Lina , retrouve les plaisirs du sexe 2 - histoire érotique

Une fois sur place, Joelle est surprise de voir sa belle-mère dans ce lieu de rencontre. Erwan ne, lui, n'en avait pas parlé. Les deux femmes se regardent longuement, en rougissant de honte. Joelle sait pour quelle raison elle est là, tout comme sa belle-mère d'ailleurs. Elles ne peuvent plus reculer.

Christelle les reçoit en souriant, elle leur offre un verre, et papote avec un long moment pour bien connaitre leur désir. Joelle devient rouge comme une pivoine, lorsque son mari dit a Christelle, qu'elle est là pour faire l'amour à plusieurs. Et que sur sa demande, sa maman veut bien avec sa belle-fille échanger une pratique lesbienne. Joelle sursaute, elle regarde sa belle-mère intensément, et dit en béguant :

-Mais, mais c'est insensé de me demander de faire l'amour avec ma belle-mère, je suis venue pour toute autre chose, bien que cela me coûte !


Erwan répond :

-Ma chérie, il faut gouter à l'amour par tous les bouts, profite de cette occasion pour jouir des plaisirs du sexe !

Joelle après avoir parlé un bon moment avec Christelle, malgré sa honte, elle finit par accepter.

Enfin, les trois passent à la salle de bain. Ils font leurs ablutions et se retrouvent dans une pièce. Ou déjà deux hommes nus, les attentent en compagnie de Christelle. La maitresse de maison fait les présentations. Je vous présente Charles, qui est un homme très puissant. Pour les dilations extrêmes, c'est l'homme qu'ils vous faut mesdames. Tous les regardent se pose sur l'homme. Charles est une force de la nature, de la nature, membré fortement, sa verge même au repos et impressionnante. On entend des déglutitions bruyantes et quelques commentaires, sur les attributs de l'inconnu.


Christelle en souriant présente aussi l'autre homme, Il s'agit de Marc le fils de Charles, le bougre sait de qui tenir, sa verge de bon diamètre laisse pantoise les deux femmes, elles ne savent plus où donner du regard. Christelle dit :

je vous ai choisis ses deux hommes, car ils ont fait leurs preuves chez-moi, leur résistance et à toutes épreuves, vous ne serez pas déçues, j'ajoute aussi, qu'ils sont bi et cela plait beaucoup aux messieurs !


Tous se regardent, les formes des femmes sont scrutées minutieusement. Les verges des deux inconnus le sont également. Christelle dit :


-Pour commencer, je suggère que les deux femmes se caressent mutuellement, et s'initient à l'amour lesbien, et tout cela pour le plaisir des yeux des hommes !

Joelle regarde sa belle-mère, il est vrai qu'elle est désirable, malgré les quelques rides qui soulignent ses yeux. Elle s'avance lentement vers Lina, qui ne la quitte pas des yeux, belle-maman, semble très émue, ses mains tremblent. Lorsque sa belle-fille l'enlace, Lina pousse un profond soupir. Les deux femmes se regardent dans les yeux, les visages sont si près qu'ils sont imprégnés par leurs souffles chauds.

Lina serre plus fort Joelle qui frémit, Christelle intervient :

-Embrassez-vous, vous en mourez d'envie, ici tout est autorisé, personne ne vous en fera grief !

Joelle sort timidement sa langue et la passe doucement sur les lèvres entrouvertes de Lina qui frissonne. Doucement, l'intrus disparait dans la bouche de Lina, avant que les lèvres se joignent. Les langues se nouent, le baisser semble tendre, avant de devenir fougueux . Les salives s'échangent, les soupirs sont très bruyants. Les hommes sont bluffés par la sincérité du baiser, qui dure de longues minutes. Erwan lui est ébloui par ce qu'il voit, il n'en espérait pas temps.


Lentement, les deux femmes basculent sur le banc sans dossier fortement matelassé. Le baiser cesse, la bouche de Lina glisse sur le torse de Joelle qui ferme les yeux en frémissant de bonheur. La bouche fiévreuse se pose sur les mamelons qui rapidement se mettent à prendre du volume. Les succions deviennent au fur et à mesure plus appuyés. Les mamelons sensibles se font martyrisés par la bouche vorace de Lina. Joelle défaille, les deux femmes semblent avoir oublié qu'elles ne sont pas seules.

