Les désirs de Mireille.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Les désirs de Mireille. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les désirs de Mireille.
A la date de notre rencontre avec Mireille, elle a cinquante cinq ans, et cela ne se vois pas sur son visage. Elle a plutôt l’air d’une quadragénaire épanouie. A la salle quand elle vient pour se distraire un peu, cette pulpeuse femme à lunettes, déambule en jupe serrée, avec toujours des hauts en dentelle comme pour qu’on devine en s’y attardant, le soutien-gorge qu’elle porte, pour soutenir sa poitrine bien généreuse.
Je sens tout de suite chez elle, sous ses airs polis, serviables et courtois d’être une grosse cochonne. Non seulement j’ai envie de sucer ses tétons que je devine imposant. Mais une question me taraude le cerveau. Porte-t-elle des culottes conventionnelles, respectables ou alors, ou alors porte-t-elle la cochonne, un string ou un tanga.
Je me dis que le meilleur moyen de connaître ce qui se trouve sous les robes serait de lui demander. Au risque de me voir accusé de harcèlement, voir d’autre chose. Je me permets alors de lui faire part de ma requête en lui écrivant un petit mot sur son magazine chipé dans son sac, qu’elle a laissé seul, sous son manteau au vestiaire.
Le lendemain je reçois sa réponse. Elle a même le courage de me le donner de vive voix, par téléphone interposé, alors que je suis au bureau.
-Oh ! Voyons Alain mais qu’est-ce que tu me demandes là ? J’en suis toute retournée.
-Il ne faut pas, Mireille.
-Pour répondre à ta demande, je peux te dire qu’il m’arrive de passer un string. J’aime l’effet qui me produit sur moi. Ce n’est pas parce que je suis vieille que je ne dois pas être désirable, non ?
-Je suis tout à fait d’accord avec cela !
J’ai à présent la certitude, avec ce coup en plus, qu’elle est une vraie chaudasse cette Mireille. Avant de raccrocher elle me donne rendez-vous pour le lendemain.
-Où ?
-Tu es au bureau ?
-Oui !
-Alors à demain…
Le lendemain, au rendez-vous, elle vient accompagnée d’une enveloppe en kraft. Sourire aux lèvres elle me la tend. Alors que je m’apprête l’ouvrir elle m’arrête.
-Attends que je parte, je préfère !
J’attends comme convenu qu’elle disparaisse, pour m’intéresser à son contenu. Il contient un string rouge en fine dentelle, encore toute humide. En le passant sous mes narines. Je sens un parfum violent de sexe en fusion mêlé à une odeur d’urine. Des jours durant, je me branle en reniflant ses culottes. Tantôt des tangas sores, tantôt des strings fantaisie dont la ficelle dégage un fumet d’anus qui à la fois me dégoûte et me fait jouir comme un fou.
Pendant quelques jours Mireille approvisionne en culottes odorantes. Quelques jours plus tard, au téléphone Mireille s’enquit à me demander une faveur. Celui d’éjaculer dans sa dernière culotte livrée. Une noire en coton afin qu’elle puisse à son tour se faire plaisir en dégustant ma semence, m’a-t-elle avoué. Ce que je fais avec un grand plaisir, avant de lui remettre moi aussi une enveloppe.
Les jours qui suivent, ont débouché sur des travaux pratiques plus concrets, mais paradoxalement, moins excitant pour moi. Puis elle m’invite à passer chez elle.
Elle me reçut en musique. Elle danse comme une fille de surboum au milieu de son salon, en agitant les bras et en faisant aller et venir son bassin. Tout en se trémoussant, elle retrousse son pull sur un chemisier blanc. Après avoir passé son pull par-dessus ses épaules, elle défait son chemisier. Elle marque un temps d’arrêt au moment d’ôter son soutien-gorge. Tout en s’efforçant d’agiter les hanches, elle se penche en avant et, du bout des doigts, atteint l’agrafe entre ses omoplates. Elle m’adresse un regard de biais, au moment de défaire l’attache, ses yeux luisent entre ses cils rapprochés.
Sans qu’elle le retienne, le soutien-gorge roule. D’un geste de défi inattendu, elle se tourne vers moi en cambrant le buste et me regarde bien en face. Elle a des seins très blancs, allongés, bien écartés sur les côtés. Les marques rouges du soutien-gorge trop serré les encadrent. Ses aréoles rose pâle surprennent par leur étroitesse, mais fiaient paraître plus longs ses mamelons raidis. La bouche entrouverte comme si elle manque d’air. Elle se caresse les seins par-dessous, d’un air de ne pas y toucher. Elle y fourre sa main pour en extraire un sein après l’autre. Ils sont volumineux, avec des aréoles très larges.
- Ils te plaisent ? Tu veux les toucher ?
Pour m’encourager, elle en attrape un et elle le remonte à sa bouche, sortant sa langue pour lécher le mamelon qui a immédiatement durci. Je tends la main vers l’autre. J’admire qu’en étant aussi volumineux, ils puissent être aussi fermes. La peau est douce. Je les caresse longuement l’un et l’autre. Elle doit être sensible de ce côté-là, car elle se pâme, en soufflant comme un buffle, tête renversée en arrière. Je glisse ma main dans sa culotte.
Je visite son fond de culotte, avec la double volonté de parcourir tout son ventre, mais aussi de tenter de lui procurer du plaisir. J’insiste sur son clitoris, sur ses lèvres. À voir comment le liquide jaillit d’elle, il est évident que ce que je fais lui plait. Elle se masse toujours les seins.
