Les travaux de Jean et Michel -1

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Les travaux de Jean et Michel -1
Suite à un dégât des eaux, on reçoit deux hommes pour la réparation des dommages.
Ma femme et moi sommes rassurés, tout est pris en charge par l'assurance.
Comme je suis entre deux missions intérimaires, c'est moi qui reste pour être présent pendant les travaux.
Ma belle va bosser pendant qu'ils s'installent, et me demande d'être serviable avec eux.
Les deux hommes sont très virils, et doivent avoir plus de 45 ans.
Je devais en avoir 26 ou 27, je ne sais plus.
L'un d'eux n'est pas très beau, l'autre est plus âgé, on dirait, avec un physique de vieux beau.
Il y a toujours ce court instant où, je m'amuse de penser qu'en lieu de rencontre, j'aurais accepté leurs avances.
Mais là, on est loin de tout ça, je n'y pense plus du tout
.
Je les laisse seuls à leur tache, le temps de me refaire un café.
Puis, je réalise que je pourrai leur en offrir un.
En revenant vers la pièce où ils travaillent, j'entend clairement qu'ils parlent de moi, à voix très basse.
"Tu penses que c'est lui ?".
"Il lui ressemble en tout cas !".
"Branche le ! Moi, je le baiserai bien, si c'est lui !".
"Chhhht ! Moins fort ! Fais le toi ! T'as l'habitude, c'est toi l'homo !".
"T'es gonflé ! C'est quand même toi qui l'a baisé !".
"Chhhht ! Moins fort ! Oui mais moi, je fais ça discrètement !".
Je recule, intrigué, tout ça me perturbe.
Puis, je prend une grande respiration, et je reviens plus franchement.
"Hummm ! Excusez moi, je vous ai pas proposé de café, si ça vous dit !".
"Euh... Ouais, ce serait gentil ! Merci jeune homme !".
C'est un moment de longs échanges de regards qui changent l'ambiance.
La situation a changé, maintenant je sais que l'un d'eux a envie de me baiser, et l'autre l'a probablement déjà fait.
Ce qui crée aussi une tension sexuelle chez moi.
Ca rend impossible de contrôler les coups d'œil mal placés de ma part.
L'un d'eux m'est familier, je me demande, si je n'aurai pas baisé avec lui, plutôt qu'avec l'autre.
Mais on est jamais sûr dans ces cas là, mes rencontres sont souvent furtives, et se passent dans des lieux sombres, sauf en extérieur.
Putain, j'arrive pas à m'empêcher de reluquer furtivement leurs braguettes.
Il faut que je parte de là.
"Euh... Bon, je vous prépare ça !".
"Merci, jeune homme !".
Dès que je passe le mur qui me cache de leur vue, je me met à écouter.
"Alors ? C'est lui ?".
"Je crois, mais je suis pas sur ! Il faisait noir dans le Sex-Shop !".
"Putain, je commence à bander ! Il me semble qu'il m'a maté les couilles ! Je suis sûr que c'est lui !".
"Moi, ça va pas tarder ! Je repense à son cul, si c'est lui, c'était un bon coup!".
Tout ça me chamboule, j'ai des nœuds dans le bas ventre.
Je reconnais cette sensation, c'est celle que je vis, quand j'ai envie de sexe anal et de soumission aux hommes.
Des idées perverses me gagnent l'esprit.
Je me vois entrain de leur sucer la bite. J'imagine une première pénétration anale, bien profonde.
Lequel des deux pourrait le faire en premier ?
Je reviens avec nos trois cafés, que je pose sur la petite table du salon.
Ils me rejoignent, et j'en profite pour mater plus clairement leurs bosses.
C'est vrai qu'ils bandent !
Ces deux là terminent de me mettre en feu.
Le désir m'a gagné, c'est fait, je ne sais pas, si j'attends leurs avances, où si je fais le premier pas.
On parle de la réparation, puis l'un d'eux me demande:
"On s'est pas déjà vu, quelque part ?".
