Les faits et geste d'Evelyne, la maman de Natacha
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les faits et geste d'Evelyne, la maman de Natacha
Alors que je me demande comment de nouveau pouvoir me munir d’une nouvelle culotte d’Evelyne, je suis témoin d’une drôle de scène dans le quartier. En ce jour de non court, les gamins du quartier jouent au ballon. A un moment, un accident se produit, Sophie une petite blonde faut trébucher Bernadette qui tombe sur les genoux. Cette dernière est crainte dans le quartier. Pour son mauvais caractère.
D’ailleurs, elle fusille la coupable.
-Suis-moi ! Lâche-t-elle.
Et en boitillant Bernadette quitte le quartier, aussitôt suivie de Sophie. Mon sixième sens me dicte de les suivre. Elles prennent toutes deux le chemin de la cave. Je pénètre dans celle-ci à mon tour. Dans la faible lueur des ampoules, j’espionne les deux filles. Bernadette a l’habitude de venir en cet endroit, car elle tire d’un trou un vieux martinet. Bernadette dit alors à la petite :
-Tu veux rester ma copine.
-Oui Bernadette, je le veux !
-Alors tu sais bien quoi faire…
Les yeux baissées, dans l’attitude d’une enfant prise en faute, Sophie prend la pose, présentant son derrière à Bernadette. D’elle-même, elle retrousse l’ourlet de sa robe, exhibant sa croupe qui tressaille. Je suis admiratif de la rondeur de ce fessier gainée dans une culotte en coton rose.
Docilement, Sophie baisse son sous-vêtement, étalant une belle paire de fesses. Quand Bernadette abat le martinet, Sophie sursaute en poussant un cri. Ses nattes blondes se balancent de chaque côté de son visage. J’aperçois nettement le sillon de son cul et, dessous, une touffe de poils. Ne pouvant résister à un tel spectacle, je sors ma queue de son nid devenu étroit.
Lorsque Bernadette arrête la punition, Sophie sanglote et murmure.
-Pardon Bernadette ! Pardon !
Ainsi Bernadette fait de Sophie son souffre-douleur !
Puis contre ce qui suivit été loin d’être attendue. Bernadette pose ses lèvres sur celles de Sophie. Je vois leurs bouches s’ouvrir, leurs langues se mêler et elles s’embrassent longuement. Leur baiser m’excite violemment et je décharge sur le sol. Puis elles se placent face à face sur un vieux divan miteux. Relève leur robe, elles se débarrassent de leur culotte. Je vois leurs cuisses, leurs fesses et leur ventre. Leurs fourrures aussi. Moins épaisse pour Sophie par rapports à celle de Bernadette.
Assises en tailleur, elles se rapprochent l’une de l’autre, croisant leurs genoux. Chacune met la main entre les cuisses de l’autre. Les doigts souillés de semence je continu à secouer ma queue toujours bandée.
Tout en se donnant des baiser, les deux filles se touchent mutuellement entre les cuisses, leurs doigts fouillent leur foufoune, ouvrent leur fente, palpent les replis de leur bas-ventre. Lorsqu’elles se tordirent de plaisir, je décharge une nouvelle fois. Pendant qu’elles se rhabillent, je quitte en hâte la cave.
Suite à cet épisode, j’ai tout fait pour m’approcher de Sophie. Et avec mon charme cela n’a pas mis longtemps. Au cour de nos rencontres, je m’aperçois que la coquine est comme moi, pas avare de découvrir des choses du plaisir.
Et la cave s’est vite transformer comme terrain de jeu pour pratiquer notre sport favori.
Comme ce jour, où étant si prêt d’elle que je sens son odeur. Ma respiration devient plus courte quand elle prend ma verge entre deux doigts pour la tâter. Elle pince le bout du gland, pour faire bâiller le méat où perle déjà une goutte de sécrétion.
- Oh, oh, comme j’aime ta queue !
Je ne vous cache pas que je me suis retenu de lui rappeler que j’avais été témoin de son flirt avec Bernadette.
