LUPANAR DANS LA JUNGLE - histoire érotique

Nous avions réservé un séjour de dix jours au Belize, petit pays d'Amérique centrale, connu pour ses spots de plongée, ses ruines mayas et sa jungle luxuriante.
Après six jours de farniente sur une île, nous avons rejoint Belize City afin de visiter les ruines mayas et la jungle.
Nous avons pris un hôtel en banlieue à cause de nos finances un peu justes. Le premier soir, au bar de l'hôtel, nous avons rencontré Robert, un sympathique black athlétique et nous avons pris un verre ensemble.
Le lendemain, nous avons passé la journée dans la jungle à marcher et faire des photos en compagnie d'un guide.
Le soir, nous avons retrouvé Robert au bar de la piscine. Il faisait soif, il avait beaucoup d'argent à dépenser et nous avons bu quelques cocktails. Un peu trop. Ma femme lui a finalement demandé ce qu'il faisait pour gagner sa vie et il a répondu qu'il tenait un bar à filles à l'extérieur de la ville.
Nous avons ri sans trop croire à son histoire. Mais il s'est vexé et m'a mis au défi de passer la nuit avec une belle putain. Je me suis excusé en prétendant que ça m'amuserait beaucoup, mais que nous étions un peu à court d'argent et que je ne pensais pas que ce serait une si bonne idée.
Il m'a juré qu'il pourrait me procurer une guatémaltèque pour seulement dix dollars, que cette fille était chaude comme de la braise, et capable de faire bander un mort. Comment pourrais-je passer à côté d'une si bonne affaire? Comme j'hésitais, ma femme, Cindy, m'a dit: « vas-y, amuse-toi, je vais t'accompagner dans ce lupanar pour faire quelques passes et prendre un peu de bon temps moi aussi.»
Elle s'est retournée vers Robert en demandant: « Qu'en penses-tu?»
Robert l'a déshabillée du regard, de la tête au pieds, s'attardant sur ses formes pleines, et lui a assuré qu'elle pouvait se faire pas mal d'argent pour améliorer nos vacances et payer mon sexe avec la putain guatémaltèque.
« Combien d'argent pourrais-je gagner?» insistait ma femme.
« Je prends 60%, la fille 40%. Je fournis la chambre, le linge et les préservatifs.»
Mais je n'aimais pas son regard qui se promenait sur les formes de Cindy. Il jaugeait la marchandise.
« Toutes les filles utilisent des préservatifs?» J'ai demandé.
« C'est elles qui décident, moi je fournis le matériel pour le département de la santé, les contrôles sont fréquents, car il y a une base de la Navy à proximité.»
« Qu'est-ce que je devrais faire dans ta maison de passe?» ma femme a demandé
Robert a rigolé. « Tu dois sucer et baiser, Miss»
« OK, ça marche pour moi, je sais le faire!»
Je devenais un peu anxieux maintenant que ma femme semblait vraiment décidée à aller là-bas.
« N'importe quoi!!»
« Ce soir ... j'en ai envie … je veux le faire.»
« Mais chérie...»
« Je veux me faire un paquet de fric, pour passer de bonnes vacances, m'amuser, profiter et claquer autant que je veux. Ça ne me dérange pas de me faire sauter par des étrangers, j'ai déjà sucé des queues gratis, si ça paye alors je suis d'accord, je veux bien faire la pute cette nuit!»
« Chérie, tu es juste un peu ivre ...»
« Je t'ai dit que je veux me faire baiser dans son bordel ... OK?»
A ce moment, Robert s'est levé et a dit qu'il devait partir car il était ouvert de 19H à 3H du matin.
Il a ajouté que si nous voulions faire un tour, histoire de nous rendre compte, nous pouvions venir avec lui.
Ma femme a attrapé son sac à main et s'est levée, j'ai pensé que je ferais mieux de la suivre, cela pourrait être une longue nuit. Elle s'est assise à l'avant de la voiture et moi à l'arrière. En conduisant, il a tendu la main vers ses cuisses. Docile, elle a relevé sa robe plus que nécessaire et l'a laissé prendre possession de son entrejambe Tout le long du chemin je pensais à quel point elle était belle et désirable et combien je l'aimais, mais que je n'aurais jamais pu imaginer que nous finirions dans un bordel près de la jungle.