"Peut-être !... Et... Euh...Je pense savoir où !".
"Ah bon ?".
"Oui, mais il faisait noir... Et... Je te tournai le dos ! ...C'était au Sex-Shop de la Porte d'Italie ! Et ça m'a bien plu !".
"Putain ! C'était toi !... Donc, ça t'a laissé un bon souvenir. Pour moi aussi, c'était bien !".".
On se sourit, mais un silence règne, comment enchainer après ça ?
Celui que je ne connais pas sexuellement, se masse la verge.
Depuis le début, c'est le plus excité des deux.
Je me dresse, pour ramener les tasses dans la cuisine.
ils m'imitent et m'entourent sans hésiter, me retenant dans ma démarche.
L'un d'eux repose mon plateau sur la table.
L'autre me palpe les fesses.
"Putain ! Michel ! On va s'éclater ! C'est un bon coup ! Tu verras !".
"J'en doute pas ! Alors comme ça, t'aimes la bite ? P'tite salope !".
"Mmmmmm ! Oui, c'est plus fort que moi, je peux pas lutter !".
"Si ta femme savait ce que tu te prends dans le cul, quand tu vas au Sex-Shop ? Elle te verrait autrement ! Mais tant mieux pour nous !".
Je ne sais plus lequel m'a ôté la ceinture, ni lequel m'a baissé mes fringues.
Je me souviens que j'ai palpé leurs verges avec envie, puis que je les ai sorties pour les sucer, l'une après l'autre, et ensuite ensemble, sous leurs regards vicieux.
Je gloussais de plaisir comme une salope en manque, en me régalant de leurs gros glands.
"Ouais comme ça ! Suces nous bien la queue, salope ! On va bien s'occuper de ton cul, après ! Mon pote m'a dit que t'avais une bonne chatte ! On va vérifier ça !".
"Mmmmmm ... Ok, mais faudra faire vite, vous êtes pas venu pour ça, n'oubliez pas ! Mmmmm... Slllrrrpp !".
"Oui, t'inquiètes pas, on va te le réparer ton plafond, mais on est trop excités par ton p'tit cul, pour l'instant, il faut nous soulager en premier ! D'accord ?".
"Mmmmmm... Moouiii... J'ai envie moi aussi ! Mmmmm... Sllrppp !...".
"Super ! Orhhh ! Putain ... T'es doué avec ta bouche ! Mmmmm... Ourhhhh... Jean, il me pompe bien, c'est vrai qu'il est bon, le jeune ! Quelle salope !".
Jean, donc ! Se dégage et entreprend de se dénuder, puis m'effeuille, en essayant de ne pas me gêner, dans ma fellation gourmande, sur son pote Michel.
"Putain ! T'es bandant ! Ca change de te voir en plein jour ! Ca confirme que t'as un beau cul ! Hummm, je vais encore plus me régaler !".
Il me tourne pour que je m'occupe de sa verge.
Michel se fout à poil rapidement, puis vient me titiller l'anus avec ses doigts.
"Orhhh ! ...Mouille-moi s'il te plait ! Je préfère ! Mmmmm. Mmmmm... Sllrp!...".
Il me déplace pour me faire monter sur la table de salon, à quatre pattes.
Il écarte mes lobes fessiers, et me crache 3 fois dessus.
Je trouve ça dégradant, mais excitant !
De son coté Jean, coulisse lentement dans ma gorge, en tentant de m'accompagner dans ma pipe baveuse.
Michel saisit sa grosse verge d'une main, et la conduit contre mon œillet anal, tout en s'accrochant à ma hanche.
Je sens son gland qui frotte contre mon anus de bas en haut, et me masturbe en le stimulant.
Il sait y faire ce gros vicieux, il vient de m'enfoncer son gros gland.
Je gémis sur la bite de son pote Jean.
"Hummmm, t'as raison Jean ! Elle est bonne sa chatte ! Il va m'encaisser sans problème ! Allez suces le bien, mon pote ! Moi, j'vais m'occuper de ta chatte ! Tu vas prendre cher, ma p'tite salope !".