Sophie soupèse mes deux boules poilues. Elles deviennent dures immédiatement et remontent à la base de la tige de chair. Elle ne quitte pas des yeux mon sexe. Elle tire sur la peau comme une petite fille testant un nouveau jouet.
- Tiens… moi aussi j’ai une bite. Regarde un peu !
Elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes, elle se cambre, écarte ses chairs pour me montrer son clitoris qui saillit. Une fois n’est pas coutume, je suis en extase devant une chatte. Je remarque que son bouton est bien dressé. Elle se met à le pincer, en respirant fort.
- Dis-moi Alain, il se dit que les rousses comme moi sentent mauvais, c’est vrai ? Dis-moi la vérité ?
- Ça ne pue pas, je te l’assure ! Elle sent bon la femelle, comme j’aime, un mélange de pisse et de sueur.
Elle serre plus fort.
-Tu permets ! Lui fais-je.
-Tu veux faire quoi.
-Tu vas voir.
Je me penche jusqu’à ce que mon nez se trouve à la hauteur de son clitoris emprisonné entre ses doigts. Puis j’hume bruyamment pour qu’elle en soit témoin et je me retire.
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Et bien, je te respire.
-Et alors ?
-Tu sens bon !
Elle tire sur la chair entrouvrant ainsi sa fente pour montrer le trou, gluant, rouge. Ça palpite entre ses doigts. Comme à son habitude, elle pose sa bouche sur le bout de ma queue. Une fraction de seconde, je sens la chaleur des lèvres sur ma queue et aussi le bout de la langue qui vient de passer sur mon méat.
Comme pour lui rendre le bien qu’elle me fait, je glisse ma main sur sa chatte. Je sens sous mes doigts des chairs chaudes et mouillées qui se crispent au moindre effleurement. J’ai la gorge serrée. Mon doigt atteint les bords de la fente. Sophie se cambre, comme si elle m’invite à l’explorer plus profondément. A chaque attouchement, Sophie pousse un gémissement de plaisir et s’ouvre davantage.
Ses chairs gonflés s’écarquillent docilement sous mes doigts, en perdant de la mouille et révèle l’emplacement de l’hymen. Une tiédeur moite et salée monte des muqueuses qui paraissent avides d’êtres pénétrés.
Sans qu’elle le demande, j’enfonce ma langue dans la fente de Sophie et lèche avidement les replis. Très excitée et surtout surprise de mon geste, elle arque tout de même les reins, sans lâcher mon sexe qu’elle reprend dans sa bouche. je bute contre son hymen.
Excité, je me mets entre ses cuisses et introduis ma verge dans la tirelire. Mais la membrane résiste, obstruant le passage.
-J’en ai marre de mon pucelage ! Vas-y, fais-le sauter. Je vex que ce soit toi qui le fasse. J’ai une grande confiance en toi !
-Branle-toi !
-Quoi ? Répond-t-elle.
-Branle ta chatte !
Renversée en arrière sur le sommier Sophie se branle en haletant. Elle reprend son clitoris entre deux doigts. Ses cuisses écartées repliées sur son ventre laissent voir sa fente bestiale, béante dans ses poils poisseux. J’ai mal aux couilles à force de bander.
Je m’installe alors entre ses jambes. A la première poussée de mes reins, mon bout disparait dans sa fente, y enfonçant les lèvres retournées de la vulve. Elle émit un gémissement de douleur et de volupté creusant ses reins et ouvrant davantage ses cuisses.
Chaque fois que je me retire de sa fente, ses grandes lèvres se redéployent. Sous l’effet de l’excitation, la fente de Sophie s’est élargie. Dedans les parois luisent, je vois que l’hymen ne tient plus qu’à un fil. Je replace ma queue dans la cible, et d’un coup de reins la dernière résistance cède. Sophie pousse un cri perçant et s’ouvre davantage encore. Elle m’encourage d’une voix rauque.
-Enfonce, Alain, enfonce-toi !
Les parois de son vagin s’assouplissent autour de ma queue, et millimètre après millimètre, je visse ma queue dans l’ouverture distendue, Sophie sanglote tout en gigotant sous l’effet de spasmes nerveux.
