Les retrouvailles avec Pierre. Le troisième Week end. 2. - histoire érotique

Au petit matin, lorsque je sors de mon long sommeil, j'entend la voix de Pierre qui répond à celle de Kaddour.
Donc Kaddour est resté et a dormi sur le canapé !

Je me lève et débarque nu dans la cuisine, ou ils déjeunent tous les deux.

Ils m'embrassent l'un après l'autre, puis Pierre me dit:

"Ne reste pas comme ça, sinon, on va encore te baiser !".
"Euh, laissez moi déjeuner et prendre une douche d'abord ! Putain, j'ai pris cher, hier ! J'ai eu ma dose !".
"Tant que ça ?".
"Ah ouais ! T'es un dingue Kaddour ! Tu m'éclates à chaque fois ! Tu te rend pas compte !".
"Tu regrettes ?".
"Non, tu le sais, j'adore ça, mais c'est après, que c'est moins drôle !".

Pierre ajoute:

"Eh ben, tant mieux parce que j'ai prévu une après-midi avec ton ex, le lieutenant ! Et quelques copains !".
"Encore !".
"Ben, on te voit pas souvent, on profite ! Et moi, je t'avoue que de savoir que t'as une fiancée, ça me donne encore plus envie de te faire baiser !".
"Enfoiré !".
"Je t'ai vu avec elle, vous faites un très beau couple ! Dommage pour elle que tu sois aussi une vraie salope !".
"T'en profites bien, non ?".
"Tais toi, ou je t'encule tout de suite !".

Je me tais et déjeune après un bon café.

Pierre va se doucher, Kaddour se fait caresser la bite en même temps que je fini de boire un second café.
Son intérêt à mon égard est grandissant.

Puis Pierre revient en short et Tee-shirt, je décide de me doucher après lui, après avoir été aux toilettes.
L'eau qui coule sur moi me détend et me ressource.

Je me savonne abondamment, la porte s'ouvre et Kaddour se dévêtit près de moi.

"Kaddour, j'ai pas fini !"
"Et alors, c'est pas gênant !".
"Ben, si, je vais me faire un lavement !".
"Moi ça me gêne pas, tu veux que je te le fasse ?".
"Euh, c'est la première fois qu'on me demande ça, je sais pas !".
"Allez laisses-toi faire !".

Le pommeau de douche de Pierre est idéal pour cette pratique, Kaddour écarte mes fesses et m'enfonce le bout du phallus improvisé.
Mais le liquide m'envahit trop vite.

"Arhhh ! Kaddour, moins fort, le jet ! S'il te plait !".
"Oups, Désolé !".
"Stop ! Enlève le !".

Un énorme écoulement sort de mon cul, projetant quelques selles qui me dégoutent, mais qui disparaissent très vite, dans la bonde.

Kaddour remet le pommeau dans mon cul, et attend patiemment mon signal pour le retirer.

Pendant se temps, il se fait branler sa grosse bite avec beaucoup de savon comme gel masturbatoire.

"Stop !".

Je rejette à nouveau toute l'eau dans un énorme jet, je n'ai plus de selles.

"Putain, j'adore te faire ça ! Ca me fait bander !". Me dit Kaddour.

Il me coince contre le mur et m'enfonce sa bite progressivement.
Il a besoin de plusieurs tentatives pour m'empaler complètement et me posséder encore.

Très vite, je recouvre sa queue de jus anal, il coulisse merveilleusement dans mon cul, je commence à crier mon orgasme.

J'ai énormément de mal à tenir sur mes pieds, il est trop grand pour moi, il me soulève avec sa grosse bite en m'enculant.

"Kaddour ! Tu vas me tuer encore ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"T'inquiètes pas, je vais juste t'enculer un peu, pour te faire prendre ton pied et on recommencera avec les autres ! Ok ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Ok ! Arhhhhhhhhhh !".

Il me procure trois orgasmes avant que je le supplie d'arrêter.
Il sort de mon anus et fini de se doucher.

