les boules!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : les boules! Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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les boules!
-Putain que ça fait du bien d’avoir fini !
- Tu t’en es bien tirée !
- Tu en es aussi pour quelque chose…
Sandrine semble se détendre après la réception. Qu’elle se devait d’avoir bien organisé au risque d’éjecté de son poste de directrice. Elle recommence même à être joueuse, ce qui est loin de me déplaire.
Confortablement installée sur le siège passager, elle remonte doucement l’ourlet de sa jupe. Et très vite, j’ai du mal à me concentrer sur la route. Quand la jupe est entièrement remontée, me révélant une simple petite culotte blanche, qu’elle commence à faire glisser sur le côté à l’aide de son index entre ses cuisses en me lançant des regards et des sourires plus qu’explicites.
Une bonne érection s’empare de moi. Alors que nous ne sommes qu’à quelques kilomètres de notre régie. Je quitte néanmoins la route principale pour prendre un petit chemin s’enfonçant dans les bois. Elle semble amusée par mon initiative, et continue à tripoter son sexe à travers sa petite culotte en se mordillant les lèvres.
Une fois à l’abri des regards indiscrets, je stoppe la voiture, coupe le moteur et défais l’instant d’après ma ceinture de sécurité. Sandrine fait de même de son côté.
Nous nous embrassons passionnément. Je me saisis d’un de ses seins, le caresse, le malaxe. Enfin ne pouvant me freiner et devinant ce qu’elle attend de ma part, j’avance son siège au maximum et l’incline.
Poussé par l’excitation, je quitte alors ma place et me mets à genoux devant elle. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Avec un sourire salace, elle défait lentement les boutons de son chemisier. La laissant s’effeuiller, j’avance mon visage entre ses cuisses gainées de nylon noir. Je les caresse du bout des lèvres, les laissant glisser jusqu’à sa petite culotte, m’en éloignant, commençant à passer ma langue dans le creux de ses cuisses, au-dessus de ses bas. M’approchant peu à peu de son intimité qui laisse échapper des effluves qui émoustillent mes sens.
J’embrasse sa petite culotte. Renifle son sexe, prêt à succomber à ma tentation. Puis elle se soulève légèrement. Assez pour faire glisser sa culotte sur ses cuisses, sur ses genoux, sur ses chevilles. Je m’en saisis et la pose sur le plancher. Je contemple son sexe. Les lippes légèrement écartées, déjà humides. Incapable de résister à la tentation, je pose ma langue sur son sexe. Le lèche lentement de bas en haut. Je l’entends grommeler un petit :
- C’est bon continu, Alain… et sache que c’est un ordre de ta directrice…
Je plaque mes lèvres sur les siennes. Ma langue se met en devoir de la mener au plaisir. Son bouton gonfle doucement sous les passages de ma langue. Elle laisse échapper de sa bouche sa satisfaction. Mon nez glissant sur son clito, ma langue s’amuse à pénétrer l’entrée de son vagin. Je savoure sa sève salée. Elle m’emprisonne entre ses cuisses gainées. Je les sens se presser contre mes joues, ses jambes empêchant mon visage de quitter son intimité. Elle me caresse les cheveux d’une main. De l’autre, elle se triture sa poitrine.
Je m’active de plus en plus sur sa chatte. Lui mangeant la chatte comme jamais jusqu’alors ! Il ne lui en faut pas plus pour être pris de spasmes. Ses gémissements se transformant en cris, elle ferme les yeux. La tête légèrement en arrière ses mains se pressent sur l’arrière de ma tête. Son sexe transpire de plus en plus. L’orgasme s’invite à notre ballet !
Elle desserre alors son étreinte. Ses seins nus se soulevant au rythme de sa respiration saccadée. Puis je me redresse et reprends ma place derrière le volant. Il est temps pour nous de rejoindre notre poste.
Quelques jours plus tard, elle me convoque à son bureau.
- J’ai quelque chose à te montrer, mais ce n’est pas le moment.
Mais alors que je m’apprête à entrer, il se trouve qu’elle n’est pas toute seule.
- On se voit plus tard, me fait-elle. Comme tu peux le voir, je suis occupée, là…
Ce n’est que le soir, que j’ai pu me libérer pour lui rendre une visite. Aussitôt, dans son bureau, je l’embrasse passionnément. Ma langue fouille sa bouche. Je la tiens par la nuque. Je retrousse sa jupe sur les hanches.
Sans attendre, alors qu’elle prend place dans son fauteuil, j’enfouis ma tête entre ses cuisses. Je lui griffe les bas de mes ongles. Elle se déchausse et promène son pied sur mon ventre sur ma poitrine. Elle glisse son gros orteil gainé entre mes lèvres. J’ai une vue sur sa fourche. Qu’un slip auréolé de mouille ne cache rien de son intimité.
