Les tontons partie 1
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les tontons partie 1
Fin des années 90, la trentaine passée, nous avions essayé pas mal de chose et étions Nathalie et moi complètement sur la même longueur d’onde.
Nous faisions des rencontres à deux, à trois ou plus, voire beaucoup plus.
Elle avait régulièrement des nouveaux amants qu’elle voyait seule avec mon accord.
Je le savais parfois avant, mais aussi parfois après, ce qui ne me posait pas de problème.
Elle en avait un qui venait de temps en temps, mais avec qui elle ne baisait pas forcément à chaque fois.
Frédéric, tout le monde l’appelait Fred.
Assez mignon, bien proportionné, brun, la peau ambrée et les cheveux court.
Il était un peu plus jeune que nous, nous l’avions rencontré dans une soirée et avions sympathisé assez vite.
Il avait l’accent du Sud-ouest et en jouait beaucoup pour draguer les filles.
On se voyait assez régulièrement pour sortir en boite, au restau ou chez d’autres potes.
Il venait aussi souvent voir ma femme lorsqu’elle était seule, certains après-midi quand elle ne travaillait pas ou le soir quand j’étais en déplacement.
Seule ou avec moi, elle s’habillait toujours très sexy et ce qui devait arriver arriva.
Un soir que je n’étais pas là, ils ont couché ensemble.
Nathalie m’en avait parlé un peu avant car elle sentait qu’il lui faisait de plus en plus d’avance, elle voulait mon aval et savoir si j’étais ok.
J’avais bien sûr dit oui et me demandait comment il se comporterait après avec moi.
J’ai été un peu surpris car il ne s’est même pas senti gêné quand on s’est revu.
Le salaud avait baisé ma femme et se comportait comme si de rien n’était.
Pas un soupçon d’hypocrisie, rien, toujours égale à lui-même.
Nathalie, qui avait apprécié la nuit qu’ils avaient passé ensemble, a voulu continuer cette relation qui a durée pas mal de temps.
« Il me baise bien, il est doux, assez endurant quand il faut, je vais le garder quelques temps » m’avait-elle dit.
Il ne savait pas que j’étais au courant et je prenais un malin plaisir à demander à ma femme de s’exhiber, discrètement bien-sûr, ou de porter des tenues très aguichantes quand j’étais là et lui aussi.
C’était comme une sorte de revanche pour dire, ce soir c’est moi qui l’aurai dans mon lit et pas toi.
Originaire du Sud-Ouest, il nous a proposé un jour d’y aller pendant les fêtes de Bayonne.
C’était en été et l’idée nous plaisait assez.
Là-bas, sur place, il avait deux tontons dont un avait un appartement, assez grand et où il vivait seul, en plein centre du quartier piétons et qui semblait apparemment être le QG de tous ses potes pendant les fêtes.
Ils venaient pour y dormir, prendre une douche, manger avant de repartir faire la fiesta dans les rues.
Nous avons pris un train de nuit tous les trois pour descendre là-bas.
Deuxième classe, des couchettes de qualité médiocre mais ce n’était pas trop chère.
Nous sommes partis le vendredi soir pour arriver le lendemain matin.
Nous n’étions que tous les trois dans la cabine.
Nathalie avait pris une couchette en bas, moi au-dessus et Fred en face d’elle et en bas aussi.
Nous avons mangé nos sandwich, discuté un bon moment puis nous sommes couchés.
Fred et moi en slip et Nathalie avait juste gardé un string.
Difficile de s’endormir avec le bruit du train sur les rails, du moins c’est ce qu’on pense au début car à force il a tendance à nous bercer.
Je savais que ma femme allait exciter Fred et sachant qu’il ne pouvait rien faire je me suis endormi sereinement.
Allongée sans rien sur elle, elle le regardait d’un air vicieux en jouant avec ses tétons ou encore en passant ses doigts sur son sexe ou sur ses lèvres, elle le provoquait.
Après avoir vérifié que je dormais bien, il s’est levé, le slip déformé par son érection et s’est approché d’elle.
Comme debout il se trouvait à ma hauteur, il s’est assis sur la couchette où se trouvait ma femme pour la caresser.
Elle, entre temps, avait déjà pris dans sa main sa queue bien bandée.
Une fois assis, elle s’est tournée vers lui pour l’engloutir et le sucer.
Il ne s’est pas attardé et a éjaculé dans sa bouche en à peine dix minutes avant de retourner se coucher.
La gare n’était pas très loin de l’appartement du tonton, nous y sommes donc allés à pied en suivant Fred qui connaissait bien le chemin.
Arrivée sur place, les deux tontons étaient là avec plusieurs autres personnes, Fred a fait les présentations.
