Le vieux Léo.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Le vieux Léo. Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le vieux Léo.
Cette histoire se déroule après mes rencontres avec Léo, dans son baisodrome.

Ca fait quelques semaines que l'on ne s'est plus vus, faute de possibilités.
Il faut dire que je n'attends pas après ça, je m'amuse aussi avec d'autres hommes en Sex-Shop et lieux chauds.
Dont le pote qui nous a mis en relation (Qui s'avère s'appeler Bernard).

Je viens d'arriver dans une nouvelle entreprise, pour une mission intérim.
J'ai environ 24 ans, et j'espère que le contrat sera renouvelé, j'ai besoin de payer mon loyer.
Je n'ai qu'une obsession, faire mes preuves.

Je commence à me changer, dans le vestiaire, au milieu d'inconnus.

Quand je suis surpris par l'arrivée de Léo, apparemment en retard.
Je ne m'attendais pas à le trouver là !
Il est aussi tétanisé que moi, c'est sur !

Il ne faut pas que les autres se rendent compte de notre trouble, ni qu'ils devinent qu'on se connait déjà.

L'appel de mon nom, me sort de cette situation.
Le contremaitre m'attend pour me donner les consignes.

Je vais donc effectuer ma tâche, en croisant souvent le regard de cet amant caché.

Je réalise que comme beaucoup d'hommes, il aime l'humour grivois et la vantardise.
Il se fait passer pour un gros baiseur hétéro, aux yeux de ses camarades.
Mais moi, je sais que les "culs" qu'il adore baiser ne sont pas féminins.

Il se sert de la vérité, qu'il déforme pour mieux se vanter.
Il parle ouvertement de cette "salope", qu'il défonce dans l'appartement de son pote.

"Putain, et ta femme ? Tu crois qu'elle se doute de rien ? Tu veux pas nous mettre sur le coup ?".
"Elle saura jamais ! Et désolé, ce genre de plan, ça se partage pas !".
"Mouais, tout ça, c'est des conneries ! On veut des preuves ! En plus, tu dis que la meuf est plus jeune que toi ? Et tu fais que l'enculer, en plus ? J'y crois pas !".

"Croyez ce que vous voulez ! Elle aime ma queue ! C'est comme ça !".
"Ca, c'est sûr qu'avec ton engin, tu dois la faire monter au plafond !".

Il me regarde, je sais pas comment prendre, tout ça, c'est moi, cette salope !
Je le sais piégé par le secret de son homosexualité, mais de là à en parler ainsi !

Il se passe deux jours, sans qu'on puisse rien faire, et durant lesquels, il m'a parlé discrètement, pour me demander de garder notre secret.
Mais en ajoutant aussi:

"Putain, faut qu'on trouve un moyen de baiser ! J'en ai trop envie ! Elle me manque, ta chatte ! C'est dur, de te savoir à portée de main".
"Je sais ! Pareil pour moi !".

Le soir, il me reconnait à l'arrêt de bus, il klaxonne pour m'attendre.

"Pourquoi, tu m'a pas dis que tu rentrais en bus ? Ca m'arrange ! Je peux te baiser quelque part, et après, je te rapproche de Toulon !".
"Pourquoi ? Tu connais des endroits ?".

Il sort de la voie principale, et après 5 à 6 minutes de route, il entre dans un terrain vague, avec un vieux cabanon délabré, tout au fond.
L'ouverture sans porte, ne nous rend visibles, que par les rares trains qui passent tout proches.

Derrière la voie, se trouve un bosquet très boisé.
Le cabanon est jonché de préservatifs, et de mouchoirs usagés.
Je lui demande:

"Ca baise ici ! T'es déjà venu ?".
"Oui ! Pendant un certain temps, je me tapai un vieux travelo ! Faute de mieux !".

"Si ça te plait pas, pourquoi tu le baisais ?".
"T'as vu ma bite ? Je prend ce qui veux bien ! Et je peux te dire que je suis content de te baiser toi, t'es beaucoup plus excitant !".
"Merci !".
"Remercies ta chatte, aussi ! Mais tu me fais trop envie, maintenant !".