La chaleur humide qui règne à l’intérieur imprègne ma verge jusqu’à la racine. Introduit tout entier en elle, mon sexe nage entre les parois très écartées.
Mais elles se mettent à vibrer et à me comprimer avec des mouvements de pompe aspirante. Mon gland baigne dans des eaux épaisses et tièdes. Sophie se secoue par des coups de reins impatients.
-Oh oui… elle est bonne ta queue !
Spontanément, je fais sauter ses sandales. Porte son pied jusqu’à ma bouche, où je prends son petit orteil odorant en bouche et de mon index de ma main gauche, je fouille le sillon de son cul. Je trouve l’anus et y introduis mon doigt. Et je me mets en branle. Chaque introduction arrache un cri aigu à Sophie. Elle répète comme une crécelle, d’une voix méconnaissable.
-Alain, oui, je vais…oui…oui, je jouis. Putain je jouis. C’est bon ! Oui défonce ma chatte ! Vas-y putain, défonce-moi la chatte…putain c’est extraordinaire !
Le lendemain, nous sommes de retour dans la cave. Mais cette fois Sophie exige de moi que je m’allonge le dos sur le sommier. Là, elle déboutonne mon pantalon et le retourne sur mes cuisses comme si elle épluche une banane. La bosse de mon sexe déforme le devant de mon slip. Du bout de l’index, Sophie suit les contours de la queue à travers le coton.
- Tu es un vrai cochon, Alain, et j’aime ça !
Elle me tripote et je sens déjà des contractions suspectes dans mes couilles. Quand je lui fais remarquer que je vais jouir si elle continue, elle ne répond rien. Je m’efforce de maîtriser mon excitation pendant qu’elle baisse mon slip. Elle ouvre de grands yeux en voyant ma queue bandée.
Elle effleure l’extrémité de ma verge. Je ne peux éviter de lâcher un gémissement. Elle éclate de rire, et étale la goutte translucide qui en suinte. Puis elle se penche au-dessus de mon ventre, la langue sortie, je comprends qu’elle va me faire une pipe. Elle lèche le bout. Pour ensuite descend le long, puis très vite remonte pour me la reprendre dans la bouche. Elle me suce comme d’habitude avec maladresse. De toute évidence, elle ne l’a que peu pratiquée avant moi. Cependant, elle a vite fait de trouver le bon mouvement. De toute manière, je suis trop excité pour faire le difficile. D’ailleurs déjà, mon sperme gicle avec force, lui inondant la bouche et le visage alors qu’elle recrache ma verge.
Elle s’essuie d’un revers de main et contemple ses doigts souillés de ma jouissance, d’un air à la fois fasciné et dégoûté.
Bien sûr nous avons renouvelé nos rencontres, et pas qu’une fois. Le plus souvent, nos rencontres ont lieu dans la cave, mais cela m’arrive d’aller chez elle.
Comme cet après-midi là, où nous sommes seuls. Enfermé dans sa chambre qu’elle partage avec sa grande sœur. Bien entendu il n’est pas question que pendant nos jeux sexuels que j’éjacule dans elle. Il m’arrive que dans la chambre je trouve les petites culottes porté de sa sœur. Alors je me fais alors un plaisir de les porter à mes narines. A humer les bonnes odeurs que sa chatte à déposé sur le textile.
Témoin du plaisir que je prends avec la culotte de sa sœur, elle se propose de me la présenter.
Et cette dernière n’est pas la dernière à montrer ses poils pubiens fournis, mais surtout elle accepte, elle, que je lui mette ma queue dans le cul. Ce que Sophie me refusait jusqu’alors.
La première fois ce fut dans la chambre de cette dernière. Nous sommes nu tous les trois et Sheila se tient penchée sur le bord du lit. Elle est excitée. Elle n’a aucune réaction quand je la prends par la taille mais dès qu’elle sent ma queue frôler son anus, elle se cambre. L’orifice est assez étroit mais après plusieurs coups de langue de ma part, je n’ai pas trop de mal à y enfoncer mon gland. Sheila m’aide en donnant des coups de reins. Quand mon ventre touche le derrière, cette dernière m’ordonne de ne plus bouger.
