Le tombeur de ses dames 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le tombeur de ses dames 2
Une fois le diner terminé, les trois passent peu de temps devant la télé, puis montent se coucher. François, très fatigué, honore rapidement sa femme. Le lendemain matin, Éloïse se lève encore en nuisette, son mari est deja parti au travail. Le café et deja prêt. Elle s'affaire à l'évier, lorsque son neveu se lève à son tour. Il descend l'escalier, la regarde un moment, il sourit en voyant la nuisette transparente ultra-courte mouler le corps de sa tante. Il s'avance à pas de loup puis l'enlace, il se colle à son fessier, elle sursaute de surprise, il la serre très fort et lui donne un gros baiser sur le cou en disant :
-Je te souhaite une bonne journée tante !
Elle repond :
-Je te la souhaite à toi aussi Thomas !
Il sourit et répond :
-Oh, elle va être bonne, j'ai des rendez-vous, la journée sera bien remplie !
Elle se retourne, le regarde et lui dit avec arrogance :
-Ah, tu vas revoir tes vieilles traînées !
Il lui dit en souriant :
-Mais ce ne sont pas des trainées, ce sont des femmes en manquent de sexe, ne serrais-tu pas jalouse par hasard !
-De vieilles peaux, qui trompent leurs maris, oui !
Il lui place l'index sur la bouche et dit :
C''est vieilles peaux comme tu dit, certaines sont très expérimentées, plus d'autre, bien plus que ses jeunettes prétentieuses, toi, tu te situes dans quelques groupes, tante jalouse !
Il la serre si fort entres ses bras, qu'il lui ecrase les seins avec son torse. Elle le repousse et dit à voix forte :
-JE NE SUIS PAS JALOUSE DE TES SALOPES, JE NE TE RETIENS PAS VAS LES REJOINDRE !
Elle s'enfuit se réfugier dans sa chambre. Thomas se dit que là, il a fait fort, boit une gorgée de café et monte à l'étage. Il oiuvre la porte de la chambre de sa tante, elle est étendue sur son lit, ses yeux pleins de larmes regardent le plafond. Il s'approche, et sans gêne, s'allonge en position latérale à côté d'elle. Il la regarde, elle ne qui pas des yeux le plafond. Il lui dit en posant une main sur le haut de sa cuisse à la limite de la nuisette :
-Je te demande pardon Tante, j'ai été idiot tout à l'heure, je le regrette sincèrement !
Mais tu n'as qu'un mot à dire pour que je reste avec toi, pour te câliner !
Sans faire un mouvement, elle demande :
-C'est quoi pour toi câliner, je te le demande !
Un peu embarrassé, Thomas répond :
-Hem ben, par exemple, c'est caresser ta peau douce, te faire des choses que tonton ne te fait plus ou ne t'a jamais fait !
Elle pousse un soupir en disant :
-Oh, je suis bien trop vieille pour me laisser embobiner par un beau parleur !
Il lui doucement caresse la cuisse en répondant :
-Vieille pas tant que ça, désirable sûrement !
Elle lui demande :
-C'est vrai que tu as couché avec Marcelle ?
Il opine de la tête en disant :
-Je vois que les commérages vont bon train dans le village, eh bien pour satisfaire ta curiosité, oui, j'ai couché avec, je t'assure qu'elle est vachement chaude, elle a voulu que je la sodomise devant son mari avant que nous la prenions en double la coquine !
Éloïse sursaute, prend, appuie sur ses coudes et dit :
-Sodomiser, et prise en double avec son mari, oh la grosse salope, eh bien, je n'aurais jamais pensé ça d'elle, oh la salope, cache bien son jeu !
Thomas donne plusieurs baisers sur le visage de sa tante qui se laisse retomber sur le lit. Il lui embrasse le torse et lui gobe à travers le fin tissu de la nuisette un mamelon, sa tante sursaute, mais ne refuse pas l'action buccale sur son mamelon. Thomas alterne souvent les bougres de viennent rapidement gros et pointent comme pour percer le tissu. Éloïse geint soudain, elle le prend par le cou et lui dit :
-Thomas, fais-moi tout ce que tu as fait à Marcelle !
Il repond en souriant :
-Je ne demande que ça, mais pour la double, cela sera difficile !
Il pose ses lèvres sur les siennes et l'embrasse fougueusement. Les langues se nouent, un échange de salive se fait. Une fois le baiser, terminer. Il lui dit en passant sa main sous la nuisette :
-Je vais t'aimer comme jamais, tu ne l'a été tante, je vais me surpasser, je vais te faire jouir et re-jouir encore et encore !
Elle le regarde avec pleins de larmes dans les yeux et lui dit :
-Ne parle pas tant, aimes moi idiot !
Sa main monte jusqu'à la fourche des jambes, caresse la toison deja bien mouillée, et enfonce doucement deux doigts dans le cratère de sa tante qui geint de bonheur. Il fouille sans trop de brutalité, mais il trouve qu'un seul visiteur, ce n'est pas suffisant. Il joint un second doigt et ramone plus énergiquement le conduit gorgé de cyprine. Éloïse gémit, agite son bassin. Les doigts habiles de son neveu la rendent fébrile, elle frissonne, sa jouissance n'est pas loin. Il cesse de ramoner, et saisit entre son pouce et son index le clitoris, qui se met à masturber de plus en plus énergiquement. La tante grogne comme un animal, agite sa croupe. La tension a encore monté d'un cran, elle se cambre comme un pont et pousse un cri terrible de jouissance. Un flot de cyprine est expulsée de sa chatte avec une force inimaginable. Thomas, surpris, cesse de branler le clito, et admire la chatte gicler comme un geyser. Éloïse en plein délire marmonne :
-Oh Thomas, Thomas, tu me fais mourir de plaisir mon chéri !