Chaque moment de pénétration plus profonde, me fait gémir de plaisir sur l'autre verge.
Dès qu'il réussit à toucher la base de mon anus avec celle de sa bite, il entre dans une possession maitrisée de ma chatte.
Je me dégage pour râler mon plaisir naissant:
"Arhhhhhhhhh ! Ouiiii ! Comme ça ! Tu m'baises bien ! Encore...".
J'aime comme il m'encule, je sens qu'il en apprécie autant le plaisir physique que visuel, et il le dit:
"Putain, Jean ! J'adore son p'tit cul ! Ca glisse bien, c'est chaud ! Et en plus, il est trop beau, le jeune ! Ca me change de mon mec ! Crois-moi !".
Donc, il y en a au moins un qui est homo ! Ca explique sa dextérité, et son contrôle, quand il m'encule.
Il me fait râler à chaque enfoncement profond, je prend une plaisir puissant, qui m'emmène à vivre mon premier orgasme anal.
"Hummmm ! Il couine bien ! Ca m'plait ça ! Allez, continues ! Suces mon pote, salope !".
"Muuummmmmmmmhhhhhhh ! Muuummmmmmmmhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! C'est bon ! Encore... Tu m'encules bien... Mmmmmm...".
"Hummmm... J'adore te faire couiner ! Allez, jouis encore ! J'aime t'entendre ! Putain, Jean ! T'as raison, c'est une bonne petite pute, celui-là !".
"Ouais, tu comprends pourquoi, j'adore le baiser maintenant ! Dommage qu'il soit pas souvent au Sex-shop ! Pourquoi, tu viens pas plus, jeune ?".
"Mmmmm... Je suis pas homo, j'en ai pas toujours envie ! Arghhhhhhhhh ! c'est bon ! Encore, Michel ! Je vais jouir du cul ! Arghhhhhhhhhhh...".
"Ben, on dirait pas ! T'as une bonne petite chatte, je suis sûr qu'on peut y mettre deux bites !".
"Si on essayait ?". Propose Jean.
Ma femme et moi sommes rassurés, tout est pris en charge par l'assurance.
Comme je suis entre deux missions intérimaires, c'est moi qui reste pour être présent pendant les travaux.
Ma belle va bosser pendant qu'ils s'installent, et me demande d'être serviable avec eux.
Les deux hommes sont très virils, et doivent avoir plus de 45 ans.
Je devais en avoir 26 ou 27, je ne sais plus.
L'un d'eux n'est pas très beau, l'autre est plus âgé, on dirait, avec un physique de vieux beau.
Il y a toujours ce court instant où, je m'amuse de penser qu'en lieu de rencontre, j'aurais accepté leurs avances.
Mais là, on est loin de tout ça, je n'y pense plus du tout
.
Je les laisse seuls à leur tache, le temps de me refaire un café.
Puis, je réalise que je pourrai leur en offrir un.
En revenant vers la pièce où ils travaillent, j'entend clairement qu'ils parlent de moi, à voix très basse.
"Tu penses que c'est lui ?".
"Il lui ressemble en tout cas !".
"Branche le ! Moi, je le baiserai bien, si c'est lui !".
"Chhhht ! Moins fort ! Fais le toi ! T'as l'habitude, c'est toi l'homo !".
"T'es gonflé ! C'est quand même toi qui l'a baisé !".
"Chhhht ! Moins fort ! Oui mais moi, je fais ça discrètement !".
Je recule, intrigué, tout ça me perturbe.
Puis, je prend une grande respiration, et je reviens plus franchement.
"Hummm ! Excusez moi, je vous ai pas proposé de café, si ça vous dit !".
"Euh... Ouais, ce serait gentil ! Merci jeune homme !".
C'est un moment de longs échanges de regards qui changent l'ambiance.
La situation a changé, maintenant je sais que l'un d'eux a envie de me baiser, et l'autre l'a probablement déjà fait.