Pris d'un désir irrésistible, je me baisse pour lui dévorer la bite, en guise de remerciement.

Nous rejoignons Pierre qui se masturbait en nous regardant baiser.

La tension sexuelle est énorme, mais nous résistons, Pierre m'informe que le lieutenant a fait passer l'info de ma présence chez lui.

Vers 14 h, la sonnette retentit, Pierre ouvre et je reconnais d'anciens partenaires de jeu.

Puis c'est mon premier amant qui arrive, je me jette dans ses bras et nous partageons un interminable baiser.

"Tu m'as manqué mon petit Pascal !".
"Vous aussi, mon lieutenant !".
"Tu t'amuses bien ! Il parait ! Pierre m'a tout raconté ! T'es toujours aussi salope !".
"Oui, j'avoue, c'est votre faute !".
"Non, c'est grâce à moi !".
"C'est vrai aussi !".
"Super, on va s'amuser encore alors ! T'es prêt ?".
"Je vais tout faire pour contenter tout le monde !".

En retournant dans le salon, je réalise que je vais devoir assumer les envies de plus d'une quinzaine d'hommes, dont Kaddour !

L'alcool désinhibe les sens et progressivement, tout le monde se retrouve nu.

Je commence par caresser la bite de mon initiateur au sexe masculin en l'embrassant, puis je l'englobe avec ma bouche.

Un premier sexe se propose à moi, puis plusieurs autres.

J'aime passer de queue en queue, je me place à genoux pour en contenter le plus possible.

On m'enduit l'anus de gel, puis on me fait enjamber un militaire, qui me pénètre aussitôt.
Il me baise longuement en me faisant jouir deux fois, puis on me déplace sur un autre homme.

Je joui encore une fois, ensuite, un troisième se colle à la bite de l'autre et je connais ma première double anale de la journée.

J'entends:
"Ouais ! Bravo Gueule d'ange ! T'assures ! T'es une bonne salope !".

Plus je me fais baiser et plus l'ambiance devient perverse, on commence à me défoncer en gorge profonde.

Les mots crus fusent, et les assauts dans mon cul deviennent plus profonds et puissants, je gueule de plus en plus fort.

Tout le monde veut gouter à mon anus en double pénétration, donc je suis souvent déplacé sur de nouvelles bites par dessous et rempli par d'autres au dessus.
Je ne compte déjà plus les orgasmes.

Mon cul dégouline de jus anal, les hommes n'ont aucune difficulté pour m'enculer.

Une réalité me fait peur, le nombre d'hommes rallonge automatiquement la durée de notre orgie.

Au bout d'une heure personne n'a éjaculé encore, à part moi, pendant que c'était au tour de Kaddour de m'enculer.
J'ai encore pollué le ventre d'un autre homme en jouissant aussi du cul.

A présent, je suis en train de m'empaler sur deux bites à la fois, sur deux hommes qui se sont collés pour l'occasion.

On m'aide dans mes mouvements en me soulevant, puis en me lâchant.

J'entends enfin des signes de faiblesse chez l'un de ceux que je baise.

Il se crispe et éjacule tout son jus, qui dégouline aussitôt entre les deux paires de testicules, en sortant de mon anus.

Je m'active de plus belle et l'autre le rejoint moins de cinq minutes après.

La suite est répétitive, les queues s'enchainent dans mes deux orifices, avec perversité.

J'avale plusieurs éjaculations dont celle de Pierre et mon premier amant, le lieutenant, qui me félicite encore une fois de mes talents buccaux et de mon cul "merveilleux" selon ses dires.

Presque tous les autres se déversent dans mon anus, et trois autres sur mon corps.

Kaddour a patienté, pour être le dernier qui me baiserait.

Il me cale contre le bras du canapé et me transperce sur toute la longueur de sa queue.
Puis il commence sa défonce anale destructrice, il me fait hurler encore et encore.

