LES MALHEURS DE WALTER

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LES MALHEURS DE WALTER Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LES MALHEURS DE WALTER
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Walter était d'humeur particulièrement salace quand il se dirigea vers la chambre conjugale rejoindre Cathy. Il avait des fantasmes de rapports sexuels fiévreux avec sa femme, espérant même qu'elle lui accorderait le plaisir d'une fellation. Elle possédait un don incroyable pour sucer sa queue, sa bouche brûlante gobant la totalité de son sexe, il adorait jouir dans sa bouche et ensuite l'embrasser avec son sperme sur sa langue. Sa queue devenait raide juste en pensant à ses lèvres douces et chaudes enroulées autour du manche, sa langue agile taquinant le gland.
Il ôta ses vêtements et se glissa dans les draps, se blottissant contre son doux cul rond. Alors qu'il tendait la main pour empaumer son sein, elle repoussa sa main et s'éloigna. Il persista dans sa tentative et elle l'a laissé faire, mais sans réaction de son corps. Habituellement, ses magnifiques tétons gonflaient et durcissaient comme des boules de gomme rose. Maintenant, ils sont restés mous et flasques, sans réponse. Il l'embrassa dans le cou, essayant de se frayer un chemin jusqu'à ses lèvres, mais elle se détourna.
« Pouvons-nous juste nous blottir chastement, ce soir?» Demanda-t-elle à voix basse.
Irrité, Walter répondit: « Bien sûr, pas de problème.» Sa queue raide démentait sa réponse, mais commençait à se flétrir à la pensée d'une autre nuit sans sexe. Il roula de son côté et ferma les yeux, complètement agacé. Cela devenait une routine. Il avait espéré qu'en voyant un psy, les choses allaient s'arranger, mais c'était un gaspillage d'argent. Trois visites à cent euros la séance et il ne pouvait toujours pas la baiser! En fait, depuis la dernière visite, elle ne l'embrassait même plus. Walter était décidé à aller voir ce charlatan lui-même. Il avait pris rendez-vous pour le lendemain.
Walter s'est présenté au cabinet en ayant de sérieux doutes sur le bien-fondé de sa démarche. Il n'avait certainement aucun problème, et il s'inquiétait qu'un ami puisse avoir connaissance de sa présence ici. Il patientait dans la salle d'attente, feuilletant un vieux magazine de sport.
« Monsieur Buche?» Le docteur Cassidy se tenait dans l'embrasure de la porte, main tendue. Walter se leva d'un bond, jeta le magazine sur la chaise et se dirigea vers le psy. Le docteur s'effaça et l'invita à entrer.
Walter entra dans la pièce, troublé par le physique de rugbyman du toubib et par le fait qu'il ne l'ait pas entendu arriver.
« S'il vous plaît, asseyez-vous.» Le Dr. Cassidy lui désignait un confortable fauteuil.
Walter s'assit, étudiant toujours le docteur.
« Je ne suis pas sûr de savoir ce que je fais là, c'est vraiment le problème de ma femme qui doit être réparé.»
Le Dr. Cassidy lui sourit avec bienveillance: « Vous avez probablement raison, Walter, Cathy a de sérieux problèmes sur lesquels nous travaillons.»
Walter se sentit quelque peu soulagé que le docteur se rendit compte que Cathy avait des problèmes.
« Quel genre de travail?» S'inquiéta-t-il, soupçonneux.
« Eh bien, Walter, je ne peux pas entrer dans les détails, comprenez-vous, l'éthique professionnelle, tout ça ...»
Walter hocha la tête à contrecœur.
« Mais je peux vous montrer la technique la plus efficace que nous avons utilisée pour l'aider à maîtriser son handicap.»
Walter regardait le Dr. Cassidy avec intérêt.
« Laissez-moi vous montrer, installez vous confortablement sur le canapé et ôtez vos chaussures.»
Le docteur fut stupéfait de la facilité avec laquelle Walter s'endormit.
Il l'a testé deux fois pour s'assurer qu'il était vraiment endormi avant de commencer à travailler.
« Walter, m'entendez-vous?"»
« Oui, docteur.»
« Bien, alors nous pouvons commencer à résoudre le problème entre vous et Cathy.»
Walter répéta: « Résoudre le problème.»
« Votre problème, c'est votre petite bite, n'est-ce pas?» Le Dr. Cassidy a attaqué direct.
« Pas vraiment petite,» répondit Walter, sur la défensive.
