Lorena 1

Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 466 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 2 477 775 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 591 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Lorena 1
Lorena 1
Maureen et son mari, Morgan, loge Lorena une étudiante depuis quelques années. Le couple sans enfants, la considère comme leur propre fille. Très studieuse, Lorena elle a aujourd'hui 23 ans. Après avoir fêté son master avec ses amis, elle rentre le fêter avec Maureen, et Morgan. Mais la coquine a un peu abusé de boissons alcoolisées, c'est euphorique, qu'elle se place à califourchon sur les genoux de Morgan, pendant que sa femme ouvre une bouteille de champagne, pour fêter l'évènement. Lorena tient Morgan par le cou et lui donne une multitude de baisers sur le visage. Souvent, ses lèvres frôlent celles Morgan, qui, gêné, se crispe. Quoique très fusionnel avec elle, cette situation le met mal à l'aise. Elle s'agite sur ses cuisses, frénétiquement, et cela provoque malheureusement une érection non souhaitée à Morgan.
Lorena ne peut ignorer le manche de chair sous ses fesses, ses yeux pétillent, elle regarde Morgan dans les yeux, et comme pour le provoquer, elle agite doucement son bassin. La verge ne fait que prendre du volume. Elle place sa joue contre la sienne, et habilement, elle lui mordille le lobe de l'oreille. Cela n'a pour effet que de faire doubler le volume de la verge de l'homme confus. Sa respiration s'accélère, son souffle devient court. La coquine suce le lobe de l'oreille de Morgan qui ne sait que faire. Il pose ses mains tremblantes sur les hanches de Lorena et en la regardant, lui dit avec quelques trémolos dans la voix :
— Lorena ma chérie, je sais que tu es heureuse d'avoir obtenu ton master, moi aussi d'ailleurs, mais je te demande de te reprendre, je ne suis pas de bois !
Elle lui dit à l'oreille :
— Tu bandes, hein, mon petit momo chéri, je sens ta queue sous mes fesses, je dois dire qu'elle est de bonne taille, comme tu es là, je suis certaine que tu me désires, avoue que tu veux me baiser, aller dis-le !
Morgan ravale sa salive, il regarde sa femme en se pinçant les lèvres. Maureen, qui suit l'évolution, reste muette, mais la situation semble la mettre dans un état d'excitation tel que sa chatte se met à suinter affreusement. Elle serre les cuisses, elle est si troublée, qu'elle verse du champagne à côte des verres. Lorena insiste :
Dis-le que tu me désires !
Inconsciemment, Morgan lui donne de petits coups de reins en s'agrippant à ses hanches, il déglutit bruyamment et dit faiblement :
— Oui, je suis tendu comme un arc et tu fais tout pour cela., il faut être de bois pour ne pas avoir envie de te prendre ma chérie !
Vicieusement, Lorena accentue les ondulations de son bassin, Maureen se raidit et regarde le couple, elle sait que son mari n'en peut plus. Elle dit avec tendresse :
— Mais ma chérie, tu n'as pas de petit copain ?
Lorena regarde sa maman et répond :
— Tu sais Maureen, avec les études, il l'est difficile de draguer les garçons !
Maureen reste un instant sans voix, puis demande :
— Tu n'as jamais fait l'amour alors ?
En se raclant la gorge comme si c'était une tare d'être vierge à son âge, elle réplique :
— Non mais, j'ai déjà vu des vidéos de sexe, mais les seuls plaisirs du sexe que je connaisse, ce sont mes doigts, qui me les ont donnés !
Maureen regarde Lorena comme si c'était un extra-terrestre et demande :
— Donc tu chauffes Morgan pour qu'il te fasse l'amour, et cela ne te dérange pas que ce soit un homme qui te considère comme sa fille ?
Lorena hausse les épaules et réplique :
— Tous comptes faits, je préfère que ce soit Morgan qui prenne ma virginité qu'un autre !
Maureen pousse un gros soupir et répond :
— Tu veux vraiment que mon mari te déflore ma chérie ?
— Oh oui, mais avant, j'aimerais que tu me fasses gouter aux plaisirs lesbiens. J'ai vu des vidéos, cela doit être terrible de jouir avec une femme !
