Les retrouvailles avec Pierre. Le troisième Week end. 1. - histoire érotique

La deuxième rencontre avec Pierre fut très intense en sensations sexuelles, je commençais à avoir peur d'aller trop loin avec lui, il en voulait toujours plus.

Mais la raison ne l'emporte pas toujours sur les pulsions.

Le mois suivant, je suis repris par mes démons du sexe, j'ai encore envie de dépravation.

Je retourne à la cabine téléphonique, c'est moi qui parle en premier:
"Allo ?".
"Hummm ! C'est ma petite salope préférée ! Pourquoi tu m'appelles pas ! J'ai envie de t'enculer plus souvent, moi !".
"Je suis désolé, j'arrive pas à accepter complètement, que je suis davantage homo que je veux bien le croire !".
"Bon, c'est pas grave ! On s'amuse ensemble ce Week-end ?".
"Oui, si ça ne te déranges pas ?".
"Pas du tout, je ferais venir Jacques et ton ex ! Le lieutenant ! Il est libre samedi !".
"Super ! Je vais venir jusqu'à Dimanche soir ! Ca te pose un problème ?".
"Non, au contraire ! Tu vois pas ta copine ?".
"Elle est partie en vacances avec ses parents !".
"Oh, ça m'intéresse, ça !".
"On en reparlera !".
"Donc, je peux passer te prendre plus tôt ?".
"Oui !".

On change l'heure de Rendez-vous et il passe me prendre en voiture à 14 h, au même endroit.
Je suis surpris de le voir accompagné.

C'est en entrant dans le véhicule que je reconnais Kaddour.
Je monte derrière, mais Kaddour me rejoint en me disant:
"Salut mon petit Pascal ! Je vais te tenir compagnie ! Tu veux bien ?".
"Euh, oui, Si ça dérange pas Pierre ! Comme on a un petit rituel sur la route ! Je sais pas, si ça va lui manquer !".
"Ha bon ?".

Pierre lui dit alors:
"Oui, il me pompe la bite tout le long du trajet ! Et je m'arrange pour le montrer aux routiers que je double !".
"Hummm ! Intéressant ça ! Je me ferai bien sucer moi aussi, tant pis pour les routiers !".
Il baisse son pantalon en dévoilant son membre énorme et ajoute:
"Allez viens t'occuper d'elle, salope !".

Sa bite est en semi érection, je me baisse en reculant mes fesses contre la porte derrière moi.
Je suis excité de réaliser que je retrouve ce merveilleux plaisir buccal avec une aussi belle queue.

Je vois le regard de Pierre qui scrute ce que je fais dans le rétroviseur.
"Oh, là, là, il suce vraiment bien, Pierre ! J'adore sa façon de me dévorer la bite !".
"Arrêtes ! Tu me fais bander ! Je vais pas tenir jusque chez moi !".
"On va s'arrêter à la première aire ! Pour l'enculer ! T'as raison ! Moi aussi, je suis trop excité !".
Je redresse mon visage en disant:
"Déjà ?".
"T'inquiètes pas ! On te rebaisera encore après !".

Je replonge sur la magnifique queue qui me manque déjà, Kaddour m'enfonce plusieurs fois profondément sur son gland avec ses mains.

Puis dix minutes après, Pierre se gare sur la première aire d'autoroute, qui ne possède que des toilettes publiques.
Pierre révèle que c'est aussi ici que je me suis fait baiser par un routier.
Kaddour me traite de salope et me dit que je vais encore plus jouir avec lui.

Je lui réponds:
"Ca, c'est sur !".
Les deux hommes me baisent la gorge à tour de rôle.
"Commence en premier, Pierre ! Ce sera plus facile pour son cul !".
"Hummm, avec plaisir ! Viens là, ma petite pute ! Alors, tu m'as pas dit, ça te fais plaisir que je fasse venir Kaddour ?".
"Mmmmmmm ! Oui !".

Mon jeans tombe à mes pieds, mon anus se fait lécher longuement, puis Pierre entreprend de me posséder.

En quelques minutes, sa bite coulisse en moi, aisément, en me faisant râler de jouissance anale.
Kaddour me déforme la bouche avec son énorme mandrin. L'avantage, c'est qu'ainsi, il étouffe mes cris.

Pierre me fais orgasmer deux fois, puis il laisse sa place à Kaddour.

Quand il commence à m'investir analement, je mord ma main à cause de l'écartèlement, trop direct.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Kaddour, tu me déchires le cul encore ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"Arrêtes de te plaindre ! Tu ne demandes que ça !".

