Ma cousine Marie

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Récit libertin : Ma cousine Marie Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma cousine Marie
Ma cousine Marie porte très mal son prénom.

Ma cousine Marie vient d’avoir dix-huit ans. J’ai un an de plus qu’elle. Et la semaine dernière j’ai découvert une face d’elle insoupçonnée. Derrière son visage d'ange et de fille sage se cache en fait une fille assoiffée de sexe. On est bien loin de la Marie de la Bible.

Lors de ce début d’été, nous partons ensemble en vacances sur les plages du Pays Basque. L’idée de partir en vacances avec moi vient d’elle. Je me rends chez Marie pour la récupérer afin de passer quelques jours en sa compagnie. Quand je me gare devant son immeuble où se trouve son appartement, Marie m’attend déjà. Elle porte une robe bleue ciel plutôt courte qui met en valeur ses formes de jeune femme. Je sors de ma voiture pour aller la saluer. On se fait naturellement la bise.
- J’ai vraiment besoin de passer quelques jours au bord de l’océan. J'en ai un peu marre de vivre toute seule dans mon studio.
- Je te comprends. Je suis content que tu m’aies invité à passer quelques jours avec toi. Donnes-moi ton sac, je vais le mettre dans le coffre.
- Merci, Éric.

Marie monte à l’avant de la voiture pendant que je m’occupe de son sac. Je vais ensuite me mettre derrière le volant afin de prendre la route vers la petite maison que Marie a réservé quelques jours plus tôt. Sur le trajet aller, on parle de tout est de rien jusqu’à ce que l’on aborde des sujets un peu plus intimes.

- Tu n’as pas de copine en ce moment, Éric ?
- Non. Et toi, petite indiscrète ?
- J’ai largué mon mec, il y a deux semaines.
- Je peux savoir pourquoi ?
- C’est toi qui devient indiscret, cousin !
- Tu as raison, je n’ai pas besoin de savoir.
- Je peux te le dire tout de même…. Il était nul au lit !

Je suis étonné qu’elle me le dise mais je suis tout de même content de le savoir.

- Et toi, ça fait combien de temps que tu es célibataire, Éric ?
- Ça va faire trois semaines.
- C’est toi qui l’a largué ?
- Oui. Disons que sa réputation de fille à la cuisse légère qui commençait à me saouler.
- Quelle réputation ?
- Certains de mes potes se vantaient de coucher avec elle alors qu’on était ensemble.
- Ce n’étaient que des ragots, non ?
- Oui, jusqu’au jour où je l’ai surprise en train de sucer l’un de mes potes derrière un amphithéâtre.
- Oh, quelle salope !!! Je comprends pourquoi tu l’as largué…. Même si sucer n’est pas tromper, pour moi !
- Elle le suçais pour le remercier de l’avoir baisé.
- Ah là, c’est différent !

On s’arrête un instant sur une aire d’autoroute pour aller se boire un café et faire le plein d’essence. On sort de la voiture pour se rendre dans la cafétéria. Une légère brise fait soulève la bas de la robe de Marie. Je peux voir, un bref instant, ses fesses ainsi que sa culotte en dentelle blanche. Elle met une main sur son entrejambe pour baisser sa robe. Elle se met à rougir tout en souriant.

- Heureusement que j’ai mis quelque chose sous ma robe, sinon tout le monde aurait vu ma chatte !
- Parce qu’il t’arrive de ne pas mettre de sous-vêtements, Marie ?
- Ça m’arrive des fois.
- Saches que ça ne m’aurait pas tant dérangé que ça de voir ta chatte.
- Tu es un sacré coquin, cousin

Ma dernière phrase met fin à notre discussion. On va se poser à une table pour boire notre café. On repart quelques instants plus tard, après avoir fini ma cigarette.

