Les grands-parents de Lorie 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les grands-parents de Lorie 2
Dans son lit, Lorie, en se remémorant le film, remet ses sens en ébullitions. Un feu intense lui brûle les entrailles, plusieurs masturbations, plus violentes l'une que l'autre sont nécessaires, à assouvir ses sens. Après une bonne nuit réparatrice, elle se lève en pleine forme. Elle va faire son footing, et revient prendre son petit déjeuner.
Elle passe une grande partie de sa matinée à cuisiner, après sa douche, elle dresse la table et attend l'ex-amant de sa grand-mère.
Antoine arrive, bien rasé, tiré à quatre épingles. Il embrasse Lorie, elle l'invite au salon, pour lui offrir l'apéro. Antoine a un charisme et un charme fou. Pendant qu'ils trinquent. Lorie se met à parler du film. Antoine, embarrassé, se met à raconter :
-Ton grand-père et moi étions des amis d'enfance, soudés comme les doigts de la main, un soir dans un bal au village voisin, nous étions très jeunes à l'époque, lorsque nous avions rencontré Hortense. J'ai eu le coup de foudre pour elle, mais elle a préféré Paul. Ils ont eu ta maman Odile très jeune, à 18 ans et se sont mariés. J'ai su, qu'Odile ta maman a connu ton papa au lycée, à l'internat, elle aussi t'a eu très jeune, elle devait avoir 17 ans !
Lorie coupe la parle à Antoine et en souriant dit :
-Telle-mère, telle fille, mais comment se fait-il que vous couchiez avec grand-mère !
Antoine se racle la gorge et reprend son récit :
-J'étais tellement amoureux d'Hortense, que je faisais peine à voir. Au fil de mois, comme nous étions un trio inséparable, ton grand-père, avec l'accord de ta grand-mère, ont décidé de faire ménage à trois, voila, tu connais presque tout, Pour les films, c'est ta grand-mère qui voulait ça, souvent, nous les regardions, pour nous exciter avant de faire l'amour !
Lorie regarde Antoine, et avec beaucoup d'émotions dans la voix, dit :
-Elle avait beaucoup de chance grand-mère, deux hommes pour elle toute seule, vu les images, elle devait être un volcan !
Antoine en souriant ajoute :
- Oh oui, de la lave à l'état brut. Lorsque cette saloperie de covid les a emportées, je suis tombé malade, j'ai dû être hospitalisé plusieurs jours, je regrette de pas les avoir accompagné, pour leur dernier voyage. Lorsque princesse, je t'ai vu faire ton footing, j'ai revu Hortense, tu lui ressembles tellement, que je me suis dit que j'hallucinais !
Antoine à quelques larmes qui lui coulent sur les joues, il sort son mouchoir et s'essuie les yeux. Lorie est très émue par l'amour qu'Antoine portait à ses grands-parents. Le déjeuner se passe parfaitement bien, Lorie après le café demande :
-Tu veux revoir un film Antoine !
L'homme mûr se redresse, étonné, et répond :
-Oui, oui, je pense que cela me fera un bien fou de les revoir !
Rapidement l'appareil est installé, les premières images apparaissent. Hortense effectue un striptease, en souriant. La coquine à l'art de s'effeuiller, Antoine et Lorie s'enfoncent dans le canapé l'un près de l'autre. Un à un, les vêtements tombent sur le sol. Le corps d'Hortense et si bien galbé, qu'il ferait bander un mort. Les hommes applaudissent l'effeuillage, en sifflant d'admiration. Soudain apparait Paul, suivit d'Antoine, les deux sont en slip, une grosse bosse déforme le tissu. En se tortillant comme des vers, ils baissent lentement leur slip. Hortense semble émerveillée par les queues tendues, elle les saisit et les branle en même temps et au même rythme.
On entend les deux hommes, geindre sous les coups de poignet efficace d'Hortense. Elle se met à sucer un après l'autre les glands qu'elle vient habilement de décalotter. Sa bouche, fait merveille, les deux amoureux pâment de bonheur. Antoine, dans le canapé, commence à avoir chaud. Lorie a les yeux luisant, elle déglutit bruyamment. Son regard se pose sur le pantalon d'Antoine qu'une érection naissante commence à déformer. Un cri fait sursauter les deux voyeurs. Hortense vient de se faire basculer sur le lit. Son bassin est au bord du lit, ses jambes posent sur le plancher. Paul grimpe sur le dit et offre aux lèvres d'Hortense sa queue tendue.
