Les ancêtres de Patrick, Lucie, la jeune cousine de Julien
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 559 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 233 251 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2015 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 9 950 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les ancêtres de Patrick, Lucie, la jeune cousine de Julien
LES ANCÊTRES DE PATRICK
2ème partie
Lucie, ma cousine.
(Histoire légèrement modifiée pour correspondre à l’étique du site.)
Quatorze ans plus tard ma tante et son mari moururent dans un accident de voiture et ma cousine Lucie vint habiter chez moi. Elle avait la poitrine et des hanches superbes et ressemblait énormément à sa mère.
Elle me rappelait sans cesse les folles jouissances que j'avais éprouvées avec sa mère et ça me rendais fou de luxure.
J'avais pris l'habitude le soir de la prendre sur mes genoux et de lui raconter des souvenirs de guerre tout en l'embrassant et jouant avec elle.
Je la complimentais un soir sur la fermeté de sa poitrine lui disant qu'elle n'avait nul besoin de soutien-gorge pour soutenir ses admirables seins qui promettaient de faire tourner bien des têtes.
Elle se met à rire et me dit de toucher pour se rendre compte de leurs fermetés par moi-même. Sous mes caresses, ses tétons se mettent à durcir et je la complimente pour son buste d'albâtre, mes doigts s'égarent de plus en plus bas et caressent son ventre bombé, après un moment de rebuffade et sous mes mots élogieux elle se laisse faire très flattée.
De fil en aiguille, je lui caresse les cuisses et finis par lui tâter et branler sa fente virginale.
Et ce qui devait arriver arriva.
Quelque temps après elle s'est enhardie et a voulu elle aussi connaître mon sexe.
Lucie m'aide à me déshabiller et regarde avec amour mon phallus érigé et après une brève hésitation pose ses deux mains sur ma verge et la caresse sur toute sa longueur.
- Oh mon Dieu mon cousin, ta bite est si douce et pourtant si dure, elle est belle !
Et je l'interroge.
- Tu veux la caresser?
Elle prend ma hampe fièrement au garde à vous.
- Tu as un sacré engin...il est énorme!!!
Ses yeux se sont fixés dans les miens. Son esprit disjoncte, elle ne pense plus qu'a ma bite à quelques centimètres de son visage. Elle ne peut quitter des yeux la grosse tête bulbeuse de cette queue massive qui se tient devant elle.
- Mon dieu! Elle est d'une telle épaisseur. Tu as une queue magnifique, les hommes ont-t-ils tous un si gros machin entre les jambes ?
Elle ne peut retenir sa main, qui s'approche de ma virilité brandie et entoure cette belle colonne de chair.
Elle fait courir timidement sa main sur toute la longueur de ce chibre de plus de 20 cm. Sa main est en train de le branler, sentant ses veines palpiter à travers ses doigts. - Continue Lucie C’est bon! Je gémis sous la caresse.
Elle continue donc à branler doucement mon pénis dressé pendant près de dix minutes. Il est devenu d'une dureté ferrugineuse.
- Putain ... ta bite est vraiment extraordinaire, elle est dure comme du bois.
Elle astique doucement mon mandrin qui semble encore augmenter de volume.
Comprenant aux mouvements saccadés et aux gémissements que je pousse, que j'approche de l'orgasme libérateur, Lucie accélère alors approchant sa bouche et absorbant mon gland.
Ces deux caresses simultanées m'amenant à l'extase finale. Sous ses voluptueuses caresses, je sens que je ne vais pas pouvoir retenir ma jouissance plus longtemps et je crie dans un dernier sursaut...
-Je vais jouir !... Aaarrhhh... Aaaahhhh....
Dans un grognement inhumain où se mêlent plaisir et crainte, en proie à une jouissance phénoménale je décharge à longs jets dans la cavité buccale de Lucie. Surprise, Lucie a refermé ses lèvres autour de la collerette du gland, ne gardant en bouche que le bourgeon de chair.
Lorsque le premier jet de sperme onctueux lui frappe le palais, elle bloque sa déglutition afin de garder en bouche cette semence tant désirée. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit de mon pal, et un troisième puis un quatrième.
Le sperme encore fluide s'agglutine au fond de son gosier. Elle fait des efforts pour ne pas avaler immédiatement ce nectar qui lui emplit les joues. Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s'écoulant mollement du gland assagi, remplissant complètement sa bouche.
Elle avale tout et s'exclame:
- Oh oui, ouiiiiii...c’est booon, mon Dieu, qu’est ce que c’est boooonnnn... Oh Julien, c’est merveilleux ! Je ne croyais pas qu'on éprouvait un tel plaisir ! Ooooooh, que c'est bon de sentir ta bite cracher dans ma bouche !
