Le train
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2023 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Le train
Françoise est une femme mariée, heureuse, même si une certaine routine s'est vite installée dans son couple.
Ce jour là, elle revient d'un séjour en famille, sa mère a des soucis de santé.
Elle se rend à la gare, pour le retour, elle monte dans un wagon ancien, muni de cabines à 8 places.
Le train est peu fréquenté. Au départ, elle est seule dans sa cabine.
Puis, un jeune homme noir la rejoint.
Il a un look de jeune rappeur, avec un pantalon qui fait presque penser qu'il va glisser sur ses cuisses.
Le jeune homme s'allonge en travers de la banquette, face à elle, et demande à Françoise:
"M'dame ! Ca vous déranges pas si je dors un peu, ici, on a fait la teuf, hier soir, et je suis mort !".
"Pas de souci ! Jeune homme ! Vous descendez ou ?".
"A Macon ! Si je dors encore, vous me réveillez ?".
"Moi aussi, j'y vais ! Pas de souci !".
Le trajet va durer moins de deux heures, le garçon sombre assez vite.
Mais il ne se rend pas compte d'un phénomène troublant pour Françoise.
Il est pris d'une érection pendant son sommeil, et son gros gland noir et violacé dépasse de son caleçon, révélant des dimensions avantageuses.
Françoise n'arrive pas à chasser son regard de cette magnifique queue d'ébène.
Sa vulve s'humidifie de plus en plus.
Discrètement, elle se titille le clitoris en surveillant une arrivée inattendue.
La crainte est trop forte, elle se lève et va s'enfermer dans les toilettes du wagon.
Elle baisse sa culotte et pose ses fesses sur la cuvette, afin de se branler plus aisément.
Elle ferme les yeux et imagine le garçon noir devant elle, avec sa grosse queue noire, dure et gonflée.
"Tu veux ma grosse bite ? Salope !".
"Oui, prends moi, défonces-moi la chatte !".
La queue lui écartèle le vagin, comme jamais.
"Oh ! Elle est tellement plus grosse que celle de mon mari ! C'est bon !".
Elle se donne comme une vulgaire pute dans ses pensées, imaginant les cognements de la grosse queue noire contre le fond de son vagin.
Mais cela manque de réalisme.
Elle saisit une bombe de laque pour se l'enfoncer dans le vagin et reprend ses rêves érotiques.
"Arhhhhhhhh ! Elle est grosse ta bite ! Tu m'éclates la chatte, salaud !".
"Tiens salope ! Putain ! T'es bonne a baiser ! J'adore les meufs comme toi !".
Françoise prend plusieurs petits orgasmes avec son phallus de fortune.
Puis, elle sent venir celui va la combler plus que les précédents.
"Oui, vas y, baises-moi ! Je suis ta salope ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
"Putain, je vais te mettre tout mon foutre, sale chienne !".
"Oui, j'en ai envie ! Vides-toi ! Mets moi tout ton sperme ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Son corps est pris de spasmes et de saccades, elle se met à gicler sa cyprine sur le sol.
Elle inonde le cabinet de toilette, abondamment et sans fin.
Puis, elle retrouve sa lucidité, elle a atteint le plaisir suprême.
Elle essuie sa vulve avec le papier de mauvaise qualité fourni, puis remet sa culotte et quitte l'endroit en le laissant maculé de cyprine.
Lors de son retour, elle voit que le jeune noir est couché sur le coté, elle n'a plus le bonheur de voir sa verge.
Moins de cinq minutes avant l'arrêt, elle le touche pour le réveiller.
"Merci m'dame !".
Il reprend ses esprits, puis avant l'arrêt, il lui dit sans gêne:
"Vous ètes charmante ! M'dame ! Je pourrai avoir votre 06 ?".
"Jeune homme, je pourrai être votre mère !".
"Et alors ? Vous l'êtes pas ! C'est ça qui est bon ! Je vous plais pas !".
"Je ne suis pas celle que vous croyez, vous vous trompez sur moi ! Bon, le train s'arrête ! Mon mari m'attends !".
"Dommage ! J'aurai adoré m'occuper de vous ! Y a pas de mal à se faire du bien !".
Françoise saisit sa valise et quitte le train, le jeune noir se dirige dans l'autre direction.
"Ca va, mon amour, c'était pas trop long ?".
"Non, j'ai trouvé de quoi m'occuper ! C'était bien !".
Le garçon de couleur regarde le couple s'éloigner, sans imaginer un seul instant, qu'il a procuré un grand plaisir à Françoise, à son insu.