D’après Sophie, elle se laisse enculer par des mecs et des vieux en échange de menus cadeaux. Sans doute était-ce dans sa nature d’être vénale, mais Sophie qui la connait mieux que quiconque, se demande si elle ne prend pas un plaisir pervers à jouer à la pute.
En tout cas, elle accepte d’avoir ma queue dans le cul. Ses muscles se crispent sur ma queue comme si elle me masse. C’est elle qui bouge la première. Puis j’entame un va-et-vient. Je ressorts ma verge presque en entier avant de la renfoncer en force.
Ma brutalité a l’air d’exciter Sheila dont les plaintes deviennent plus aiguës et les contorsions plus désordonnées. Ma queue coulisse avec une facilité grandissante dans son anus dont les muscles s’assouplissent au fur et à mesure de mes allers et retour. Sheila jouit avec un cri strident.
Les jours suivant nos rencontres sont devenus de plus en plus pervers. Et un matin alors que je sodomise Sheila dans la cave de son immeuble, voilà que j’entends des pas s’approcher du lieu où nous nous trouvons. Pris de panique je me retire de son cul et la traine pas sans mal, jusqu’à un local déserté.
-Qu’est-ce qu’il t’arrive…
Je lui mets ma main sur sa bouche et lui demande de se taire. C’est alors que j’aperçois Evelyne. La femme à qui j’ai volé sa culotte chez elle. Elle passe devant nous, sans s’apercevoir de notre présence et fonce jusqu’à son local.
-C’est la pute ! Fait Sheila.
-Tu la connais ?
-Pas qu’un peu ! Étant donné que son mari n’est pas capable d’assouvir sa faim sexuelle, elle souhaite sans aucun doute, qu’en se rendant dans la cave seule se faire profanée.
-Et qu’est-ce qu’elle fait ? Fais-je, très intéresser.
-Elle rénove des meubles. Enfin soi-disant !
-Et toi tu ne le crois pas !
-Pas le moins du monde.
-Tu l’as déjà surprise ?
-Non ! Mais, c’est ce qui se dit…
Tout cela n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd… cela donne à réfléchir… très sérieusement…
D’ailleurs, elle fusille la coupable.
-Suis-moi ! Lâche-t-elle.
Et en boitillant Bernadette quitte le quartier, aussitôt suivie de Sophie. Mon sixième sens me dicte de les suivre. Elles prennent toutes deux le chemin de la cave. Je pénètre dans celle-ci à mon tour. Dans la faible lueur des ampoules, j’espionne les deux filles. Bernadette a l’habitude de venir en cet endroit, car elle tire d’un trou un vieux martinet. Bernadette dit alors à la petite :
-Tu veux rester ma copine.
-Oui Bernadette, je le veux !
-Alors tu sais bien quoi faire…
Les yeux baissées, dans l’attitude d’une enfant prise en faute, Sophie prend la pose, présentant son derrière à Bernadette. D’elle-même, elle retrousse l’ourlet de sa robe, exhibant sa croupe qui tressaille. Je suis admiratif de la rondeur de ce fessier gainée dans une culotte en coton rose.
Docilement, Sophie baisse son sous-vêtement, étalant une belle paire de fesses. Quand Bernadette abat le martinet, Sophie sursaute en poussant un cri. Ses nattes blondes se balancent de chaque côté de son visage. J’aperçois nettement le sillon de son cul et, dessous, une touffe de poils. Ne pouvant résister à un tel spectacle, je sors ma queue de son nid devenu étroit.
Lorsque Bernadette arrête la punition, Sophie sanglote et murmure.
-Pardon Bernadette ! Pardon !
Ainsi Bernadette fait de Sophie son souffre-douleur !