Maureen reste figée, elle ne sait plus parler. Après un moment, elle reprend ses esprits et dit en tremblant :
— Tu veux que te fasse l'amour, mais je ne suis pas lesbienne !
Lorena en souriant répond :
— Moi n'en plus, je ne suis pas lesbienne, mais il y a un début à tout !
Maureen, abasourdie, ne sait que répondre. Les propos de Lorena font encore plus durcir le membre de Morgan, qui caresse timidement le flanc de la jeune fille. La coquine, qui ne cesse de s'agiter sur le membre emprisonné dans son carcan de tissu. Entend déglutir Morgan, et cela la fait sourire. Enfin, elle descend de sa monture et va s'asseoir à côté de Maureen, prend un verre, qu'elle vide d'un trait.
Puis, elle la regarde en souriant. La pauvre femme, groggy comme un boxeur sommé, ne sait plus où elle est. Lorena pose sa main sur sa cuisse, Maureen commence à trembler comme une feuille. Elle sent la main glisser très lentement sous sa robe. Elle se raidit, mais n'a pas la force de réagir.
Avec une douceur extrême la main s'avance sur la peau douce de la cuisse. Maureen frissonne, elle regarde son mari qui écarquille les yeux, sans intervenir. Lorsque les doigts s'insèrent entre ses cuisses, elle est tellement abasourdit, qu'elle ne réagit pas. les instrus passent plusieurs fois sur la fente qui ne cesse d'humidifiée la culotte. Maureen rougit comme une pivoine, ravale bruyamment sa salive ses yeux implorent son mari qui, pose sa main sur la bosse qui déforme son pantalon et la caresse doucement.
Lorena regarde dans les yeux Maureen et lui dit avec un sourire malicieux:
- Vous êtes mes parents de substitution, je vous aime tellement, que je désire que ce soit vous qui soyez les premiers à me faire l'amour. Oui j'ai bu, mais cela ne change rien à mon souhait !
Maureen reste comme tétanisée, elle sent les doigts monter et descendre sur sa fente. Sous les petites pressions, le tissu s'insère dans le sillon et enveloppe la protubérance de chair qui, comme par miracle, enfle de plus en plus sous les petits attouchements précis de Lorena. Maureen, se pince les lèvres, une moue affreuse déforme son visage. Sa culotte est trempée, inconsciemment, elle agite très doucement son bassin. Lorsque Lorena lui saisit le clito, elle se cabre en poussant un petit couinement. Emprisonné entre les doigts de Lorena, le clito grossit encore. Avec des gestes bien précis, Lorena l'agite au rythme d'un métronome. Maureen ne peut retenir les petits gémissements, qu'elle émet. Morgan ne quitte pas des yeux sa femme qui d'habitude si prude tremble, mais accepte la masturbation qui semble douce.
Maureen avance ses fesses au bord de la chaise et lentement ouvre les cuisses. Cela encourage Lorena qui accélère le branlage. Et de sa main libre, déboutonne la robe jusqu'à la taille, ouvre les pans et dégage les cuisses admirables de Maureen. Tout en branlant le clitoris qui est devenu énorme, elle avance sa main et avec un doigt caresse au travers de la culotte l'anus qui, au contact du doigt, se met à avoir des contractions. Maureen se cambre davantage, Morgan sursaute, Maureen refuse à son mari certains attouchements et là, la coquine, se laisse triturer le clitoris et l'anus.
La masturbation devient rapide, la respiration de Maureen aussi. Soudain, elle se mord les lèvres, une jouissance la fait grogner comme une bête malade. C'est si intense que Lorena a juste le temps de retirer ses mains que Maureen resserre brutalement les cuisses en grimaçant. Lorena saisit la culotte et la fait descendre habilement sur les jambes tremblantes de sa proie. Pendant que Maureen récupère, sans savoir ce qu'il lui est arrivé. Lorena lui ouvre les jambes sans brusquerie. Elle observe avec attention la toison fortement humide. Il lui prend l'envie de sucer les grandes lèvres bien développées. Elle avance sa tête entre le compas ouvert et plaque sa bouche sur le fruit juteux. Elle aspire le jus avant de sucer les lèvres épaisses.
