huit jour suivant celui ou devant vous elle va me dire oui, pardon qu’elle m’a dit oui et moi aussi.
Marguerite a été contente de me voir car nous nous connaissions et j’ai même été surpris qu’elle m’avoue avoir eu le béguin pour moi avant de rencontrer le beau Mario et que si elle avait tourné à la femme respectable elle aurait aimé que je lui fasse pondre une chié de gosse car elle les aime beaucoup.
J’ai failli lui proposer de partir avec moi surtout après qu’elle m’est sucée et avalée tout mon sperme car Jacqueline me suce mais refuse d’avaler le mien de sperme.
Mais Marguerite m’a dit que le bellâtre de Mario lui a dit que si elle partait avec un autre il le surinerait et qu’elle elle serait défigurée même s’il perdait du pognon.
Alors maintenant que le prochain obus où la baïonnette d’un allemand montant à l’assaut comme nous on y monte sera peut-être pour moi, je regrette de l’avoir laissé dans sa petite rue car c’était une sacrée baiseuse.
Vous voyez monsieur le curé j’ai eu des pensées impures qui méritent pénitences et toi Jacqueline excusez-moi d’en avoir eu pour une autre, mais j’avais de quoi en avoir quand j’ai vu ce que j’ai vu le soir de nos noces.
Alors que nous étions à la salle des fêtes pour le repas, toi Jacqueline avec ta robe blanche de ta pureté car tu m’avais toujours refusé de baiser avant cette nuit de noces maudite alors que j’avais trop bu, je me suis réveillé et pendant trois quart d’heure je t’ai vu te faire baiser par Lucien mon copain et témoin.
C’était à l’étage dans la petite salle permettant de ranger les tables que je t’ai vu ta robe relever ta petite culotte qu’il t’avait mise dans ta bouche pour éviter de ce que tu fasses du bruit sachant certainement que tu hurles chaque fois que mon sexe entre en toi et que ce jour-là je devais éviter de t’entendre.
Quand je t’ai fait l’amour le lendemain tu as crié si fort que j’ai compris que s’il t’avait muselé c’est qu’il savait que tu hurlais et que vous étiez amant depuis longtemps.
Monsieur le curé, est-ce péché que d’avoir regardé Lucien la faire mettre en levrette sur la table et venir la prendre dans sa chatte ?
J’ignorais s’il était dans sa chatte quand elle a dit qu’elle aimait qu’il lui taraude le cul, c’était bestial, tu étais bestiale Jacqueline.
Après que Lucien l’est rempli, elle s’est retournée et elle l’a sucé.
Quand nous sommes allés nous coucher avec ma femme elle a écarté les cuisses et comment elle a fait mais le lendemain les draps étaient tachés de sang, j’aurais dû lui dire que je savais que Julien se la mettait mais chaque fois que je la baise je pense à la queue qu’il lui enfilait et ma jouissance est deux fois plus forte.
Est-ce là encore péché monsieur le curé d’avoir regardé et d’y penser régulièrement surtout que par la suite je l’ai ais vu souvent se faire des choses et que chaque fois je me masturberais.
Masturberait, vous vous souvenez monsieur le curé, ce que nous disaient les curés au collège de curé ou mes parents m’avaient mis avec Lucien et qui nous disait que si on le faisait on finirait sourd.
Sourd je le suis mais c’est à cause d’un obus qui est tombé très prêt et qui m’a obligé d’aller à l’hôpital pendant trois jours avant qu’il me renvoie dans ma tranchée car il manque de soldats.
Ce qui est bizarre, c’est que Lucien il est absent dans les tranchées car il paraît qu’il a été réformé car il a une jambe plus courte que l’autre.
D’ailleurs monsieur le curé allez voir Jacqueline pour lui dire que je lui pardonne et que je lui donne l’autorisation de se remarier avec Lucien quand l’obus ou la baïonnette nous aura tué moi.
J’ai passé vite sur mon passage à l’hôpital où j’ai rencontré une jeune infirmière qui me parlait mais à qui je faisais celui qui était sourd et quand elle m’a fait un geste que j’ai interprété elle voulait de moi je l’ai prise sur un brancard où les infirmiers venaient d’enlever un copain ayant perdu une jambe.
Je suis resté quelques heures et elle m’a écrit sur un papier que j’avais mal interprété son geste car elle me disait qu’elle était fiancée mais qu’elle avait aimé même si à cause de moi elle avait trompé son fiancé.
Pour me faire voir qu’elle avait aimé et qu’elle en voulait encore elle m’a emmené dans sa chambre où deux autres copines habitaient et elle sait laisser faire simplement séparer par un paravent.
Je l’ai reprise dans la nuit et la copine du lit d’à côté est venue et j’ai compris qu’elle lui demandait de faire moins de bruit car elle mugissait autant que Jacqueline mugit.
Il y avait six mois sur la dernière perme que j’ai eue ou j’ai aussi baisé Jacqueline qui était enceinte pas de moi car dans les cinq mois qui ont précédé j’étais pas là.
Il doit être de Julien bien que j’aie vu le facteur qui la sautait aussi mais comme elle m’a donné un fils qui porte mon nom et mon prénom Jules alors comme je l’ai fait pour Lucien monsieur le curé je lui pardonne même si comme tous les jeunes sont partis il a plus de soixante ans.
Peut-être qu’au purgatoire on pourra voir ce qui se passe en bas et que j’aurais la réponse en ce qui concerne celui qui m’a donné mon fils.
