Lisette fantasme sur son fils 1 - histoire érotique

Lisette, femme mûre bien en chair, passe beaucoup de temps sur des sites, ou la parole est libre. Elle est intéressée, par les personnes qui dévoilent leurs secrets les plus intimes. Lisette, est surtout fascinée, par les révélations incestueuses de certaines personnes, qui donnent tous les détails sur leurs actes immoraux.
En lisant les récits que le morale réprouve, elle s'excite en mouillant comme une fontaine. Souvent elle se masturbe pour éteindre le feu qui lui ronge les entrailles. Etrangement, elle obtient des jouissances extraordinaires.


Arnaud vient d'avoir 23 ans, il ne compte plus ses conquêtes amoureuses, sa réputation n'est plus à faire. Beaucoup de femmes mariées ou non, du village se font honorer par le jeunot, qui a la réputation d'être vigoureux et bon amant. Des écots sont parvenus aux oreilles de Lisette, mais elle n'ose y croire.


Un jour elle reçoit sa meilleure amie, les deux femmes discutent de tout et de rien, jusqu'au moment, ou Lisette demande à Joelle son amie, si elle a connaissance de la réputation de son fils. Joelle semble embarrassée, elle baise la tête et avoue, avec beaucoup de trémolos dans la voix :

-Lisette, ton fils est un amant extraordinaire, il est infatigable !

Lisette fronce les sourcils et regarde intensément son amie en disant :

-Ne me dis pas que c'est ton amant ?

En se pinçant les lèvres, Joelle répond :

-Eh bien oui, c'est mon amant, et pas que le mien je t'assure, il est trop bon, je te le conseille !

Lisette n'en croit pas ses oreilles, elle dit :

-Mais, Jacques ton mari dans tout ça ?

Joelle ravale sa salive et dit en béguant :

-Il se joint à nous, depuis qu'il nous a surprit !

Lisette sursaute, et ajoute :

-Vous faites l'amour à trois, j'ai du mal a croire que Jacques accepte cette situation !

Joelle réplique :

-Eh bien tu te trompes, au contraire il adore partager sa femme !

Lisette semble abasourdit, Joelle lui dit :

-C'est la vie ma chérie, ton fils m'a séduite, et je ne le regrette pas, au contraire je l'attends avec impatience !

Joelle enfin prend congé. Lisette reste un long moment rêveuse, elle pousse de nombreux soupirs.
Elle s'allonge sur le canapé, retrousse sa jupe et écarte sa culotte. Elle saisit son clito qui est déjà gonflé, et l'agite en grimaçant.
Elle ose imaginer que c'est son fils qui lui fait l'amour. Elle se maltraite le clito férocement, elle lui fait subir tout les sévices pour atteindre sa jouissance. Son imagination d'être une incestueuse, a quintuplée sa jouissance.
En haletant, Lentement elle récupère.

Enfin les deux hommes rentrent, et prennent place au salon en savourant un apéritif.
Arnaud en sert un à sa maman, elle cherche du regard son fils. Il lui sourit. Elle ravale sa salive sans le quitter des yeux, elle se remémore ce que lui a racontée son amie Joelle. Elle avale d'un trait son verre et retourne à la cuisine. Pendant qu'elle prépare le diner, elle semble nerveuse, ses gestes sont maladroits. Le diner se passe sans un mot, son mari Edmond, remarque qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, il demande :

-Toi, il y a quelque chose qui te tracasse ?

Lisette en poussant un gros soupir, répond :

-Non rien de grave, je te raconterai ça plus tard !


Après le diner et la douche, une fois que les deux hommes sont dans leur chambre, et qu'elle est seule dans le salon, en tenue de nuit. Elle consulte le site sur son ordi. Elle retrousse sa nuisette et se caresse l'abricot. les révélations qu'elle découvre, la rendent complément hystérique. Jambes largement écartées, sur sa chaise, elle se triture le clito en grimaçant. Sa vulve rejette son jus, elle enfonce ses doigts jusqu'aux dernières phalanges dans le vagin, et le fouille férocement, en gémissant. Elle se défonce, tout en imaginant que c'est Arnaud qui lui fait l'amour, elle explose, son corps tremble, de sa chatte s'échappe un filet de cyprine odorante. Elle porte sa main à sa bouche et suce un ç un ses doigts visqueux.



