Le tombeur de ses dames 5 - histoire érotique

Marcelle s'écarte de son amie, c'est son mari qui est le prompt, il cesse de se masturber et avance son membre entre les cuisses d'Éloïse, il regarde le clito que sa femme a malmenée, le bougre est gros comme une noix tellement sa femme la sucée. Il frotte son gland contre la vulve dégoulinante et d'un coup de reins puissant l'enfonce jusqu'aux couilles. Éloïse, pousse un long râle. Luc s'accroche à Éloïse et commence à lui défoncer la chatte, qui regorge de cyprine. Le neveu bande comme un poney, il s'approche du duo, et offre aux lèvres charnues son mandrin, qu'il a pris soin de décalotter. Sa tante, comme un rituel, gobe le monstre de chair à chaque fois en se déboîtant presque la mâchoire. Elle suce et tète entre chaque coup de reins de Luc qui s'acharne sur elle.

La bite de l'étalon coulisse dans son vagin en frottant fortement sur les muqueuses très sensibles. À chaque enfoncement du pieu dans son ventre, Éloïse se cabre en gémissant. Thomas ne peut retenir sa semence qui gicle dans la bouche de la tante affamée, elle sait maintenant qu'elle dooit avaler le nectar, malgré la présence dans sa bouche de la bite énorme de son neveu, elle parvint à avaler le jus divin, dont elle raffole. Thomas retire sa bite et s'approche de Marcelle, il la regarde et dit en ironisant :

-Si on ne peut toucher son cul, par contre le tient, il n'y a aucune interdiction à ce que je sache !

Marcelle lui sourit et lui répond :

-Il est à toi mon enculeur, vas-y bourre-le, explose-le mon chéri !

Marcelle s'allonge sur la table basse et replie les jambes sur son ventre, elle se cambre pour bien offrir son anus que Thomas, depuis une semaine, visite souvent. Il place sa bite contre l'anneau ridé et pousse sans discontinuer. Irrémédiablement, son monstre s'enfonce dans le cul de Marcelle en le dilatant. Marcelle grimace, malgré les pénétrations anales multiples, ressent une douleur, qui rapidement s'estampe. Thomas la sodomise très lentement, il veut faire durer le plaisir. Le bougre ne quitte pas des yeux sa tante, qui rugit sous les coups de boutoir de Luc.


Luc donne un rapide coup d'œil vers sa femme qui a la bouche grande ouverte, il donne un coup violent de reins et reste planté dans le ventre d'Éloïse, qui souffle comme une bête. Il dit :


-Thomas, ne la fais pas languir ma femme, défonce lui le cul comme tu sais si bien le faire, je veux l'entendre gueuler !


Thomas sourit et commence un ramonage superpuissant, qui fait délirer Marcelle. Il ressort sa bite, regarde le trou béant et la replonge violemment jusqu'aux couilles. Marcelle pousse un hurlement, Thomas recommence plusieurs fois, l'enculée grimace et hurle à chaque enfoncement du pal dans son cul. Thomas la besogne jusqu'à ce que Marcelle jouisse du cul. Luc lui reprend la défonce de la chatte d'Éloïse, elle grogne comme agonisante, se cabre et jouit comme une dingue, le bougre reprend de plus bel ses assauts, il se bloque et dit :


-Oh putain que c'est bon, tu es chaude comme un brasier ma chérie !

Il lui remplit le ventre de son jus épais. L'éjaculateur se retire du ventre bouillonnant. On entend les couilles de Thomas frapper les fesses de Marcelle tellement il lui travaille le cul. Il se cabre et envoie dans le cul de Marcelle une giclée de sperme abondante. Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer. Thomas caresse du bout des doigts le trou béant qui ne cesse de palpiter. Il faut un peu de temps à Marcelle pour qu'elle reprenne ses esprits. Enfin, elle descend de la table avec difficulté, et s'approche de son amie. Elle se laisse tomber face à elle, et lui demande de se mettre sur le bord du canapé et d'ouvrir les jambes. Son amie obtempère et fait ce qu'on lui demande. Elle ragrde son mari et Thomas, ils comprennent ce que veut Marcelle, ils saisissent chacun une jambe et la replie sur le ventre d'Éloïse en la maintenant fermement, en équilibre sur le bord du canapé.