« Votre queue n'atteint pas les dix centimètres de long, n'est-ce pas?»
« Oh, elle fait presque ...»
« C'est tout petit pour la bite d'un homme adulte. Les vrais hommes ont des bites d'au moins treize centimètres.»
Le Dr. Cassidy assénait son argumentaire d'une voix forte. Walter hésitait, ergotait, chipotait … Quelques centimètres de plus ou de moins … Sentant la défense de Walter vaciller, le Dr. Cassidy sourit.
« Bon, nous avons atteint la source du problème. Votre queue est trop courte pour satisfaire Cathy. C'est vrai, votre queue n'atteint pas les dix centimètres de long.»
« Ma queue n'atteint pas les dix centimètres de long.» Walter répéta docilement, vaincu par l'hypnose.
« Les vrais hommes ont de grosses queues. Les vrais hommes ont des bites de plus de treize centimètres.»
Walter a répété lentement: « Les vrais hommes ont de grosses queues de plus de treize centimètres de long.»
Le Dr. Cassidy se pourléchait les lèvres d'anticipation: « Avez-vous une petite bite, Walter?»
« Ma queue est courte, les vrais hommes ont de grosses queues. Ma bite n'atteint pas les dix centimètres de long. Je ne suis pas un homme!»
Le Dr. Cassidy faillit éclater de rire: « Vous avez une petite bite, Walter, vous n'êtes pas un vrai homme.»
« Petit garçon, petite bite, pas vrai homme, pas digne de Cathy.» Walter était confus.
Le Dr. Cassidy a questionné: « Êtes-vous un vrai homme avec une grosse bite, Walter?»
Walter répondit docilement: «J'ai une petite bite, les vrais hommes ont de grosses queues, je ne suis pas un homme.»
Une pensée démoniaque traversa le cerveau pervers de ce savant fou, le Dr. Cassidy: « Mais vous aimez les grosses bites, n'est-ce pas, vous aimez voir de grosses bites sur de vrais hommes, n'est-ce pas, vous aimez les toucher, les caresser, n'est-ce pas?»
« Oh, oui!» Walter a répondu immédiatement. « J'aime voir de grosses queues.»
« Aimeriez-vous sucer ma grosse bite, Walter?» Demanda le Dr. Cassidy en ouvrant sa braguette.
« Oh, oui! Je le ferais avec plaisir!» répondit Walter.
Le Dr. Cassidy se pencha sur Walter, caressant son visage avec sa queue mollasse.
« Suce ma bite, Walter, montre-moi quelle salope tu es ...»
Walter ouvrit la bouche et goba le gland violacé. Il utilisait ses mains pour caresser l'objet de son désir. Une main pour masser la colonne de chair, l'autre pour soupeser les bourses bien pleines. Ses lèvres s'arrondissaient sur le gland avec un délicieux bruit de succion, sa langue caressait le méat, léchant le pré-éjacula. Il suçait la bite du psy avec tant de ferveur que son manche ne tarda pas à devenir bien raide.
Surpris, le docteur a demandé: « Tu as déjà fait ça, n'est-ce pas?»
En retirant le coq de sa bouche, Walter répondit: « Oui, j'ai déjà sucé des bites avant.»
« Et tu aimes ça, ma petite pute, tu te fais enculer aussi, n'est-ce pas?»
Walter hocha simplement la tête alors qu'il continuait à pomper la bite puissante du toubib.
« Tu préfères sucer ma bite plutôt que de faire l'amour à Cathy!»
Walter n'a pas répondu, trop occupé à sucer.
« Tu n'aimes pas baiser ta femme, ce que tu aimes c'est sucer mon sexe, n'est-ce pas?»
Walter laissa le coq glisser de ses lèvres: « J'aime sucer votre bite.» Il a déclaré, catégorique.
Le Dr. Cassidy haussa le ton: « Tu préfères sucer ma bite plutôt que de faire l'amour à Cathy!»
« J'aime mieux votre bite que ma femme,» répéta finalement Walter.
Le Dr. Cassidy a programmé Walter: « Maintenant, quand tu verras ta femme nue, tu penseras à ma bite. Tu penseras à ma bite et seulement à ma bite, à la façon dont tu aimes sucer ma bite, pas ta femme, toute ta libido se concentre sur ma bite, tu adores sucer, tu n'aimes que ça et tu feras tout pour que tu puisses sucer ma bite.»
Walter a répété, docile et convaincu: « J'aime la bite plus que Cathy!»
«Si tu essayes de baiser Cathy, tu penseras à ma bite et perdras ton érection. Tu deviendras tout mou, tout flasque, avec ton petit zizi de petit garçon en pensant à ma grosse bite.»
La voix de Cassidy était insistante. Elle obstruait l'esprit de Walter, l'empêchant de réfléchir, l'obligeant à répéter.