On reprend la route. Marie reste silencieuse jusqu’à ce qu’on arrive devant la maison qu’on va occuper pendant les prochains jours. Je me gare et je vais chercher nos sacs dans le coffre. Marie va ouvrir la porte et elle entre dans la maison. Je pose nos sacs dans le salon et on se dirige vers la terrasse. On a une vue imprenable sur l’océan.

- Il y a une vue magnifique, ici !
- Tu as raison, Marie.
- Je vais aller me mettre en bikini dans la chambre.
- OK.

Elle part vers la chambre. Elle semble un peu triste de voir que je ne l’ai pas suivi. Je rentre dans la maison pour rechercher ma chambre. Je suis surpris qu’il en aie qu’une.

- Il n’y a qu’une chambre, Marie ?
- Oui, Éric.
- Euh… OK. Je vais me changer dans le salon, Marie !

Je me change pour mettre mon short de bain et un débardeur. Marie a laissé la porte de la chambre entrouverte. Je la vois enfiler son bikini bleu et blanc. Ses formes plus que généreuses. Je vais m’asseoir sur le canapé en attendant Marie.

Elle entre dans le salon en bikini et avec une serviette sur l’épaule.

- J’avais oublié de te dire qu’il n’y avait qu’une chambre, Éric. On va être obligé de dormir ensemble.
- Euh… OK, cousine. Tu es très belle en tout cas.
- Merci, Éric.

On sort de la maison et on se dirige vers les dunes qui surplombent l’océan. On s’arrête un instant pour profiter de la vue.

- Ça ne manque pas trop de ne plus faire l’amour, Éric ?
- Oui. Je te mentirais si je disais l’inverse. Mais j’ai toujours ma main en cas de besoin.
- J’ai mes doigts aussi, mais ils ne valent pas une bonne queue. Tu te branles souvent ?
- Au moins tous les soirs et toi ?
- Je me doigte deux ou trois par semaine.

Notre petite discussion à cœur ouvert commence à faire grossir ma queue. Marie s’en rend compte.

- Ça te plairait si on se faisait du bien ?
- Pourquoi pas.
- Et si on allait faire ça dans l’océan ?
- Ça pourrait même être excitant, Marie !

À ce moment-là, je pense juste qu’on va juste se masturber l’un l’autre mais ma cousine a bien d’autres choses en tête.

On s’éloigne donc des dunes et on marche au travers d’un chemin très caillouteux. Avec nos tongs aux pieds, on risque à tout monde de se faire mal mais Marie semble bien connaître le chemin. Après un petit quart d’heure de marche, on arrive dans une petite crique bien à l’abri des regards indiscrets. Je trouve cet endroit très agréable.

- Tu as découvert cet endroit comment, Marie ?
- L’an dernier j’avais fait une randonnée avec mes parents et on s’était abrité dans la grotte qui se trouve au fond de cette crique.
- Merci de me faire découvrir cet endroit.
- De rien.

Alors que je pose nos serviettes sur un petit rocher, Marie en profite pour se mettre entièrement nue. C’est en me retournant que je me rend compte qu’elle est en tenue d’Eve. Mon regard se bloque sur sa belle poitrine ainsi que sur son entrejambe parfaitement lisse.

- Tu vas resté habillé, Éric ?
- Euh,… non. Je suis juste surpris par le fait que tu sois nue et je suis ébloui par la beauté de tes formes.
- Merci, pour tes compliments, cousin !

Je me met donc nu à mon tour. Le regard se porte sur mon torse bien musclé ainsi que mon costume trois pièces parfaitement épilé.

- Mmm, tu as un bel engin, Éric !
- Merci, Marie.
- Mais c’est dommage que tu sois tout mou !
- Il ne tient qu’à toi pour le faire grossir.

Bizarrement, Marie ne s’approche pas de moi.