Quand nous sommes arrivés, Robert l'a conduite dans une chambre pendant que je m'offrais un verre au bar. Après un bon moment, il est revenu avec des polaroids de ma femme, nue. Il m'a expliqué que les gars qui veulent une femme, il y a un bouquin sur le bar avec les photos des filles et le numéro de la chambre, ils choisissent parmi les photos, ils payent, puis ils rejoignent la fille dans la chambre. Pas de mélange dans la salle, pas de tripotage, les hommes au bar, les filles en chambre, cela évite les histoires.
Il a étalé quatre images sur le bar. La première, elle est couchée sur le dos, nue, les jambes écartées, souriante. La deuxième, elle se tripote les seins en faisant saillir ses tétons. La troisième, une bite noire dans la bouche, elle fixe la caméra. La quatrième, le visage plein de foutre, souriante, elle écarte sa chatte avec ses doigts. Un véritable appel au viol.
« Elle va faire beaucoup d'argent ce soir, je pense facturer un supplément car nous n'avons jamais eu de vraie blonde ici auparavant.»
« Quel tarif pour la baiser?» J'ai demandé.
« Je pense 25 $ pour la baise, 15 $ pour la pipe, 30 $ pour la totale»
Avec des prix aussi bas, j'ai compris que ma belle femme blonde allait passer une nuit agitée. Ma bite était déjà raide et je savais que j'aurais besoin d'un peu de soulagement bientôt. A ce moment, un grand noir entra dans le bar, salua Robert et demanda ce qu'il y avait ce soir comme marchandise. Robert posa le bouquin des filles sur le bar et l'homme les feuilleta. Quand il est arrivé sur la page de ma femme, il s'est arrêté.
« Putain, la salope! Où as-tu chopé cette poupée blonde, mon salaud?»
« Une occasionnelle ... nouvelle ... seulement une nuit … bien sûr elle est un peu plus chère, mais elle est vraiment bonne.»
« Combien pour cette morue blonde? Britannique?»
« Américaine, 30 $ pour la totale»
« Merde, j'ai pas assez, combien pour la baiser?»
« 25 $»
« Et la pipe?»
« 15 $»
« OK, ce sera la pipe!»
Il a payé Robert et a enfilé le couloir des chambres. J'ai eu la rage! Grave! Devant moi, un type venait de payer un mac pour baiser ma femme. Quelques minutes, deux autres types sont entrés et ils ont également choisi ma femme. Ils voulaient la Totale mais ils ont dû attendre que l'autre ait fini. Moins d'un quart d'heure, le premier gars est ressorti et l'un des deux autres est entré. J'ai offert une bière au premier gars, prétextant que j'hésitais à choisir cette blonde inexpérimentée, et lui demandant son avis.
« Inexpérimentée? Oh mec, cette salope, elle m'a nettoyé la bite, elle a commencé par me sucer les couilles et me lécher jusqu'au gland, elle m'a pompé jusqu'à ce que je sois bien dur.» Il regarda autour de lui pour voir si Robert était dans les parages, et il a chuchoté: « J'ai dis j'arrive, tiens toi prête, elle m'a répondu mets-la dans ma chatte .. J'ai dis que je ne paye pas pour la totale, elle a répondu m'en fous, mets-la moi profond et balance la purée à l'intérieur. Alors je l'ai baisée dur et j'ai craché mon sperme dans sa chatte.»
« Vous n'avez pas utilisé de préservatif?»
« Non, elle m'a rien demandé, donc j'ai laissé tomber.»
« Et elle est bonne?»
« Bonne? Ooh, mec, elle est serrée, douce, chaude, cette pute, c'est un bonbon, crois-moi!»
J'imaginais le pire. Ici, dans ce bordel au milieu de nulle part, baisant avec des inconnus sans protection, des noirs, des métis, les couilles pleines, venus ici pour se vider. Je ne pouvais imaginer qu'elle soit aussi excitée qu'elle s'en fichait.
Le deuxième gars a utilisé la limite de temps, la demie-heure. Quand il est sorti il a raconté à son pote que la chienne blanche était très salope et sauvage et qu'elle était folle de la bite. L'autre a disparu instantanément dans le couloir des chambres. Robert a expliqué au premier des deux gars: « Tu comprends pourquoi tu as dû payer plus cher. Elle n'est là que cette nuit, tout le monde la veut, et c'est une sacrée salope!»