Maureen, se cabre en poussant des gémissements terribles, ses yeux embués cherchent ceux de son mari, qui sans complexe a sorti sa verge et la branle en regardant les deux amantes. Maureen se tortille comme un ver, les succions de Lorena la font geindre. Son abricot juteux rejette un flot de jus dans la bouche de la suceuse, jamais Maureen n'a mouillé autant. La langue s'enfonce profondément dans son vagin et le fouille en lui arrachant des gémissements d'agonisante. Morgan serre les dents, agite vigoureusement sa verge, et en poussant un rugissement de fauve, il envoie sur le sol plusieurs giclées de sperme.
Il se lève, et se dirige vers le couple très occupé. Un à un, il fait sauter les derniers boutons de la robe de sa femme, ouvre largement les pans et dégrafe le soutien-gorge. Il libère les seins généreux, qui retombent lourdement sur le torse de Maureen qui ne réagit pas encore à ce qu'il lui arrive. Son regard est vide, elle semble sur une autre planète. La bouche vorace de Lorena, la ramène peu à peu sur terre, elle grince des dents en marmonnant :
-Lorena, non, non, ne fait pas ça m'a chérie, oh mon Dieu, je deviens folle !
Mais la vorace ne l'écoute pas et lui gobe brutalement le clitoris, Maureen se cabre en poussant un long râle, son corps se met à se couvrir de spasmes incontrôlables. Elle ne cesse de répéter :
-Mon Dieu, mon Dieu, je dois être damnée, Lorena, Lorena, je vais jouir !
Son mari lui malaxe les seins avec fermeté, lui maltraite les mamelons, le coquin semble de venger de quelque chose, il lui écrase les mamelons, les étire au maximum tout en regardant sa femme comment elle réagit :
Un long gémissement sort de sa gorge, sa jouissance est terrible, elle envoie dans la bouche de Lorena une giclée de cyprine, en se cambrant comme un pont. Son corps retombe lourdement sur la chaise, elle halète fortement en cherchant du regard son mari, elle dit faiblement avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Morgan, Morgan, mais qu'est-ce qui m'arrive ? Je ne suis plus moi-même !
C'est à ce moment là, que Lorena lui enfonce trois doigts dans la chatte et la fouille énergiquement, en faisant geindre Maureen de Plaisir, qui se tend comme un arc. En frottant sa verge gluante contre les lèvres de sa femme, il répond :
-Oh non, tu n'es plus la même, je ne te reconnais plus, tiens, suce, suce, fais-toi plaisir !
Comme une hystérique, Maureen dévore la verge épaisse, un bruit de gourmande se fait entendre à chaque succion. Une décharge lui remplit la bouche, elle repousse brutalement son mari, le foudroie des yeux, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres.
Morgan lui dit :
-Avale, avale, toi qui dis que c'est dégueulasse, goute au moins !
Lorena se redresse et veut voir ça. En grimaçant, et par petites gorgées, Maureen avale la semence. Elle la sent glisser dans sa gorge, elle l'avale jusqu'à la dernière goutte. Elle s'essuie d'un revers de la main. Morgan lui demande en souriant :
-Alors comment est ma liqueur ?
Les yeux de sa femme s'illuminent, et elle répond :
C'est délicieux, comment eus-je pu m'en passer si longtemps !
Lorena pose ses mains sur ses épaules et fait tomber la robe sur le sol, elle l'enlace et la serre très fort dans ses bras. Les deux femmes se regardent un long moment avant que Lorena, le souffle chaud alcoolisé de Lorena taquine les narines de Maureen. La coquine pose ses lèvres sur celles de Maureen, qui se laisse faire. Bien que novice, Lorena noue sa langue à celle de son amante comme un serpent qui cherche à s'accoupler. Le baiser dure un long moment, un échange de salive finit par se faire.
Encouragée par son mari, Maureen commence à effeuiller en tremblant Lorena. Une fois nue, Lorena s'allonge sur la petite table du salon. Maureen admire le corps bien proportionné de sa protégée, avant d'oser poser ses mains moites dessus. Lorena frissonne, les mains douces de son amante caressent son corps fébrile. Maureen se penche et gobe à tour de rôle les mamelons, elle les suce et les tète comme un enfant qui s'allaite. Des gémissements sortent de la gorge de la soumise qui s'accroche à la table. La bouche délaisse les seins et descend sur la peau fine.
