Les circonstances font que ...
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les circonstances font que ...
Justine et Arnaud sont mariés depuis quelques années, ils s'aiment énormément. Justine et Arnaud perdent leur travail, la petite entreprise qui les employés, a fermé ses portes. Depuis, ils cherchent un nouveau travail, mais l'emploi est rare dans la région, donc, ils décident de partir.
Avec la prime de licenciement, ils ont l'apport nécessaire, pour acheter une petite maison dans un village campagnard. Ils emménagent, mais ne connaissent personnes encore. Les jours passent, Arnaud enfin trouve du travail dans une ferme. Mais pour Justine, malheureusement, les jours se suivent, mais se ressemblent affreusement. Petit à petit, la routine s'installe dans le couple. Justine commence à se plaindre de la situation. Un soir, devant la télévision, elle dit :
-Mon chéri, nous ne sortons pratiquement pas. Nous n'avons jamais de loisirs, toi, tu travailles comme un fou à la ferme et entre deux, tu retapes la maison. Moi, j'étouffe ici, je ne vois jamais personnes, la seule occupation que j'ai, c'est de nourrir les quelques volailles que nous avons, je déprime, je n'en peux plus !
Arnaud reconnait que la vie de sa femme est monotone. Il lui dit :
-Ce soir, je t'emmène au bal, c'est le quatorze juillet, pour une fois profitons-en ma chérie !
Juste saute de joie, plus l'heure approche, plus, elle s'excite. Elle met des vêtements légers, car la chaleur est pesante. Justine est ravissante dans sa jupe qui lui arrive à mi-cuisses, son chemisier, largement échancré, laisse voir le profond sillon qui sépare les seins. Arnaud siffle d'admiration et en souriant lui dit :
-Ouah la bombe, tu vas faire des envieux ma chérie ce soir !
Justine enlace son mari et l'embrasse fougueusement. La coquine en profite pour passer sa main sur son entrejambe en lui disant :
-C'est à moi ça, mon chéri !
Arnaud lui sourit et réplique, avec beaucoup d'humour :
-Oh, mais ma chérie, il faut la mériter, mais je sais que tu ferais tout pour l'avoir dans le ventre ma salope adorée !
Justine en se frottant contre son mari ajoute en riant :
-Je l'ai quand je veux ta bistouquette mon chéri, je connais tes points faibles !
Puis, elle se laisse tomber à genoux devant lui. Avec habileté, elle lui sort du pantalon l'engin dont ils font allusions. Elle gobe la verge molle, et la suce avec de plus en plus d'ardeur. Arnaud pousse un long soupir et dit :
-Ma chérie, nous n'avons pas le temps de jouer, il est déjà tard, non, non, pas ça mon amour !
Tout en suçant, Justine hausse les épaules, elle s'active avec plus de rage sur le membre qui rapidement devient opérationnel. Justine est très douée pour ce genre d'exercice. Elle décalotte le gland, et le suce comme une affamée. Les râles d'Arnaud sont bruyants et pas simulés. Il se cabre et en s'agrippant aux cheveux de sa femme, lui remplit la bouche de sa semence. Une fois qu'elle a avalée le sperme et bien nettoyée la verge de sa langue, Justine, regarde son mari et lui dit en le narguant :
-Alors, tu vois que j'obtiens toujours ce que je veux !
Arnaud a les yeux qui brillent d'amour et répond :
-Oui salope, j'avoue que tu sais y faire, oh comme je t'aime !
Justine va dans la salle de bain, se brosser les dents et se rajuster un peu. Enfin, ils quittent la maison et c'est à pied qu'ils se dirigent vers la place. Ils cherchent une table, mais elles sont toutes occupées. Un couple qui les voit dans l'embarras, leur propose de partager leur table. Arnaud et Justine, acceptent en remerciant le couple. L'homme et la femme sont plus âgés qu'eux. Ils se présentent, l'un à l'autre. La femme se prénomme Mathilde, son compagnon Gaston.
Rapidement, les quatre sympathisent, ils parlent de tout et de rien. L'homme propose de commander une bouteille de champagne, Justine affectionne ce breuvage des dieux. La bouteille est vite terminée, Arnaud en commande une seconde. Les deux couples dansent aussi souvent que possible. Les deux hommes parlent de sport, ils en oublient leur épouse. Mathilde invite Justine à danser. Elle accepte en souriant, elle prend la main de sa cavalière et l'entraine sur la piste. Les deux femmes dansent fréquemment ensemble, le champagne commence à chauffer les corps. Mathilde enlace Justine pour un slow langoureux.
Les bassins collés l'un contre l'autre ondulent au rythme lent de la musique. Justine plaque sa joue contre celle de sa cavalière. Mathilde sent le souffle chaud de Justine sur sa joue et son cou. Elle soupire doucement, en se serrant encore plus fortement contre le corps de Justine. Pendant toute la nuit, les quatre changent de danseurs. Mais tout a une fin. Il se fait tard, les flonflons de la fête se terminent. Chacun doit rentrer chez soi, mais se promettent de se revoir.