- Il faut que je t’avoue quelque chose, Éric.
- Dis-moi, Marie.
- Si on est ici, c’est parce que mon dernier mec m’a fait pensé à toi.
- Celui qui était nul au lit ?
- Oui. Mais si je suis sortie avec lui c’est parce qu’il te ressemble beaucoup !
- Euh… ça ne te dérange pas que je sois ton cousin ?
- Non au contraire ! Je trouve même que c’est encore plus excitant. Tu n’as jamais pensé à moi de cette manière ?
- Je dois t’avouer que me suis masturbé en pensant à toi le soir ou tu m’as invité pour ce voyage.
- Mmm, je ne pas si bizarre que çà, après tout !

On pose nos serviettes sous nos fesses nus on s’approche l’un de l’autre. Ce moment chaud est vraiment très agréable à vivre. Marie pose délicatement sa main sur ma queue avant de la serrer et de commencer à me masturber. On se regarde droit dans les yeux. Ma main se glisse sur son entrejambe. Je commence par effleurer son clitoris avant que mes doigts caressent délicatement sa fente déjà légèrement humide. Marie semble déjà bien excitée.

- Et si on se faisait un petit soixante-neuf, cousin ?
- Mmm, bonne idée !

Je m’allonge donc sur le dos. Marie pose sa fente sur ma bouche et elle commence à faire tourner sa langue autour de mon gland. Je passe plusieurs coups de langue entre les lèvres de son sexe humide. Je bande comme un âne. Je me délecte de sa mouille qui coule sur ma langue. Marie aspire délicatement mon gland entre ses lèvres tout en me masturbant. Nos gémissements de plaisir sont couverts par le bruit des vagues qui s’écrasent sur les rochers. Nous sommes tellement pris par nos caresses intimes que l’on ne se rend pas compte que la marée monte. On commence à ressentir du plaisir lorsque qu’une vague vient s’abattre sur mes fesses nues.

- Putain, la marée !

On se lève en quelques secondes et on court se refugier dans la grotte au fond de la crique. On récupère nos serviettes avant qu’elles ne soient trempées par l’eau. Le fait que l’eau soit montée coupe l’accès au chemin qui nous a mené dans cette crique.

- Merde ! On va rester bloqué ici !
- Pas de panique, Marie ! Tu n’es pas toute seule.
- Moi qui voulait qu’on se fasse du bien, je suis dégoûtée !
- Pourquoi ça, Marie ? On est bien à l’abri dans cette petite grotte.
- Je n’ai jamais dormi dehors ! On va avoir froid !
- J’ai mon briquet et il y a du bois sec au fond de la grotte. On a de quoi se réchauffer. Ne t’inquiètes pas, Marie ! Tout va bien se passer.

Ce moment de panique coupe court à nos caresses et ma bite est à de nouveau molle.

- Heureusement que tu es là, Éric. Sans toi, je ne sais pas ce que j’aurais fait !
- Ça va aller, Marie.

On échange un doux baiser tendre entre cousins. Je caresse sa belle poitrine généreuse pour la rassurer.

- J’avais tellement envie de ta queue ! Je suis sûre qu’avec toi je n’aurais pas eu besoin de simuler.
- On peut encore s’amuser, Marie !
- Mais ta queue est toute molle !
- Il ne tient qu’à toi de la rendre à nouveau dure !
- OK, je te suce et tu me promets de me prendre sauvagement la chatte après !
- Je ferais tout pour te faire plaisir, Marie.

Comme la grotte est assez exiguë, il n’y a pas moyen que je lui lèche la chatte pendant qu’elle s’occupe de ma queue. Je peux tout de même la doigter. Pendant que Marie me suce pour redonner vie à ma queue, je viens glisser deux puis trois doigts dans sa chatte. Sa chatte est bien humide et elle accepte facilement mes trois doigts en elle.

- Oh, tu suces bien, Marie ! Tu t’es déjà faites fister ?

Elle arrête subitement de me sucer. Mais elle continue tout de même à me branler.