Ce jour là, elle revient d'un séjour en famille, sa mère a des soucis de santé.
Elle se rend à la gare, pour le retour, elle monte dans un wagon ancien, muni de cabines à 8 places.
Le train est peu fréquenté. Au départ, elle est seule dans sa cabine.
Puis, un jeune homme noir la rejoint.
Il a un look de jeune rappeur, avec un pantalon qui fait presque penser qu'il va glisser sur ses cuisses.
Le jeune homme s'allonge en travers de la banquette, face à elle, et demande à Françoise:
"M'dame ! Ca vous déranges pas si je dors un peu, ici, on a fait la teuf, hier soir, et je suis mort !".
"Pas de souci ! Jeune homme ! Vous descendez ou ?".
"A Macon ! Si je dors encore, vous me réveillez ?".
"Moi aussi, j'y vais ! Pas de souci !".
Le trajet va durer moins de deux heures, le garçon sombre assez vite.
Mais il ne se rend pas compte d'un phénomène troublant pour Françoise.
Il est pris d'une érection pendant son sommeil, et son gros gland noir et violacé dépasse de son caleçon, révélant des dimensions avantageuses.
Françoise n'arrive pas à chasser son regard de cette magnifique queue d'ébène.
Sa vulve s'humidifie de plus en plus.
Discrètement, elle se titille le clitoris en surveillant une arrivée inattendue.
La crainte est trop forte, elle se lève et va s'enfermer dans les toilettes du wagon.
Elle baisse sa culotte et pose ses fesses sur la cuvette, afin de se branler plus aisément.
Elle ferme les yeux et imagine le garçon noir devant elle, avec sa grosse queue noire, dure et gonflée.
"Tu veux ma grosse bite ? Salope !".
"Oui, prends moi, défonces-moi la chatte !".
La queue lui écartèle le vagin, comme jamais.
"Oh ! Elle est tellement plus grosse que celle de mon mari ! C'est bon !".
Elle se donne comme une vulgaire pute dans ses pensées, imaginant les cognements de la grosse queue noire contre le fond de son vagin.
Mais cela manque de réalisme.
Elle saisit une bombe de laque pour se l'enfoncer dans le vagin et reprend ses rêves érotiques.
"Arhhhhhhhh ! Elle est grosse ta bite ! Tu m'éclates la chatte, salaud !".
"Tiens salope ! Putain ! T'es bonne a baiser ! J'adore les meufs comme toi !".
Françoise prend plusieurs petits orgasmes avec son phallus de fortune.
Puis, elle sent venir celui va la combler plus que les précédents.
"Oui, vas y, baises-moi ! Je suis ta salope ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
"Putain, je vais te mettre tout mon foutre, sale chienne !".
"Oui, j'en ai envie ! Vides-toi ! Mets moi tout ton sperme ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
Son corps est pris de spasmes et de saccades, elle se met à gicler sa cyprine sur le sol.
Elle inonde le cabinet de toilette, abondamment et sans fin.
Puis, elle retrouve sa lucidité, elle a atteint le plaisir suprême.
Elle essuie sa vulve avec le papier de mauvaise qualité fourni, puis remet sa culotte et quitte l'endroit en le laissant maculé de cyprine.
Lors de son retour, elle voit que le jeune noir est couché sur le coté, elle n'a plus le bonheur de voir sa verge.
Moins de cinq minutes avant l'arrêt, elle le touche pour le réveiller.
"Merci m'dame !".
Il reprend ses esprits, puis avant l'arrêt, il lui dit sans gêne:
"Vous ètes charmante ! M'dame ! Je pourrai avoir votre 06 ?".
"Jeune homme, je pourrai être votre mère !".
"Et alors ? Vous l'êtes pas ! C'est ça qui est bon ! Je vous plais pas !".
"Je ne suis pas celle que vous croyez, vous vous trompez sur moi ! Bon, le train s'arrête ! Mon mari m'attends !".
"Dommage ! J'aurai adoré m'occuper de vous ! Y a pas de mal à se faire du bien !".
Françoise saisit sa valise et quitte le train, le jeune noir se dirige dans l'autre direction.
"Ca va, mon amour, c'était pas trop long ?".
"Non, j'ai trouvé de quoi m'occuper ! C'était bien !".
Le garçon de couleur regarde le couple s'éloigner, sans imaginer un seul instant, qu'il a procuré un grand plaisir à Françoise, à son insu.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres bien écrit. A quand 1 histoire version candaulisme au feminin ?
La chipie
La chipie