Pierre me tient fermement et fait de nombreuse poussées de mon corps sur la bite de son copain, pour l'aider à mieux me posséder.
Je joui comme un fou, mes cris sont très sonores.

Près de 15 minutes après, un bruit de véhicule nous stoppe dans notre baise.

On se rhabille rapidement, puis nous sortons des toilettes pour rejoindre la voiture de Pierre.

Kaddour est trop excité, il s'allonge derrière en dégageant sa bite.
"Viens sur moi ! Je veux encore ton cul !".
Je comprend que des gens vont s'étonner de ma position dans le véhicule.
Pour plus d'aisance, je dois enlever mon pantalon, mais j'ai trop envie de Kaddour, moi aussi.

Après quelques péripéties, je parviens à monter sur lui, sa grosse bite m'écartèle l'anus.
Il se déchaine sous moi, qui m'appuie au ciel de toit du véhicule.

Parfois, je me colle à Kaddour pour pouvoir jouir sans être vu des autres passagers dans leurs voitures.

On passe les deux petits péages, puis Kaddour se met à grogner et me remplit les intestins de son foutre abondant.

Pierre s'arrête dès qu'il peut, Kaddour le remplace au volant et je me fait enculer sur le ventre, sur la banquette arrière par mon amant, qui est sur moi.
Comme Kaddour, il se déverse dans mon cul.

La tension sexuelle retombe enfin, Pierre reprend le volant et Kaddour se fait vicieusement lécher la bite sur le reste du parcours.

En arrivant chez Pierre, Jacques nous attend debout, contre son véhicule.
Il remarque nos mines épanouies.

"Oh, vous ! Vous avez déjà baisé ! C'est pas sympa ! Les mecs ! Tu sais que tu vas y passer quand même, Pascal !".
"Pas tout se suite ! S'il te plait !".

On entre dans la maison de notre hôte, qui nous sert à boire.

Kaddour me dit:
"J'aimerai bien te voir à poil, salope ! Comme ça, tu seras dispo, quand on aura envie de se faire plaisir !".
"Bonne idée !". Ajoute Jacques.

Je quitte mes vêtements devant eux d'abord, puis Jacques s'approche pour m'embrasser, pendant que Kaddour fini d'ôter le reste de mes habits.
Leurs mains se font vicieuses et inquisitrices.

Kaddour me prend la main pour m'attirer vers le canapé, il s'assoit et enlève son pantalon.

Son long sexe épais est en semi-érection encore, je me sens fier de l'exciter autant.
Je me penche au dessus de lui pour lui donner ce qu'il attend; ma bouche.

Jacques se place derrière mes fesses, il écarte mes deux lobes et constate les séquelles des sodomies que j'ai subi.

"Il est encore bien ouvert ! Je vais en profiter !".

Il se met nu et vient se coller contre mon cul, qu'il place parfaitement pour me pénétrer facilement.
En quelques mouvements, il m'investit l'anus, je râle mon plaisir en étant étouffé par la bite de Kaddour.

Le contraste est excitant, la lente et tendre fellation sur Kaddour s'oppose à la sodomie violente de Jacques.

De son coté, Pierre se régale du spectacle, en se masturbant, malgré sa bite, à peine demi dure, et annonce:

"Vous vous rendez compte que cela ne se passe pas comme on avait prévu !".
"On s'en fout ! Moi j'ai trop envie de lui casser le cul !". dit Jacques en m'enculant comme une bête.

Je suis étonné d'entendre frapper à la porte, Pierre va ouvrir et fait entrer trois militaires, dont deux anciennes connaissances.

"Eh, ça fait plaisir de te revoir, Gueule d'ange ! Toujours aussi salope ! Je vois !".
Les trois hommes s'assoient et boivent en regardant Jacques me défoncer comme une pute, alors que je dévore la bite de Kaddour, qui est très dure à présent.

Il faut encore dix bonnes minutes de sodomie pour que Jacques se retire et vienne éjaculer dans ma gorge, en m'insultant sous les encouragements des autres:

"Ouais, c'est ça ! Avales tout ! Gueule d'ange ! Comme une bonne salope ! C'est bien !".

J'adore ce moment, le sperme de Jacques est délicieux, il envahit ma bouche de son gout puissant.

Je suis heureux comme jamais, j'ai joui plusieurs fois du cul et j'ai eu une excellente éjaculation buccale.
J'ai besoin de boire un peu, mais je repousse cela pour conserver l'excitant voile de foutre dans mon palais.