Jean, le logeur, la cinquantaine pas très grand et trapu, son frère, Raymond, de la même corpulence avec environ deux ans de moins.
Nous avons pris un café avec eux avant d’aller prendre une bonne douche pour nous revigorer.
Nous avions adopté la tenue vestimentaire de rigueur, tout blanc avec un foulard rouge, short et tee-shirt pour Fred et moi et pour Nathalie un micro-short en jeans, hyper moulant et taillé en V, laissant largement découvert une partie de ses fesses, avec chemiser bien décolleter noué au nombril.
L’effet a été immédiat quand elle est sortie de la salle de bain habillée ainsi, les deux tontons n’arrivaient pas à détacher leur regard d’elle, les autres hommes présent semblaient aussi apprécier la vision qu’elle offrait.
« Beau brin de fille la petite » dit Jean, puis se reprenant il m’a dit en riant :
« Ne t’inquiète pas je suis trop vieux pour elle »
Tout le monde a ri et nous sommes parti à une dizaine dans les rues bondées pour chanter et boire avec eux.
Nathalie et moi avions bien pris soin de noté l’adresse du QG pour nous y retrouver au cas où l’on se perde, Raymond nous avait même préparé un plan du quartier.
« De toute façon, vous allait vous paumer à un moment ou un autre » avait-il dit.
Nous voilà donc parti à la découverte des rues piétonne de Bayonne, il faisait beau et chaud, c’était déjà la fin de matinée et les rues, comme les terrasses étaient bondées de monde.
Difficile parfois de se frayer un chemin sans se faire alpaguer par un groupe qui voulait que l’on chante avec eux.
L’ambiance était joyeuse et festive, on s’est dit avec Nathalie que l’on allait certainement passer un bon moment ici.
« Merde j’ai oublié mes clopes dans le sac à l’appart » me dit-elle.
Je lui ai répondu :
« Ce n’est pas grave, on va en acheter dans un bureau de tabac »
« Certainement pas, j’en ai une cartouche là-bas, ce n’est pas pour en racheter ici »
Cela faisait à peine dix minutes que nous étions partis et donc pas trop loin de l’appartement.
« Je vais les chercher, je vais bien vous retrouver après » me dit-elle.
« Ok, à tout de suite »
Fred qui avait entendu ça me dit alors :
« Tu sais, si elle nous retrouve, elle aura beaucoup de chance, avec les mouvements de foule on se fait vite embarquer dans une direction que l’on n’a pas choisie »
« On verra bien, de toute façon on pourra toujours se rejoindre à l’appart »
Nous avons donc continué notre circuit, pressé par les autres qui voulaient déjà aller boire un coup chez un de leurs potes plus loin.
La journée risquait d’être alcoolisée.
Ma femme grâce à son plan a réussi à retrouver l’appart, il faut dire que n’ayant pas trop le sens de l’orientation et sans plan, elle se serait perdue.
La porte n’était apparemment jamais fermée à clé, tout le monde pouvait entrer et sortir à sa guise.
« Bein qu’est-ce que tu fais là ma petite » lui dit Jean.
« J’ai oublié mes clopes dans mon sac »
« Les autres t’attendent j’espère »
« Heu, je ne crois pas, je leur ai dit que j’allais les retrouver »
Il est parti à rire en lui disant :
« Bon courage. » « Raymond, viens voir, il y a la petite qui est là, elle croit pouvoir retrouver la bande après »
Raymond a lui aussi éclaté de rire en entendant ça.
« Allez, viens boire une bière avec nous, pendant ce temps on verra bien s’il y en a un du groupe qui revient, il nous dira peut-être vers quel secteur ils sont allés »
Ils se sont dirigé tous les trois vers la cuisine et Jean a sorti trois bières.
Nathalie commençait à regretter de ne pas avoir voulu acheter ses clopes dans un bureau de tabac.
« Qu’est-ce que je vais faire si je ne les retrouve pas »
« Ne t’inquiète pas, c’est juste l’affaire de quelques heures, il y en a bien un qui va nous dire où ils sont »
Ils ont continué à discuter de tout et de rien, mais surtout d’elle, ils l’ont beaucoup complimenté tout en la dévorant des yeux.
Jean dit alors :
« Fred nous a pas mal parlé de toi, mais il ne nous a pas dit que tu étais aussi mignonne »
« Heuuuuu, et il a dit quoi sur moi »
« Tu sais Fred il parle beaucoup et parfois on ne sait pas si c’est du fantasme ou la réalité, en tout cas il nous a dit que tu étais très…. coquine, pour faire soft »
Nathalie s’est sentie rougir, un peu gêné, elle ne savait pas quoi répondre.