Il se presse de baisser son pantalon, et son slip.
Sa verge très épaisse est comme à son habitude, dure comme de l'acier.

"Putain, vite, prends-moi dans ta bouche ! J'en peux plus !".

Je me salis les genoux, en me pliant devant lui, qui me rempli la gorge, sans me lâcher le crâne.
Je m'étouffe en gémissant, alors que lui, il gémit de plaisir.

"Orghhhhh ! Putain ! J'y crois pas, j'vais pouvoir m'amuser avec toi, tous les jours ! Tu vas être ma pute !".

Eh, ben là, c'est clair ! Il m'annonce son programme ! Bon, tant pis, on verra bien !
Et puis, j'aime bien ça, je peux pas le nier.

Un train passe à toute vitesse, alors que sa grosse bite me déforme la gorge, devant l'ouverture.
Je ne pense pas que les voyageurs ont le temps de me voir, mais qui sait ?
C'est tellement furtif !

Et puis, je ne le comprends pas, il veut rester discret, mais il adore jouer avec le feu !
Comme après un long anulingus baveux, lorsqu'il m'entraine, près du mur de la fenêtre, pour me baiser.

Je le retiens dans mon dos.
Il m'a baissé le pantalon jusqu'aux chevilles, et me penche en avant, pour m'enfourner sa grosse bite dans l'anus.
"Doucement Léo ! On a pas de gel, cette fois, vas y moins vite, au début ! Arghhhhhhh !".
"Je vais faire gaffe ! Orhh ! Je commence déja à aimer ça ! Elle est chaude ta chatte !".
"Arhhhhhhhh ! Putain ! T'es toujours aussi dur, et... gros ! Arhhhhhh ! Doucement !...".

Il se retire, pour me cracher encore sur la rosette anale, puis revient.
Son gros mandrin m'écartèle plus aisément, ma collerette cède sous sa pression.
Je râle en me rendant à l'évidence, il veut m'empaler le plus rapidement possible.

Sa verge me déchire les parois anales en m'obligeant à râler.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Salaud ! T'y es arrivé ! Arghhhhhhhhhhh ! Putainnnnnnnnnnn !".
"Arrêtes de me traiter de salaud ! Qui c'est la salope ? Tu veux que j'enlève ma bite ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Non ! Continues ! Pardon, excuses moi ! Encore, défonces-moi ! Arghhhhhhhhh ! C'est trop bon !".

Il me secoue comme une chienne, de plus en plus fort, puis ajoute des insultes en m'enculant.

A la manière, dont il me laboure l'orifice anal, je comprend que je vais pas rentrer dans un bon état !
Ca me contrarie, un peu, mais je savais que j'allai y passer un jour, vu la situation.
Il va donc falloir que je gère les conséquences, vis à vis de ma copine !

Mais, le plaisir anal est tellement puissant, que je ne voudrais pas être ailleurs.
Il me rapproche de l'ouverture, on ne voit que mon torse, mais les secousses que je subis sont sans équivoque.
Si on me voit, on devinera que quelqu'un m'encule dans mon dos.

Par bonheur, peu de gens passent au loin.
Mais, ça deviendra son jeu préféré, en prenant de plus en plus de risques.

Je prends trois orgasmes anaux puissants, avant qu'il ne se mette à m'inséminer la chatte.
Tout ça, en me forçant à me montrer le plus possible.
Je joui du cul, en appréciant son sperme qui se déverse en moi.

Ce premier soir, il abuse plus longuement de mon anus, il vient de me mettre tout le sperme qu'il contenait depuis plusieurs jours, et ne veut plus en sortir.
Je me sens rempli à l'extrême, c'est le bon coté de sa bite hors norme.
Elle empêche tout écoulement.

Je me prépare à sa sortie, en serrant mon sphincter, puis, je la regarde avec fierté.
Sa grosse bite est brillante de jus, avec son filet de foutre au bout du gland.
J'aime ce moment suspendu, lorsque j'ai la confirmation qu'il a éjaculé grâce à moi, et qu'il me le déclare:

"Hummm ! J'ai bien joui, ma salope ! T'as bien assuré, encore une fois".