« Tu ne voudras plus jamais baiser Cathy, seulement sucer ma grosse bite.»
« Sucer votre bite, plus baiser Cathy.» Walter ramena la bite dans sa bouche avec délectation.
Le Dr. Cassidy continuait sa programmation: « Mais Cathy a besoin d'être baisée. Cathy a besoin d'un homme. Cathy a besoin d'un vrai homme, avec une grosse queue, qui la baise bien, fort, longtemps, un homme qui la baise.»
Walter fit une pause. Arrêtant de sucer, il a essayé de réfléchir. Les sourcils froncés, il a essayé. Vainement. Tant pis, il réfléchira plus tard, pour le moment, seulement répéter: « Cathy a besoin d'un vrai homme.Qui la baise. Cathy a besoin d'être baisée par un vrai homme.»
« Et toi, Walter, tu n'es pas un vrai homme, n'est-ce pas? Tu n'es qu'une petite pute qui suce les grosses bites!»
Walter répéta encore: « Non, j'ai une petite bite, les vrais hommes ont de grosses bites, moi je suce les grosses bites.»
Maintenant, ça ressemblait à une ritournelle qui flottait dans sa tête, comme un refrain entêtant:
« J'ai une petite bite, les vrais hommes ont de grosses bites, moi je suce les grosses bites.»
« Veux-tu que je baise Cathy pour toi, Walter?»
Le Dr. Cassidy faillit éclater de rire. « Veux-tu que Cathy soit baisée par un vrai homme avec une grosse bite?»
« Vous baisez Cathy. Affirmatif. Vous avez une grosse bite. Vous êtes un vrai homme. Vous baisez Cathy.»
Le Dr. Cassidy était hilare: « Dis-moi ce que tu veux que je fasse avec ta femme?»
« Je veux que vous baisiez ma femme.»
« Demande-moi gentiment de la baiser.»
« S'il vous plait, docteur, il faut que vous baisiez ma femme, elle a besoin de votre grosse bite, s'il vous plaît, baisez-la. Moi, je ne peux pas, j'ai une petite bite. Et puis, j'aime trop sucer des grosses bites, comme celle-là!»
Dans son délire, Walter se jeta bouche ouverte sur la bite du toubib. Mais le bon docteur n'était pas encore satisfait:
« Dis-moi qu'elle est ma chienne. Qu'elle m'appartient. Que je peux en faire mon esclave sexuelle. Supplie-moi!»
« Cathy est votre chienne, faites d'elle votre jouet, mais s'il vous plaît, baisez-la, baisez Cathy, s'il vous plaît!»
Le Dr. Cassidy remit sa queue dans la bouche de Walter et le laissa terminer sa pipe. Il éjacula à longs jets crémeux dans la gorge du mari soumis qui avala tout, léchant soigneusement jusqu'à ce que la queue soit propre.
« Quand tu te réveilleras, tu ne te souviendras de rien d'autre que, tu as envie de sucer ma bite, tu veux que je baise ta femme, tu ne pourras plus avoir d'érection devant elle. Tu sais maintenant qu'elle est ma chienne, que je peux l'utiliser quand je veux, c'est toi qui me l'as demandé, tu l'encourageras à me voir souvent et à s'habiller dans des tenues sexy pour me plaire.»
Walter acquiesça d'un signe de tête.
« Répète!»
« Désormais, j'ai tout le temps envie de sucer votre bite, je veux que vous baisiez ma femme, je sais qu'elle est votre chienne, que vous pouvez l'utiliser comme bon vous semble, et elle devra s'habiller sexy pour vous plaire.»
« Je compte jusqu'à trois et tu te réveilleras un, deux, trois.»
Walter se redressa: « Je vous l'avais bien dit, ça n'a pas marché. Désolé de vous faire perdre votre temps, doc.»
Walter se leva pour partir, mais ne put s'empêcher de regarder l'entrejambe du toubib.
« N'hésitez pas à m'appeler chaque fois que vous aurez besoin de moi, Walter.»
Walter se lécha inconsciemment les lèvres: « Comptez sur moi, doc, je ferais ça.»
« Et transmettez mon meilleur bonjour à Cathy, de ma part.»
« Je lui dirai que vous pensez à elle.» Walter a ajouté, sincère: « Elle a vraiment besoin de vous.»
Le Dr. Cassidy lui sourit: « Je sais.»

Les avis des lecteurs

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D'accord avec les lecteurs précédent mais ce n'est plus du candaulisme...c'est du cuckolding si je ne me trompe !

Texte très excitant, merci à l'auteur. Didier

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Mmm ... Très excitant ! Vivement la suite ...

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Texte coquin : LES MALHEURS DE WALTER
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