Raymond a renchéri en disant à son tour :
« Il a dit que tu avais la peau douce, un beau petit cul et une paire de nichons à damner les saints »
Jean a continué en disant :
« Il nous a aussi vanté tes qualité au lit »
« Oh le salaud » dit-elle.
Pendant tout cet échange, les deux tontons s’étaient rapprochés d’elle, presque à la toucher.
Raymond a doucement attrapé son bras pour le caresser et a dit :
« C’est vrai que tu as la peau douce »
Elle n’a eu aucun mouvement de recul car son geste avait été très amicale, elle ne se sentait pas agressée.
Ils étaient maintenant collés à elle et leurs mains se baladaient très progressivement sur son corps.
Elle ne se reconnaissait pas elle-même, elle les laissait la caresser partout sans rien dire, presque dans un état second, le voyage, la fatigue et la bière lui avait fait tourner la tête.
Jean, face à elle, avait défait le nœud et déboutonné le chemisier pour lui caressait les seins.
Raymond, derrière elle, lui caressait le ventre et avait glissé doucement ses mains vers le short pour enlever le bouton du haut.
Une main à l’intérieur, de l’autre il faisait descendre la fermeture de la braguette pour que sa main puisse passer de sa toison à ses lèvres intimes, libre de tout string, la progression était plus facile.
Les pointes de ses seins étaient érigées et son sexe commençait doucement à s’humidifier.
Jean a senti que c’était certainement le bon moment pour l’embrasser, il a collé sa bouche à celle de ma femme et a enfoncé sa langue à l’intérieur.
Raymond qui avait investi un doigt dans le sexe ma femme, l’embrassait en même temps dans le cou.
Elle s’est reprit en disant :
« Si quelqu’un rentre il va nous voir »
« Alors il viendra se joindre à nous, ça pourrait peut-être te plaire » lui dit Raymond dans le creux de l’oreille.
Soudain, elle est revenue à elle-même, trop tard pour faire marche arrière, alors autant en profiter au maximum.
Ses deux mains se sont dirigées vers chacune des bosses des pantalons des deux tontons en leur disant :
« Ne me tentait pas, je serai capable de le faire »
En même temps qu’elle leur disait ça, elle avait ouvert leurs braguettes pour attraper leurs chibres tout gonflés.
« Allons dans la chambre » dit Jean.
Le chemisier et le short à terre, Nathalie s’est assise sur le lit pendant qu’ils se mettaient nu aussi.
Ils se sont approchés et elle a pris leurs queues dans ses mains pour les faire venir tour à tour dans sa bouche.
« Putain il avait raison le gamin, t’es une experte » C’était Raymond qui commençait à se lâcher.
Pendant une dizaine de minutes, elle les a sucés goulûment.
Jean très excité a ensuite fait allonger ma femme sur le lit, puis s’est installé à genoux entre ses cuisses en disant :
« Putain, je vais te bouffer la chatte pour voir si elle est aussi bonne que le prétend mon neveu »
Joignant le geste à la parole il a enfoncé sa tête entre ses cuisses pour la dévorer.
Raymond s’était mis à genoux lui aussi, mais au-dessus du visage de ma femme, pour se faire bouffer les couilles selon sa demande.
Elle le branler d’une main pendant qu’elle gobait ses bourses.
Très vite elle a joui sous la langue agile de Jean.
« Putain t’es bonne, t’as bon goût salope » disait-il en boucle.
Après la deuxième jouissance de Nathalie, il s’est relevé pour aller chercher des capotes.
« Tourne-toi, je vais te baiser maintenant »
A quatre pattes, elle se faisait enfiler par Jean pendant qu’elle sucer Raymond.
A Chaque fois qu’elle prenait son pied, ils échangeaient les rôles.
Ils l’ont prise dans toutes les positions possible en faisant bien attention de ne pas se laisser aller pour ne pas jouir trop vite.
Ils l’ont baisé ainsi pendant une bonne heure, la faisant crier maintes fois.
« Oh putain t’aime ça salope te faire démonter comme une chienne, vas-y dit le moi oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii putain t’es bonne ouiiiiiiiiiiiiiiii » C’était Jean qui, tenant Nathalie fermement par les hanches, lui donnant des coups de reins bestiales en se vidant dans son ventre.
Raymond en même temps mais avec moins d’éclat, éjaculait dans sa bouche.
Sur le pas de la porte de la chambre, deux silhouettes les regardaient.
« Alors on s’éclate les p’tits vieux » a dit l’un d’entre eux.