- Tu veux savoir si j’ai déjà pris un poing dans ma chatte ?
- Oui, Marie. Alors ?
- Euh,… non ! Tu l’as déjà fait toi ?
- Mon ex-copine en était accro.
- Mais, tu m’as dit qu’elle était un vrai garage à bites !
- Je ne l’ai pas dit tout à fait comme ça mais c’est vrai que c’était une vraie salope. Tu ne veux pas essayer ?
- Mais si tu le fais, je ne sentirais plus ta queue, après !
- On baise en première et après t’avoir amener une première fois à l’orgasme, on le fait. Ça te va ?
- Euh,… OK, Éric. Mais avant il faut que tu sois tout dur !
- Ça ne va pas tarder, Marie !

En effet, le fait de lui avoir proposé de la fister me fait rapidement devenir dur. Marie me suce quand même pendant quelques secondes.

- Je vais te prendre en levrette contre la paroi de la grotte, Marie !

On se lève et Marie pose ses mains sur la paroi de la grotte en écartant bien ses cuisses. Son bel abricot est brillant de mouille. Je frotte mon gland le long de sa fente avant de le planter dans sa chatte. J’agrippe l’une de ses hanches et je tire sa longe chevelure en arrière afin qu’on puisse s’embrasser. Pendant je pose mes lèvres sur les siennes, j’entre dans sa chatte en lui ascendant un puissant coup de queue. Marie ne pas réprimer un long cri de plaisir.

AAAH ! OUIIII !!! DÉFONCES-MOI !!!

Ma cousine me montre aussi son petit côté inattendue de salope. Je la lime avec force en alternant des coups de queue lents et rapides. Ces cris de plaisir résonnent dans la grotte. Je claque de temps en temps ses belles fesses fermes.

- VAS-Y FORT, PUTAIIIIN ! JE N’AI JAMAIS AUTANT PRIS MON PIED !!! DÉFONCES-MOI !!!
- Je vais te faire jouir, Marie !

Le fait qu’elle crie fort ne fait qu’accroître mon excitation. Mon bassin claque fort sur ses fesses. Marie caresse son clitoris pour accentuer son plaisir. Soudainement, elle se met la pointe des pieds et je peux sentir les contractions de son vagin autour de ma queue. Elle atteint son orgasme alors que je suis toujours en train de la limer.

- AAAAH !!! ÉRIIIIC ! TU ME FAIS JOUIIIR, PUTAIIIIN !!! VIDES-TOI DANS MA CHAAAATTE !!
- Oh, oui, je sens que ca vient, Mariiie !

Je décharge tout mon jus au fond de sa chatte trempée et humide. Je reste planté en elle sans bouger pour reprendre mon souffle. Je sors finalement de son antre chaud et je m’assois sur ma serviette. Marie me rejoint et nous échangeons un long baiser langoureux.

- Je ne sais pas pourquoi mais je savais que tu ne me décevrais pas, cousin. Je n’ai jamais autant crié de plaisir comme çà.
- Je suis vraiment heureux de t’avoir donné autant de plaisir, Marie.
- Tu m’as fait vivre mon tout premier vrai orgasme. D’habitude, je suis obligée de simuler.

Elle pose sa tête sur mon épaule et elle me fait un bisou dans le cou.

- Tu es prête pour la suite, Marie ?
- Si tu me fais jouir à nouveau comme çà, ça me va !

Je profite que Marie soit encore trempée et pleine de mon sperme pour glisser directement trois doigts en elle. Marie se cambre déjà de plaisir. Après quelques secondes, je finis par mettre quatre puis cinq doigts en elle. Ses cris de plaisir s’accentuent.

- AAAAH !!! CEST ENCORE MIEUX QUE TA QUEUUUE !!!
- Ce n’est que le début, Marie !

Dès que ma main est bien couverte de mouille, je fais entrer mon poing en elle. Ses cris de plaisir ne vont qu’en s’accentuant.

- OH !!!! PUTAIIIIN, ÉRIC !!!! VAS-Y !!! C’EST TROP BOOON !