La langue lape chaque parcelle de peau avant de s'attarder sur le nombril. Mais une fois que la langue glisse sur la fente en ébullition, Lorena pousse un long râle. Maureen, bien que prude, fouille le temple de l'amour. Elle ne se reconnait plus. Après avoir fouillé le vagin profondément, elle aspire le clitoris. L'effet fait cabrer Lorena qui, pour la première fois de sa vie, se fait brouter la chatte. Ses gémissements sont bruyants et prolongés. Une violente jouissance la fait hurler, Maureen se redresse souriante, fière de son exploit et en regardant son mari, dit.
-Morgan, mon chéri, je crois que je suis une grosse salope, j'ai adoré ce que m'a fait Lorena et ce que je viens de lui faire, m'excite énormément !
Morgan répond :
-Eh bien ma chérie, il était temps que tu te décoinces, continuez, de vous bouffer, faites vous jouir, j'attendrais mon tour !
Maureen se sent légère, elle plane de bonheur. Elle prend la main de Lorena et l'aide à descendre de la table. Elle l'enlace et l'embrasse fougueusement, avant de la basculer sur le sol et de se mettre tête bêche sur elle. Les deux amantes se lâchent totalement, elles vont jusqu'au broutage d'anus, que jusqu'ici, cela était impensable pour Maureen. La coquine découvre, dans son délire, de nouveaux plaisirs. Pour Lorena, ce sont ses premières pratiques sexuelles, il faut dire que la novice s'adapte très vite. Elle grogne en recevant des coups de langue et on en donnant.
Les deux sont sur une autre planète, elles ont oublié Morgan. La langue de Maureen réussit à se frayer un passage dans le muscle rectal. Lorena se cabre en marmonnant :
Oh putain, c'est démentiel Maureen, Maureen, je vais jouir !
Une jouissance anale terrible fait hurler Lorena, jamais, elle n'avait connu ça. Elle veut, elle aussi, faire jouir Maureen du cul. Après un long travail d'aspiration et de léchage, enfin la langue s'enfonce dans l'anus de Maureen qui se cambre, en gémissant comme une bête blessée. Comme elle le peut, Lorena le fouille le plus profondément possible. Sa persévérance paie, un hurlement de jouissance sort de la bouche de Maureen qui croit mourir de jouissance tellement c'est intense, elle aussi étrenne la jouissance anale. Enfin Maureen avec regret, doit se séparer de son amante.
Elle Laisse sur le sol son amante haletante. Morgan bande comme un cerf en rut, c'est nu, qu'il prend place entre les cuisses de sa locataire. Il place sa verge contre la fente humide, et en s'accrochant aux hanches de Lorena, il pousse. Les grandes lèvres s'écartent, et le membre épais s'engage dans le conduit brulant. Lorena grimace, serre les dents, mais l'introduction est moins pénible qu'elle le croyait.
Morgan sent une résistance, il recule son membre de quelques centimètres, et donne un coup de reins violent. Lorena pousse un gémissement en grimaçant, son hymen à cédé. Elle ressent une brulure dans son ventre. Elle est devenue femme. Morgan commence un très lent va-et-vient. Sa gaine dilatée, s'adapte au diamètre du mandrin de chair. Elle s'agrippe aux fesses de Morgan en geignant de plaisir. Le rythme augmente, Lorena se surprend à agiter son bassin, et à donner elle même de coups de reins puissants. Elle grogne, la verge voyage dans son ventre en prenant de la vitesse. Le gland large lui racle les parois du vagin en lui arrachant des gémissements incontrôlables.
C'est la première fois qu'une bite lui sonde les entrailles. Elle s'agite comme une forcenée, sur le pal qui l'embroche jusqu'à la garde. Une jouissance monstrueuse la fait hurler.
Maureen est émerveillée de voir Lorena exploser. Morgan, infatigable, continue de la déglinguer, il veut, lui aussi, jouir. C'est en grognant comme un fauve en cage qu'il lui remplit le ventre de sperme.
