Les travaux de Jean et Michel -2 - histoire érotique

Michel s'assoit sur le canapé, et me tends les bras, pour que je m'empale sur lui.
Il m'écarte les fesses, pour les offrir à son ami.
Jean me crache sur l'orifice anal, déjà comblé par Michel.
Il s'enduit la verge de salive, puis colle son gros membre à celui de Michel.

"Regarde comme elle se laisse faire, cette salope ! Putain! T'as raison ! Ca va rentrer ! T'en as envie, toi aussi, pas vrai ?".

Sa verge pousse fortement, puis glisse d'un coup en me faisant presque crier.

"Arghhhhhhhhhhh ! Ouiiiiii ! Ourhhhhhhfffffffffff ! Putain, ça fait longtemps qu'on m'a pas fait ça !".
"Orhhh ! Putain de chienne ! Pourquoi, ça ne m'étonnes pas ? Putain, je m'éclate encore plus aujourd'hui ! T'es génial, jeune !".

Jean s'accroche à mes épaules pour coulisser en moi, en masturbant la bite de Michel au passage.

Michel qui m'attrape le visage pour m'embrasser avec perversion, tout en s'appuyant sur mes cuisses pour m'enfoncer sa grosse bite aussi.
Je gémis fortement dans sa gorge pleine de salive.

Cela doit faire déjà vingt minutes que je me fais baiser, je pense furtivement au temps qui passe, et la vraie raison de leur venue.
Je suis pris entre le besoin de plaisir, et la dure réalité, ils doivent aussi bosser !

Michel donne des premiers signes de faiblesse.

"Orhhhh ! Jean arrêtes ! Laisse-moi sortir, sinon, je lui crache dans la chatte !".

On change de position, Jean m'encule comme une chienne sur la table de salon.
Michel se touche à peine, désireux de faire retomber sa montée de sperme.

Il vient près de mon cul pour me tenir les hanches, pendant que son ami Jean entreprend de se laisser aller pour jouir.
Les deux hommes me donnent des gifles sur les fesses, en me faisant des compliments salaces, je suis une bonne chienne, salope, pute, etc... Bref, d'après Michel: "parfait pour bien se vider les couilles".

Une tension dans ma verge, me fait me redresser contre le torse de Jean.
je leur montre ainsi que j'éjacule en me faisant enculer.
C'est ce qui fait craquer Jean.

"Orghhhhh ! Putain ! Ca y est, Michel ! Il va avoir mon jus ! Je vais jouir ! Qu'est-ce que je fais ?".
"Tu peux tout lui mettre dans la chatte ! Moi, ça me gênes pas ! Au contraire !'.
"Arhhhhhhhhhgghhhhhhhhh ! Putain, c'est boooonnnnnnnnnnn !...".

Jean m'assène ses derniers assauts profonds, je joui en ressentant son liquide épais qui se déverse en moi.
Ses enfoncements ralentissent, il sort sa grosse verge, et se masturbe pour me polluer l'orifice anal, déjà poisseux et béant à souhait.
Je gémis de bonheur en me laissant faire, j'ai connu un moment très intense et vicieux, tout ce que j'aime avec les hommes.
Michel admire son pote, qui m'humilie davantage en me couvrant encore la chatte de foutre.

"Ouais, comme ça, n'en perds pas une goutte ! Ca va me servir pour mieux la défoncer cette chienne !".
"Orhhhh ! Putain, c'était encore mieux qu'au Sex-Shop ! On a pu prendre notre temps, c'était meilleur !".

"Bon, à moi maintenant, je vais encore le défoncer ! Je veux l'entendre gueuler comme une truie !".

Il me masturbe l'orifice avec son gland, ce qui me fait rejeter le jus de Jean.

"Hummmm ! Il t'a bien rempli, mon copain ! C'est bien ! Tu lui a bien vidé les couilles ! A moi, maintenant !".

Il me pivote sur le dos, et m'attrape les chevilles, pour me posséder comme une femelle, comme un forcené.
Je pousse des râles puissants à chaque enfoncement violent.
En râlant mon plaisir, je peux voir sa grosse bite qui se couvre davantage du sperme de Jean, à chaque aller retour.
Je suis saisi d'une montée d'orgasme cérébral presque instantanée, qui s'ajoute au plaisir anal.