Jean a tout de suite rétorqué :
« Putain les mecs c’est une bonne celle-là, elle aime la bite, si vous voulez c’est votre tour et je suis sûr qu’elle n’est pas contre se prendre deux nouvelles queues, n’est-ce pas ma chéri » dit-il en lui claquant les fesses.
Comme une chatte en chaleur elle a répondu :
« Hummmm oui, j’ai envie de me faire baiser toute la journée »
Il n’en fallait pas autant pour encourager les deux nouveaux venu qui, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire étaient déjà à poil et en érection devant la bouche de ma femme.
A genoux face à eux, elle les a sucés avec gourmandise, elle se rappelait vaguement les avoir aperçus ce matin mais ne se rappelais plus de leurs prénoms.
Ils avaient l’air d’apprécier sa bouche car ils grognaient de plaisir.
Un des deux s’est ensuite placé derrière elle et après avoir enfilé une capote l’a pénétré à son tour.
Jean avait tiré la porte pour les laisser la baiser tranquillement.
Il devait être environ quinze ou seize heure quand je suis revenu à l’appart, après avoir perdu la plupart de mes camarades.
Nathalie s’était enfilé tous les mecs, un par un ou plusieurs à la fois, qui entraient dans l’appartement.
J’entendais des gémissement dans une des chambre et j’ai vu Jean sortir de la cuisine, je lui ai demandé s’il n’avait pas vu Nathalie car je l’avais perdu.
« Si, elle est passée chercher ses clopes aux environs de midi, on a bu un coup et elle est repartie »
Voyant que je tendais l’oreille vers la chambre, il m’a dit presque comme si c’était un secret :
« On s’est dégotté une petite tout à l’heure, crois-moi elle aime la bite la salope, elle se fait démonter par tous ceux qui rentre ici, ça te dit de la tirer ? »
« Heu non non, merci mais je vais retourner à la recherche de ma femme »
Il a dû être soulagé de ma réponse, il y était allé au bluff certainement pour que je n’ai pas le soupçon que ça puisse être Nathalie dans la chambre.
« Reste dans le quartier comme ça si je la vois revenir je lui dirais que tu es dans le coin » m’a-t-il dit.
« OK amusez-vous bien » lui ai-je dit en montrant la chambre de la tête.
Depuis que les deux tontons avaient commençaient à la baiser, une bonne dizaine, au moins, d’autres mecs étaient passés sur ma femme depuis plusieurs heures.
Elle avait sucé ou s’était fait prendre dans toutes les positions possible par la plupart des mecs qui sont rentrés dans la chambre, elle en a quand même dégagé deux ou trois qui bandait mou à cause de leur degré d’alcool.
Certains ont éjaculé à peine ils l’avaient pénétré, d’autres au contraire semblaient ne vouloir ou pouvoir jamais jouir.
Jean et Raymond avaient repris de la vigueur et voulez encore profiter d’elle pendant que c’était possible.
Ils sont alors retournés dans la chambre, laissant le temps au dernier de se finir avant de reprendre sa place.
Raymond s’est allongé sur le dos pour que Nathalie vienne s’empaler sur lui et Jean a investi sa bouche tout en lui tripotant les fesses.
Ses doigts commençaient à titiller l’anus de ma femme, qu’il venait de lubrifier avec un gel qu’il avait pris avec lui.
Alors que Raymond allait et venait en elle, Jean s’est placé derrière elle pour se caler entre ses fesses et présenter sa bite devant son cul.
Il s’est doucement enfoncé dans son fondement, prenant son temps pour ne pas lui faire mal.
Une fois bien au fond de son cul, il a commencé lui aussi des vas et vient, les temps que les deux tontons se synchronisent et le festival pouvait démarrer.
Ma femme se sentait complètement rempli par ces deux gros braquemart qui la défonçaient.
Elle s’est rapidement trouvée à crier son plaisir tellement elle appréciait.
Ils ne devaient pas en être à leur coup d’essai car ils accordaient très bien leur rythme en sachant rapidement donner du plaisir à la femme qu’ils entreprenaient.
Trop occupée à multiplier les orgasmes, elle n’a pas vu arriver Fred, la bite à la main, qui lui a enfourné direct dans la bouche son mandrin bien rigide.
Les trois trou bien rempli, elle s’est abandonnée à toutes ces queues qui lui donnaient du plaisir.
Fred aurait bien voulu prendre la place de Jean, mais ce dernier était trop bien dans le cul de ma femme.
Ils ont presque éjaculé tous les trois en même temps dans des grognements sourds et bestiales tandis que Nathalie avalait la semence que Fred venait de lui envoyer dans la bouche.
Rassasiée, elle s’est levée pour aller prendre une douche et essayer de me retrouver.
A suivre.
