Lucas et sa maman complices dans la dérive 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lucas et sa maman complices dans la dérive 2
Lucie est en plein délire, sa chatte est un vrai brasier. La bouche de son fils la fait geindre comme une bête. Une violente jouissance la fait cabrer comme un cheval fougueux, sa chatte rejette un flot continu de cyprine. Enfin le fils gourmand se redresse, il se met à caresser les seins qu'il avait frappés avec violence. Malgré la douleur intense, Lucie encourage son fils :
-Oui mon chéri, fais gonfler les nichons de maman, pétris-les bien fort, bouffe-moi les tétons, oh, tu me rends dingue !
Les doigts de Lucas s'enfoncent dans la chair souple des demi-sphères, les malaxent en profondeur, les pétrit longuement sans les ménager. Rapidement, les seins se raffermissent, les bouts se raidissent, ils deviennent larges et épais. Lucas les roule entre ses doigts, les étire, les presse sans cesse. Sa maman est au bord de la syncope tellement elle adore ce genre de traitement.
Sa bouche entre en action, elle dévore les mamelons à la limite de la brutalité. Les coups de dents sur les petits mâts de chair, font couiner Lucie. Lucas se redresse, sa bite est tendue fièrement sur son bas-ventre, il donne quelques coups de poignet en regardant sa maman, comme pour la provoquer. Il prend place entre ses cuisses, et enfonce son engin dans la chatte brûlante, débordante de cyprine. La maman s'accroche à son fils pour subir ses coups de pilon, qui s'avèrent féroces. Le va-et-vient est rapide pendant un court instant, avant de cesser totalement, pour reprendre à vitesse grand V. Le bougre réitère cette manœuvre plusieurs fois. À chaque que fois que sa maman est au bord de la jouissance, le coquin cesse tous mouvements. Il attend que la pression retombe, avant de reprendre le pilonnage. Lucie est frustrée, par le jeu que joue son fils, elle veut jouir.
-Oh mon chéri, tu veux me faire mourir, bourre-moi à fond mon cochon, ne me laisse pas comme ça !
Lucas, comme pour la punir, reprend au ralenti le va-et-vient. C'est sa maman qui donne des coups de reins, à chaque coup de reins, elle pousse un han de bucheron. Sa peau ruisselle des efforts qu'elle produit, Lucie est en sueur.
La verge de son fils lui rabote les muqueuses vaginales, cela a pour effet de la faire gémir de plaisir. Le bougre reprend le contrôle de la situation, il donne des coups boutoirs terribles, ses couilles frappent avec force la chatte de sa maman, qui ne cesse de gémir. Le ramonage dure un bon moment, le coquin sait s'y prendre pour retenir sa jouissance. Quant à Lucie, elle se cabre et explose en hurlant, sa jouissance est monstrueuse. Elle a plusieurs orgasmes à la suite. Des spasmes puissants lui secouent le corps.
Lucas, en bon amant, lui travaille le corps avec un acharnement inouï, plusieurs jouissances, terrasse sa maman, avant que lui-même lui remplisse le ventre de son sperme. Ils s'endorment en restant soudé l'un à l'autre. Le lendemain matin, c'est Lucas qui levé le premier, prépare le petit déjeuner, il ne porte qu'un boxer pour seul vêtement. Sa maman descend à son tour avec une blouse sur le corps. Elle s'étire en regardant son amant de fils en souriant.
Elle arrive à la cuisine, qu'immédiatement, son fils la bascule sur a table. Il lui ouvre brusquement la blouse en arrachant plusieurs boutons. Lucie s'ouvre comme une fleur, son compas est grand ouvert. Son fils, aussi insatiable que sa maman, plaque sa bouche sur la chatte qui sent encore l'amour de la nuit. Il donne quelques coups de langue sur les poils durcis par le sperme séché, et aspire la boule de chair qui est encore douloureuse par les coups reçus, sa maman se cabre en poussant un râle.
Il broute si bien la chatte de sa maman, qu'elle explose de jouissance. Il baisse son boxer et sans formalité, plante dans le ventre de sa maman sa queue dure comme du béton. Il la besogne jusqu'à ce qu'elle atteigne une nouvelle jouissance. Il la défonce comme un soudard, sans la ménager. C'est en grimaçant qui lui remplit le ventre de sa semence. Il lui dit :
-Ne bouge pas, je reviens !
Il réapparaît avec le martinet, Lucie jubile en voyant l'engin frappeur, elle ouvre les jambes le plus possible. Le premier coup qui s'abat sur sa chatte la fait cabrer. Elle pousse un cri, qu'elle tente d'étouffer en se mordant le poignet. Une pluie de coups d'abats sur son bas-ventre en la faisant rugir comme un fauve malade. Elle s'arcboute fortement, une puissance jouissance la fait hurler. Lucas jette le martinet, il regarde la chatte dévastée, les grandes lèvres sont gonflées terriblement, le clito, n'en parlons pas, il est affreux.
