Les retrouvailles avec Pierre - histoire érotique

Comme je le racontais, j'ai eu du mal à m'habituer au sevrage du sexe entre hommes, après l'armée.
Bien sur, la passion amoureuse que je vivais avec ma copine m'a détourné un petit moment, mais l'envie de plaisir anal me reprenait de plus en plus souvent.
Mes jeux solitaires ne me comblaient plus, il me manquait quelque chose que j'avais découvert avec le lieutenant, la soumission et le plaisir de donner son corps à un homme.
Après quelques mois, je ne résiste plus et sur les conseils de mon ex-amant, je trouve le courage de contacter Pierre, un des participants à nos jeux pervers.
"Allo ?".
"Pierre ? C'est Pascal !".
"Pascal ?".
"Oui, ou "Gueule d'ange" si tu préfères !".
"Oh, Gueule d'ange ! Qu'est ce que tu deviens ?".
"Ben, j'ai une copine ! On s'aime comme des fous !".
"Quoi ? Ne me dis pas que t'es devenu hétéro? J'y croirais pas ! T'es la plus belle salope que j'ai connu !".
"Ben, justement, je t'avoue que malgré que j'aime ma copine, j'ai besoin des hommes aussi ! Ca te dirait de passer me prendre pour recommencer avec moi ?".
"Bien sur ! Je ne demande que ça ! Je vais me régaler ! Je passe Vendredi, si ça te dit ! Comme ça tu pourra dormir chez moi !".
"Super !".
On se met d'accord sur le lieu de rendez-vous, puis j'attend avec impatience le jour de nos retrouvailles.
Dans la voiture, il me reparle de nos rencontres communes, le désir nous gagne, je ne refuse pas de le masturber pendant qu'il conduit.
Sur la petite partie d'autoroute, il me propose:
"Suces-moi un peu ! Je bande trop fort ! J'en peux plus !".
Après une petite hésitation, je dégage sa longue bite et je me soulage moi aussi d'une grosse envie de le sucer.
Le bonheur que j'éprouve en retrouvant un sexe d'homme dans ma bouche, me conforte sur le fait que j'en ai besoin, cela va devoir faire partie de ma vie.
"Oh, putain, ce que tu suces bien ! Ma petite salope ! Tu m'as manqué, tu sais !".
"Mmmm, moi aussi, ça m'a manqué, j'aime trop ça ! C'est bon de te sucer !".
Je le suces avec passion et profondeur, très longuement, puis j'entend des sons de klaxon.
Mon amant, s'est porté à hauteur de vue d'un camionneur, qui se régale du spectacle.
Lorsque je croise le regard de l'homme, il m'adresse un pouce levé pour me féliciter.
Je reprend alors ma pipe goulue jusqu'à ce que Pierre me demande d'arrêter, il voulait se retenir pour me baiser plus tard.
Lors de notre arrivée, par le chemin de terre qui mène à sa maison, je reconnais l'endroit, j'y ai subi de nombreux assauts par plusieurs hommes, mais pas que ça !
Il arrête sa voiture devant la villa, puis il m'attend près du véhicule.
Je m'approche, il passe sa main derrière ma nuque et m'embrasse fougueusement.
Excité, je masturbe sa bite avec envie.
Il me défait ma ceinture précipitamment, puis me tourne d'un coup en me plaquant sur le capot de la voiture.
Il baisse d'une traite mon pantalon et plonge son visage entre mes fesses.
"Pierre ! Non ! Pas ici !".
"J'en peux plus, il faut que je t'encule ! je te rebaiserai encore plus tard !".
Il me bouffe le cul comme un forcené pendant un moment, il me détend l'anus, l'instant est délicieux.
Puis, il se dresse et pointe son long membre en érection.
Il écarte mes fesses avec ses mains et fait bouger mon cul sur son gland qui force contre mon œillet.
Il parvient enfin à s'enfoncer d'une traite jusqu'aux couilles.
"Arhhhhhhh ! Pierre ! Ohhh, qu'est ce que c'est bon ! Oh, j'aime trop ça !".
