Les circonstances font que...3 - histoire érotique

Mathilde se redresse, remonte sa culotte et dit un peu agacée :

-C'est Justine qui me fait mouiller !


Gaston éclate de rire et dit :

-Cela confirme ce que tu m'as dit ma chérie, que Justine te fait un effet terrible, je confirme tes dires, lorsque que tu me parles d'elle tes seins se raffermissent les coquins !

Mathilde, prise en défaut, hausse les épaules en opinant de la tête. Arnaud surprit, regarde à tour de rôle Mathilde et sa femme. Justine le sait que Mathilde la désire, elle l'a prouvé dans la cuisine, elle se redresse en toisant tout le monde de son regard perçant et dit en arborant un large sourire :

-Buvons un coup au lieu de divaguer mes amis !

Déjà grisée par l'excès d'alcool, Justine, qui ne boit pratiquement jamais, la coquine en redemande. C'est Gaston qui fait le service, la discussion depuis l'aveu de Mathilde dérape sur le sexe. Chacun se fait un film, les imaginations sont fertiles. Les regards que les hommes jettent sur Mathilde, la rendent mal à l'aise. Seule Justine profite de la situation, et en abuse. En exagérant, surtout pour exciter son entourage, elle prend la main de Mathilde, la caresse longuement, donne quelques baisers bruyants sur la peau douce, avant d'y donner quelques coups de langue.


Mathilde soupire, en se laissant faire. Les deux hommes sont béats, ils se demandent si Justine joue ou non. Arnaud ravale sa salive, il ne comprend pas le comportement de sa femme. Cherche-t-elle à se venger de son infidélité, il se pose la question. Soudain, avec douceur, elle se met à sucer un à un les doigts de Mathilde. Qui semble en plein bonheur, c'est inespérée pour elle. La bouche se fait plus vorace, est-ce que Justine se laisse prendre au jeu, il faut le croire, elle ferme les yeux en suçant les longs doigts fins de son amie. Les nombreux soupirs de Mathilde font comprendre que la coquine, y prend un certain plaisir. Justine ouvre les yeux, regarde le trio en souriant et lâche la main de Mathilde.

Les deux hommes restent sans voix, Gaston se lève, et montre la bosse énorme déforme son short. Il dit en regardant Justine :

-Voilà le résultat, et qu'est-ce que je suis censé faire maintenant hein allumeuse :


Justine éclate de rire et répond :

-Te branler mon cochon !

Sans se poser de question, Gaston baisse son short et son slip, sa verge jaillit comme un ressort. Il l'empoigne et donne plusieurs coups de poignet en regardant Justine. Tous les yeux restent figés sur le manche impressionnant de Gaston. Le bougre entame un branlage énergique en serrant les dents, il ne faut pas attendre longtemps le résultat. Une puissante giclée de sperme tombe sur la table. Arnaud se fait tout petit, quant à Mathilde, elle se lève et sur la sono, met un slow. Elle invite Justine à danser, elle l'enlace et la serre fortement contre elle. Les deux corps bien synchronisés, ondulent lentement sous les yeux des deux hommes, Gaston tient toujours sa verge gluante, il la presse pour faire sortir de la hampe épaisse le restant de jus qu'elle contient.


Pendant la danse, Mathilde mordille doucement le lobe de l'oreille de Justine. Soudain Justine se cabre, de la pointe de la langue, Mathilde lèche le pavillon de l'oreille avant de taquiner le conduit. Arnaud n'ose croire que sa femme à des pulsions lesbiennes. Il écarquille les yeux, lorsqu'elle passe sa main sous la robe de Mathilde et lui caresse les fesses. De temps en temps, elle jette un regard vers Arnaud. Le pauvre homme est pâle, il ne sait pas ce que cherche sa femme. Les deux femmes cessent de danser. Mathilde commence à relever le top de Justine, les seins se dressent comme des obus. Justine regarde son mari en souriant, il est complétement déstabilisé. Quant à Gaston, il s'assoit sans quitter des yeux les deux femmes, sa verge visqueuse et toujours hors du short.