Nous faisions des rencontres à deux, à trois ou plus, voire beaucoup plus.
Elle avait régulièrement des nouveaux amants qu’elle voyait seule avec mon accord.
Je le savais parfois avant, mais aussi parfois après, ce qui ne me posait pas de problème.
Elle en avait un qui venait de temps en temps, mais avec qui elle ne baisait pas forcément à chaque fois.
Frédéric, tout le monde l’appelait Fred.
Assez mignon, bien proportionné, brun, la peau ambrée et les cheveux court.
Il était un peu plus jeune que nous, nous l’avions rencontré dans une soirée et avions sympathisé assez vite.
Il avait l’accent du Sud-ouest et en jouait beaucoup pour draguer les filles.
On se voyait assez régulièrement pour sortir en boite, au restau ou chez d’autres potes.
Il venait aussi souvent voir ma femme lorsqu’elle était seule, certains après-midi quand elle ne travaillait pas ou le soir quand j’étais en déplacement.
Seule ou avec moi, elle s’habillait toujours très sexy et ce qui devait arriver arriva.
Un soir que je n’étais pas là, ils ont couché ensemble.
Nathalie m’en avait parlé un peu avant car elle sentait qu’il lui faisait de plus en plus d’avance, elle voulait mon aval et savoir si j’étais ok.
J’avais bien sûr dit oui et me demandait comment il se comporterait après avec moi.
J’ai été un peu surpris car il ne s’est même pas senti gêné quand on s’est revu.
Le salaud avait baisé ma femme et se comportait comme si de rien n’était.
Pas un soupçon d’hypocrisie, rien, toujours égale à lui-même.
Nathalie, qui avait apprécié la nuit qu’ils avaient passé ensemble, a voulu continuer cette relation qui a durée pas mal de temps.
« Il me baise bien, il est doux, assez endurant quand il faut, je vais le garder quelques temps » m’avait-elle dit.
Il ne savait pas que j’étais au courant et je prenais un malin plaisir à demander à ma femme de s’exhiber, discrètement bien-sûr, ou de porter des tenues très aguichantes quand j’étais là et lui aussi.
C’était comme une sorte de revanche pour dire, ce soir c’est moi qui l’aurai dans mon lit et pas toi.
Originaire du Sud-Ouest, il nous a proposé un jour d’y aller pendant les fêtes de Bayonne.
C’était en été et l’idée nous plaisait assez.
Là-bas, sur place, il avait deux tontons dont un avait un appartement, assez grand et où il vivait seul, en plein centre du quartier piétons et qui semblait apparemment être le QG de tous ses potes pendant les fêtes.
Ils venaient pour y dormir, prendre une douche, manger avant de repartir faire la fiesta dans les rues.
Nous avons pris un train de nuit tous les trois pour descendre là-bas.
Deuxième classe, des couchettes de qualité médiocre mais ce n’était pas trop chère.
Nous sommes partis le vendredi soir pour arriver le lendemain matin.
Nous n’étions que tous les trois dans la cabine.
Nathalie avait pris une couchette en bas, moi au-dessus et Fred en face d’elle et en bas aussi.
Nous avons mangé nos sandwich, discuté un bon moment puis nous sommes couchés.
Fred et moi en slip et Nathalie avait juste gardé un string.
Difficile de s’endormir avec le bruit du train sur les rails, du moins c’est ce qu’on pense au début car à force il a tendance à nous bercer.
Je savais que ma femme allait exciter Fred et sachant qu’il ne pouvait rien faire je me suis endormi sereinement.
Allongée sans rien sur elle, elle le regardait d’un air vicieux en jouant avec ses tétons ou encore en passant ses doigts sur son sexe ou sur ses lèvres, elle le provoquait.
Après avoir vérifié que je dormais bien, il s’est levé, le slip déformé par son érection et s’est approché d’elle.
Comme debout il se trouvait à ma hauteur, il s’est assis sur la couchette où se trouvait ma femme pour la caresser.
Elle, entre temps, avait déjà pris dans sa main sa queue bien bandée.
Une fois assis, elle s’est tournée vers lui pour l’engloutir et le sucer.
Il ne s’est pas attardé et a éjaculé dans sa bouche en à peine dix minutes avant de retourner se coucher.
La gare n’était pas très loin de l’appartement du tonton, nous y sommes donc allés à pied en suivant Fred qui connaissait bien le chemin.
Arrivée sur place, les deux tontons étaient là avec plusieurs autres personnes, Fred a fait les présentations.
Jean, le logeur, la cinquantaine pas très grand et trapu, son frère, Raymond, de la même corpulence avec environ deux ans de moins.