Lucie, les yeux pleins de larmes, dit :
-Oh mon chéri, c'est merveilleux le plaisir que tu me donnes, si j'oserai, je demanderai à ton papa de me faire jouir comme tu le fais avec le martinet ou la ceinture, je sais que ce n'est pas normal, mais j'adore ça. Oh la vache là mon salaud, tu m'as bien arrangé !
Péniblement Lucie descend de la table, elle va prendre une douche et ensuite prendre son petit déjeuner. Pendant la journée, elle subit, avec joie, de nouveaux assauts de son fils. Le soir arrive, enfin José rentre de sa pêche, il est fier de ses prises. Une fois son attirail rangé, Il embrasse sa femme et son fils. Il vide les poisons et les place au congélateur. Il demande :
-Alors mes chéris, votre journée a été bonne !
C'est sa femme qui répond :
-Oh oui mon chéri, très, très bonne, Lucas et moi, nous avions œuvré une grosse partie de la journée, je dois dire que je suis crevée, après le diner, je file au lit !
Le repas se passe normalement, une fois terminé, Lucie comme annoncé monte dans sa chambre. José va prendre une douche avant de la rejoindre. Lucas lui reste devant la télévision un instant avant de rejoindre sa chambre. José, retire ses vêtements, il repousse les draps et en souriant retrousse la nuisette de sa femme. Elle n'a pas eu le temps d'éteindre la lumière.
José reste sans voix devant les marques boursoufflées, qui ornent le bas ventre de sa femme. Il lui demande :
-Mais qu'est-ce qui s'est passé ma chérie, tourne-toi !
Lucie se met sur le ventre, les fesses et le dos sont marqués aussi. José n'en revient pas, il repose la question. Sa femme, très gênée, prend son courage à deux mains et lui avoue tout. Il écoute sans dire un mot. Complètement dévasté, il se laisse tomber sur le lit. Après un long moment de silence, il dit :
-Oh la vache, j'ai du mal à croire que tu as couché avec notre fils et qu'en plus, tu es masochiste, il faut que tu aimes ça vu comment tu es marquée, et moi dans tout ça !
Très penaude, Lucie lui dit avec quelques trémolos dans la voix :
-Tu dois m'accepter comme je suis mon chéri, j'ai honte de moi, mais je n'y peux rien, c'est la nature, maintenant que j'y ai gouté, je ne sais que faire !
José, en soupirant fortement, dit en la regardant :
-Je ne peux que te laisser vivre tes délires même si cela me fait mal, il t'a bien fait jouir le fiston !
Lucie répond :
-Oh oui, comme une folle, il est infatigable Lucas !
José ajoute :
- Je me résous à ce que ce soit Lucas ton amant !
-Oui mon chéri, fais gonfler les nichons de maman, pétris-les bien fort, bouffe-moi les tétons, oh, tu me rends dingue !
Les doigts de Lucas s'enfoncent dans la chair souple des demi-sphères, les malaxent en profondeur, les pétrit longuement sans les ménager. Rapidement, les seins se raffermissent, les bouts se raidissent, ils deviennent larges et épais. Lucas les roule entre ses doigts, les étire, les presse sans cesse. Sa maman est au bord de la syncope tellement elle adore ce genre de traitement.
Sa bouche entre en action, elle dévore les mamelons à la limite de la brutalité. Les coups de dents sur les petits mâts de chair, font couiner Lucie. Lucas se redresse, sa bite est tendue fièrement sur son bas-ventre, il donne quelques coups de poignet en regardant sa maman, comme pour la provoquer. Il prend place entre ses cuisses, et enfonce son engin dans la chatte brûlante, débordante de cyprine. La maman s'accroche à son fils pour subir ses coups de pilon, qui s'avèrent féroces. Le va-et-vient est rapide pendant un court instant, avant de cesser totalement, pour reprendre à vitesse grand V. Le bougre réitère cette manœuvre plusieurs fois. À chaque que fois que sa maman est au bord de la jouissance, le coquin cesse tous mouvements. Il attend que la pression retombe, avant de reprendre le pilonnage. Lucie est frustrée, par le jeu que joue son fils, elle veut jouir.
-Oh mon chéri, tu veux me faire mourir, bourre-moi à fond mon cochon, ne me laisse pas comme ça !
Lucas, comme pour la punir, reprend au ralenti le va-et-vient. C'est sa maman qui donne des coups de reins, à chaque coup de reins, elle pousse un han de bucheron. Sa peau ruisselle des efforts qu'elle produit, Lucie est en sueur.
La verge de son fils lui rabote les muqueuses vaginales, cela a pour effet de la faire gémir de plaisir. Le bougre reprend le contrôle de la situation, il donne des coups boutoirs terribles, ses couilles frappent avec force la chatte de sa maman, qui ne cesse de gémir. Le ramonage dure un bon moment, le coquin sait s'y prendre pour retenir sa jouissance. Quant à Lucie, elle se cabre et explose en hurlant, sa jouissance est monstrueuse. Elle a plusieurs orgasmes à la suite. Des spasmes puissants lui secouent le corps.