Mathilde, deviens plus audacieuse, sa bouche se pose sur un mamelon et l'aspire si fort que Justine se cabre en poussant un ouah de douleur ou non, elle seule le sait. La bouche fait rapidement doubler de volume au mamelon, Justine geint doucement en fermant les yeux. La position est inconfortable, Mathilde emmène sa proie sur le canapé, non loin des voyeurs. Elle se laisse tomber sur le canapé en entrainant Justine. Avec des gestes habiles, elle la bascule, et sans complexes lui retrousse la jupe. Elle saisit la culotte et la fait descendre sur les longues jambes de Justine. Justine obtempère, en agitant son bassin pour faciliter la descente du fin tissu.


La queue de Gaston reprend du service, elle frétille sur son bas-ventre, machinalement, il entretient l'érection en branlant doucement le manche de chair orné de grosses bourses velues. Arnaud est mal à l'aise, sa verge comprimée dans son pantalon de toile, commence à être douloureuse. Il passe plusieurs fois sa main dessus, tire sur le tissu pour faire plus de place au membre qui se tend de plus en plus. Les deux femmes ignorent les deux hommes. Mathilde se place entre les cuisses de son amie et lui dévore la chatte en grognant comme un animal en chasse. Justine gémit doucement, en agitant doucement son bassin. Elle appuie sur la tête de la dévoreuse, en gémissant encore plus fort.


La langue experte de Mathilde, titille le clitoris avant de s'enfoncer profondément dans le vagin débordant de cyprine. Habilement, Mathilde en fouille chaque recoin pour arracher à Justine des gémissants de plaisirs. En poussant un long râle, Justine se tend comme un arc, une première jouissance lui secoue les entrailles. Arnaud bande comme un cheval, il doit sortir sa verge de son pantalon tellement elle est douloureuse. Il la caresse en grimaçant. Mathilde se redresse et avec sa bouche barbouillée de mouille embrasse fougueusement Justine. Les langues se cherchent, et se nouent pour un long baiser.

Une fois le baiser terminée, lentement Justine tire sur la fermeture Éclair. Elle passe ses mains sous les fines bretelles et les fait glisser des épaules. La robe de Mathilde tombe sur les sol. Arnaud ne quitte pas des yeux les formes de Mathilde. Sa culotte porte une grosse tache humide à hauteur de la vulve. Avec délicatesse, Justine a fait descendre sur les hanches pour finir, elle aussi, sur le sol. Justine se laisse tomber sur le sol, et invite son amie à venir sur elle.


Mathilde enjambe Justine et se place tête bêche sur elle. Les deux femmes, simultanément, se lèchent la chatte, se gobent le clito en gémissant comme des bêtes en ruts. Gaston ne tient plus, il se lève, retire son short et son slip, puis s'approche des amantes, il se place derrière Justine. En position levrette, et avec quelques précautions lui enfonce son mandrin dans le ventre. Justine pousse un grognement de fauve, elle se cambre pour bien recevoir en elle le manche de chair. Arnaud défaille, sa femme se donne comme une pute à un client.


La queue de Gaston coulisse dans le ventre de Justine, qui entre deux gémissements dévore avec rage la chatte de Mathilde. La langue de Mathilde passe quelques fois sur la bite de son mari qui entre et ressort du puits d'amour de son amie. Les langues des deux femmes sont très actives, les clitos sont gonflés au maximum. Mathilde pousse un hurlement terrible, sa jouissance est monstrueuse. Justine continue de lui sucer le clito, une série d'orgasmes secouent Mathilde, des spasmes violents agitent son corps.

Gaston pilonne de plus en plus fort Justine, elle a lâché le clito sensible de son amie, pour gémir comme une bête blessée. Le membre aux grosses veines apparentes, voyage dans le ventre de Justine comme un piston dans son cylindre, en la faisant geindre de plaisir. La soumise souffle comme un dragon sous les assauts répétés de Gaston, elle agite sa croupe pour être empalée jusqu'à la garde par le mandrin épais.
Gaston lui travaille la chatte comme un forcené, Justine est au bord de la syncope. Elle pousse un cri rauque, se cabre, et jouit fortement. Gaston n'en a pas fini avec elle, il redouble ses assauts. Puis en grognant comme un animal. Remplit le ventre de Justine, qui s'écroule sur le corps de Mathilde.


Arnaud tellement excité, sans se branler, à giclée sur son pantalon et sur le sol. Gaston se retire du ventre de Justine, elle regarde son mari et lui en souriant :

-Nous sommes quittes mon chéri !

La coquine a obtenu sa vengeance, en y prenant beaucoup de plaisir.