Nous avons pris un café avec eux avant d’aller prendre une bonne douche pour nous revigorer.
Nous avions adopté la tenue vestimentaire de rigueur, tout blanc avec un foulard rouge, short et tee-shirt pour Fred et moi et pour Nathalie un micro-short en jeans, hyper moulant et taillé en V, laissant largement découvert une partie de ses fesses, avec chemiser bien décolleter noué au nombril.
L’effet a été immédiat quand elle est sortie de la salle de bain habillée ainsi, les deux tontons n’arrivaient pas à détacher leur regard d’elle, les autres hommes présent semblaient aussi apprécier la vision qu’elle offrait.
« Beau brin de fille la petite » dit Jean, puis se reprenant il m’a dit en riant :
« Ne t’inquiète pas je suis trop vieux pour elle »
Tout le monde a ri et nous sommes parti à une dizaine dans les rues bondées pour chanter et boire avec eux.
Nathalie et moi avions bien pris soin de noté l’adresse du QG pour nous y retrouver au cas où l’on se perde, Raymond nous avait même préparé un plan du quartier.
« De toute façon, vous allait vous paumer à un moment ou un autre » avait-il dit.
Nous voilà donc parti à la découverte des rues piétonne de Bayonne, il faisait beau et chaud, c’était déjà la fin de matinée et les rues, comme les terrasses étaient bondées de monde.
Difficile parfois de se frayer un chemin sans se faire alpaguer par un groupe qui voulait que l’on chante avec eux.
L’ambiance était joyeuse et festive, on s’est dit avec Nathalie que l’on allait certainement passer un bon moment ici.
« Merde j’ai oublié mes clopes dans le sac à l’appart » me dit-elle.
Je lui ai répondu :
« Ce n’est pas grave, on va en acheter dans un bureau de tabac »
« Certainement pas, j’en ai une cartouche là-bas, ce n’est pas pour en racheter ici »
Cela faisait à peine dix minutes que nous étions partis et donc pas trop loin de l’appartement.
« Je vais les chercher, je vais bien vous retrouver après » me dit-elle.
« Ok, à tout de suite »
Fred qui avait entendu ça me dit alors :
« Tu sais, si elle nous retrouve, elle aura beaucoup de chance, avec les mouvements de foule on se fait vite embarquer dans une direction que l’on n’a pas choisie »
« On verra bien, de toute façon on pourra toujours se rejoindre à l’appart »
Nous avons donc continué notre circuit, pressé par les autres qui voulaient déjà aller boire un coup chez un de leurs potes plus loin.
La journée risquait d’être alcoolisée.
Ma femme grâce à son plan a réussi à retrouver l’appart, il faut dire que n’ayant pas trop le sens de l’orientation et sans plan, elle se serait perdue.
La porte n’était apparemment jamais fermée à clé, tout le monde pouvait entrer et sortir à sa guise.
« Bein qu’est-ce que tu fais là ma petite » lui dit Jean.
« J’ai oublié mes clopes dans mon sac »
« Les autres t’attendent j’espère »
« Heu, je ne crois pas, je leur ai dit que j’allais les retrouver »
Il est parti à rire en lui disant :
« Bon courage. » « Raymond, viens voir, il y a la petite qui est là, elle croit pouvoir retrouver la bande après »
Raymond a lui aussi éclaté de rire en entendant ça.
« Allez, viens boire une bière avec nous, pendant ce temps on verra bien s’il y en a un du groupe qui revient, il nous dira peut-être vers quel secteur ils sont allés »
Ils se sont dirigé tous les trois vers la cuisine et Jean a sorti trois bières.
Nathalie commençait à regretter de ne pas avoir voulu acheter ses clopes dans un bureau de tabac.
« Qu’est-ce que je vais faire si je ne les retrouve pas »
« Ne t’inquiète pas, c’est juste l’affaire de quelques heures, il y en a bien un qui va nous dire où ils sont »
Ils ont continué à discuter de tout et de rien, mais surtout d’elle, ils l’ont beaucoup complimenté tout en la dévorant des yeux.
Jean dit alors :
« Fred nous a pas mal parlé de toi, mais il ne nous a pas dit que tu étais aussi mignonne »
« Heuuuuu, et il a dit quoi sur moi »
« Tu sais Fred il parle beaucoup et parfois on ne sait pas si c’est du fantasme ou la réalité, en tout cas il nous a dit que tu étais très…. coquine, pour faire soft »
Nathalie s’est sentie rougir, un peu gêné, elle ne savait pas quoi répondre.
Raymond a renchéri en disant à son tour :
« Il a dit que tu avais la peau douce, un beau petit cul et une paire de nichons à damner les saints »
Jean a continué en disant :
« Il nous a aussi vanté tes qualité au lit »
« Oh le salaud » dit-elle.