Puis contre ce qui suivit été loin d’être attendue. Bernadette pose ses lèvres sur celles de Sophie. Je vois leurs bouches s’ouvrir, leurs langues se mêler et elles s’embrassent longuement. Leur baiser m’excite violemment et je décharge sur le sol. Puis elles se placent face à face sur un vieux divan miteux. Relève leur robe, elles se débarrassent de leur culotte. Je vois leurs cuisses, leurs fesses et leur ventre. Leurs fourrures aussi. Moins épaisse pour Sophie par rapports à celle de Bernadette.
Assises en tailleur, elles se rapprochent l’une de l’autre, croisant leurs genoux. Chacune met la main entre les cuisses de l’autre. Les doigts souillés de semence je continu à secouer ma queue toujours bandée.
Tout en se donnant des baiser, les deux filles se touchent mutuellement entre les cuisses, leurs doigts fouillent leur foufoune, ouvrent leur fente, palpent les replis de leur bas-ventre. Lorsqu’elles se tordirent de plaisir, je décharge une nouvelle fois. Pendant qu’elles se rhabillent, je quitte en hâte la cave.
Suite à cet épisode, j’ai tout fait pour m’approcher de Sophie. Et avec mon charme cela n’a pas mis longtemps. Au cour de nos rencontres, je m’aperçois que la coquine est comme moi, pas avare de découvrir des choses du plaisir.
Et la cave s’est vite transformer comme terrain de jeu pour pratiquer notre sport favori.
Comme ce jour, où étant si prêt d’elle que je sens son odeur. Ma respiration devient plus courte quand elle prend ma verge entre deux doigts pour la tâter. Elle pince le bout du gland, pour faire bâiller le méat où perle déjà une goutte de sécrétion.
- Oh, oh, comme j’aime ta queue !
Je ne vous cache pas que je me suis retenu de lui rappeler que j’avais été témoin de son flirt avec Bernadette.
Sophie soupèse mes deux boules poilues. Elles deviennent dures immédiatement et remontent à la base de la tige de chair. Elle ne quitte pas des yeux mon sexe. Elle tire sur la peau comme une petite fille testant un nouveau jouet.
- Tiens… moi aussi j’ai une bite. Regarde un peu !
Elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes, elle se cambre, écarte ses chairs pour me montrer son clitoris qui saillit. Une fois n’est pas coutume, je suis en extase devant une chatte. Je remarque que son bouton est bien dressé. Elle se met à le pincer, en respirant fort.
- Dis-moi Alain, il se dit que les rousses comme moi sentent mauvais, c’est vrai ? Dis-moi la vérité ?
- Ça ne pue pas, je te l’assure ! Elle sent bon la femelle, comme j’aime, un mélange de pisse et de sueur.
Elle serre plus fort.
-Tu permets ! Lui fais-je.
-Tu veux faire quoi.
-Tu vas voir.
Je me penche jusqu’à ce que mon nez se trouve à la hauteur de son clitoris emprisonné entre ses doigts. Puis j’hume bruyamment pour qu’elle en soit témoin et je me retire.
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Et bien, je te respire.
-Et alors ?
-Tu sens bon !
Elle tire sur la chair entrouvrant ainsi sa fente pour montrer le trou, gluant, rouge. Ça palpite entre ses doigts. Comme à son habitude, elle pose sa bouche sur le bout de ma queue. Une fraction de seconde, je sens la chaleur des lèvres sur ma queue et aussi le bout de la langue qui vient de passer sur mon méat.
Comme pour lui rendre le bien qu’elle me fait, je glisse ma main sur sa chatte. Je sens sous mes doigts des chairs chaudes et mouillées qui se crispent au moindre effleurement. J’ai la gorge serrée. Mon doigt atteint les bords de la fente. Sophie se cambre, comme si elle m’invite à l’explorer plus profondément. A chaque attouchement, Sophie pousse un gémissement de plaisir et s’ouvre davantage.
Ses chairs gonflés s’écarquillent docilement sous mes doigts, en perdant de la mouille et révèle l’emplacement de l’hymen. Une tiédeur moite et salée monte des muqueuses qui paraissent avides d’êtres pénétrés.