Maureen et son mari, Morgan, loge Lorena une étudiante depuis quelques années. Le couple sans enfants, la considère comme leur propre fille. Très studieuse, Lorena elle a aujourd'hui 23 ans. Après avoir fêté son master avec ses amis, elle rentre le fêter avec Maureen, et Morgan. Mais la coquine a un peu abusé de boissons alcoolisées, c'est euphorique, qu'elle se place à califourchon sur les genoux de Morgan, pendant que sa femme ouvre une bouteille de champagne, pour fêter l'évènement. Lorena tient Morgan par le cou et lui donne une multitude de baisers sur le visage. Souvent, ses lèvres frôlent celles Morgan, qui, gêné, se crispe. Quoique très fusionnel avec elle, cette situation le met mal à l'aise. Elle s'agite sur ses cuisses, frénétiquement, et cela provoque malheureusement une érection non souhaitée à Morgan.
Lorena ne peut ignorer le manche de chair sous ses fesses, ses yeux pétillent, elle regarde Morgan dans les yeux, et comme pour le provoquer, elle agite doucement son bassin. La verge ne fait que prendre du volume. Elle place sa joue contre la sienne, et habilement, elle lui mordille le lobe de l'oreille. Cela n'a pour effet que de faire doubler le volume de la verge de l'homme confus. Sa respiration s'accélère, son souffle devient court. La coquine suce le lobe de l'oreille de Morgan qui ne sait que faire. Il pose ses mains tremblantes sur les hanches de Lorena et en la regardant, lui dit avec quelques trémolos dans la voix :
— Lorena ma chérie, je sais que tu es heureuse d'avoir obtenu ton master, moi aussi d'ailleurs, mais je te demande de te reprendre, je ne suis pas de bois !
Elle lui dit à l'oreille :
— Tu bandes, hein, mon petit momo chéri, je sens ta queue sous mes fesses, je dois dire qu'elle est de bonne taille, comme tu es là, je suis certaine que tu me désires, avoue que tu veux me baiser, aller dis-le !
Morgan ravale sa salive, il regarde sa femme en se pinçant les lèvres. Maureen, qui suit l'évolution, reste muette, mais la situation semble la mettre dans un état d'excitation tel que sa chatte se met à suinter affreusement. Elle serre les cuisses, elle est si troublée, qu'elle verse du champagne à côte des verres. Lorena insiste :
Dis-le que tu me désires !
Inconsciemment, Morgan lui donne de petits coups de reins en s'agrippant à ses hanches, il déglutit bruyamment et dit faiblement :
— Oui, je suis tendu comme un arc et tu fais tout pour cela., il faut être de bois pour ne pas avoir envie de te prendre ma chérie !
Vicieusement, Lorena accentue les ondulations de son bassin, Maureen se raidit et regarde le couple, elle sait que son mari n'en peut plus. Elle dit avec tendresse :
— Mais ma chérie, tu n'as pas de petit copain ?
Lorena regarde sa maman et répond :
— Tu sais Maureen, avec les études, il l'est difficile de draguer les garçons !
Maureen reste un instant sans voix, puis demande :
— Tu n'as jamais fait l'amour alors ?
En se raclant la gorge comme si c'était une tare d'être vierge à son âge, elle réplique :
— Non mais, j'ai déjà vu des vidéos de sexe, mais les seuls plaisirs du sexe que je connaisse, ce sont mes doigts, qui me les ont donnés !
Maureen regarde Lorena comme si c'était un extra-terrestre et demande :
— Donc tu chauffes Morgan pour qu'il te fasse l'amour, et cela ne te dérange pas que ce soit un homme qui te considère comme sa fille ?
Lorena hausse les épaules et réplique :
— Tous comptes faits, je préfère que ce soit Morgan qui prenne ma virginité qu'un autre !
Maureen pousse un gros soupir et répond :
— Tu veux vraiment que mon mari te déflore ma chérie ?
— Oh oui, mais avant, j'aimerais que tu me fasses gouter aux plaisirs lesbiens. J'ai vu des vidéos, cela doit être terrible de jouir avec une femme !