Je me saisis de son escarpin. Enfuis mon nez dans la niche de la chaussure. Je prends plaisir de humer les fragrances chaudes qui s’en dégagent.
Je présente le bout de son escarpin au contact de sa chatte. Frictionne la fente la chaussure. Sourire canaille aux lèvres, Sandrine s’installe à califourchon sur mes genoux, se saisit de sa chaussure, pour enfoncer prestement son talon d’escarpin dans son anus. De quelques centimètres, mais assez pour jubiler. La surprise est totale pour moi. Je la connaissais coquine, mais là, elle se surpassait, pour mon plus grand plaisir.
Sandrine pousse un cri. Sous la secousse, elle se redresse quelque peu et glisse sur le talon qui disparaît un peu plus en elle. Elle s’agite frénétiquement et chacune de ses ruades n’a pour unique conséquence que de l’empaler un plus chaque fois.
Bientôt, la totalité du talon se trouve plongée dans son cul. La semelle de l’escarpin touche ses fesses. Elle extériorise son bonheur de s’auto-enculer. Commençant un mouvement de va-et-vient sur le talon, elle se branle sur son escarpin.
Empalée à fond sur le talon, elle pousse un râle qui semble sans fin, accentuant mécaniquement la pression exercée par le talon dans ses entrailles. Cette vision me survolte. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle semble n’en plus pouvoir. Elle laisse tout de même échapper un flot de cyprines et d’urine qui souille mon bas-ventre. Se découplant, elle a un ultime spasme avant de m’embrasser.
- J’ai envie de toi, fait-elle lentement, entre deux baisers. Viens maintenant. Ajoute-t-elle. Allez.
Son ton, mi-suppliant, mi-boudeur.
- À tes ordres, directrice.
Nous prenons position, j’approche ma verge de son sexe. Promène mon gland sur ses poils. L’attouchement est doux. Je l’introduis doucement, et dans l’état où elle se trouve, c’est un pur plaisir. Sa chatte me procure une sensation forte.
Je la pistonne d’abord lentement. Entrant bien à fond puis ressortant entièrement, ce qui arrache un soupir d’agacement à ma directrice. Puis j’augmente le rythme, jusqu’à la pilonner avec force, comme Sandrine aime. Mon bassin venant brutalement à la rencontre du sien. Mes couilles s’écrasant sur ses fesses. Ses seins se balancent au rythme des coups de boutoir.
- Oui, vas-y, bourre-moi…
Sandrine mouille copieusement. Une odeur de cul titille fortement mes narines.
- J’aime ta bite dans ma chatte, c’est chaud, c’est bon !
Je glisse un doigt trempé de ses sécrétions, et le porte jusqu’à son anus et humidifie celui-ci. Je glisse un doigt dans son petit trou, sans problème. Un deuxième suit, mais l’introduction s’avère plus ardue.
- Tu comptes me la mettre dans le cul ?
-C’est ce que tu veux ?
- Demande-lui, fait-elle en prenant position.
Les jambes hautes levées pour bien dégager sa raie. J’approche ma queue de son trou du cul. Je pousse, son œil, ridé s’ouvre doucement. Je fais coulisser les quelques centimètres de ma queue déjà introduits pour dilater son anus. Petit à petit, la pression sur ma verge s’assouplit et progressivement, elle s’immisce dans son trou à merde.
J’entreprends à pistonner son boisseau. Je peux apprécier du spectacle de son anus aux bords humides, écartelé par ma barre de chair.
J’accélère encore le rythme, branlant son cul.
Elle pose sa main sur sa fourche. Elle commence à se caresser furieusement la chatte. Ses doigts glissent sur sa peluche, ouvrant ses lèvres luisantes de mouille, titillant son bouton. Elle commence par s’introduire son index, puis un deuxième doigt, puis trois. Elle se branle franchement. Puis avec ses doigts poisseux, elle malaxe sa poitrine. Triture les bouts, les pince, les étire, et repart se branler. Elle se mord les lèvres. Elle est en train de me tuer. Dans un cri essoufflé, je largue mon plaisir dans son trou du cul, alors qu’elle se branle toujours la peluche.
Notre plaisir assouvi, c’est autour d’un verre que nous récupérons.
- Cela te dirait quand se mette ensemble ? Me fait-elle.
- Parce que ce n’est pas cela que nous faisons.
- Sérieux ! Je parle de vivre ensemble.
- Tu ne t’imagines même pas le bordel que cette idée provoquera !
- Ce serait drôle !
- C’est que question de voir les choses !

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