Après cette première découverte, je lui fais découvrir l'amour et la déflore dès le lendemain.
Lucie me retrouve dans ma chambre, elle est complètement nue, elle est comme une folle attendant de perdre sa virginité et me dévêtit en un rien de temps pour attraper l'objet de son désir.
- Prend-moi, Julien, s'il te plait, baise-moi maintenant et fait moi femme avec ta belle bite si dure, si grosse! Ohhh..!
Elle se redresse et promène ma queue sur ses grandes lèvres plusieurs fois avant de présenter mon gland à l'entrée de sa chatte, branle doucement mon mandrin qui augmente encore de volume.
- Oh qu'elle engin!!!!
- Vas-y, enfonce toi, déchire mon hymen, Je veux sentir ta grosse queue me perforer les chairs et s'engouffrer en entier au fond de moi ! Je suis prête au sacrifice!
Tout en douceur je fais pénétrer avec difficulté mon gland trigonocéphale dans son sexe vierge et si étroit et bute sur son hymen, elle ajoute complètement exaltée ;
- Oooohhhh, allez ! Baise-moi, fait de moi une femme!
Je me retire légèrement avant de la pénétrer à nouveau mais son hymen résiste et elle se met à crier, je recommence l'opération posant mes lèvres sur les siennes arrêtant ses cris et m’enfonce violemment de plus de 10 cm !
- Aiiiiiiiillllleeeeeeeeeee !! Malgré mon baiser Lucie hurle quand ma queue déchire sa virginité et écartèle ses chairs, le sang rougit ma verge.
Après une pause pendant quelques instants afin de lui permettre de récupérer du choc de ma perforation, je commence doucement un lent va-et-vient dans un sexe ultra serré sans m'introduire plus loin. Je n'ai jamais connu de chatte si étroite.
- Waouh, putain t’es gros ! Non… non… arrête! Ta bite est trop dure!
Je continue ma poussée avec douceur centimètre par centimètre. Bientôt mon manche glisse dans son tunnel d’amour complètement distendu par la grosseur de ma verge et elle me fixe dans les yeux pendant que je laboure profondément sa chatte brulante.
Progressivement la douleur s’atténue et c’est maintenant des doux gémissements qui sortent de sa bouche.
Je sens sa chatte compresser ma queue et elle crie :
- Oh Julien, c’est merveilleux ! Je ne croyais pas qu'on éprouvait un tel plaisir ! Ooooooh, que c'est bon de sentir ta bite glisser à l'intérieur de moi!
Je ralenti mon rythme et aussitôt elle ajoute:
- Ah, non, continue à me baiser, oui, vas-y!
- Ça n'a pas été trop douloureux ?
- Eh bien, tu es vraiment gros, ça m’a fait mal quand tu m'as déflorée et j’avais l’impression que tu me déchirais non seulement ma membrane mais aussi mon vagin. Puis doucement je me suis sentie si bien remplie par ton pal que je ne voulais plus que ça s’arrête.
Elle m'embrasse à nouveau et je commence à augmenter la force de mes coups de rein.
- Oh mon Dieu j’aime te sentir au fond de moi ! C’est vachement bon de se sentir remplie par une belle queue comme la tienne !...
Elle commence à branler sa chatte avec ma bite, en se déplaçant sur plus de la moitié de sa longueur et après plusieurs allers-retours :
- Il faut que je vois ça !
Elle penche sa tête vers le bas de mon corps et regarde sa chatte arrivée au gland, elle renfile tout aussi lentement ma queue dans son tunnel :
- Mon Dieu, comment ce pieu magnifique peut entrer dans ma petite chatte ? Il est si grand et si gros ! Mais je sens qu’il se plait à l’intérieur de moi !
Elle se baise toute seule en gémissant puis elle se penche pour m’embrasser.
Profitant de l’accalmie je reprends en bouche ses tétons tout durs pour les sucer en aspirant légèrement.
- Oh oui, suce mes seins ! Oh que j’aime me faire sucer les seins ! Mes bouts sont hypersensibles.
Puis elle s'arrête de parler et se concentre sur ma bite dans son vagin. Elle avance et recule son pubis, elle entame un mouvement de rotation sur mon pieu. On dirait qu’elle veut sentir chaque partie de ce phallus qui écartèle sa vulve.
Quelques minutes plus tard Lucie connait son 1er orgasme :
- Ooooh...je vais...! Ouiiiii, oh merde, merde, je jouiiiiiiss, mon Dieu, je jouiiiiss enccoooree !