Enfin, rassasiée, elle se décide de rejoindre son mari. Elle s'enfonce dans les draps et se blottit contre lui, il ne dort pas encore. Il sent contre lui le corps brulant de sa femme. Il se met sur le flanc et commence à lui caresser la cuisse. Doucement sa main glisse sous le fin tissu et approche du temple de venus. Ses doigts glissent sur la fente humide, Edmond sursaute, et dit :

-Ouah tu es trempée ma chérie, qu'est-ce qui se passe, tu as pris de l'avance !

Lisette prend appuie sur ses coude, sa voix tremble, elle dit :

-Edmond, tu sais qu'Arnaud couche avec plein de femmes du village, c'est Joelle qui me l'a dit, et accroche toi bien, il couche avec elle aussi, et le plus beau, Jacques se rejoint à eux !

Edmond sursaute et demande :

-Tu es sûr de ce que tu avances ma chérie ?

Lisette réplique :

-Oui Joelle ne ment pas !

Elle ajoute avec de la rancœur, et en fronçant les sourcils :

-Je me demande ce qu'Arnaud a de spécial, pour que toutes ses salopes tournent autour de lui ?

Edmond éclate de rire et dit :

-Peut-être une bonne queue !

Lisette hausse les épaules et réplique :

-Peut-être des trucs que tu ne me fais pas, ou que tu ne sais pas faire ?

Edmond en riant :

-Pourquoi tu ne l'essayes pas, puis-ce que cela te tracasse !

Lisette secoue la tête négativement et répond :

-Et si je te prenais au mot, tu en ferais une tête !

Edmond toujours avec le sourire dit :

-Tente ta chance, maman incestueuse !

Elle ajoute :

-Et si il me séduit est qu'il couche avec moi, cela changerai quoi ?

Edmond toujours avec humour répond :

-Eh bien je serai un cocu, et toi une femme incestueuse qui prend son pied avec son fils !

Lisette en rajoute :

-Donc si je couche avec, ca te fait ni chaud ni froid ?

Edmond réplique :

-Mais si cela te fait plaisir, je veux bien me joindre à vous, imagine deux bites dans ton corps. Mais ne rêve pas trop ma chérie, ça ne risque pas d'arriver, Arnaud a d'autre chats a fouetter que de sauter sa maman !

Edmond sens que ses doigts sont de plus en plus mouillés, il dit :

-Mais c'est incroyable, cet idée d'inceste te fait mouiller comme un torrent, oh tu es une grosse salope quand même, toi tu as besoin d'une bonne queue !

Lisette ne répond pas. Il lui retrousse la nuisette et se place entre ses cuisses, il lui enfonce son pieu profondément dans le ventre, puis la défonce comme une bête. Lisette geint, terriblement excitée, elle subit en geignant les assauts puissants de son mari. Elle ne tarde pas a exploser. Edmond en grognant comme un animal lui remplit le ventre de sa semence. Les soupirs de Lisette prouve qu'elle est ailleurs, la discussion avec son mari la laisse perplexe. Elle dort mal, se lève, et en nuisette prépare le petit déjeuner. Elle s'installe à table, elle semble ne pas être dans un état normal.

Son fils descend l'escalier en s'étirant comme un félin, il ne porte qu'un boxer, qui moule parfaitement, ses attributs de mâle. Lisette le suis du regard. Il se penche sur elle et l'embrasse pour lui dire bonjour. Involontairement, ses lèvres frôlent celles de la maman qui frémie. Il prend place à côté d'elle, elle le regarde plus que tendrement, en ravalant sa salive. Arnaud demande :

-Mais qu'est-ce que tu as maman tu es toute drôle !

En se pinçant les lèvres, Lisette répond :

-C'est vrai que tu couches avec presque toutes les femmes du village, et aussi avec ma meilleur amie !

Arnaud sursaute, il ne s'attendait pas à une telle question, il réplique :

-Tu veux parler de Joelle, eh bien oui je me la farcis de temps en temps, selon mon humeur, je peux te dire que c'est une sacrée chaudasse, et depuis que son mari se joint à nous, elle est intenable !

Lisette serre les poings et ajoute :

-Mais pourquoi elle, qu'est-ce qu'elle à de spéciale cette salope !

Arnaud fronce les sourcils et répond avec une pointe d'ironie :

-Tu ne serais pas un peu jalouse par hasard, pour répondre à ta question, se sont ses formes qui mon attirées, et comme elle n'est pas farouche, j'en ai profité !

Le fils dragueur, relève le menton de sa maman avec deux doigts, et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Il ajoute en souriant :

-Elle à un corps presque comme le tiens un cul qui ferai bander un mort, des mamelons bien large et épais, qui se dressent aux moindre caresses. Je suis certain que les tiens doivent être très sensibles !