"Moi aussi, j'aime ton cul ! Alors ? Ca te rassures ? T'es un vrai petit pédé ! Une vraie salope !".
"Oh, oui, je suis un pédé, une vraie salope ! Je suis accroc à la bite !".
"Je peux te défoncer le cul alors ?".
"Oui, vas-y ! Défonces-moi ! Fais moi jouir du cul !".
Il se déchaine en m'écrasant contre le flan du véhicule, je gueule mes orgasmes successifs, à la fois excité et apeuré par le fait d'être vu en train de me faire casser le cul.
Pierre est comme un fou, il me claque le cul en m'insultant.
Il me dit que je n'appartiens plus au lieutenant, mais à lui à présent, il m'oblige à lui dire que je suis sa pute.
Il accélère encore ses mouvements profonds et se déverse dans mon anus en reculant sa queue, pour ne laisser que quelques centimètres en moi.
Je ressens les spasmes dans sa queue qui éjacule son sperme dans mon cul.
Il se retire ensuite.
"Serres les fesses ! On va rentrer chez moi, tu vas me montrer mon foutre à l'intérieur !".
Je le suis avec le pantalon sur les pieds et le cul à l'air.
Il m'entraine sur une petite table de salon et me place à quatre pattes.
"Vas-y montres-moi !".
Je pousse afin de rejeter son foutre encore chaud.
"Putain ! Je t'ai mis une sacrée dose, j'avais une grosse envie !".
Il va chercher du sopalin et m'essuie l'anus, fier de lui.
"Ca va, je t'ai bien baisé ? Pas déçu ?".
"Oh putain, non ! J'ai bien joui ! J'ai beau essayer de lutter, je suis bisexuel, j'aime trop me faire enculer !".
"Super ! T'aimerais que je t'emmène quelque part, pour baiser avec plusieurs mecs ?".
"Oui, pourquoi pas ! J'adorais ça aussi !".
"C'est bien, tu sais que t'es ma pute ? Tu feras tout ce que je te demande !".
"D'accord ! J'aime être soumis, j'en avais besoin, je te fais confiance !".
"Bon, alors, on va commencer par un truc ! Restes comme ça !".
Il revient quelques minutes après et m'enfonce un objet froid dans le cul.
Aujourd'hui, je sais que c'est un plug anal, ce que j'ignorais à l'époque.
Il me redresse et me demande de me rhabiller, je trouve la sensation étrange, mais très excitante.
Il me propose un café, puis s'absente pendant quelques minutes, je l'entends téléphoner.
Il revient discuter de sexe avec moi pendant un long moment, puis il me demande:
"Bon, j'ai faim, je t'emmène dans une pizzéria, ça te dit ?".
"Avec plaisir !".
Au moment, de payer, il refuse que je participe, en précisant à voix basse:
"Tu me rembourseras tout à l'heure ! Avec ton petit cul !".
La présence du plug dans mon cul entretient le désir anal, je lui répond donc:
"Quand tu veux ! Pierre !".
On sort du petit restaurant, il m'entraine dans une ruelle sombre et me colle contre un mur en baissant mon pantalon.
Il tire sur le plug et le remplace par sa bite.
"Tiens moi ça, pendant que je t'encule, salope !".
"Arhhhhh ! Salaud, on peut nous voir ! Ca t'excites de m'enculer comme ça ! Arhhhhhhhhhh !".
"T'as tout compris ! Moi, j'assume ! Et toi salope ? T'assumes que t'aimes avoir ma bite dans le cul ? T'es un pédé ! Tu le sais ?".
"Oui, je le sais ! Arhhhhhhhh !".
"T'aimes ça, pas vrai ?".
"Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Oui, j'aime ça !".
Il me fait orgasmer analement, puis après quelques assauts vicieux pour m'entendre encore gémir de plaisir, il se retire et m'ordonne:
"Allez, remets-toi le dans le cul !".
Je m'exécute en me replaçant le plug.
"Comme ça, tu seras encore prêt, quand on va t'enculer ce soir !".
"On ?".
"Oui, j'attends un copain, on va rentrer, avant qu'il arrive, d'ailleurs !".