Pendant tout cet échange, les deux tontons s’étaient rapprochés d’elle, presque à la toucher.
Raymond a doucement attrapé son bras pour le caresser et a dit :
« C’est vrai que tu as la peau douce »
Elle n’a eu aucun mouvement de recul car son geste avait été très amicale, elle ne se sentait pas agressée.
Ils étaient maintenant collés à elle et leurs mains se baladaient très progressivement sur son corps.
Elle ne se reconnaissait pas elle-même, elle les laissait la caresser partout sans rien dire, presque dans un état second, le voyage, la fatigue et la bière lui avait fait tourner la tête.
Jean, face à elle, avait défait le nœud et déboutonné le chemisier pour lui caressait les seins.
Raymond, derrière elle, lui caressait le ventre et avait glissé doucement ses mains vers le short pour enlever le bouton du haut.
Une main à l’intérieur, de l’autre il faisait descendre la fermeture de la braguette pour que sa main puisse passer de sa toison à ses lèvres intimes, libre de tout string, la progression était plus facile.
Les pointes de ses seins étaient érigées et son sexe commençait doucement à s’humidifier.
Jean a senti que c’était certainement le bon moment pour l’embrasser, il a collé sa bouche à celle de ma femme et a enfoncé sa langue à l’intérieur.
Raymond qui avait investi un doigt dans le sexe ma femme, l’embrassait en même temps dans le cou.
Elle s’est reprit en disant :
« Si quelqu’un rentre il va nous voir »
« Alors il viendra se joindre à nous, ça pourrait peut-être te plaire » lui dit Raymond dans le creux de l’oreille.
Soudain, elle est revenue à elle-même, trop tard pour faire marche arrière, alors autant en profiter au maximum.
Ses deux mains se sont dirigées vers chacune des bosses des pantalons des deux tontons en leur disant :
« Ne me tentait pas, je serai capable de le faire »
En même temps qu’elle leur disait ça, elle avait ouvert leurs braguettes pour attraper leurs chibres tout gonflés.
« Allons dans la chambre » dit Jean.
Le chemisier et le short à terre, Nathalie s’est assise sur le lit pendant qu’ils se mettaient nu aussi.
Ils se sont approchés et elle a pris leurs queues dans ses mains pour les faire venir tour à tour dans sa bouche.
« Putain il avait raison le gamin, t’es une experte » C’était Raymond qui commençait à se lâcher.
Pendant une dizaine de minutes, elle les a sucés goulûment.
Jean très excité a ensuite fait allonger ma femme sur le lit, puis s’est installé à genoux entre ses cuisses en disant :
« Putain, je vais te bouffer la chatte pour voir si elle est aussi bonne que le prétend mon neveu »
Joignant le geste à la parole il a enfoncé sa tête entre ses cuisses pour la dévorer.
Raymond s’était mis à genoux lui aussi, mais au-dessus du visage de ma femme, pour se faire bouffer les couilles selon sa demande.
Elle le branler d’une main pendant qu’elle gobait ses bourses.
Très vite elle a joui sous la langue agile de Jean.
« Putain t’es bonne, t’as bon goût salope » disait-il en boucle.
Après la deuxième jouissance de Nathalie, il s’est relevé pour aller chercher des capotes.
« Tourne-toi, je vais te baiser maintenant »
A quatre pattes, elle se faisait enfiler par Jean pendant qu’elle sucer Raymond.
A Chaque fois qu’elle prenait son pied, ils échangeaient les rôles.
Ils l’ont prise dans toutes les positions possible en faisant bien attention de ne pas se laisser aller pour ne pas jouir trop vite.
Ils l’ont baisé ainsi pendant une bonne heure, la faisant crier maintes fois.
« Oh putain t’aime ça salope te faire démonter comme une chienne, vas-y dit le moi oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii putain t’es bonne ouiiiiiiiiiiiiiiii » C’était Jean qui, tenant Nathalie fermement par les hanches, lui donnant des coups de reins bestiales en se vidant dans son ventre.
Raymond en même temps mais avec moins d’éclat, éjaculait dans sa bouche.
Sur le pas de la porte de la chambre, deux silhouettes les regardaient.
« Alors on s’éclate les p’tits vieux » a dit l’un d’entre eux.
Jean a tout de suite rétorqué :
« Putain les mecs c’est une bonne celle-là, elle aime la bite, si vous voulez c’est votre tour et je suis sûr qu’elle n’est pas contre se prendre deux nouvelles queues, n’est-ce pas ma chéri » dit-il en lui claquant les fesses.