Ce qui crée aussi une tension sexuelle chez moi.
Ca rend impossible de contrôler les coups d'œil mal placés de ma part.
L'un d'eux m'est familier, je me demande, si je n'aurai pas baisé avec lui, plutôt qu'avec l'autre.
Mais on est jamais sûr dans ces cas là, mes rencontres sont souvent furtives, et se passent dans des lieux sombres, sauf en extérieur.
Putain, j'arrive pas à m'empêcher de reluquer furtivement leurs braguettes.
Il faut que je parte de là.
"Euh... Bon, je vous prépare ça !".
"Merci, jeune homme !".
Dès que je passe le mur qui me cache de leur vue, je me met à écouter.
"Alors ? C'est lui ?".
"Je crois, mais je suis pas sur ! Il faisait noir dans le Sex-Shop !".
"Putain, je commence à bander ! Il me semble qu'il m'a maté les couilles ! Je suis sûr que c'est lui !".
"Moi, ça va pas tarder ! Je repense à son cul, si c'est lui, c'était un bon coup!".
Tout ça me chamboule, j'ai des nœuds dans le bas ventre.
Je reconnais cette sensation, c'est celle que je vis, quand j'ai envie de sexe anal et de soumission aux hommes.
Des idées perverses me gagnent l'esprit.
Je me vois entrain de leur sucer la bite. J'imagine une première pénétration anale, bien profonde.
Lequel des deux pourrait le faire en premier ?
Je reviens avec nos trois cafés, que je pose sur la petite table du salon.
Ils me rejoignent, et j'en profite pour mater plus clairement leurs bosses.
C'est vrai qu'ils bandent !
Ces deux là terminent de me mettre en feu.
Le désir m'a gagné, c'est fait, je ne sais pas, si j'attends leurs avances, où si je fais le premier pas.
On parle de la réparation, puis l'un d'eux me demande:
"On s'est pas déjà vu, quelque part ?".
"Peut-être !... Et... Euh...Je pense savoir où !".
"Ah bon ?".
"Oui, mais il faisait noir... Et... Je te tournai le dos ! ...C'était au Sex-Shop de la Porte d'Italie ! Et ça m'a bien plu !".
"Putain ! C'était toi !... Donc, ça t'a laissé un bon souvenir. Pour moi aussi, c'était bien !".".
On se sourit, mais un silence règne, comment enchainer après ça ?
Celui que je ne connais pas sexuellement, se masse la verge.
Depuis le début, c'est le plus excité des deux.
Je me dresse, pour ramener les tasses dans la cuisine.
ils m'imitent et m'entourent sans hésiter, me retenant dans ma démarche.
L'un d'eux repose mon plateau sur la table.
L'autre me palpe les fesses.
"Putain ! Michel ! On va s'éclater ! C'est un bon coup ! Tu verras !".
"J'en doute pas ! Alors comme ça, t'aimes la bite ? P'tite salope !".
"Mmmmmm ! Oui, c'est plus fort que moi, je peux pas lutter !".
"Si ta femme savait ce que tu te prends dans le cul, quand tu vas au Sex-Shop ? Elle te verrait autrement ! Mais tant mieux pour nous !".
Je ne sais plus lequel m'a ôté la ceinture, ni lequel m'a baissé mes fringues.
Je me souviens que j'ai palpé leurs verges avec envie, puis que je les ai sorties pour les sucer, l'une après l'autre, et ensuite ensemble, sous leurs regards vicieux.
Je gloussais de plaisir comme une salope en manque, en me régalant de leurs gros glands.
"Ouais comme ça ! Suces nous bien la queue, salope ! On va bien s'occuper de ton cul, après ! Mon pote m'a dit que t'avais une bonne chatte ! On va vérifier ça !".
"Mmmmmm ... Ok, mais faudra faire vite, vous êtes pas venu pour ça, n'oubliez pas ! Mmmmm... Slllrrrpp !".
"Oui, t'inquiètes pas, on va te le réparer ton plafond, mais on est trop excités par ton p'tit cul, pour l'instant, il faut nous soulager en premier ! D'accord ?".