"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiii, Michel ça m'excite trop ! Arghhhhhhhhhhh ! C'est trop bon ! Arggggggggggg ! Putain, vous m'avez bien enculé, tous les deux ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".

Michel s'excite tout seul, il adore chaque effet de sa défonce anale.
Comme les bruits poisseux de ma chatte qui rejette du foutre et mon jus d'anus.
Ma béance extrême qui lui permet de sortir et revenir, sans avoir besoin de viser mon trou élargi.
Ma petite gueule de jeune homme, qui se crispe de plaisir anal, aussi.

Il s'enfonce entre mes cuisses, pour me saisir par l'arrière du cou, et se déchaine encore en me serrant contre lui.

"Putain, tu m'excites trop ! T'es une vraie chienne ! J'adore ça !".

Moi aussi, j'adore ça. Son excitation flagrante, et son défoulement dans ma chatte me rendent dingue, je vis un grand moment, c'est le plaisir suprême pour moi.

Il me couvre la bouche, je prends ses coups de bites profonds en jouissant dans sa gorge.
Je sais qu'il va craquer bientôt, et j'en ai tellement envie.

Il se relève d'un coup.

"Orghhh ! Putain ! Ouhhhhhhhhhhh ! Viens là, salope !".

Il m'attire le visage, en remontant sa bite vers mes lèvres.
Son gros gland me comble rapidement la gorge.
Aussitôt, son jus chaud et visqueux me comble la gorge.
Mes effluves anales sur sa grosse bite, et le sperme de Jean me polluent le bord des lèvres.
Cela rend mon absorption encore plus baveuse, c'est très bon.

Il râle en me regardant l'avaler.
Je prend toutes ses éjections, en devinant ses spasmes dans son canal urinaire sous ma langue.
Un vrai délice !

Ensuite, plus tranquillement, il fait glisser ses doigts sur sa longue verge pour m'obliger à tout boire.

"Orghhh ! C'est bonnn ! T'aimes bien le foutre aussi, à ce que je vois !".
"Glllllrp ! Mmmmm... Gllllrpp ! Oui, j'adore ça ! Mmmmm... Glllllrpp !...".

Ensuite, il descend entre mes cuisses, et me replonge sa grosse verge dans l'anus.

"Hummm, ça te fais rien, si j'en profite encore un peu ? J'aime bien jouer avec une chatte, après une bonne baise !".
"Orhhhh ! Non ! Tu peux ! Orghhhhh ! C'est bon ! J'aime tellement avoir une queue dans le cul ! Hummmmm !".

Jean reviens près de nous, il s'est lavé la bite dans mon lavabo, et commence à se rhabiller.

"Bon ! Michel, il faut s'y remettre, on a du boulot !".
"Ouais ! T'as raison ! Merci jeune homme ! C'était super !".

Il va aussi se laver la verge, avant de se revêtir également.
Il me sourit, alors que je me passe près de lui, nu, couvert de sperme sur la face, et l'entre fesses.

Je prend une longue douche, c'est nécessaire.
Ma femme n'est pas encore au courant de mes penchants homosexuels.
Les deux hommes ont presque fini, quand arrive Midi, et ma femme également.

"On revient cet après-midi ! On finira ! C'est sûr ! Ca ne vous dérange pas ?".
"Pas de souci, de toute façon, mon mari sera là ! Pas vrai, chéri ? Tu leur fera un café, j'espère ! N'hésitez pas à lui demander, si vous avez envie de quoi que ce soit !".
"On y manquera pas ! Merci Madame !".

Elle est allée bosser avant 14 h.
J'ai réussi à lui cacher les effets des sodomies qu'ils m'ont fait vivre, précédemment.

Ils sont de retour 15 minutes plus tard, vers 14h15, et se remettent au travail.
Ils refusent ma proposition de café, en me disant:

"Plus tard ! Quand on aura fini !".