Marcelle avance sa tête entre les cuisses, donne quelques coups de langue sur la chatte baveuse, et l'enfonce pour recueillir du lubrifiant. Elle pose sa langue contre l'anus et le lèche comme une affamée, elle l'enduit de semence visqueuse et appuie fortement sur l'anneau ridé. Éloïse pousse un gémissement, le muscle rectal cède et laisse pénétrer l'intrus. La langue de Marcelle s'enfonce le plus loin possible, dans le rectum et la coquine le pilonne de coups de langue répétés. C'est démentiel pour Éloïse qui gémit en grinçant les dents. Son amie lui prépare la rondelle pour la pénétration. De la chatte d'Éloïse, s'échappe un filet de sperme mêlé à de la cyprine. Marcelle en récupère avec sa langue pour enduire l'anus de son amie. La pastille frétille, elle ne cesse de s'ouvrir et de se refermer. Marcelle sait que c'est le moment de livrer la chaudasse aux assauts des deux soudards.

Elle se rdresse et invite Thomas à se mettre sur une chaise, pour qu'Éloïse s'empale sur sa queue. Elle l'enjambe, saisit d'une main la bite qu'elle connait bien et la dirige vers sa chatte insatiable. Lentement, elle descend sur le manche de chair, ses grandes lèvres s'écartent, le gland s'engage lentement dans la gaine brulante, Luc qui est juste derrière le couple pèse de toutes ses forces sur les épaules d'Éloïse pour l'empaler totalement. Pendant la pénétration brutale, elle a poussée un râle en grimaçant. C'est au tour de Luc d'intervenir, Il crache sur son gland et le présente à la petite porte. Sa femme maintient l'engin contre l'anus qui est resté légèrement ouvert par le travail lingual de Marcelle. Il s'accroche aux hanches et pousse bien qu'Éloïse est deja subit de nombreuses sodomies de son neveu, l'introduction est difficile. Elle grimace, grogne pendant toute la pénétration. Elle a l'impression que les deux bites ont dans le même orifice, tellement la paroi qui les sépare et fine. Les deux hommes se mettent en action, Éloïse à l'impression que son corps va éclater. Les bites agissent en elle comme deux pistons qui coulissent dans leurs cylindres, avec une alternance parfaite.


Ses râles rauques sont très impressionnants, les bites qui lui dilatent la chatte et le cul, la font gémir comme une bête tombée dans un piège. La vitesse de pénétration augmente les gémissements d'Éloïse aussi. Marcelle pose ses doigts sur le clito de son amie et le branle pour atténuer la douleur que la soumise doit ressentir. Mais la coquine semble prendre du plaisir sous les assauts répétés des deux hommes. Maintenant, bien que dilater à l'extrême, elle gémit de plaisir. Éloïse délire, elle agite sa croupe en couinant :


-Faites-moi mourir de jouissance mes chéris, oh putain que c'est bon, détruisez-moi le cul et la chatte mes salauds, mon Dieu, c'est monstrueux ce que je ressens !

Elle se cabre, pousse un hurlement et explose. Elle a l'impression que son corps se vide. Les deux amants la pilonnent de plus en plus violemment, Éloïse jouir une seconde fois en hurlant, ses yeux sont exorbités, son visage est déformé par une moue monstrueuse. C'est le neveu qui décharge le premier dans le ventre de son amante, il est suivi de très près par Luc qui lui remplit le cul de sperme.
Luc retire du cul d'Éloïse sa bite et la pose contre celle de Thomas, il la longe et en poussant, l'enfonce dans le trou deja occupé. C'est encore une nouveauté pour Éloïse, elle se cabre et hurle :


-Marcelle, Marcelle, regardes, j'ai deux bites dans la chatte, c'est merveilleux, oh putain que c'est bon !


Le ramonage est très puissant, les cris de la soumise sont bruyants. Éloïse jouit plusieurs fois de suite en grognant comme une bête.
Les deux défonceurs réussissent à lui faire une double anale, aussi intense que la double vaginale. Elle hurle :

-Marcelle, ils sont dans mon cul maintenant, mon Dieu, je vais mourir !

Éloïse est une machine à jouir, elle ne cesse de le faire, sous le regard hébété de son amie Marcelle qui aimerai, elle aussi, subir des doubles comme Éloïse.