Maureen reste figée, elle ne sait plus parler. Après un moment, elle reprend ses esprits et dit en tremblant :
— Tu veux que te fasse l'amour, mais je ne suis pas lesbienne !
Lorena en souriant répond :
— Moi n'en plus, je ne suis pas lesbienne, mais il y a un début à tout !
Maureen, abasourdie, ne sait que répondre. Les propos de Lorena font encore plus durcir le membre de Morgan, qui caresse timidement le flanc de la jeune fille. La coquine, qui ne cesse de s'agiter sur le membre emprisonné dans son carcan de tissu. Entend déglutir Morgan, et cela la fait sourire. Enfin, elle descend de sa monture et va s'asseoir à côté de Maureen, prend un verre, qu'elle vide d'un trait.
Puis, elle la regarde en souriant. La pauvre femme, groggy comme un boxeur sommé, ne sait plus où elle est. Lorena pose sa main sur sa cuisse, Maureen commence à trembler comme une feuille. Elle sent la main glisser très lentement sous sa robe. Elle se raidit, mais n'a pas la force de réagir.
Avec une douceur extrême la main s'avance sur la peau douce de la cuisse. Maureen frissonne, elle regarde son mari qui écarquille les yeux, sans intervenir. Lorsque les doigts s'insèrent entre ses cuisses, elle est tellement abasourdit, qu'elle ne réagit pas. les instrus passent plusieurs fois sur la fente qui ne cesse d'humidifiée la culotte. Maureen rougit comme une pivoine, ravale bruyamment sa salive ses yeux implorent son mari qui, pose sa main sur la bosse qui déforme son pantalon et la caresse doucement.
Lorena regarde dans les yeux Maureen et lui dit avec un sourire malicieux:
- Vous êtes mes parents de substitution, je vous aime tellement, que je désire que ce soit vous qui soyez les premiers à me faire l'amour. Oui j'ai bu, mais cela ne change rien à mon souhait !
Maureen reste comme tétanisée, elle sent les doigts monter et descendre sur sa fente. Sous les petites pressions, le tissu s'insère dans le sillon et enveloppe la protubérance de chair qui, comme par miracle, enfle de plus en plus sous les petits attouchements précis de Lorena. Maureen, se pince les lèvres, une moue affreuse déforme son visage. Sa culotte est trempée, inconsciemment, elle agite très doucement son bassin. Lorsque Lorena lui saisit le clito, elle se cabre en poussant un petit couinement. Emprisonné entre les doigts de Lorena, le clito grossit encore. Avec des gestes bien précis, Lorena l'agite au rythme d'un métronome. Maureen ne peut retenir les petits gémissements, qu'elle émet. Morgan ne quitte pas des yeux sa femme qui d'habitude si prude tremble, mais accepte la masturbation qui semble douce.
Maureen avance ses fesses au bord de la chaise et lentement ouvre les cuisses. Cela encourage Lorena qui accélère le branlage. Et de sa main libre, déboutonne la robe jusqu'à la taille, ouvre les pans et dégage les cuisses admirables de Maureen. Tout en branlant le clitoris qui est devenu énorme, elle avance sa main et avec un doigt caresse au travers de la culotte l'anus qui, au contact du doigt, se met à avoir des contractions. Maureen se cambre davantage, Morgan sursaute, Maureen refuse à son mari certains attouchements et là, la coquine, se laisse triturer le clitoris et l'anus.
La masturbation devient rapide, la respiration de Maureen aussi. Soudain, elle se mord les lèvres, une jouissance la fait grogner comme une bête malade. C'est si intense que Lorena a juste le temps de retirer ses mains que Maureen resserre brutalement les cuisses en grimaçant. Lorena saisit la culotte et la fait descendre habilement sur les jambes tremblantes de sa proie. Pendant que Maureen récupère, sans savoir ce qu'il lui est arrivé. Lorena lui ouvre les jambes sans brusquerie. Elle observe avec attention la toison fortement humide. Il lui prend l'envie de sucer les grandes lèvres bien développées. Elle avance sa tête entre le compas ouvert et plaque sa bouche sur le fruit juteux. Elle aspire le jus avant de sucer les lèvres épaisses.