Je lui souris, sans desserrer les fesses.
Je dois faire avec les moyens du bord, c'est à dire rien, pour m'essuyer !
Donc, je range mon cul poisseux et spermé dans mon slip, sans pouvoir lutter contre.

Il me ramène ensuite, près d'un autre arrêt de bus, plus fréquenté que le premier.
Comme toujours avec sa grosse queue, je suis sujet aux rejets d'air continus.
Il est tellement épais, qu'il me fait comme une pompe à vélo dans ma chatte, et tout cet air doit ressortir !
Donc, ça cause des fuites de sperme au passage, je retiens tout ça, mais ça m'oblige à m'éloigner des autres usagers du bus.

Tant pis, j'irai me doucher en rentrant, et je prélaverai mon slip, avant de le mettre dans la corbeille à linge.
Je commence à prendre peur, Ca va toujours se passer comme ça ?
Malheureusement, oui ! J'ai même vécu le fait de me faire détruire l'anus, en regardant passer des jeunes filles, tout au fond.

Un soir, j'ai oublié de me retenir, et j'ai joui tellement fort, qu'un vieil homme s'est retourné, pour me voir vivre mon orgasme avec la bouche ouverte.
On était bien éloigné, mais je pense qu'on pouvait deviner ce qu'on me faisait !
D'ailleurs Léo, se vidait les couilles plus facilement, s'il savait qu'il y avait un passant.

"Arghhhhhhhh ! Il te regarde, là ?".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Salaud...".
"Orghhhhhhhhhhh ! Je te joui dans le cul ! Salope ! Orhhhh ! J'aimerai qu'il vienne ici, pour me voir te défoncer la chatte !".

Un soir, après avoir éjaculé, il m'a proposé de faire une baise à plusieurs, dans son "baisodrome", ça lui manquait de me partager, j'ai accepté.

J'ai rarement eu le plaisir de l'avaler en fin de sodomie, il était comme ça.

Donc, tout à fait logiquement, on a moins refait nos baises dans l'appart de son pote.

Mais, parfois, dans l'entreprise, je souriais intérieurement, quand il se vantait de baiser le cul de sa "maitresse", presque tous les jours.
Je doute que beaucoup l'aient cru, mais sans qu'ils connaissent la véritable identité de cette "salope", je suis passé pour une vraie pute, c'est sûr.
Lui, ça l'excitait encore davantage.

Comme Léo est le genre pistolet automatique, plutôt que fusil à un coup, il me sollicitait aussi en journée.
Il tenait moins que d'autres, mais pouvait éjaculer plusieurs fois, c'est bien aussi !
C'est grâce à ça, que j'ai pu me régaler de son sperme en fellation.

Je voyais bien qu'il prenait ensuite, un malin plaisir à me voir discuter avec un collègue de travail, en sachant que j'avais encore son gout dans la bouche.
Moi aussi, j'aimais ça, même lorsqu'il m'avait un peu giclé dessus, trop pris par le plaisir pour contrôler ses jets de sperme.

"C'est bon, on voit presque rien ! Tu peux y aller !".

Pas tant que ça, puisque Corinne s'est parfois étonnée de me voir taché au niveau du torse, en rentrant le soir.
Plus particulièrement ma tenue de travail.
Je me trainai ça depuis le matin, à 10h30 ! Puisque le soir, après m'avoir dévoré le cul, c'est ma chatte qui recevait !

Comme je l'ai écrit, on a varié les lieux pour ne pas tomber dans une routine.

Quand il n'était pas en demande, je rentrai sans gêne anale, ça me donnait du répit.
Finalement, ça le rendait plus humain.
Quand mon contrat n'a pas été renouvelé, j'ai repris mes sorties en lieux chauds.
Mais tout ça me remémore, cette matinée dans l'appart de son pote, avec ses complices de jeux.
Mais c'est une suite, encore.

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