J’ouvre ma main dans sa chatte et je fouille l’intérieur de sa chatte avec mes doigts. Elle bascule la tête en arrière et elle se cambre au maximum tout en caressant ses seins.

- TU VAS ENCORE LE FAIRE JOUIIIIR !!!! AAAH OUIIII !!! PUTAIIIIN

Je bouge ma main en elle jusqu’à ce que ressente les muscles de son vagin se contracter. Elle crie à nouveau de plaisir. Je sors ma main de sa chatte. Je lui fais sucer mes doigts. Tout son corps tremble de plaisir suite à son puissant orgasme.

- Oh, Éric ! Je n’ai jamais ressenti autant de plaisir. Merci !

On échange un long baiser. On reste un long moment nu l’un contre l’autre sans se parler. On se redressant, on voit le soleil se coucher à l’horizon. La fraîcheur commence à se faire sentir. On décide donc de nous rhabiller.

On profite du soleil couchant en se serrant fort l’un contre l’autre. Marie se semble plus s’inquiéter du fait que l’on soit bloqué dans cette grotte.

Après avoir galéré plusieurs minutes, j’arrive tout de même à allumer un feu avec les quelques branchages présents au fond de la grotte.

- Tu vois que ça sert à quelque chose d’aller en camp scout l’été !
- C’est clair que sans toi, j’allais finir geler au fond de cette grotte.
- N’exagères pas trop, Marie. Il fait encore quinze degrés !
- Je préfère aller en colonie de vacances. J’y ai fait de belles rencontres d’ailleurs mais en toute amitié.

La nuit commence à tomber et on regarde le ciel s’éclairer d’étoiles. La situation est plutôt romantique. Je vois passer une étoile filante.

- Tu as fait un vœu, Marie ?
- Oui et toi, Éric ?
- Aussi.

On se les garde pour nous mais je crois deviner le sien en la voyant me regarder droit dans les yeux et en posant une main au niveau de mon sexe. Elle a sans doute souhaiter rencontrer un mec qui serait capable de la faire jouir autant que moi. Le mien est du même ordre ; j’espère juste trouver une fille fidèle et simple qui pourrait me combler sexuellement.

Marie s’endort paisiblement dans mes bras. Je la recouvre avec l’une de nos serviettes.

Je reste le plus longtemps possible éveillé pour surveiller le feu. Je finis tout de même par m’endormir à mon tour.

Le lendemain matin, je me réveille le premier. Marie est toujours dans mes bras. Durant la nuit, la marée s’est retirée. Je viens déposer un baiser sur son front pour la réveiller.

- Il est temps de se réveiller, ma belle princesse au bois dormant !
- Salut, mon preux chevalier. Comment se porte ton épée ?
- Elle va bien. Et comment va ton puits d’amour ?
- Un peu endolori mais il va s’en remettre.

On se lève pour s’étirer. Mon dos est un peu douloureux. Marie me fait un léger massage pour me soulager.

- Tu ne veux pas aller te baigner, Éric ?
- Pourquoi pas.

Sans m’y attendre, Marie enlève son bikini et elle se dirige vers l’océan. Je mate son joli petit cul avant de me mettre nu à mon tour pour la rejoindre. On ne reste que quelques minutes dans l’eau avant de se rhabiller. Notre dernière nuit n’a pas été de tout repos.

Comme le chemin d’accès est à nouveau accessible, nous revenons vers la maison.

On entre dans le maison et on se dirige tous les deux dans la chambre. Sans rien se dire, on se déshabille avant de se glisser nu sous les draps. Marie vient se blottir dans mes bras. On a vraiment besoin de repos et de profiter de cette matinée pour dormir dans un endroit bien plus douillet.

En fin d’après-midi, je me réveille et je laisse ma cousine seule dans le lit. J’enfile juste mon short de bain. Je vais me griller une cigarette en attendant qu’elle se réveille. Je me remémore ses dernières heures durant lesquelles j’ai pris un pied pas possible à baiser ma belle cousine. Je m’accoude à la rambarde de la terrasse et je regarde les gens se promener sur la plage. Je sens une main se poser sur mes fesses. Marie me fait un bisou dans le cou.