Après, il y a eu un moment d'accalmie. Puis quatre bidasses sont entrés. Tous blancs, ils ont regardé les photos et ils ont tous choisi ma femme. Ils ont payé la Totale et tiré à la courte paille pour décider l'ordre de passage. Après une heure et demie, ils avaient tous fait leur tour et étaient assis au bar en train de parler d'elle. L'un des gars était venu sur son visage sans la baiser. Le deuxième dans sa bouche, elle a tout avalé. Le troisième l'a baisé jusqu'à ce qu'on frappe à la porte. Il a dit qu'il ne pouvait pas venir avec un préservatif. J'étais sidéré. Elle laissait les blacks la baiser sans préservatif, mais les blancs devaient en porter un. Le dernier gars l'a prise par le cul et elle a adoré. J'ai demandé au sujet des préservatifs et ils ont dit qu'elle a insisté.
Après leur départ, un noir est entré et l'a choisie aussi. Les autres filles s'ennuyaient ... Vers minuit, des adolescents sont entrés et voulaient baiser ma femme, mais Robert les a chassé en disant que c'était des racailles sans argent. À ce moment-là j'ai choisi une des filles qui travaillaient cette nuit-là. Je suis entré et j'ai eu un orgasme très rapide, mais j'étais encore dur alors elle m'a sucé un peu puis branlé pour que je me soulage. Elle m'a fait porter un préservatif tout le temps. Quand je suis revenu au bar, le noir était parti et Robert m'a dit qu'il y avait un autre métis avec ma femme.
Un autre noir s'est présenté, a choisi Cindy et quand on lui a dit qu'il devrait attendre, il a demandé a Robert si elle valait la peine. Robert a dit qu'il n'avait aucune plainte ... tout le monde aimait sa bouche et sa chatte jusqu'à présent. Le noir a dit qu'il attendrait. Quand l'homme est sorti, le gars lui a demandé comment c'était, et le métis a dit qu'elle l'a sucé jusqu'à ce qu'il vienne sur son visage et ses seins, puis elle l'a sucé de nouveau fort puis il l'a baisée jusqu'à ce qu'il vienne dans sa chatte. Sans préservatif, il a insisté, en regardant Robert qui a haussé les épaules.
Après que le noir soit reparti sans commentaire, Robert a déclaré qu'il était temps de fermer. Il a fermé la porte, éteint les lumières de la façade, puis est allé faire le tour des chambres des filles. En dernier, il a ramené ma femme et lui a payé 100 $. Elle a sucé, baisé et couché avec 9 mecs pour 100 $!
Il nous a ramené à notre hôtel, est monté dans notre chambre et a baisé Cindy devant moi. Il l'a baisée longtemps, en prenant son temps, elle se tortillait sous lui, gémissait très fort en haletant. Quand il s'est retiré, elle l'a sucé jusqu'à ce qu'il soit bien propre. Il lui a dit qu'elle serait toujours la bienvenue pour faire la pute chez lui quand elle le voudrait ou simplement si elle avait juste besoin d'une bite, il serait heureux de lui rendre ce service.
Alors que nous étions allongés côte à côte, j'ai commencé à tripoter ses seins et sa chatte, elle m'a chassé en disant qu'elle avait eu son compte cette nuit. Je lui ai demandé pourquoi baiser les blacks sans préservatif ...
« Ils sont si excitants, je les sens bien aller et venir dans ma chatte»
« Et les blancs, pourquoi tu leur en as fait porter?»
« Je n'ai de plaisir qu'avec les noirs ... et la tienne, bien sûr!»
Après cela, elle s'est endormie. Le lendemain, nous avons flâné et sommes rentrés tard. Elle avait presque trois semaines de retard sur ses règles, ce qui me rendait très nerveux, mais elle a juste ri quand je lui ai posé la question.
Le soir, au lit, elle m'a confié qu'elle aimerait un travail de call-girl ou d'escorte à temps partiel, jusqu'à ce que nous puissions revenir en vacances ici. La prochaine fois, elle aimerait passer au moins une semaine dans le bordel. Puisque ses formes plantureuses plaisent aux blacks, et qu'elle-même …
Peut être même, si elle arrive à faire assez de fric, avant l'année prochaine.