La chaleur du con me frappe le visage, les effluves de femelle envahissent mes narines. Parfums de mouille, d’urine et de transpiration mêlés. Un flux de jus intime déborde des lèvres de sa fente, poisse les replis, avant d’huiler son entre cuisse.
Elle m’adresse un sourire complice. Emporté par la fougue, je colle ma bouche. Dès que ma langue s’infiltre dans son sexe, un frisson violent secoue son corps et la fente s’ouvre d’elle-même en déversant encore un flot de mouille. J’agite ma langue à toute vitesse. Et plus je vais vite, plus ça coule. Elle gigote du derrière en poussant des petits cris. Ensuite elle devient toute molle, comme si elle s’évanouit et elle s’affaisse sur le divan, me tendant son cul.
Je m’agenouille derrière elle, mon sexe en érection encore emprisonnée dans mon jean. Je me penche pour le lécher, lance d’abord de petits coups de langue hasardeux dans la raie, glisse peu à peu vers l’anus. Elle sent le cul mêlé d’une sueur aigrelette. Elle se laisse faire, immobile, ne parait ni excitée, ni rebutée. J’agace l’entrée de son cul, titille les abords de l’anus du bout de ma langue sans obtenir plus de réaction. Le trou s’ouvre facilement sous les poussées de ma langue et de plus en plus échauffé, je fins par l’enfoncer tout entière dans son rectum. Cette fois je sens son souffle s’accélérer.
Je bave dans sa raie tout en pétrissant la chair abondante de ses fesses, excité de la sentir si assouplie, repousse les parois tièdes de ma langue. L’agite en cercles pour la dilater encore.
-Je devine ce que tu cherches mon salaud !
Ce n’est pas difficile à deviner, ma verge bat déjà entre ses fesses. Elle poursuit en baissant la voix :
-Je veux bien que tu me la fourre de ce côté-là, mais si seulement tu y vas en douceur.
Je la rassure machinalement, impatient de loger ma queue dans son trou de balle, prenant déjà la position.
-Je compte sur toi pour ne pas me faire mal !
Moi qui pense que compte tenu de son âge, je lui prendre au moins ce pucelage, c’est raté. Mais à cet instant-là, je m’en moque, seul compte le cul qu’elle étale devant moi, la raie baveuse, le trou qui commence à bâiller, entrouvert par mes caresses précédentes. Elle repose sa tête sur l’accoudoir et referme les yeux. Je la sentis se raidir quand je dirige ma verge vers son anus. Elle souffle fort, comme pour se préparer à un effort, et creuse les reins.
Mon gland force le sphincter sans effort et je me retrouve enserré dans son rectum brûlant. Plus étroit que le dernier enculer. Celui de Thérèse, une collègue. Je continu à m’enfoncer dans son cul qui cède sous ma poussée. Pourtant, malgré le peu de résistance qu’oppose son sphincter, je la vois grimacer en haletant, le visage contracté par une expression douloureuse qu’elle n’arrive pas à contrôler. Elle se redresse d’un coup, la main tendue derrière elle pour m’empêcher de la pénétrer davantage.
-J’ai mal !
Son trou du cul est si docile que je me demande si sa douleur n’est pas feinte. Elle se tortille avec souplesse, maintenant une main posée sur mon ventre, et à réussi à se dégager, faisant glisser ma queue luisante hors d’elle. Levant la jambe très haute, à la manière d’une danseuse, elle se retrouve pour s’asseoir sur le divan, face à moi. Les sourcils froncés, son visage exprime la lassitude. Son regard se pose sur mon érection.
-Excuse-moi ça fait trop mal !
Elle marque une pause, avec une grimace exagérée.
-Tu veux que te la branle ?
Le regard implorant qui accompagne sa question ne fait que m’exciter davantage. Je secoue la tête.
-Je préfère jouir dans ton beau cul ! Tu ne peux pas savoir comment je le trouve épanoui !
Le compliment fait passer mon refus et elle me lance un sourire, la fois résignée et flattée.
Elle se tasse dans le divan et relève sa jambe pour la poser sur le dossier, creusant des plis dans son ventre rondelet, le bassin tendu en avant. Sans me regarder, elle bave sur ses doigts avant de plaquer la main entre ses fesses pour humidifier l’orifice. Je voix un, puis deux doigts disparaître entre ses fesses charnues. Elle les agite un instant, se préparant à reprendre ma queue. Cela fait, elle s’avance un peu plus et tire sur ses fesses des deux mains, avant de lever vers moi un regard qui retrouve toute sa lubricité.
-Qu’est-ce que tu attends ? Tu n’en veux plus ?
En m’agenouillant sur le parquet, je contemple son cul qu’elle maintient ouvert, l’anus distendu, béant sur une fosse rouge et luisante. D’une poussée, ma verge s’enfonce toute entière. Elle lâche un râle aigu puis se détend en sentant mon ventre cogner contre ses fesses. Rouvrant les yeux elle passe la main sur mon visage.
-Doucement, veux-tu !
Elle me lance une œillade vicieuse et la main qui abrite sa chatte se met en mouvement, deux doigts crispés sur son bouton. Elle se branle avec des gestes saccadés, pendant que je l’encule d’abord lentement et après sans plus de ménagement.
-Je veux que tu jouisses avec ma queue ! Lui dis-je.
-Alors vas-y !

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