Maureen, se cabre en poussant des gémissements terribles, ses yeux embués cherchent ceux de son mari, qui sans complexe a sorti sa verge et la branle en regardant les deux amantes. Maureen se tortille comme un ver, les succions de Lorena la font geindre. Son abricot juteux rejette un flot de jus dans la bouche de la suceuse, jamais Maureen n'a mouillé autant. La langue s'enfonce profondément dans son vagin et le fouille en lui arrachant des gémissements d'agonisante. Morgan serre les dents, agite vigoureusement sa verge, et en poussant un rugissement de fauve, il envoie sur le sol plusieurs giclées de sperme.
Il se lève, et se dirige vers le couple très occupé. Un à un, il fait sauter les derniers boutons de la robe de sa femme, ouvre largement les pans et dégrafe le soutien-gorge. Il libère les seins généreux, qui retombent lourdement sur le torse de Maureen qui ne réagit pas encore à ce qu'il lui arrive. Son regard est vide, elle semble sur une autre planète. La bouche vorace de Lorena, la ramène peu à peu sur terre, elle grince des dents en marmonnant :
-Lorena, non, non, ne fait pas ça m'a chérie, oh mon Dieu, je deviens folle !
Mais la vorace ne l'écoute pas et lui gobe brutalement le clitoris, Maureen se cabre en poussant un long râle, son corps se met à se couvrir de spasmes incontrôlables. Elle ne cesse de répéter :
-Mon Dieu, mon Dieu, je dois être damnée, Lorena, Lorena, je vais jouir !
Son mari lui malaxe les seins avec fermeté, lui maltraite les mamelons, le coquin semble de venger de quelque chose, il lui écrase les mamelons, les étire au maximum tout en regardant sa femme comment elle réagit :
Un long gémissement sort de sa gorge, sa jouissance est terrible, elle envoie dans la bouche de Lorena une giclée de cyprine, en se cambrant comme un pont. Son corps retombe lourdement sur la chaise, elle halète fortement en cherchant du regard son mari, elle dit faiblement avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Morgan, Morgan, mais qu'est-ce qui m'arrive ? Je ne suis plus moi-même !
C'est à ce moment là, que Lorena lui enfonce trois doigts dans la chatte et la fouille énergiquement, en faisant geindre Maureen de Plaisir, qui se tend comme un arc. En frottant sa verge gluante contre les lèvres de sa femme, il répond :
-Oh non, tu n'es plus la même, je ne te reconnais plus, tiens, suce, suce, fais-toi plaisir !
Comme une hystérique, Maureen dévore la verge épaisse, un bruit de gourmande se fait entendre à chaque succion. Une décharge lui remplit la bouche, elle repousse brutalement son mari, le foudroie des yeux, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres.
Morgan lui dit :
-Avale, avale, toi qui dis que c'est dégueulasse, goute au moins !
Lorena se redresse et veut voir ça. En grimaçant, et par petites gorgées, Maureen avale la semence. Elle la sent glisser dans sa gorge, elle l'avale jusqu'à la dernière goutte. Elle s'essuie d'un revers de la main. Morgan lui demande en souriant :
-Alors comment est ma liqueur ?
Les yeux de sa femme s'illuminent, et elle répond :
C'est délicieux, comment eus-je pu m'en passer si longtemps !
Lorena pose ses mains sur ses épaules et fait tomber la robe sur le sol, elle l'enlace et la serre très fort dans ses bras. Les deux femmes se regardent un long moment avant que Lorena, le souffle chaud alcoolisé de Lorena taquine les narines de Maureen. La coquine pose ses lèvres sur celles de Maureen, qui se laisse faire. Bien que novice, Lorena noue sa langue à celle de son amante comme un serpent qui cherche à s'accoupler. Le baiser dure un long moment, un échange de salive finit par se faire.
Encouragée par son mari, Maureen commence à effeuiller en tremblant Lorena. Une fois nue, Lorena s'allonge sur la petite table du salon. Maureen admire le corps bien proportionné de sa protégée, avant d'oser poser ses mains moites dessus. Lorena frissonne, les mains douces de son amante caressent son corps fébrile. Maureen se penche et gobe à tour de rôle les mamelons, elle les suce et les tète comme un enfant qui s'allaite. Des gémissements sortent de la gorge de la soumise qui s'accroche à la table. La bouche délaisse les seins et descend sur la peau fine.