- Oh Julien ! Oui, rempli-moi avec ton sperme ! Oh mon Dieu, c’est si bon, oh... oh... quelle baise... OOOOh... quelle baise... oh mon Dieuuu... c’est si boooonnnn !
Et elle prend mes lèvres pour un baiser hallucinant.
Et sous sa jouissance j’éjacule puissamment au fond de sa chatte remplie de spasmes erratiques.
- Maintenant ! Jouis ! Lâche-toi...aaagghrr… Putain, je coule littéralement.
Des quantités de sperme giclent et frappent les parois internes de son sexe au plus profond de sa matrice. Je continue de frapper sa vulve avec mon phallus et n’arrête pas d’expulser ma semence en elle. Je gicle et me répands, inondant sa chatte avec une crème chaude et bienfaisante, et d'un effort surhumain j'arrache ma bite de son fourreau en feu et la jette sur le lit en continuant de gicler.
Je regarde les jets épais et lourds de mon sperme atterrir sur sa chatte, son ventre et ses seins.
- OH OUI, C'EST MON COUSIN QUI JOUIT ! Va y, mets en partout....Arrose bien le minou de ta cousine ! Mais est-ce que tous les hommes envoient autant de foutre que toi? C'est pas possible!
L'extérieur de sa chatte est couvert de ma semence et elle se vide à chaque contraction incontrôlable de son vagin du trop plein de jus.
Je l'initiais en peu de temps à tous les raffinements de la volupté et finit 2 ans plus tard par lui faire un enfant. Elle me dissimula le plus longtemps possible sa grossesse si bien que je du la mener chez des parents éloignés jusqu'à sa délivrance et elle ne revint que quelques mois plus tard avec une adorable petite fille, Brigitte.
2ème partie
Lucie, ma cousine.
(Histoire légèrement modifiée pour correspondre à l’étique du site.)
Quatorze ans plus tard ma tante et son mari moururent dans un accident de voiture et ma cousine Lucie vint habiter chez moi. Elle avait la poitrine et des hanches superbes et ressemblait énormément à sa mère.
Elle me rappelait sans cesse les folles jouissances que j'avais éprouvées avec sa mère et ça me rendais fou de luxure.
J'avais pris l'habitude le soir de la prendre sur mes genoux et de lui raconter des souvenirs de guerre tout en l'embrassant et jouant avec elle.
Je la complimentais un soir sur la fermeté de sa poitrine lui disant qu'elle n'avait nul besoin de soutien-gorge pour soutenir ses admirables seins qui promettaient de faire tourner bien des têtes.
Elle se met à rire et me dit de toucher pour se rendre compte de leurs fermetés par moi-même. Sous mes caresses, ses tétons se mettent à durcir et je la complimente pour son buste d'albâtre, mes doigts s'égarent de plus en plus bas et caressent son ventre bombé, après un moment de rebuffade et sous mes mots élogieux elle se laisse faire très flattée.
De fil en aiguille, je lui caresse les cuisses et finis par lui tâter et branler sa fente virginale.
Et ce qui devait arriver arriva.
Quelque temps après elle s'est enhardie et a voulu elle aussi connaître mon sexe.
Lucie m'aide à me déshabiller et regarde avec amour mon phallus érigé et après une brève hésitation pose ses deux mains sur ma verge et la caresse sur toute sa longueur.
- Oh mon Dieu mon cousin, ta bite est si douce et pourtant si dure, elle est belle !
Et je l'interroge.
- Tu veux la caresser?
Elle prend ma hampe fièrement au garde à vous.
- Tu as un sacré engin...il est énorme!!!
Ses yeux se sont fixés dans les miens. Son esprit disjoncte, elle ne pense plus qu'a ma bite à quelques centimètres de son visage. Elle ne peut quitter des yeux la grosse tête bulbeuse de cette queue massive qui se tient devant elle.
- Mon dieu! Elle est d'une telle épaisseur. Tu as une queue magnifique, les hommes ont-t-ils tous un si gros machin entre les jambes ?
Elle ne peut retenir sa main, qui s'approche de ma virilité brandie et entoure cette belle colonne de chair.
Elle fait courir timidement sa main sur toute la longueur de ce chibre de plus de 20 cm. Sa main est en train de le branler, sentant ses veines palpiter à travers ses doigts. - Continue Lucie C’est bon! Je gémis sous la caresse.
Elle continue donc à branler doucement mon pénis dressé pendant près de dix minutes. Il est devenu d'une dureté ferrugineuse.