"Mmmmmm... Moouiii... J'ai envie moi aussi ! Mmmmm... Sllrppp !...".
"Super ! Orhhh ! Putain ... T'es doué avec ta bouche ! Mmmmm... Ourhhhh... Jean, il me pompe bien, c'est vrai qu'il est bon, le jeune ! Quelle salope !".
Jean, donc ! Se dégage et entreprend de se dénuder, puis m'effeuille, en essayant de ne pas me gêner, dans ma fellation gourmande, sur son pote Michel.
"Putain ! T'es bandant ! Ca change de te voir en plein jour ! Ca confirme que t'as un beau cul ! Hummm, je vais encore plus me régaler !".
Il me tourne pour que je m'occupe de sa verge.
Michel se fout à poil rapidement, puis vient me titiller l'anus avec ses doigts.
"Orhhh ! ...Mouille-moi s'il te plait ! Je préfère ! Mmmmm. Mmmmm... Sllrp!...".
Il me déplace pour me faire monter sur la table de salon, à quatre pattes.
Il écarte mes lobes fessiers, et me crache 3 fois dessus.
Je trouve ça dégradant, mais excitant !
De son coté Jean, coulisse lentement dans ma gorge, en tentant de m'accompagner dans ma pipe baveuse.
Michel saisit sa grosse verge d'une main, et la conduit contre mon œillet anal, tout en s'accrochant à ma hanche.
Je sens son gland qui frotte contre mon anus de bas en haut, et me masturbe en le stimulant.
Il sait y faire ce gros vicieux, il vient de m'enfoncer son gros gland.
Je gémis sur la bite de son pote Jean.
"Hummmm, t'as raison Jean ! Elle est bonne sa chatte ! Il va m'encaisser sans problème ! Allez suces le bien, mon pote ! Moi, j'vais m'occuper de ta chatte ! Tu vas prendre cher, ma p'tite salope !".
Chaque moment de pénétration plus profonde, me fait gémir de plaisir sur l'autre verge.
Dès qu'il réussit à toucher la base de mon anus avec celle de sa bite, il entre dans une possession maitrisée de ma chatte.
Je me dégage pour râler mon plaisir naissant:
"Arhhhhhhhhh ! Ouiiii ! Comme ça ! Tu m'baises bien ! Encore...".
J'aime comme il m'encule, je sens qu'il en apprécie autant le plaisir physique que visuel, et il le dit:
"Putain, Jean ! J'adore son p'tit cul ! Ca glisse bien, c'est chaud ! Et en plus, il est trop beau, le jeune ! Ca me change de mon mec ! Crois-moi !".
Donc, il y en a au moins un qui est homo ! Ca explique sa dextérité, et son contrôle, quand il m'encule.
Il me fait râler à chaque enfoncement profond, je prend une plaisir puissant, qui m'emmène à vivre mon premier orgasme anal.
"Hummmm ! Il couine bien ! Ca m'plait ça ! Allez, continues ! Suces mon pote, salope !".
"Muuummmmmmmmhhhhhhh ! Muuummmmmmmmhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! C'est bon ! Encore... Tu m'encules bien... Mmmmmm...".
"Hummmm... J'adore te faire couiner ! Allez, jouis encore ! J'aime t'entendre ! Putain, Jean ! T'as raison, c'est une bonne petite pute, celui-là !".
"Ouais, tu comprends pourquoi, j'adore le baiser maintenant ! Dommage qu'il soit pas souvent au Sex-shop ! Pourquoi, tu viens pas plus, jeune ?".
"Mmmmm... Je suis pas homo, j'en ai pas toujours envie ! Arghhhhhhhhh ! c'est bon ! Encore, Michel ! Je vais jouir du cul ! Arghhhhhhhhhhh...".
"Ben, on dirait pas ! T'as une bonne petite chatte, je suis sûr qu'on peut y mettre deux bites !".
"Si on essayait ?". Propose Jean.
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