Sans qu’elle le demande, j’enfonce ma langue dans la fente de Sophie et lèche avidement les replis. Très excitée et surtout surprise de mon geste, elle arque tout de même les reins, sans lâcher mon sexe qu’elle reprend dans sa bouche. je bute contre son hymen.
Excité, je me mets entre ses cuisses et introduis ma verge dans la tirelire. Mais la membrane résiste, obstruant le passage.
-J’en ai marre de mon pucelage ! Vas-y, fais-le sauter. Je vex que ce soit toi qui le fasse. J’ai une grande confiance en toi !
-Branle-toi !
-Quoi ? Répond-t-elle.
-Branle ta chatte !
Renversée en arrière sur le sommier Sophie se branle en haletant. Elle reprend son clitoris entre deux doigts. Ses cuisses écartées repliées sur son ventre laissent voir sa fente bestiale, béante dans ses poils poisseux. J’ai mal aux couilles à force de bander.
Je m’installe alors entre ses jambes. A la première poussée de mes reins, mon bout disparait dans sa fente, y enfonçant les lèvres retournées de la vulve. Elle émit un gémissement de douleur et de volupté creusant ses reins et ouvrant davantage ses cuisses.
Chaque fois que je me retire de sa fente, ses grandes lèvres se redéployent. Sous l’effet de l’excitation, la fente de Sophie s’est élargie. Dedans les parois luisent, je vois que l’hymen ne tient plus qu’à un fil. Je replace ma queue dans la cible, et d’un coup de reins la dernière résistance cède. Sophie pousse un cri perçant et s’ouvre davantage encore. Elle m’encourage d’une voix rauque.
-Enfonce, Alain, enfonce-toi !
Les parois de son vagin s’assouplissent autour de ma queue, et millimètre après millimètre, je visse ma queue dans l’ouverture distendue, Sophie sanglote tout en gigotant sous l’effet de spasmes nerveux.
La chaleur humide qui règne à l’intérieur imprègne ma verge jusqu’à la racine. Introduit tout entier en elle, mon sexe nage entre les parois très écartées.
Mais elles se mettent à vibrer et à me comprimer avec des mouvements de pompe aspirante. Mon gland baigne dans des eaux épaisses et tièdes. Sophie se secoue par des coups de reins impatients.
-Oh oui… elle est bonne ta queue !
Spontanément, je fais sauter ses sandales. Porte son pied jusqu’à ma bouche, où je prends son petit orteil odorant en bouche et de mon index de ma main gauche, je fouille le sillon de son cul. Je trouve l’anus et y introduis mon doigt. Et je me mets en branle. Chaque introduction arrache un cri aigu à Sophie. Elle répète comme une crécelle, d’une voix méconnaissable.
-Alain, oui, je vais…oui…oui, je jouis. Putain je jouis. C’est bon ! Oui défonce ma chatte ! Vas-y putain, défonce-moi la chatte…putain c’est extraordinaire !
Le lendemain, nous sommes de retour dans la cave. Mais cette fois Sophie exige de moi que je m’allonge le dos sur le sommier. Là, elle déboutonne mon pantalon et le retourne sur mes cuisses comme si elle épluche une banane. La bosse de mon sexe déforme le devant de mon slip. Du bout de l’index, Sophie suit les contours de la queue à travers le coton.
- Tu es un vrai cochon, Alain, et j’aime ça !
Elle me tripote et je sens déjà des contractions suspectes dans mes couilles. Quand je lui fais remarquer que je vais jouir si elle continue, elle ne répond rien. Je m’efforce de maîtriser mon excitation pendant qu’elle baisse mon slip. Elle ouvre de grands yeux en voyant ma queue bandée.
Elle effleure l’extrémité de ma verge. Je ne peux éviter de lâcher un gémissement. Elle éclate de rire, et étale la goutte translucide qui en suinte. Puis elle se penche au-dessus de mon ventre, la langue sortie, je comprends qu’elle va me faire une pipe. Elle lèche le bout. Pour ensuite descend le long, puis très vite remonte pour me la reprendre dans la bouche. Elle me suce comme d’habitude avec maladresse. De toute évidence, elle ne l’a que peu pratiquée avant moi. Cependant, elle a vite fait de trouver le bon mouvement. De toute manière, je suis trop excité pour faire le difficile. D’ailleurs déjà, mon sperme gicle avec force, lui inondant la bouche et le visage alors qu’elle recrache ma verge.