- Putain ... ta bite est vraiment extraordinaire, elle est dure comme du bois.
Elle astique doucement mon mandrin qui semble encore augmenter de volume.
Comprenant aux mouvements saccadés et aux gémissements que je pousse, que j'approche de l'orgasme libérateur, Lucie accélère alors approchant sa bouche et absorbant mon gland.
Ces deux caresses simultanées m'amenant à l'extase finale. Sous ses voluptueuses caresses, je sens que je ne vais pas pouvoir retenir ma jouissance plus longtemps et je crie dans un dernier sursaut...
-Je vais jouir !... Aaarrhhh... Aaaahhhh....
Dans un grognement inhumain où se mêlent plaisir et crainte, en proie à une jouissance phénoménale je décharge à longs jets dans la cavité buccale de Lucie. Surprise, Lucie a refermé ses lèvres autour de la collerette du gland, ne gardant en bouche que le bourgeon de chair.
Lorsque le premier jet de sperme onctueux lui frappe le palais, elle bloque sa déglutition afin de garder en bouche cette semence tant désirée. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit de mon pal, et un troisième puis un quatrième.
Le sperme encore fluide s'agglutine au fond de son gosier. Elle fait des efforts pour ne pas avaler immédiatement ce nectar qui lui emplit les joues. Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s'écoulant mollement du gland assagi, remplissant complètement sa bouche.
Elle avale tout et s'exclame:
- Oh oui, ouiiiiii...c’est booon, mon Dieu, qu’est ce que c’est boooonnnn... Oh Julien, c’est merveilleux ! Je ne croyais pas qu'on éprouvait un tel plaisir ! Ooooooh, que c'est bon de sentir ta bite cracher dans ma bouche !
Après cette première découverte, je lui fais découvrir l'amour et la déflore dès le lendemain.
Lucie me retrouve dans ma chambre, elle est complètement nue, elle est comme une folle attendant de perdre sa virginité et me dévêtit en un rien de temps pour attraper l'objet de son désir.
- Prend-moi, Julien, s'il te plait, baise-moi maintenant et fait moi femme avec ta belle bite si dure, si grosse! Ohhh..!
Elle se redresse et promène ma queue sur ses grandes lèvres plusieurs fois avant de présenter mon gland à l'entrée de sa chatte, branle doucement mon mandrin qui augmente encore de volume.
- Oh qu'elle engin!!!!
- Vas-y, enfonce toi, déchire mon hymen, Je veux sentir ta grosse queue me perforer les chairs et s'engouffrer en entier au fond de moi ! Je suis prête au sacrifice!
Tout en douceur je fais pénétrer avec difficulté mon gland trigonocéphale dans son sexe vierge et si étroit et bute sur son hymen, elle ajoute complètement exaltée ;
- Oooohhhh, allez ! Baise-moi, fait de moi une femme!
Je me retire légèrement avant de la pénétrer à nouveau mais son hymen résiste et elle se met à crier, je recommence l'opération posant mes lèvres sur les siennes arrêtant ses cris et m’enfonce violemment de plus de 10 cm !
- Aiiiiiiiillllleeeeeeeeeee !! Malgré mon baiser Lucie hurle quand ma queue déchire sa virginité et écartèle ses chairs, le sang rougit ma verge.
Après une pause pendant quelques instants afin de lui permettre de récupérer du choc de ma perforation, je commence doucement un lent va-et-vient dans un sexe ultra serré sans m'introduire plus loin. Je n'ai jamais connu de chatte si étroite.
- Waouh, putain t’es gros ! Non… non… arrête! Ta bite est trop dure!
Je continue ma poussée avec douceur centimètre par centimètre. Bientôt mon manche glisse dans son tunnel d’amour complètement distendu par la grosseur de ma verge et elle me fixe dans les yeux pendant que je laboure profondément sa chatte brulante.
Progressivement la douleur s’atténue et c’est maintenant des doux gémissements qui sortent de sa bouche.
Je sens sa chatte compresser ma queue et elle crie :
- Oh Julien, c’est merveilleux ! Je ne croyais pas qu'on éprouvait un tel plaisir ! Ooooooh, que c'est bon de sentir ta bite glisser à l'intérieur de moi!
Je ralenti mon rythme et aussitôt elle ajoute:
- Ah, non, continue à me baiser, oui, vas-y!
- Ça n'a pas été trop douloureux ?
- Eh bien, tu es vraiment gros, ça m’a fait mal quand tu m'as déflorée et j’avais l’impression que tu me déchirais non seulement ma membrane mais aussi mon vagin. Puis doucement je me suis sentie si bien remplie par ton pal que je ne voulais plus que ça s’arrête.