La langue lape chaque parcelle de peau avant de s'attarder sur le nombril. Mais une fois que la langue glisse sur la fente en ébullition, Lorena pousse un long râle. Maureen, bien que prude, fouille le temple de l'amour. Elle ne se reconnait plus. Après avoir fouillé le vagin profondément, elle aspire le clitoris. L'effet fait cabrer Lorena qui, pour la première fois de sa vie, se fait brouter la chatte. Ses gémissements sont bruyants et prolongés. Une violente jouissance la fait hurler, Maureen se redresse souriante, fière de son exploit et en regardant son mari, dit.
-Morgan, mon chéri, je crois que je suis une grosse salope, j'ai adoré ce que m'a fait Lorena et ce que je viens de lui faire, m'excite énormément !
Morgan répond :
-Eh bien ma chérie, il était temps que tu te décoinces, continuez, de vous bouffer, faites vous jouir, j'attendrais mon tour !
Maureen se sent légère, elle plane de bonheur. Elle prend la main de Lorena et l'aide à descendre de la table. Elle l'enlace et l'embrasse fougueusement, avant de la basculer sur le sol et de se mettre tête bêche sur elle. Les deux amantes se lâchent totalement, elles vont jusqu'au broutage d'anus, que jusqu'ici, cela était impensable pour Maureen. La coquine découvre, dans son délire, de nouveaux plaisirs. Pour Lorena, ce sont ses premières pratiques sexuelles, il faut dire que la novice s'adapte très vite. Elle grogne en recevant des coups de langue et on en donnant.
Les deux sont sur une autre planète, elles ont oublié Morgan. La langue de Maureen réussit à se frayer un passage dans le muscle rectal. Lorena se cabre en marmonnant :
Oh putain, c'est démentiel Maureen, Maureen, je vais jouir !
Une jouissance anale terrible fait hurler Lorena, jamais, elle n'avait connu ça. Elle veut, elle aussi, faire jouir Maureen du cul. Après un long travail d'aspiration et de léchage, enfin la langue s'enfonce dans l'anus de Maureen qui se cambre, en gémissant comme une bête blessée. Comme elle le peut, Lorena le fouille le plus profondément possible. Sa persévérance paie, un hurlement de jouissance sort de la bouche de Maureen qui croit mourir de jouissance tellement c'est intense, elle aussi étrenne la jouissance anale. Enfin Maureen avec regret, doit se séparer de son amante.
Elle Laisse sur le sol son amante haletante. Morgan bande comme un cerf en rut, c'est nu, qu'il prend place entre les cuisses de sa locataire. Il place sa verge contre la fente humide, et en s'accrochant aux hanches de Lorena, il pousse. Les grandes lèvres s'écartent, et le membre épais s'engage dans le conduit brulant. Lorena grimace, serre les dents, mais l'introduction est moins pénible qu'elle le croyait.
Morgan sent une résistance, il recule son membre de quelques centimètres, et donne un coup de reins violent. Lorena pousse un gémissement en grimaçant, son hymen à cédé. Elle ressent une brulure dans son ventre. Elle est devenue femme. Morgan commence un très lent va-et-vient. Sa gaine dilatée, s'adapte au diamètre du mandrin de chair. Elle s'agrippe aux fesses de Morgan en geignant de plaisir. Le rythme augmente, Lorena se surprend à agiter son bassin, et à donner elle même de coups de reins puissants. Elle grogne, la verge voyage dans son ventre en prenant de la vitesse. Le gland large lui racle les parois du vagin en lui arrachant des gémissements incontrôlables.
C'est la première fois qu'une bite lui sonde les entrailles. Elle s'agite comme une forcenée, sur le pal qui l'embroche jusqu'à la garde. Une jouissance monstrueuse la fait hurler.
Maureen est émerveillée de voir Lorena exploser. Morgan, infatigable, continue de la déglinguer, il veut, lui aussi, jouir. C'est en grognant comme un fauve en cage qu'il lui remplit le ventre de sperme.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