Je m'occupe en attendant qu'ils terminent, j'ai encore des effets de leurs saillies anales.
Je me trouve pervers, mais je sais que je ne changerai jamais, j'aime trop ça.
Près d'une heure, après, j'entends:

"Jeune homme ? C'est bon, on a fini !".

Je prépare les cafés, puis les rejoint avec mon plateau.
Ils m'incitent à m'assoir entre eux, pendant notre absorption.
Enfin, Michel me demande:

"Tu t'es bien remis de ce matin ? Ca va, ta chatte ?".
"Euh... Oui, j'ai encore des sensations, mais je ne regrette rien ! C'était bon !".
"Et... Tu te sens de recommencer ?".

Je jette un regard sur sa verge, suite au mouvement de sa main, qui la malaxe au travers de son jeans.
Elle a l'air de gonfler progressivement.

"Euh... Pourquoi pas !".

Il ouvre sa braguette, dégage complètement sa grosse bite, et m'enfonce la bouche sur elle, en m'attrapant par la nuque.

"Hummmm ! Voilà ! Fais là bien durcir, encore ! On va te remettre ça ! Ca va être aussi bon que ce matin !".

Pendant que je me régale de nouveau à le sucer, je sens que Jean défait mes vêtements.
Michel me pivote sur lui, il m'attend déjà avec la verge entre les doigts.
Je glisse au sol, à genoux, afin de passer d'une bite à l'autre.
Et nous voila repartis dans une baise à trois.

Après une longue séance de double fellation, ils me déplacent pour me prendre encore, debout contre le dos du canapé.
J'ai poussé un énorme cri de plaisir, quand Michel m'a enfoncé sa grosse bite en premier.

"C'est encore sensible, on dirait !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii !".

C'était le début d'un petit jeu pervers de défonce anale.
Ils se passaient mon orifice, comme un masturbateur pour hommes.
J'ai quelques fuites de vessie, ça ne les arrête aucunement.

Ce fut sur la petite table ensuite, tour à tour.
Puis en double anale également, en testant toutes les positions possibles.

C'est Michel qui éjacule en premier dans ma chatte, alors que je suis empalé sur lui, en suçant son complice.
Qui en profite pour nous rejoindre, très excité, on entremêle nos râles de plaisir, tous les trois.
Je leur déclare en jouissant, que j'adore avaler du sperme, pendant qu'un autre se déverse dans ma chatte.

Avant de me quitter, Michel me prendra la bouche pour un baiser pervers, en m'agrippant par le cul.

Je les ai remercié pour tout, le travail, et le plaisir qu'ils m'ont procuré.
En fermant derrière eux, je me suis dis!

"Moi qui commençait à penser, devoir retourner au Sex-Shop ! Avec ce qu'ils m'ont mis, j'suis rassasié pour au moins deux semaines ! Ca tombe bien !".

J'ai tout nettoyé, surtout le sperme et mes écoulements de prostate, puis j'ai repris une douche.
Ma femme était ravie du résultat des travaux.

"Tu t'es bien occupé d'eux j'espère ? Ils le méritent, ils ont bien bossé !".
"Oui ! T'inquiètes pas pour ça !".

Si elle savait comment je les avait remercié ! Pas besoin de pourboire !

Après ça, la vie reprendra son cours, je reverrai Jean au Sex-Shop comme auparavant.
Après avoir éjaculé, il me dira:

"Putain, c'était bon ! Mais j'ai adoré te baiser chez toi, avec mon pote ! Il faut qu'on le refasse !".

Du coup, on entrera dans une relation plus assidue, avec des conséquences étranges, mais j'en dis trop !

Quand à Michel, il me donnera son numéro de tel, je l'appellerai dans mes moments de liberté.
Il viendra avec Jean par deux fois.

Mais mon autre souvenir marquant, c'est ce jour, où Michel m'a invité chez lui, quand son compagnon s'est absenté quelques jours.
Il avait envie d'une partie fine avec 9 de ses potes, et n'a pensé qu'à moi pour ça !
Jean était de la fête, je me suis bien amusé ! J'étais la seule salope !
Puis le sida est arrivé, rendant tout ça moins drôle !