Elle m'embrasse à nouveau et je commence à augmenter la force de mes coups de rein.
- Oh mon Dieu j’aime te sentir au fond de moi ! C’est vachement bon de se sentir remplie par une belle queue comme la tienne !...
Elle commence à branler sa chatte avec ma bite, en se déplaçant sur plus de la moitié de sa longueur et après plusieurs allers-retours :
- Il faut que je vois ça !
Elle penche sa tête vers le bas de mon corps et regarde sa chatte arrivée au gland, elle renfile tout aussi lentement ma queue dans son tunnel :
- Mon Dieu, comment ce pieu magnifique peut entrer dans ma petite chatte ? Il est si grand et si gros ! Mais je sens qu’il se plait à l’intérieur de moi !
Elle se baise toute seule en gémissant puis elle se penche pour m’embrasser.
Profitant de l’accalmie je reprends en bouche ses tétons tout durs pour les sucer en aspirant légèrement.
- Oh oui, suce mes seins ! Oh que j’aime me faire sucer les seins ! Mes bouts sont hypersensibles.
Puis elle s'arrête de parler et se concentre sur ma bite dans son vagin. Elle avance et recule son pubis, elle entame un mouvement de rotation sur mon pieu. On dirait qu’elle veut sentir chaque partie de ce phallus qui écartèle sa vulve.
Quelques minutes plus tard Lucie connait son 1er orgasme :
- Ooooh...je vais...! Ouiiiii, oh merde, merde, je jouiiiiiiss, mon Dieu, je jouiiiiss enccoooree !
- Oh Julien ! Oui, rempli-moi avec ton sperme ! Oh mon Dieu, c’est si bon, oh... oh... quelle baise... OOOOh... quelle baise... oh mon Dieuuu... c’est si boooonnnn !
Et elle prend mes lèvres pour un baiser hallucinant.
Et sous sa jouissance j’éjacule puissamment au fond de sa chatte remplie de spasmes erratiques.
- Maintenant ! Jouis ! Lâche-toi...aaagghrr… Putain, je coule littéralement.
Des quantités de sperme giclent et frappent les parois internes de son sexe au plus profond de sa matrice. Je continue de frapper sa vulve avec mon phallus et n’arrête pas d’expulser ma semence en elle. Je gicle et me répands, inondant sa chatte avec une crème chaude et bienfaisante, et d'un effort surhumain j'arrache ma bite de son fourreau en feu et la jette sur le lit en continuant de gicler.
Je regarde les jets épais et lourds de mon sperme atterrir sur sa chatte, son ventre et ses seins.
- OH OUI, C'EST MON COUSIN QUI JOUIT ! Va y, mets en partout....Arrose bien le minou de ta cousine ! Mais est-ce que tous les hommes envoient autant de foutre que toi? C'est pas possible!
L'extérieur de sa chatte est couvert de ma semence et elle se vide à chaque contraction incontrôlable de son vagin du trop plein de jus.
Je l'initiais en peu de temps à tous les raffinements de la volupté et finit 2 ans plus tard par lui faire un enfant. Elle me dissimula le plus longtemps possible sa grossesse si bien que je du la mener chez des parents éloignés jusqu'à sa délivrance et elle ne revint que quelques mois plus tard avec une adorable petite fille, Brigitte.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mlkjhg39
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
que nous réserve la suite?
une vrai famille de dépravés sexuels pour notre plus grand plaisir
Ah le charme des vieilles maisons, que de secrets cachés
Un vrai drogué du sexe, il pervertit toutes les filles de son entourage.
Dans le temps, il se passait de drôles de choses à l'ombre de vieux châteaux.
Si je suis bien la chronologie des histoires précédentes et que je rétablisse la filiation que les bonnes mœurs du site n'autorisent pas.
Julien a fait un enfant à sa mère pendant la guerre , une fille qui se prénomme Lucie, qu'il recueille par la suite et dévergonde lui faisant à elle aussi un mouflet, Brigitte, qui est donc sa fille, sa petite-fille, son arrière petite-fille ainsi que sa cousine. Consanguinité assurée.
Enfin, ce n'est qu'une belle histoire
Julien a fait un enfant à sa mère pendant la guerre , une fille qui se prénomme Lucie, qu'il recueille par la suite et dévergonde lui faisant à elle aussi un mouflet, Brigitte, qui est donc sa fille, sa petite-fille, son arrière petite-fille ainsi que sa cousine. Consanguinité assurée.
Enfin, ce n'est qu'une belle histoire