Je m’embrouille monsieur le curé à essayer de me faire pardonner tous mes pêchers mais j’ai oublié de vous dire que je touche de ma main libre la petite culotte de Georgette l’infirmière que j’avais mise dans ma poche et que j’ai oublié volontairement de lui redonner.
Pendant ma perme ou que j’ai su que j’étais cocu et futur papa je suis retourné voir Madeleine mais il restait qu’une vieille pute de plus de cinquante ans et qui m’a dit qu’elle avait rejoint un bordel pour soldat non loin d’ou je suis, peut-être que je serais épargné mais j’arrête on monte à l’assaut.
Je suis sauf, deux copains encore morts et un parti pour le peloton d’exécution car il a refusé de sortir de notre tranché, je suis avancé jusqu’à celle des Allemands et j’en ai vu un les yeux dans les yeux avant de lui planter ma billonnette dans le ventre, encore un qui viendra pas chez moi me percer.
Hier c’était les Allemands qui ont attaqué et mon copain qui est mort tout à l’heure le tiré au moment où j’allais me faire planter, dommage qu’aujourd’hui je sois trop loin de lui pour lui rendre la pareille.
Nous avons regardé ces papiers, il s’appelait Otto et venait de là où je connais Cologne, c’est peut-être de là que vient l’eau qui sent bon acheté et offert à Jacqueline a aimé que je lui achète.
Je lui ai même fait le compliment qu’un rien l’habillait quand elle en met et que je peux la prendre comme je l’aime.
Un seul problème avec cette eau de Cologne, la bouteille descend très vite et je me demande pour qui elle en met quand je suis parti au champ pour la journée.
J’espère que Lucien et le facteur sont les seuls qui me fassent cocu bien qu’elle me jure chaque fois que je reviens le soir et qu’elle me lave dans la cuisine dans la bassine où elle a lavé le linge qu’elle étend dans le jardin qu’elle m’aime.
Elle m’aime au point de me sécher avec la grande serviette et pour finir monsieur le curé de me prendre dans sa bouche et aspirer mon sperme mais je crois que je vous l’ai déjà dit.
J’ai sommeil mais j’entends le canon faire un tir de nuit, les Allemands essayent que nous dormions les moins possibles ce qui assure demain une attaque de leurs hommes.
Encore un oubli dans ce que je pensais vous dire monsieur le curé, l’allemand il était marié et il avait une photo de sa femme une magnifique jeune fille.
Je rigole il faut un peu, car c’était une grosse avec des seins très proche de ceux de Marguerite mais avec un cul deux fois plus large, il y avait un nom et une adresse, Greta et Brühl et la photo est prise devant un grand château comme Versailles que j’ai vu sur une carte postale.
J’ai fait à peu près le tour de ce qui pourrait être mes pêchers, bien sûr j’oublie tout le temps, mais dois-je vous le dire sans poser problème à la Janine votre bonne du curé que j’ai sauté de nombreuses fois au presbytère les jours et à l’heure ou vous êtes à confesse et un samedi ou vous aviez la dame catéchisme qui vient chaque semaine confesser ses pêchers pendant une demi-heure je l’ai prise en levrette dans la sacristie.
Ça tire encore, celui-là était tout proche, j’écris mon nom et mon adresse rapidement.
Léo…
Épilogue.
Cette lettre a été retrouvée près du corps d’un soldat inconnu qui semblait s’appeler Léo, c’est du moins le nom que le soldat avait écrit avant de mourir.
Je suis historien, l’armée s’était arrêtée à ce prénom dans ces recherches mais il y avait tellement de morts sans identité qu’il a été classé inconnu et certainement mis dans l’ossuaire de Douaumont.
Quand j’ai regardé les listes de l’armée de ceux qui étaient au front le jour où son décès avait eu lieu deux Léon y figurait.
Le premier venant de la région de Nevers avait son nom sur le monument aux morts pour la France mais était célibataire.
Et c’est en Bretagne à Carnac que j’ai retrouvé la trace de sa famille.
Le fils de Jacqueline vieux monsieur encore de ce monde et les actes de naissance et de décès de plusieurs des acteurs de la lettre de Léon m’ont appris que Jacqueline était morte après avoir épousé l’instituteur du village, Lucien était mort au front car malgré son problème de jambe il avait réussi à se faire enrôler car il supportait difficilement de passer pour un pleutre.
En ce qui concerne Madeleine elle a disparu aussi, certains du village qui était monté à Paris faire leur service militaire après-guerre l’aurait revue à Pigalle où elle tapinait.
Le facteur était mort avant la fin de la guerre d’une cirrhose du foie ainsi que le curé et sa bonne.
Alain a su sur le lit de mort de sa maman qu’il était le fils d’un routard des fermes dont elle lui a donné le prénom mais qu’il a refusé de me le donner car son vrai père était un dénommé Léon qui était mort soldat inconnu à Verdun.
Avec la lettre l’armée avait conservé dans la même enveloppe une photo d’une grosse Allemande devant un château qui se prénommait Greta mariée à Otto de Brühl près de cologne. Alain m’a promis d’aller avec sa femme Juliette dont le père lui aussi est mort au front en Allemagne pour savoir et peut-être leur dire qu’Otto était mort en héraut comme hélas beaucoup d’autres et la petite culotte de la jeune infirmière qui m’a été impossible de retrouver manquant trop d’élément…
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