Les succions et les baisers résonnent dans la pièce. Les seins gonflent et deviennent durs, les mamelons, dressés comme de petits mats, sont souvent repris en bouche par la belle-mère qui s'avère être une bonne amante. Joelle défaille, elle appuie sur la tête de Lina en geignant, pour qu'elle la dévore davantage. Lina lentement descend sa bouche vers le centre des plaisirs. Les frissons qui parcourent le corps de Joelle sont visibles. Elle se cabre lorsque belle-maman, lui fouille de sa langue le nombril.

Christelle intervient une seconde fois et dit :

-Joelle, fait à Lina ce qu'elle vient de te faire, elle aussi a droit à ta bouche sur son corps !

Les deux femmes échangent de place. La bouche de Joelle est aussi vorace que celle de sa belle-mère. Lina geint en s'accrochant au banc. Ses mamelons plus épais que ceux de Joelle sont rapidement pris d'assauts. Après quelques succions sur les mamelons, Joelle cesse de sucer, se redresse et observe l'évolution, et rapidement reprend en bouche les tétons qui au fil des agressions sont devenus monstrueux. Joelle se redresse, saisit les lobes mammaires et les malaxe fortement. Ses longs doigts s'enfoncent dans les chairs tendres de seins, en les pétrissant énergiquement. Lina est comblée de bonheur, sa première expérience lesbienne s'annonce très prometteuse.

Joelle regarde les mamelons énormes plantés au centre d'aréoles brunes, fortement grenelées. Elle ne peut s'empêcher de les mordiller, les étirer au maximum pour faire gémir belle-maman. Les deux femmes ont les vulves comme des volcans, elles rejettent leur lave sans discontinuer. La bouche de Joelle s'approche dangereusement de la zone en fusion. Nouvelle intervention de Christelle :

-Joelle, ma chérie, mets-toi tête bêche sur Lina, et broutez-vous mutuellement la chatte, faites-vous plaisir !

Rapidement la pose et prise. Les bouches avides s'acharnent sur les vulves gorgées de cyprine. Les gémissements des deux femmes, ont un effet bénéfique sur les trois voyeurs, assis sur une chaise. Les verges prennent du volume, gonflent atrocement. Quelques coups de poignets sont nécessaires pour maintenir opérationnelle, les verges dures comme du béton. Marc regarde son papa, qui se caresse le membre, il sait ce qu'il lui faut. Il s'avance de son papa et lui saisit la verge, il l'agite sous les yeux rieurs de Christelle qui ne peut qu'approuver, elle connait parfaitement bien les deux hommes et sait comment cela se finit.

La main agile de Marc secoue énergiquement la verge de Charles qui se met à grogner de plaisir. Marc cesse le branlage, décalotte le gland et l'observe un moment avant de se déboiter la mâchoire pour le gober. Les succions sont terribles, Charles grimace, Christelle souriante dit :

-Offre à ton fils ta semence, il en meurt d'envie !


Les deux femmes cessent de se lécher, elles regardent les deux hommes avec intérêts. Erwan reste baba devant le spectacle, il sait qu'ici les tabous sont bannis, il assiste pour la première fois à une relation gay. Soudain Marc recrache difficilement le mandrin de son papa, l'enjambe et s'empale sur sa queue tendue, il s'agite si fort qu'il s'empale jusqu'aux couilles. Erwan voit la verge coulisser difficilement dans le rectum du demandeur. Marc, grimaçant, n'en est pas à sa première sodomie, il geint en s'accrochant au cou paternel, il monte et descend son corps sur le manche qui lui dilate la gaine anale affreusement.


Charles saisit les hanches de son fils et donne un coup de reins terrible, et se bloque, il remplit le cul de son fils avec sa semence tant désirée par le fiston, en grognon comme un fauve. Enfin Marc descend de sa monture, Erwan regarde le trou béant, rejette la semence visqueuse. Les deux femmes reprennent ce qu'elles avaient cessé. Les bouches voraces aspirent les grandes lèvres, sucent les clitos, avant de s'enfoncer profondément dans les vagins en ébullitions.

les bassins s'agitent, les gémissements des deux actrices sont très, très bruyants. Les jouissances arrivent enfin. C'est en hurlant, que les deux femmes expriment leurs jouissances, qui ne semblent pas simulées. >Les corps tremblent, les respirations sont rapides et saccadées. les deux femmes restent l'une sur l'autre en haletant terriblement.