Au fil des jours, et de plusieurs rencontres, les quatre deviennent de véritables amis. Mathilde qui a vraiment trop de travail, propose à Justine de travailler dans son épicerie à l'autre bout du village. Folle de joie, Justine renaît, elle change du tout au tout. Pendant que Gaston livre la marchandise dans les villages, et que Mathilde s'occupe des quelques vaches qu'elle possède, c'est Justine qui gère l'épicerie. Les deux femmes sont très complices.
Le patron d'Arnaud doit se rendre à Paris pour un bon bout de temps, préparer le salon de l'agriculture. C'est sa femme, Fiona, qui doit prendre les rennes de la ferme, épaulé par Arnaud. Cela fait déjà quelques jours que son parton est absent, Arnaud soupçonne Fiona, cette femme bien en chair, qui est toujours nue sous sa blouse mal boutonnée, d'avoir sans aucun doute un appétit sexuel redoutable.
Par sous-entendus, elle fait comprendre, ce qu'elle attend de son employé. Bien que cette femme mûre, ne déplaise pas à Arnaud, celui-ci, par loyauté pour son patron, fait semblant de ne rien comprendre. Cela agace Fiona, qui se pince les lèvres pour ne pas le traiter de con.
Mais un jour, en rangeant les bottes de foin dans la grange, Fiona se laisse tomber en entrainant volontairement Arnaud dans sa chute. Les deux corps roulent l'un sur l'autre dans le foin, une petite lutte amicale s'engage, les deux rient comme des enfants. Mais pendant leurs agitations, un bouton de la blouse s'arrache, et un sein jaillit. Arnaud reste sans voix devant le lobe qu'il a devant les yeux. Fiona ne quitte pas son employé du regard, qui reste figé devant cette masse de chair. Habilement, elle déboutonne d'autres boutons pour faire jaillir l'autre sein. Sa poitrine généreuse s'étale sur son torse.
Arnaud écarquille les yeux, il ne quitte pas du regard les seins ornés d'épais mamelons, plantés au centre de grosses taches brunes. Fiona prend doucement Arnaud par le cou et le tire vers les lobes qui sont quasiment le double de ceux de sa femme.
Il ne peut plus résister, il gobe un mamelon et le suce avec de plus en plus de voracité. Fiona, rapidement, commence à geindre sous les succions à répétitions de son employé. Arnaud les fait gonfler à tour de rôle, le plus qu'il peut. Il les mordille, les étire avec ses dents, les suçote férocement. L'effet est immédiat, Fiona gémit :
-Oui, oui mon chéri, ta bouche me fait délirer, bouffe-moi, bouffe-moi, fais-moi mourir de plaisir !
Arnaud tire brusquement sur les deux pans de la blouse et l'ouvre. Effectivement Fiona est nue sous le fin tissu. Une grosse touffe noire cerne sa vulve. Les grandes lèvres entre-ouvertes pendent fortement, en laissant voir l'entrée du conduit vaginal. Arnaud caresse le temple qui rapidement s'humidifie. Il plaque sa bouche dessus, aspire les grandes lèvres et les suce voracement, un long moment. Fiona est en pleine extase, elle se cambre en offrant le mieux possible son fruit juteux à la bouche de son amant vorace.
Arnaud gobe la boule magique, il la suce si bien qu'elle devient méconnaissable. Les couinements et les râles de Fiona sont très, très bruyants. Elle le supplie :
-Prends-moi, prends-moi mon chéri !
Arnaud sort de son pantalon sa bite hyper tendue. Il la frotte contre la chatte en ébullition et l'enfonce lentement dans la gaine brûlante. Il pilonne Fiona pendant de longues minutes, la coquine jouit plusieurs fois en grognant comme une bête. Arnaud la défonce le plus fort possible, il aime l'entendre gémir sous ses coups de boutoir, cela l'excite encore plus. Enfin, il lui remplit le ventre de son sperme abondant. Il ressort sa bite de la fournaise, Fiona la saisit et fait à son amant une fellation d'enfer, qui porte ses fruits. Il déverse dans la bouche de la suceuse plusieurs giclées de sperme. Fiona avale sans rechigner la liqueur épaisse.
Mais la patronne est insatiable, Arnaud doit l'honorer plusieurs fois par jour. Au début cela ne posait pas de problème. Mais les saillies répétées, mettent rapidement Arnaud sur les genoux. La première à en pâtir, c'est Justine sa femme, Arnaud la délaisse de plus en plus. Mais en bonne épouse, elle met cela sur le dos de la fatigue. Il est vrai qu'Arnaud bosse comme un dingue.