Lucas, en bon amant, lui travaille le corps avec un acharnement inouï, plusieurs jouissances, terrasse sa maman, avant que lui-même lui remplisse le ventre de son sperme. Ils s'endorment en restant soudé l'un à l'autre. Le lendemain matin, c'est Lucas qui levé le premier, prépare le petit déjeuner, il ne porte qu'un boxer pour seul vêtement. Sa maman descend à son tour avec une blouse sur le corps. Elle s'étire en regardant son amant de fils en souriant.
Elle arrive à la cuisine, qu'immédiatement, son fils la bascule sur a table. Il lui ouvre brusquement la blouse en arrachant plusieurs boutons. Lucie s'ouvre comme une fleur, son compas est grand ouvert. Son fils, aussi insatiable que sa maman, plaque sa bouche sur la chatte qui sent encore l'amour de la nuit. Il donne quelques coups de langue sur les poils durcis par le sperme séché, et aspire la boule de chair qui est encore douloureuse par les coups reçus, sa maman se cabre en poussant un râle.
Il broute si bien la chatte de sa maman, qu'elle explose de jouissance. Il baisse son boxer et sans formalité, plante dans le ventre de sa maman sa queue dure comme du béton. Il la besogne jusqu'à ce qu'elle atteigne une nouvelle jouissance. Il la défonce comme un soudard, sans la ménager. C'est en grimaçant qui lui remplit le ventre de sa semence. Il lui dit :
-Ne bouge pas, je reviens !
Il réapparaît avec le martinet, Lucie jubile en voyant l'engin frappeur, elle ouvre les jambes le plus possible. Le premier coup qui s'abat sur sa chatte la fait cabrer. Elle pousse un cri, qu'elle tente d'étouffer en se mordant le poignet. Une pluie de coups d'abats sur son bas-ventre en la faisant rugir comme un fauve malade. Elle s'arcboute fortement, une puissance jouissance la fait hurler. Lucas jette le martinet, il regarde la chatte dévastée, les grandes lèvres sont gonflées terriblement, le clito, n'en parlons pas, il est affreux.
Lucie, les yeux pleins de larmes, dit :
-Oh mon chéri, c'est merveilleux le plaisir que tu me donnes, si j'oserai, je demanderai à ton papa de me faire jouir comme tu le fais avec le martinet ou la ceinture, je sais que ce n'est pas normal, mais j'adore ça. Oh la vache là mon salaud, tu m'as bien arrangé !
Péniblement Lucie descend de la table, elle va prendre une douche et ensuite prendre son petit déjeuner. Pendant la journée, elle subit, avec joie, de nouveaux assauts de son fils. Le soir arrive, enfin José rentre de sa pêche, il est fier de ses prises. Une fois son attirail rangé, Il embrasse sa femme et son fils. Il vide les poisons et les place au congélateur. Il demande :
-Alors mes chéris, votre journée a été bonne !
C'est sa femme qui répond :
-Oh oui mon chéri, très, très bonne, Lucas et moi, nous avions œuvré une grosse partie de la journée, je dois dire que je suis crevée, après le diner, je file au lit !
Le repas se passe normalement, une fois terminé, Lucie comme annoncé monte dans sa chambre. José va prendre une douche avant de la rejoindre. Lucas lui reste devant la télévision un instant avant de rejoindre sa chambre. José, retire ses vêtements, il repousse les draps et en souriant retrousse la nuisette de sa femme. Elle n'a pas eu le temps d'éteindre la lumière.
José reste sans voix devant les marques boursoufflées, qui ornent le bas ventre de sa femme. Il lui demande :
-Mais qu'est-ce qui s'est passé ma chérie, tourne-toi !
Lucie se met sur le ventre, les fesses et le dos sont marqués aussi. José n'en revient pas, il repose la question. Sa femme, très gênée, prend son courage à deux mains et lui avoue tout. Il écoute sans dire un mot. Complètement dévasté, il se laisse tomber sur le lit. Après un long moment de silence, il dit :
-Oh la vache, j'ai du mal à croire que tu as couché avec notre fils et qu'en plus, tu es masochiste, il faut que tu aimes ça vu comment tu es marquée, et moi dans tout ça !
Très penaude, Lucie lui dit avec quelques trémolos dans la voix :
-Tu dois m'accepter comme je suis mon chéri, j'ai honte de moi, mais je n'y peux rien, c'est la nature, maintenant que j'y ai gouté, je ne sais que faire !
José, en soupirant fortement, dit en la regardant :
-Je ne peux que te laisser vivre tes délires même si cela me fait mal, il t'a bien fait jouir le fiston !
Lucie répond :
-Oh oui, comme une folle, il est infatigable Lucas !
José ajoute :
- Je me résous à ce que ce soit Lucas ton amant !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu sais me tenir sur l'excitation avec tes écrits...
C'est vrai que c'est dommage de ne pas avoir de suite mais je me réjouis de lire tes prochains textes
Cyrille
C'est vrai que c'est dommage de ne pas avoir de suite mais je me réjouis de lire tes prochains textes
Cyrille
Désolée, pas de suite prévue.
Oui, très belle histoire, j'aurai bien voulu la vivre.
J'espère qu'il y aura une suite....