Je le supplie de jouir, mais je crie encore plus fort, en répandant à nouveau du sperme devant le canapé.

Les autres applaudissent, ce qui déchaine de plus belle, mon amant fou.

Il renouvelle l'effet de retournement de mon œillet anal, sur sa bite quand elle sort de mon cul.

Il montre aux autres à quel point, il m'ouvre l'anus avec son énorme mandrin, puis s'enfonce violemment ensuite, pour me faire crier, parce qu'il adore m'entendre gueuler.

"Putain, il est en train de lui détruire le cul !".
"Ca va Pascal ?". Me demande le lieutenant.
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Oui, Mon lieutenant, il m'a fait la même chose hier ! Arhhhhhhhhhh ! Je prend mon pied, ne vous inquitez pas ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".

Je sens que je vais arroser le canapé de ce liquide doré dont j'ignore la composition, tant il me sollicite la prostate, je déplace mon corps pour m'en éloigner, ce qui m'empale encore plus sur sa bite, et j'inonde le sol au rythme des assauts de l'énorme engin de Kaddour.

Mes écoulements sont accompagnés de hurlements de plaisir anal.

"Putain, j'ai jamais vu un mec jouir du cul comme lui ! Il m'excite trop ce jeune !".

Kaddour ajoute à ces mots, prononcés par un militaire:

"Putain, j'adore lui casser le cul ! C'est ma pute préférée ! Qu'est-ce qu'il encaisse bien ! je vais lui remplir le cul encore !".

Et il ne se trompe pas, moins de cinq minutes plus tard, il me remplit abondamment l'anus de son foutre chaud.

Il me pousse contre le bras du canapé et s'étale sur moi pour finir son éjaculation en râlant avec moi.

Son souffle puissant m'excite, j'aime le fait que c'est le plaisir de jouir en moi qui le met dans cet état.

"Merci mon petit Pascal ! T'as bien encaissé encore, C'était génial !".
"Ouuuhhh ! Tu veux bien retirer ta queue, s'il te plait ! Tu m'as détruit encore !".

Il se redresse et fait lentement sortir sa grosse bite.

Un énorme écoulement de foutre dégouline aussitôt entre mes fesses, je n'arrive pas à le contenir.

"Ouah, ça c'est beau, ça n'arrive pas souvent qu'il y en ai autant ! Tant pis pour le canapé, je le nettoierai !" Dit Pierre.

"J'adore mettre un cul dans cet état ! Mais c'est rare de tomber sur un jeune comme lui !".

Peu à peu, tout le monde quitte la maison de Pierre, je retourne sous la douche.

Je viens de me faire défoncer pendant plus de trois heures, je commence à penser que je vais espacer mes venues chez Pierre, il en veut toujours trop.

Même si cela m'apporte énormément de sensations fortes, sexuellement et en terme de soumission, il dépasse mes besoins.
Mais, il y a aussi la rencontre avec Kaddour, qui est très enrichissante.
Kaddour à lui seul me contenterai amplement !

Kaddour qui, justement, me rejoint sous la douche.
Il me caresse tendrement et m'embrasse longuement.
On se lave mutuellement, puis il me demande de lui lécher la queue avec passion et tendresse.

Il me demande alors voix basse:
"Tu tiens à ta relation avec Pierre ?".
"Pas plus que ça ! Je trouve qu'il va trop loin ! Pourquoi ?".
"Ce serait sympa qu'on se revoit tous les deux ! Je te laisserai mon numéro ! Ok?".
"Ok ! Merci ! J'adore baiser avec toi, même si t'es un peu dingue !".
"Moi aussi, j'adore te baiser !" N'hésites pas à m'appeler et ne dis rien à Pierre !".
"Ok, mais je lui dois rien, tu sais !".

On partage un dernier baiser vicieux.

Puis ils me raccompagnent à ma demande, Je ne veux pas assumer une autre journée de sexe chez Pierre, qui apparemment voulait m'emmener dans un lieu chaud, le dimanche après midi.