Sans se gêner, il les saisit au travers du fin tissu de la nuisette, Lisette ne branche pas, ses yeux s'humidifient. Le gredin les roule doucement entre ses doigts. Il les presse de temps en temps, pour connaitre la réaction de sa maman. A chaque pression Lisette se cabre légèrement, sans repousser son agresseur.


Un long moment, Arnaud triture les mamelons. Le bougre les fait devenir énorme, il sourit et dit :

-C'est bien ce que je pensais, tu es très sensible des mamelons, et je suis sûr, que si je continue, tu jouis, ta chatte doit être noyée, je me trompe !

Lisette ravale sa salive et dit entre deux souffles :

-Tu es un monstre, je te hais !

Arnaud la regarde et dit :

-Ne te fâche pas maman, c'est naturel de mouiller, lorsque l'on est excité !

Les yeux de Lisette s'emplissent de larmes, elle baisse la tête tellement elle a honte. Avec une audace inouïe, Arnaud pose sa main sur la cuisse de sa main et lentement sans brusquer, la glisse sous la nuisette. Il atteint l'entrejambe, ses doigts passent plusieurs fois sur la fente, qui suinte abondamment. Il la regarde tendrement et dit :

-Si seulement j'osais, je ferais de toi mon amante, mais tu es ma maman, je ne peux t'imposer une folie pareille !

Il prend la main de sa maman, et la pose sur la bosse énorme qui déforme son boxer, et dit :

Tu vois tu ne me laisses pas insensible, moi aussi je mouille quelques perles de rosées, tâche son boxer. Sans réfléchir Lisette presse plusieurs fois le membre, sa main tremble. Arnaud sans faire de chichi, baisse son boxer. Sa bite se dresse vivement, en oscillant sur son bas ventre. Lisette écarquille les yeux en voyant la verge balancer, elle marmonne :

-Mon Dieu comme elle est grosse, mais c'est un monstre !

Arnaud en souriant répond :

-Eh oui elle est pas mal, mais c'est ce que les femmes, préfèrent chez moi !

Lisette défaille, elle qui rêvait de la verge de son fils, là, elle là devant les yeux. Arnaud l'encourage :

-Touche-là, elle ne mord pas, sa douceur va t'étonner maman !

Timidement, Lisette tend la main vers l'objet dressé comme un mât. Elle le saisit en tremblant. Elle l'enserre dans ses longs doigts fins, et commence un doux branlage. Arnaud se cambre sur sa chaise. Sa maman ne quitte pas des yeux l'engin de chair vivant. Elle sent battre dans les grosses veines apparentes le sang. Doucement, elle décalotte le gland, et l'observe un bon moment, avant de reprendre la masturbation.

Le coquin est au bord de l'éjaculation, il se cabre en geignant fortement puis explose, sa semence gicle, et retombe sur son ventre, et les doigts de la maman branleuse. Lisette yeux écarquillés, regarde le geyser expulser son jus; Elle reprend le branlage avec plus d'ardeur, le résultat ne se fait pas attendre, une nouvelle giclée jaillit de la hampe, et englue les doigts de la maman. Lisette se ravise, elle sait que c'est immoral ce qu'elle fait. Elle se lève d'un coup et rapidement se rend à la cuisine, elle éclate en sanglots. Son fils la rejoint, il l'enlace et se frotte contre ses fesses. Sa verge gluante laisse des traces sur la nuisette. D'un main, il la relève et s'agrippe aux hanches larges de la maman qui renifle.

Il agite son bassin, sa queue visqueuse, coulisse dans la large sillon qui sépare les
lobes fessiers. Plusieurs fois, son gland passe sur le muscle rectal. Un fois que le gland se bloque sur l'anus, il dit :

-Joelle adore que je la prenne par le cul !

Lisette se cambre en arrière comme pour offrir à son fils son anus, elle se dit si Joelle le fait pourquoi pas moi. Arnaud pousse doucement, l'anneau résiste un instant et finit par céder. Lentement, la verge s'enfonce dans la gaine étroite, en faisant grimacer la maman. Bien que, pas adepte de cette pratique, elle subit sa première sodomie.

Lisette veut être traitée comme son amie Joelle, si elle l'a eu dans le rectum, Lisette la veut aussi. Lentement Arnaud prend possession du fondement. Sa maman grimace, mais courageusement accepte la sodomie. Le fiston donne un coup de reins terribles, Lisette sursaute en poussant un cri de douleur. Arnaud la défonce comme un sauvage, sa bite voyage dans la gaine dilatée en prenant de la vitesse.