-Je te souhaite une bonne journée tante !
Elle repond :
-Je te la souhaite à toi aussi Thomas !
Il sourit et répond :
-Oh, elle va être bonne, j'ai des rendez-vous, la journée sera bien remplie !
Elle se retourne, le regarde et lui dit avec arrogance :
-Ah, tu vas revoir tes vieilles traînées !
Il lui dit en souriant :
-Mais ce ne sont pas des trainées, ce sont des femmes en manquent de sexe, ne serrais-tu pas jalouse par hasard !
-De vieilles peaux, qui trompent leurs maris, oui !
Il lui place l'index sur la bouche et dit :
C''est vieilles peaux comme tu dit, certaines sont très expérimentées, plus d'autre, bien plus que ses jeunettes prétentieuses, toi, tu te situes dans quelques groupes, tante jalouse !
Il la serre si fort entres ses bras, qu'il lui ecrase les seins avec son torse. Elle le repousse et dit à voix forte :
-JE NE SUIS PAS JALOUSE DE TES SALOPES, JE NE TE RETIENS PAS VAS LES REJOINDRE !
Elle s'enfuit se réfugier dans sa chambre. Thomas se dit que là, il a fait fort, boit une gorgée de café et monte à l'étage. Il oiuvre la porte de la chambre de sa tante, elle est étendue sur son lit, ses yeux pleins de larmes regardent le plafond. Il s'approche, et sans gêne, s'allonge en position latérale à côté d'elle. Il la regarde, elle ne qui pas des yeux le plafond. Il lui dit en posant une main sur le haut de sa cuisse à la limite de la nuisette :
-Je te demande pardon Tante, j'ai été idiot tout à l'heure, je le regrette sincèrement !
Mais tu n'as qu'un mot à dire pour que je reste avec toi, pour te câliner !
Sans faire un mouvement, elle demande :
-C'est quoi pour toi câliner, je te le demande !
Un peu embarrassé, Thomas répond :
-Hem ben, par exemple, c'est caresser ta peau douce, te faire des choses que tonton ne te fait plus ou ne t'a jamais fait !
Elle pousse un soupir en disant :
-Oh, je suis bien trop vieille pour me laisser embobiner par un beau parleur !
Il lui doucement caresse la cuisse en répondant :
-Vieille pas tant que ça, désirable sûrement !
Elle lui demande :
-C'est vrai que tu as couché avec Marcelle ?
Il opine de la tête en disant :
-Je vois que les commérages vont bon train dans le village, eh bien pour satisfaire ta curiosité, oui, j'ai couché avec, je t'assure qu'elle est vachement chaude, elle a voulu que je la sodomise devant son mari avant que nous la prenions en double la coquine !
Éloïse sursaute, prend, appuie sur ses coudes et dit :
-Sodomiser, et prise en double avec son mari, oh la grosse salope, eh bien, je n'aurais jamais pensé ça d'elle, oh la salope, cache bien son jeu !
Thomas donne plusieurs baisers sur le visage de sa tante qui se laisse retomber sur le lit. Il lui embrasse le torse et lui gobe à travers le fin tissu de la nuisette un mamelon, sa tante sursaute, mais ne refuse pas l'action buccale sur son mamelon. Thomas alterne souvent les bougres de viennent rapidement gros et pointent comme pour percer le tissu. Éloïse geint soudain, elle le prend par le cou et lui dit :
-Thomas, fais-moi tout ce que tu as fait à Marcelle !
Il repond en souriant :
-Je ne demande que ça, mais pour la double, cela sera difficile !
Il pose ses lèvres sur les siennes et l'embrasse fougueusement. Les langues se nouent, un échange de salive se fait. Une fois le baiser, terminer. Il lui dit en passant sa main sous la nuisette :
-Je vais t'aimer comme jamais, tu ne l'a été tante, je vais me surpasser, je vais te faire jouir et re-jouir encore et encore !
Elle le regarde avec pleins de larmes dans les yeux et lui dit :
-Ne parle pas tant, aimes moi idiot !
Sa main monte jusqu'à la fourche des jambes, caresse la toison deja bien mouillée, et enfonce doucement deux doigts dans le cratère de sa tante qui geint de bonheur. Il fouille sans trop de brutalité, mais il trouve qu'un seul visiteur, ce n'est pas suffisant. Il joint un second doigt et ramone plus énergiquement le conduit gorgé de cyprine. Éloïse gémit, agite son bassin. Les doigts habiles de son neveu la rendent fébrile, elle frissonne, sa jouissance n'est pas loin. Il cesse de ramoner, et saisit entre son pouce et son index le clitoris, qui se met à masturber de plus en plus énergiquement. La tante grogne comme un animal, agite sa croupe. La tension a encore monté d'un cran, elle se cambre comme un pont et pousse un cri terrible de jouissance. Un flot de cyprine est expulsée de sa chatte avec une force inimaginable. Thomas, surpris, cesse de branler le clito, et admire la chatte gicler comme un geyser. Éloïse en plein délire marmonne :
-Oh Thomas, Thomas, tu me fais mourir de plaisir mon chéri !
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Ouah quelle fougue le jeunot