Antoine, lui, s'agenouille sur le plancher entre les jambes de la soumise et lui plaque sa bouche sur la chatte. Les aspirations puissantes font gémir la suceuse. Sa langue pénètre profondément dans le vagin et le fouille longuement. Antoine sait y faire, il alterne le feuillage de chatte avec des succions sur le clito. Une première jouissance fait cabrer Hortense, c'est à ce moment qu'elle reçoit la semence de son mari dans la bouche.
La chatte de Lorie laisse échapper un filet continue de cyprine. Antoine ne peut cacher sa formidable érection. Les deux, on les sens bouillants, mécaniquement, Antoine pose sa main sur la cuisse de Lorie, et se met à la caresser sans cesser de regarder le film. Sans savoir pourquoi, Lorie ouvre doucement les jambes. La main calleuse, passe sous la jupe et timidement longue la cuisse. Lorie pousse un petit soupir, lorsque les doigts noueux atteignent l'aine.
Lorie ferme les yeux en basculant sa tête en arrière, chauffée par le film et séduite par le charme d'Antoine, ouvre encore plus les jambes. Les doigts pianotent, sur la culotte humide, au niveau de la fente. Font quelques montées et descentes sur les grandes lèvres, qui rapidement se mettent à gonfler. Antoine prend délicatement ma main de Lorie et la pose sur la bosse qui soulève son pantalon. Automatiquement, Lorie presse l'engin qui ne cesse de prendre du volume. La tension est telle qu'Antoine, sans se poser de questions, extirpe de son pantalon le mât de chair fortement veiné.
Lorie le saisit et commence un doux branlage, Antoine retire sa main de dessous la jupe, il serre les dents puis, ferme les yeux. Lorie agite de plus en plus vite le membre plein de vie, elle sent le sang battre dans la hampe épaisse. Elle se penche, décalotte le gland qui ressemble à un cèpe gascon. Elle l'observe un instant puis, avec des coups de langue bien ajustée, se met à lécher la surface lisse. Sa langue fait plusieurs fois le tour du champignon, titille le frein et lape les perles qui s'échappent du méat qui rejette son jus.
Lorie en prenant une grande aspiration, gobe le gland et part pour une fellation qu'Antoine n'est pas prêt, d'oublier. Il ne peut retenir son éjaculation. Il pousse un grognement et disant :
-Hortense, Hortense mon amour, c'est merveilleux !
Lorie se redresse en se pinçant les lèvres, elle déglutit fortement et avale la décharge de sperme si généreusement offert par Antoine, qui pense vraiment à Hortense. Il ouvre les yeux, et avec des trémolos dans la voix dit :
-Oh excuse-moi princesse, je n'ai pas su me contrôler, tu suces divinement comme ta grand-mère ma chérie !
Lorie, flattée par cette comparaison, fini de nettoyer le gland en le reprend en bouche. Elle se redresse, souriante et dit en souriant :
-Que ton sperme est doux Antoine, grand-mère devait se régaler !
Il répond en caressant la longue chevelure de Lorie :
-Oh oui, elle raffolait de notre semence, pour Paul et moi, c'était un honneur d'offrir note sperme à la femme de notre amour !
Lorie est émerveillée par l'amour qu'Antoine portait à ses grands-parents. Elle se penche sur lui, le prend par le cou et l'embrasse fougueusement, elle lui dévore la langue, la suce et lui remplit la bouche de salive. Antoine, sans rechigner, avale le jus légèrement salé. Une fois le baiser, terminer et que les langues se soient dénouées, il se place à genoux devant Lorie. Il passe ses mains sous la jupe et les agrippe à la culotte. Il reste un moment en regardant Lorie dans les yeux, avant de faire descendre le fin tissu le long de ses jambes. Une fois la culotte sur le sol, il fait lève délicatement Lorie, lui fait tomber la jupe, le corsage, et lui dégrafe le soutien-gorge.
Les seins jaillissent comme deux obus avant de s'affaisser légèrement sur le torse laiteux de Lorie. Il la saisit à bras-le-corps et cet homme, fort comme un Turc, la dépose sur la petite table du salon, en faisant tomber, les tasses heureusement vident. Lorie ravale sa salive. Antoine, dans la précipitation, maladroitement, retire ses vêtements. Il regarde le corps nu de Lorie un long moment. Avant de se pencher sur son torse. Il lui caresse le corps, ses mains sont moites, elles tremblent un peu.
Il presse doucement les lobes, les malaxe, en enfonçant ses doigts dans la chair souple. Avec efficacité, Antoine fait raffermir les demi-sphères, avant de prendre, entre son pouce et son index, les mamelons. Avec art, il les roule, les presse, les étire avec ses doigts noueux. Lorie geint de bonheur, elle se cabre lorsque Antoine les aspire à tour de rôle. Il suce et tète comme un enfant qui s'allaite, il sait être doux et brutal à la fois. Il est si efficace dans ses attouchements et ses succions, que Lorie se cabre et jouit en geignant de plaisir.