Je constate que les nouveaux venus commencent à se mettre à l'aise.
"Non ! Vous allez pas encore me baiser ! Laisser moi un peu reprendre des forces !".

Kaddour s'impose alors :
"Oh, non, t'as pas droit à la parole ! Maintenant que tu m'a fait bander, tu vas venir sur ma queue ! Et ça part de là ! Salope !".

Il m'attrape par les hanches et me place face à lui, il dirige son énorme queue vers mon cul et m'empale d'une traite.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Kaddour ! Tu me déchires le cul ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"T'aimes ça, non ?".
"Oui ! Arhhhhhhhhhhh !".

Les autres s'étonnent et sont excités de voir les 23 cm x 5,5 cm me transpercer jusqu'aux couilles.

"Putain, ça m'excite de voir ce qu'il lui met !".
"Moi aussi, dis Kaddour ? Tu veux pas l'enculer en levrette, pour qu'on puisse se faire sucer !".

Kaddour me laisse alors, lui offrir mon cul à quatre pattes, pendant que je fais patienter mes autres amants avec ma bouche.

Il me fait hurler deux orgasmes anaux en 10 minutes, puis il s'arrête.

Un militaire s'allonge sous moi, et m'encule, un autre le rejoint dans mon anus, par derrière, pour m'offrir ma première double anale du Week end.
Ils se souviennent de notre dernière orgie au camp militaire.

Je joui encore et encore, Pierre qui a retrouvé une belle érection se joint aux 4 hommes pour jouer avec mon cul et ma bouche.

Quand Kaddour a envie de mon cul, à son tour, il demande à celui qui est sous moi, de se retirer et me défonce plus profondément qu'eux, grâce à sa longueur hors norme.

C'est trop jouissif pour moi, les changements de sensations anales me rendent dingues.
C'est quand Kaddour me détruit l'anus, que je répand mon sperme sur le militaire qui est sous moi.

Kaddour quitte mon anus, fier de lui et va s'assoir en se masturbant, pour admirer les autres qui profitent de moi.

Jacques en est au même point, ses doigts coulissent sur sa bite qui reprend lentement de la vigueur.
Cela fait plus d'une heure que je sers de salope à mes amis de sexe.

Les deux hommes commentent le moment, je suis encore doublement pénétré analement, avec la bite de Pierre et d'un autre militaire dans la bouche.

L'ambiance est vicieuse, on me tient par les cheveux fermement en me baisant la bouche en gorge profonde.

Le militaire derrière moi quitte mon cul et se dresse au dessus de mon dos, il éjacule en longs jets chauds qui me couvre le corps.

L'autre, dessous, profite d'une aisance retrouvée pour s'activer de plus belle et me défonce énergiquement.

En moins de cinq minutes et encore un orgasme anal, il lâche tout son jus dans mes intestins.

Les mots salaces de tous mes amants m'enivrent, ils décuplent mon plaisir, j'aime tellement être soumis.

Pierre se rend dans la cuisine pendant que le dernier soldat se branle devant mes lèvres, puis éjacule aussi en jets puissants dans ma gorge et sur ma gueule d'ange.

"Bravo, Gueule d'ange ! C'est comme ça qu'on t'aime !". Ajoute Jacques.

Pierre revient avec de l'essuie-tout et me nettoie l'anus, puis le dos.

Pendant ce temps, le militaire joue avec sa bite en raclant son foutre sur mon visage pour se faire lécher longuement.

Il laisse ensuite Pierre m'essuyer proprement.

Il me demande:
"Ca va ? Pascal ?".
"Vous m'avez démonté, je suis vidé ! Je peux me reposer ?".
"Viens à coté de moi ! Allonges toi sur le canapé !". Dit Kaddour.

Je m'allonge en posant ma tête sur sa grosse bite qui perd de sa dureté.
Pierre se place près de mon cul.

Je plonge dans un sommeil réparateur pendant vingt minutes.

Puis en ouvrant les yeux, le regard de Kaddour, sur moi, me trouble.
En tournant légèrement la tête, je constate que j'avais bien senti qu'il bandait à nouveau.

Je recule mon visage et dirige sa bite dans ma gorge.

Après quelques mouvements buccaux langoureux et profonds, la grosse queue de Pierre me pénètre encore l'anus.
Je gémis de plaisir, parfaitement comblé aux deux orifices.

Ils me donnent encore des orgasmes en prenant leur temps.