Avec la prime de licenciement, ils ont l'apport nécessaire, pour acheter une petite maison dans un village campagnard. Ils emménagent, mais ne connaissent personnes encore. Les jours passent, Arnaud enfin trouve du travail dans une ferme. Mais pour Justine, malheureusement, les jours se suivent, mais se ressemblent affreusement. Petit à petit, la routine s'installe dans le couple. Justine commence à se plaindre de la situation. Un soir, devant la télévision, elle dit :
-Mon chéri, nous ne sortons pratiquement pas. Nous n'avons jamais de loisirs, toi, tu travailles comme un fou à la ferme et entre deux, tu retapes la maison. Moi, j'étouffe ici, je ne vois jamais personnes, la seule occupation que j'ai, c'est de nourrir les quelques volailles que nous avons, je déprime, je n'en peux plus !
Arnaud reconnait que la vie de sa femme est monotone. Il lui dit :
-Ce soir, je t'emmène au bal, c'est le quatorze juillet, pour une fois profitons-en ma chérie !
Juste saute de joie, plus l'heure approche, plus, elle s'excite. Elle met des vêtements légers, car la chaleur est pesante. Justine est ravissante dans sa jupe qui lui arrive à mi-cuisses, son chemisier, largement échancré, laisse voir le profond sillon qui sépare les seins. Arnaud siffle d'admiration et en souriant lui dit :
-Ouah la bombe, tu vas faire des envieux ma chérie ce soir !
Justine enlace son mari et l'embrasse fougueusement. La coquine en profite pour passer sa main sur son entrejambe en lui disant :
-C'est à moi ça, mon chéri !
Arnaud lui sourit et réplique, avec beaucoup d'humour :
-Oh, mais ma chérie, il faut la mériter, mais je sais que tu ferais tout pour l'avoir dans le ventre ma salope adorée !
Justine en se frottant contre son mari ajoute en riant :
-Je l'ai quand je veux ta bistouquette mon chéri, je connais tes points faibles !
Puis, elle se laisse tomber à genoux devant lui. Avec habileté, elle lui sort du pantalon l'engin dont ils font allusions. Elle gobe la verge molle, et la suce avec de plus en plus d'ardeur. Arnaud pousse un long soupir et dit :
-Ma chérie, nous n'avons pas le temps de jouer, il est déjà tard, non, non, pas ça mon amour !
Tout en suçant, Justine hausse les épaules, elle s'active avec plus de rage sur le membre qui rapidement devient opérationnel. Justine est très douée pour ce genre d'exercice. Elle décalotte le gland, et le suce comme une affamée. Les râles d'Arnaud sont bruyants et pas simulés. Il se cabre et en s'agrippant aux cheveux de sa femme, lui remplit la bouche de sa semence. Une fois qu'elle a avalée le sperme et bien nettoyée la verge de sa langue, Justine, regarde son mari et lui dit en le narguant :
-Alors, tu vois que j'obtiens toujours ce que je veux !
Arnaud a les yeux qui brillent d'amour et répond :
-Oui salope, j'avoue que tu sais y faire, oh comme je t'aime !
Justine va dans la salle de bain, se brosser les dents et se rajuster un peu. Enfin, ils quittent la maison et c'est à pied qu'ils se dirigent vers la place. Ils cherchent une table, mais elles sont toutes occupées. Un couple qui les voit dans l'embarras, leur propose de partager leur table. Arnaud et Justine, acceptent en remerciant le couple. L'homme et la femme sont plus âgés qu'eux. Ils se présentent, l'un à l'autre. La femme se prénomme Mathilde, son compagnon Gaston.
Rapidement, les quatre sympathisent, ils parlent de tout et de rien. L'homme propose de commander une bouteille de champagne, Justine affectionne ce breuvage des dieux. La bouteille est vite terminée, Arnaud en commande une seconde. Les deux couples dansent aussi souvent que possible. Les deux hommes parlent de sport, ils en oublient leur épouse. Mathilde invite Justine à danser. Elle accepte en souriant, elle prend la main de sa cavalière et l'entraine sur la piste. Les deux femmes dansent fréquemment ensemble, le champagne commence à chauffer les corps. Mathilde enlace Justine pour un slow langoureux.
Les bassins collés l'un contre l'autre ondulent au rythme lent de la musique. Justine plaque sa joue contre celle de sa cavalière. Mathilde sent le souffle chaud de Justine sur sa joue et son cou. Elle soupire doucement, en se serrant encore plus fortement contre le corps de Justine. Pendant toute la nuit, les quatre changent de danseurs. Mais tout a une fin. Il se fait tard, les flonflons de la fête se terminent. Chacun doit rentrer chez soi, mais se promettent de se revoir.