Elle passe une grande partie de sa matinée à cuisiner, après sa douche, elle dresse la table et attend l'ex-amant de sa grand-mère.
Antoine arrive, bien rasé, tiré à quatre épingles. Il embrasse Lorie, elle l'invite au salon, pour lui offrir l'apéro. Antoine a un charisme et un charme fou. Pendant qu'ils trinquent. Lorie se met à parler du film. Antoine, embarrassé, se met à raconter :
-Ton grand-père et moi étions des amis d'enfance, soudés comme les doigts de la main, un soir dans un bal au village voisin, nous étions très jeunes à l'époque, lorsque nous avions rencontré Hortense. J'ai eu le coup de foudre pour elle, mais elle a préféré Paul. Ils ont eu ta maman Odile très jeune, à 18 ans et se sont mariés. J'ai su, qu'Odile ta maman a connu ton papa au lycée, à l'internat, elle aussi t'a eu très jeune, elle devait avoir 17 ans !
Lorie coupe la parle à Antoine et en souriant dit :
-Telle-mère, telle fille, mais comment se fait-il que vous couchiez avec grand-mère !
Antoine se racle la gorge et reprend son récit :
-J'étais tellement amoureux d'Hortense, que je faisais peine à voir. Au fil de mois, comme nous étions un trio inséparable, ton grand-père, avec l'accord de ta grand-mère, ont décidé de faire ménage à trois, voila, tu connais presque tout, Pour les films, c'est ta grand-mère qui voulait ça, souvent, nous les regardions, pour nous exciter avant de faire l'amour !
Lorie regarde Antoine, et avec beaucoup d'émotions dans la voix, dit :
-Elle avait beaucoup de chance grand-mère, deux hommes pour elle toute seule, vu les images, elle devait être un volcan !
Antoine en souriant ajoute :
- Oh oui, de la lave à l'état brut. Lorsque cette saloperie de covid les a emportées, je suis tombé malade, j'ai dû être hospitalisé plusieurs jours, je regrette de pas les avoir accompagné, pour leur dernier voyage. Lorsque princesse, je t'ai vu faire ton footing, j'ai revu Hortense, tu lui ressembles tellement, que je me suis dit que j'hallucinais !
Antoine à quelques larmes qui lui coulent sur les joues, il sort son mouchoir et s'essuie les yeux. Lorie est très émue par l'amour qu'Antoine portait à ses grands-parents. Le déjeuner se passe parfaitement bien, Lorie après le café demande :
-Tu veux revoir un film Antoine !
L'homme mûr se redresse, étonné, et répond :
-Oui, oui, je pense que cela me fera un bien fou de les revoir !
Rapidement l'appareil est installé, les premières images apparaissent. Hortense effectue un striptease, en souriant. La coquine à l'art de s'effeuiller, Antoine et Lorie s'enfoncent dans le canapé l'un près de l'autre. Un à un, les vêtements tombent sur le sol. Le corps d'Hortense et si bien galbé, qu'il ferait bander un mort. Les hommes applaudissent l'effeuillage, en sifflant d'admiration. Soudain apparait Paul, suivit d'Antoine, les deux sont en slip, une grosse bosse déforme le tissu. En se tortillant comme des vers, ils baissent lentement leur slip. Hortense semble émerveillée par les queues tendues, elle les saisit et les branle en même temps et au même rythme.
On entend les deux hommes, geindre sous les coups de poignet efficace d'Hortense. Elle se met à sucer un après l'autre les glands qu'elle vient habilement de décalotter. Sa bouche, fait merveille, les deux amoureux pâment de bonheur. Antoine, dans le canapé, commence à avoir chaud. Lorie a les yeux luisant, elle déglutit bruyamment. Son regard se pose sur le pantalon d'Antoine qu'une érection naissante commence à déformer. Un cri fait sursauter les deux voyeurs. Hortense vient de se faire basculer sur le lit. Son bassin est au bord du lit, ses jambes posent sur le plancher. Paul grimpe sur le dit et offre aux lèvres d'Hortense sa queue tendue.
Antoine, lui, s'agenouille sur le plancher entre les jambes de la soumise et lui plaque sa bouche sur la chatte. Les aspirations puissantes font gémir la suceuse. Sa langue pénètre profondément dans le vagin et le fouille longuement. Antoine sait y faire, il alterne le feuillage de chatte avec des succions sur le clito. Une première jouissance fait cabrer Hortense, c'est à ce moment qu'elle reçoit la semence de son mari dans la bouche.