Elle s’essuie d’un revers de main et contemple ses doigts souillés de ma jouissance, d’un air à la fois fasciné et dégoûté.
Bien sûr nous avons renouvelé nos rencontres, et pas qu’une fois. Le plus souvent, nos rencontres ont lieu dans la cave, mais cela m’arrive d’aller chez elle.
Comme cet après-midi là, où nous sommes seuls. Enfermé dans sa chambre qu’elle partage avec sa grande sœur. Bien entendu il n’est pas question que pendant nos jeux sexuels que j’éjacule dans elle. Il m’arrive que dans la chambre je trouve les petites culottes porté de sa sœur. Alors je me fais alors un plaisir de les porter à mes narines. A humer les bonnes odeurs que sa chatte à déposé sur le textile.
Témoin du plaisir que je prends avec la culotte de sa sœur, elle se propose de me la présenter.
Et cette dernière n’est pas la dernière à montrer ses poils pubiens fournis, mais surtout elle accepte, elle, que je lui mette ma queue dans le cul. Ce que Sophie me refusait jusqu’alors.
La première fois ce fut dans la chambre de cette dernière. Nous sommes nu tous les trois et Sheila se tient penchée sur le bord du lit. Elle est excitée. Elle n’a aucune réaction quand je la prends par la taille mais dès qu’elle sent ma queue frôler son anus, elle se cambre. L’orifice est assez étroit mais après plusieurs coups de langue de ma part, je n’ai pas trop de mal à y enfoncer mon gland. Sheila m’aide en donnant des coups de reins. Quand mon ventre touche le derrière, cette dernière m’ordonne de ne plus bouger.
D’après Sophie, elle se laisse enculer par des mecs et des vieux en échange de menus cadeaux. Sans doute était-ce dans sa nature d’être vénale, mais Sophie qui la connait mieux que quiconque, se demande si elle ne prend pas un plaisir pervers à jouer à la pute.
En tout cas, elle accepte d’avoir ma queue dans le cul. Ses muscles se crispent sur ma queue comme si elle me masse. C’est elle qui bouge la première. Puis j’entame un va-et-vient. Je ressorts ma verge presque en entier avant de la renfoncer en force.
Ma brutalité a l’air d’exciter Sheila dont les plaintes deviennent plus aiguës et les contorsions plus désordonnées. Ma queue coulisse avec une facilité grandissante dans son anus dont les muscles s’assouplissent au fur et à mesure de mes allers et retour. Sheila jouit avec un cri strident.
Les jours suivant nos rencontres sont devenus de plus en plus pervers. Et un matin alors que je sodomise Sheila dans la cave de son immeuble, voilà que j’entends des pas s’approcher du lieu où nous nous trouvons. Pris de panique je me retire de son cul et la traine pas sans mal, jusqu’à un local déserté.
-Qu’est-ce qu’il t’arrive…
Je lui mets ma main sur sa bouche et lui demande de se taire. C’est alors que j’aperçois Evelyne. La femme à qui j’ai volé sa culotte chez elle. Elle passe devant nous, sans s’apercevoir de notre présence et fonce jusqu’à son local.
-C’est la pute ! Fait Sheila.
-Tu la connais ?
-Pas qu’un peu ! Étant donné que son mari n’est pas capable d’assouvir sa faim sexuelle, elle souhaite sans aucun doute, qu’en se rendant dans la cave seule se faire profanée.
-Et qu’est-ce qu’elle fait ? Fais-je, très intéresser.
-Elle rénove des meubles. Enfin soi-disant !
-Et toi tu ne le crois pas !
-Pas le moins du monde.
-Tu l’as déjà surprise ?
-Non ! Mais, c’est ce qui se dit…
Tout cela n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd… cela donne à réfléchir… très sérieusement…
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