Lisette maintenant gémit de plaisir. Elle encourage même son fils :

-Oui, oui, mon chéri, défonce maman comme tu le fais avec Joelle !

Arnaud ne retient plus ses coups de pilons, il défonce sa maman come jamais elle ne l'a été. A chaque enfoncement du pal dans son rectum, Lisette pousse un gémissement terrible. Soudain elle se cabre, en poussant un cri de bête blessée. Une jouissance anale la fait hurler. Enfin le fils amant remplit le rectum de sa maman avec sa semence brûlante. Il se retire, Lisette se frotte les fesses, elle dit en grimaçant :

-Mon chéri, tu as détruis le cul à ta maman !

Arnaud en souriant rèpond :

-Oui mais tu as aimé de te faire enculer, avoue maman salope !


Lisette répond :

-Tu es un monstre, oui malgré la douleur, j'ai joui comme une folle. Joelle jouit autant que moi lorsque tu l'encules ?

Arnaud éclate de rire et dit :

-Oh oui autant que toi, mais tu me parles souvent de ton amie, faisant une partouze avec elle, tu pourras juger par toi même, je vais lui en parler !

Lisette reste sans voix, la proposition est alléchante, elle répond :

-Jacques sera là aussi ?

Arnaud répond :

-Mais maman une partouze cela se fait avec plusieurs personnes, bien sûr que je l'inviterais, et si papa le souhaite, il sera le bien venu !

Lisette ne répond pas. Arnaud se replace derrière sa maman, et lui, enfonce sa verge gluante dans le ventre, la levrette la coquine adore ça. Elle gémit à chaque coulissement du mandrin dans son ventre. la gaine lubrifier par l'abondante cyprine qu'elle sécrète, permet un va-et-vient aisé. Bien que dilatée fortement, Lisette geint en agitant sa croupe :

-Oh mon chéri, comme tu prends bien maman, vas-y, vas-y, oh je vais jouir !

Une fabuleuse jouissance la fait hurler, elle se laisse tomber sur le sol en haletant comme une bête blessée. Arnaud se sent frustré, il n'a pas jouit. Il offre aux lèvres de sa maman sa verge épaisse. Lisette suce du mieux qu'elle peut, elle ne veut pas décevoir son fils amant. Elle reçoit une violente giclée de sperme dans la bouche, elle repousse son fils brusquement, en se pinçant les lèvres. Un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Arnaud regarde sa maman qui avale en plusieurs gorgées la crème onctueuse. Enfin elle ouvre la bouche pour montrer à son fils qu'elle a tout avaler.


Arnaud doit sortir, il va rapidement prendre une douche. Lisette reste seule au salon, elle prend un petit miroir, et s'étend sur le canapé, retrousse sa nuisette jusqu'à la taille, et replie ses jambes sur son ventre. Avec l'aide du miroir, elle regarde son anus qui est encore ouvert, un filet de semence s'échappe du trou béant, elle dit :

-Oh la vache il a bien ouverte sa maman le cochon !

Soudain, une voix se fait étendre, Lisette sursaute. C'est son mari qui est face à elle, il dit en fronçant les sourcils :

-Mais qu'est-ce que tu fais, tu t'observes le trou du cul avec ce miroir !

Elle dit :

-Oh mon chéri, Arnaud m'a défoncé, tu vois je t'ai prise au mot, le salaud m'a même enculé !

Edmond secoue la tête négativement et dit :

-Eh bien ma salope lorsque tu as quelque chose dans la tête, tu ne l'as pas ailleurs, il t'a même enculé, c'était comment !

Lisette est euphorique :

-Oh mon chéri c'était divin, oh il m'a bien ouverte, mais qu'est-ce que j'ai joui !

Edmond réplique:

- Vu l'état de ta chatte il te l'a défoncé aussi !

Elle repond :

-Oh oui, la chatte et le cul, il est bien monté le coquin, j'ai encore mal au cul. Mais tu m'as dit que tu te joindrais à nous. Il m'a proposé une partouze avec Joelle son mari et toi, tu es le bien venu !

Edmond sursaute et demande :

-Je pourrais baiser Joelle ?

Lisette en souriant répond :

-Mais c'est le but de la partouze mon chéri, les femmes seront livrées aux hommes pour assouvir tous leurs délires !