La possession de Pierre est puissante, mais contenue, sans précipitation.
Cela reste du sexe mais sans vulgarité, il cherche mon plaisir avant tout, je joui comme un fou, je me sens aimé comme jamais.

Puis Pierre se laisse aller et joui en moi, en criant son orgasme.

Les trois militaires se rhabillent, peu à peu, puis nous quittent en m'embrassant avant de partir.

"Merci Gueule d'ange ! A bientôt, j'espère !" Dit l'un d'eux.

Jacques me pénètre encore et reprend le même rythme que Pierre dans mon cul.
Comme il n'arrêtait pas de se masturber, il ne tarde pas éjaculer lui aussi, il sort de mon anus et me macule l'œillet de son foutre chaud.

Il vient m'embrasser, puis sert les mains de Kaddour et Pierre avant de partir.

Kaddour m'entraine sur la table de la cuisine de Pierre et utilise le sperme de Jacques comme lubrifiant pour me transpercer le cul.

"Maintenant, t'es tout à moi !".

Il aime voir sa longue bite disparaitre en moi, il varie les rythmes et les profondeurs.
Il admire plusieurs fois l'écartèlement que sa bite me provoque, et me demande de pousser pour faire couler mon jus anal hors de mon anus.

"Putain, tu m'excites comme un dingue, salope ! T'as un vrai cul de pute ! Ca rentre comme dans du beurre !".

Il revient en s'enfonçant d'un coup violemment, je râle encore, comme les fois précédentes.

"Arhhhhhhhhhhh ! Kaddour ! Tu me rend dingue, toi aussi ! Tu me casses le cul comme personne ! Arhhhhhhhh ! Salaud ! Encore ! Arhhhhhhh!".

"Ma parole, plus je t'en donne, plus t'en veux !".

Pierre participe en me caressant le dos et me tenant fermement pour mieux encaisser les assauts de son ami.

"Bon, fini de jouer ! je vais me vider les couilles maintenant !".

Il s'agrippe à mon petit corps et se lance dans une saillie destructrice de mon cul.

Pierre m'obstrue la bouche pour étouffer mes cris d'orgasmes.

Comme il a déjà joui lui aussi, Kaddour, très endurant, a besoin d'un temps interminable pour parvenir à sa nouvelle éjaculation.

Pierre s'excite encore, de voir mon anus se retourner sur l'énorme bite de son complice.

Il remarque aussi mon regard à demi clos et mon visage étiré par le plaisir intense que je subi.

Kaddour grogne enfin, il se libère de sa pression en m'assénant ses derniers coups de queues très violemment.
Il me remplit les intestins interminablement.

"Ouah, c'était dingue ! J'ai rarement été aussi déchainé ! Putain, quel pied ! Ca va, ma petite salope ?".

Franchement, à cet instant, je n'ai pas la force de faire ou dire quoi que ce soit.

Pierre enlève sa main, je souffle longuement, en attendant que Kaddour enlève son énorme bite de mon cul.

Il bouge encore en moi plus lentement et avec plus de douceur.
Je me remet à gémir.

"Arhhhh ! J'en peux plus Kaddour ! Tu m'a détruit ! Je sens plus mon cul !".

Il se résout à quitter mon anus, je pose ma main entre mes fesses.
Mon œillet est béant et trempé de jus anal.
Je force pour qu'il se ferme, mais il reprend son écartèlement aussitôt.
Je sais qu'il me faudra attendre longtemps pour retrouver des sensations normales.

Je dis à mes deux amants:
"Laissez moi là, j'ai besoin de récuperer !".
"Tu vas pas rester comme ça, sur la table ?".
"Je m'en fous, tu m'as tué !".

Kaddour me soulève et m'emporte sur le canapé, il me couvre d'un plaid et me laisse récupérer.
Je m'endort encore en les entendant discuter de ce que j'ai encaissé.

30 minutes plus tard, je sors de ma courte sieste, et vais les rejoindre.
Kaddour me dit:

"Ce soir, c'est moi qui paie la pizzeria ! Ca te dit ?".
"Euh, c'est gentil, mais ça veut dire que tu restes avec nous !".
"Oui ! Ca te fait pas plaisir ?".
"Euh, si, mais ça veut aussi dire que tu vas encore me détruire le cul !".
"Eh oui, ma petite salope ! Allez, habilles toi ! On y va !".

Inutile de vous préciser que le retour du restaurant fut riche en défonces anales.
Mes deux complices ont usé et abusé de moi, encore et encore, j'ai ensuite dormi comme un bébé.
Le lendemain, une autre folle journée commençait.