La chatte de Lorie laisse échapper un filet continue de cyprine. Antoine ne peut cacher sa formidable érection. Les deux, on les sens bouillants, mécaniquement, Antoine pose sa main sur la cuisse de Lorie, et se met à la caresser sans cesser de regarder le film. Sans savoir pourquoi, Lorie ouvre doucement les jambes. La main calleuse, passe sous la jupe et timidement longue la cuisse. Lorie pousse un petit soupir, lorsque les doigts noueux atteignent l'aine.
Lorie ferme les yeux en basculant sa tête en arrière, chauffée par le film et séduite par le charme d'Antoine, ouvre encore plus les jambes. Les doigts pianotent, sur la culotte humide, au niveau de la fente. Font quelques montées et descentes sur les grandes lèvres, qui rapidement se mettent à gonfler. Antoine prend délicatement ma main de Lorie et la pose sur la bosse qui soulève son pantalon. Automatiquement, Lorie presse l'engin qui ne cesse de prendre du volume. La tension est telle qu'Antoine, sans se poser de questions, extirpe de son pantalon le mât de chair fortement veiné.
Lorie le saisit et commence un doux branlage, Antoine retire sa main de dessous la jupe, il serre les dents puis, ferme les yeux. Lorie agite de plus en plus vite le membre plein de vie, elle sent le sang battre dans la hampe épaisse. Elle se penche, décalotte le gland qui ressemble à un cèpe gascon. Elle l'observe un instant puis, avec des coups de langue bien ajustée, se met à lécher la surface lisse. Sa langue fait plusieurs fois le tour du champignon, titille le frein et lape les perles qui s'échappent du méat qui rejette son jus.
Lorie en prenant une grande aspiration, gobe le gland et part pour une fellation qu'Antoine n'est pas prêt, d'oublier. Il ne peut retenir son éjaculation. Il pousse un grognement et disant :
-Hortense, Hortense mon amour, c'est merveilleux !
Lorie se redresse en se pinçant les lèvres, elle déglutit fortement et avale la décharge de sperme si généreusement offert par Antoine, qui pense vraiment à Hortense. Il ouvre les yeux, et avec des trémolos dans la voix dit :
-Oh excuse-moi princesse, je n'ai pas su me contrôler, tu suces divinement comme ta grand-mère ma chérie !
Lorie, flattée par cette comparaison, fini de nettoyer le gland en le reprend en bouche. Elle se redresse, souriante et dit en souriant :
-Que ton sperme est doux Antoine, grand-mère devait se régaler !
Il répond en caressant la longue chevelure de Lorie :
-Oh oui, elle raffolait de notre semence, pour Paul et moi, c'était un honneur d'offrir note sperme à la femme de notre amour !
Lorie est émerveillée par l'amour qu'Antoine portait à ses grands-parents. Elle se penche sur lui, le prend par le cou et l'embrasse fougueusement, elle lui dévore la langue, la suce et lui remplit la bouche de salive. Antoine, sans rechigner, avale le jus légèrement salé. Une fois le baiser, terminer et que les langues se soient dénouées, il se place à genoux devant Lorie. Il passe ses mains sous la jupe et les agrippe à la culotte. Il reste un moment en regardant Lorie dans les yeux, avant de faire descendre le fin tissu le long de ses jambes. Une fois la culotte sur le sol, il fait lève délicatement Lorie, lui fait tomber la jupe, le corsage, et lui dégrafe le soutien-gorge.
Les seins jaillissent comme deux obus avant de s'affaisser légèrement sur le torse laiteux de Lorie. Il la saisit à bras-le-corps et cet homme, fort comme un Turc, la dépose sur la petite table du salon, en faisant tomber, les tasses heureusement vident. Lorie ravale sa salive. Antoine, dans la précipitation, maladroitement, retire ses vêtements. Il regarde le corps nu de Lorie un long moment. Avant de se pencher sur son torse. Il lui caresse le corps, ses mains sont moites, elles tremblent un peu.
Il presse doucement les lobes, les malaxe, en enfonçant ses doigts dans la chair souple. Avec efficacité, Antoine fait raffermir les demi-sphères, avant de prendre, entre son pouce et son index, les mamelons. Avec art, il les roule, les presse, les étire avec ses doigts noueux. Lorie geint de bonheur, elle se cabre lorsque Antoine les aspire à tour de rôle. Il suce et tète comme un enfant qui s'allaite, il sait être doux et brutal à la fois. Il est si efficace dans ses attouchements et ses succions, que Lorie se cabre et jouit en geignant de plaisir.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent!
brulant à souhait. J'aimerais bien y participer.
Ouah trop bon