Au fil des jours, et de plusieurs rencontres, les quatre deviennent de véritables amis. Mathilde qui a vraiment trop de travail, propose à Justine de travailler dans son épicerie à l'autre bout du village. Folle de joie, Justine renaît, elle change du tout au tout. Pendant que Gaston livre la marchandise dans les villages, et que Mathilde s'occupe des quelques vaches qu'elle possède, c'est Justine qui gère l'épicerie. Les deux femmes sont très complices.
Le patron d'Arnaud doit se rendre à Paris pour un bon bout de temps, préparer le salon de l'agriculture. C'est sa femme, Fiona, qui doit prendre les rennes de la ferme, épaulé par Arnaud. Cela fait déjà quelques jours que son parton est absent, Arnaud soupçonne Fiona, cette femme bien en chair, qui est toujours nue sous sa blouse mal boutonnée, d'avoir sans aucun doute un appétit sexuel redoutable.
Par sous-entendus, elle fait comprendre, ce qu'elle attend de son employé. Bien que cette femme mûre, ne déplaise pas à Arnaud, celui-ci, par loyauté pour son patron, fait semblant de ne rien comprendre. Cela agace Fiona, qui se pince les lèvres pour ne pas le traiter de con.
Mais un jour, en rangeant les bottes de foin dans la grange, Fiona se laisse tomber en entrainant volontairement Arnaud dans sa chute. Les deux corps roulent l'un sur l'autre dans le foin, une petite lutte amicale s'engage, les deux rient comme des enfants. Mais pendant leurs agitations, un bouton de la blouse s'arrache, et un sein jaillit. Arnaud reste sans voix devant le lobe qu'il a devant les yeux. Fiona ne quitte pas son employé du regard, qui reste figé devant cette masse de chair. Habilement, elle déboutonne d'autres boutons pour faire jaillir l'autre sein. Sa poitrine généreuse s'étale sur son torse.
Arnaud écarquille les yeux, il ne quitte pas du regard les seins ornés d'épais mamelons, plantés au centre de grosses taches brunes. Fiona prend doucement Arnaud par le cou et le tire vers les lobes qui sont quasiment le double de ceux de sa femme.
Il ne peut plus résister, il gobe un mamelon et le suce avec de plus en plus de voracité. Fiona, rapidement, commence à geindre sous les succions à répétitions de son employé. Arnaud les fait gonfler à tour de rôle, le plus qu'il peut. Il les mordille, les étire avec ses dents, les suçote férocement. L'effet est immédiat, Fiona gémit :
-Oui, oui mon chéri, ta bouche me fait délirer, bouffe-moi, bouffe-moi, fais-moi mourir de plaisir !
Arnaud tire brusquement sur les deux pans de la blouse et l'ouvre. Effectivement Fiona est nue sous le fin tissu. Une grosse touffe noire cerne sa vulve. Les grandes lèvres entre-ouvertes pendent fortement, en laissant voir l'entrée du conduit vaginal. Arnaud caresse le temple qui rapidement s'humidifie. Il plaque sa bouche dessus, aspire les grandes lèvres et les suce voracement, un long moment. Fiona est en pleine extase, elle se cambre en offrant le mieux possible son fruit juteux à la bouche de son amant vorace.
Arnaud gobe la boule magique, il la suce si bien qu'elle devient méconnaissable. Les couinements et les râles de Fiona sont très, très bruyants. Elle le supplie :
-Prends-moi, prends-moi mon chéri !
Arnaud sort de son pantalon sa bite hyper tendue. Il la frotte contre la chatte en ébullition et l'enfonce lentement dans la gaine brûlante. Il pilonne Fiona pendant de longues minutes, la coquine jouit plusieurs fois en grognant comme une bête. Arnaud la défonce le plus fort possible, il aime l'entendre gémir sous ses coups de boutoir, cela l'excite encore plus. Enfin, il lui remplit le ventre de son sperme abondant. Il ressort sa bite de la fournaise, Fiona la saisit et fait à son amant une fellation d'enfer, qui porte ses fruits. Il déverse dans la bouche de la suceuse plusieurs giclées de sperme. Fiona avale sans rechigner la liqueur épaisse.
Mais la patronne est insatiable, Arnaud doit l'honorer plusieurs fois par jour. Au début cela ne posait pas de problème. Mais les saillies répétées, mettent rapidement Arnaud sur les genoux. La première à en pâtir, c'est Justine sa femme, Arnaud la délaisse de plus en plus. Mais en bonne épouse, elle met cela sur le dos de la fatigue. Il est vrai qu'Arnaud bosse comme un dingue.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le décors est bien présenté. Arnaud se dévoue. On sent que ça ne s'arrêtera pas là!
Ce monde agricole que je connais si bien et qui pour les amoureux du sexe peut vite nous rendre malheureux par manque...
Merci Linsee..
Cyrille
Merci Linsee..
Cyrille