Comme une chatte en chaleur elle a répondu :
« Hummmm oui, j’ai envie de me faire baiser toute la journée »
Il n’en fallait pas autant pour encourager les deux nouveaux venu qui, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire étaient déjà à poil et en érection devant la bouche de ma femme.
A genoux face à eux, elle les a sucés avec gourmandise, elle se rappelait vaguement les avoir aperçus ce matin mais ne se rappelais plus de leurs prénoms.
Ils avaient l’air d’apprécier sa bouche car ils grognaient de plaisir.
Un des deux s’est ensuite placé derrière elle et après avoir enfilé une capote l’a pénétré à son tour.
Jean avait tiré la porte pour les laisser la baiser tranquillement.
Il devait être environ quinze ou seize heure quand je suis revenu à l’appart, après avoir perdu la plupart de mes camarades.
Nathalie s’était enfilé tous les mecs, un par un ou plusieurs à la fois, qui entraient dans l’appartement.
J’entendais des gémissement dans une des chambre et j’ai vu Jean sortir de la cuisine, je lui ai demandé s’il n’avait pas vu Nathalie car je l’avais perdu.
« Si, elle est passée chercher ses clopes aux environs de midi, on a bu un coup et elle est repartie »
Voyant que je tendais l’oreille vers la chambre, il m’a dit presque comme si c’était un secret :
« On s’est dégotté une petite tout à l’heure, crois-moi elle aime la bite la salope, elle se fait démonter par tous ceux qui rentre ici, ça te dit de la tirer ? »
« Heu non non, merci mais je vais retourner à la recherche de ma femme »
Il a dû être soulagé de ma réponse, il y était allé au bluff certainement pour que je n’ai pas le soupçon que ça puisse être Nathalie dans la chambre.
« Reste dans le quartier comme ça si je la vois revenir je lui dirais que tu es dans le coin » m’a-t-il dit.
« OK amusez-vous bien » lui ai-je dit en montrant la chambre de la tête.
Depuis que les deux tontons avaient commençaient à la baiser, une bonne dizaine, au moins, d’autres mecs étaient passés sur ma femme depuis plusieurs heures.
Elle avait sucé ou s’était fait prendre dans toutes les positions possible par la plupart des mecs qui sont rentrés dans la chambre, elle en a quand même dégagé deux ou trois qui bandait mou à cause de leur degré d’alcool.
Certains ont éjaculé à peine ils l’avaient pénétré, d’autres au contraire semblaient ne vouloir ou pouvoir jamais jouir.
Jean et Raymond avaient repris de la vigueur et voulez encore profiter d’elle pendant que c’était possible.
Ils sont alors retournés dans la chambre, laissant le temps au dernier de se finir avant de reprendre sa place.
Raymond s’est allongé sur le dos pour que Nathalie vienne s’empaler sur lui et Jean a investi sa bouche tout en lui tripotant les fesses.
Ses doigts commençaient à titiller l’anus de ma femme, qu’il venait de lubrifier avec un gel qu’il avait pris avec lui.
Alors que Raymond allait et venait en elle, Jean s’est placé derrière elle pour se caler entre ses fesses et présenter sa bite devant son cul.
Il s’est doucement enfoncé dans son fondement, prenant son temps pour ne pas lui faire mal.
Une fois bien au fond de son cul, il a commencé lui aussi des vas et vient, les temps que les deux tontons se synchronisent et le festival pouvait démarrer.
Ma femme se sentait complètement rempli par ces deux gros braquemart qui la défonçaient.
Elle s’est rapidement trouvée à crier son plaisir tellement elle appréciait.
Ils ne devaient pas en être à leur coup d’essai car ils accordaient très bien leur rythme en sachant rapidement donner du plaisir à la femme qu’ils entreprenaient.
Trop occupée à multiplier les orgasmes, elle n’a pas vu arriver Fred, la bite à la main, qui lui a enfourné direct dans la bouche son mandrin bien rigide.
Les trois trou bien rempli, elle s’est abandonnée à toutes ces queues qui lui donnaient du plaisir.
Fred aurait bien voulu prendre la place de Jean, mais ce dernier était trop bien dans le cul de ma femme.
Ils ont presque éjaculé tous les trois en même temps dans des grognements sourds et bestiales tandis que Nathalie avalait la semence que Fred venait de lui envoyer dans la bouche.
Rassasiée, elle s’est levée pour aller prendre une douche et essayer de me retrouver.
A suivre.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle femme !!! Une vraie chaudiére....
Donc il n’y a que le train qui ne lui soit pas passer dessus avec le risque d’avoir été prostituee par 2 vieux cons.
Bravo.
Bravo.