- Salut, Éric.
- Coucou, Marie.

Je me retourne vers elle pour lui faire la bise. Je souris en voyant qu’elle ne porte que son bas de bikini.

- Tu n’as pas trop froid comme ça ?
- Non, ça va. J’ai moins froid que la nuit dernière en tout cas. Tu veux que je te prépare un café ?
- Je veux bien, Marie.

Elle va dans la cuisine après m’avoir mis une petite claque sur les fesses. Je sens que cette petite coquine est en train de préparer quelque chose.

Marie amène deux cafés que l’on savoure en profitant de la belle lumière de cette fin d’après-midi.

- Je voulais encore te remercier de t’être occupée de moi.
- C’est bien normal, Marie.
- Tu viens me rejoindre sous la douche dès que tu auras fini ton café ?
- Avec plaisir !

Cette petite coquine semble avoir envie de passer un moment tendre avec moi… et surtout avec ma queue. Je pose ma tasse de café vide sur la table de la terrasse et je m’en vais la rejoindre sous la douche. Elle est déjà nue quand j’entre dans la salle de bain. Je retire mon short pour la rejoindre. Je viens me coller dans son dos pour caresser ses seins. Ma queue commence à se dresser. Elle vient se glisser entre ses fesses.

- On dirait que tu es déjà en forme, cousin !
- C’est difficile de rester de marbre devant ta belle poitrine et tes jolies fesses.
- Ça te dirait de jouer à un petit jeu ?
- À quoi tu penses, Marie ?
- En fait j’aimerais te faire un petit strip-tease.
- Mmm, Marie !
- Laisses-moi me sécher les cheveux et après on jouera ensemble… et je te laisserais peut-être me prendre par le cul.
- Mmm, Marie ! Je te trouve ton idée très excitante !

Je la laisse donc sortir de la douche malgré mon début d’érection. Je finis donc par prendre ma douche tout seul pendant qu’elle sèche ses cheveux dans la salle de bain en restant nue.

- Tu peux m’attendre dans la chambre, Éric ?
- Oui, princesse.
- Ne fais pas cracher ton épée sans moi. OK ?
- Oui, ma belle demoiselle. Je ne la ferais cracher qu’au fond de vos entrailles.

On échange un doux baiser avant que je n’aille m’allonger nu sur le lit. Il met près d’une demi-heure à me rejoindre. Je m’assoupis un instant.

- J’espère que je n’ai pas été trop longue ?

J’ouvrais les yeux. Marie porte une culotte et un soutien-gorge blanc en dentelle.

- Mmm, j’adore votre tenue, princesse !
- Je vais te faire un petit strip-tease.
- Oh, oui, Marie !
- Tu n’as pas intérêt de toucher ta queue tout seul !
- Je vais la laisser se gorger de sang toute seule en profitant du spectacle que tu vas m’offrir !

Ma cousine sait vraiment comment exciter un homme.

Marie commence par masser ses seins en gardant son soutien-gorge. Elle baisse lentement les bretelles de son soutien-gorge l’une après l’autre. Elle me tourne le dos et il le dégrafe. Elle le jette vers moi tout en gardant un main sur sa poitrine. Son soutien-gorge vient se poser sur ma queue qui commence à gonfler. Je me saisis de son soutien-gorge pour le poser sur la table de nuit. Marie se met à quatre pattes au dessus de moi et elle vient fouetter mon visage avec ses seins. Alors que j’approche mes mains de sa poitrine, marie se lève subitement pour m’empêcher de toucher ses seins. Cette petite coquine est une bonne allumeuse. Elle saisit ma queue pour la mettre entre ses seins. Elle la serre fort et elle me fait une bonne branlette espagnole.

- Ce n’est pas du jeu, Marie ! Tu m’as interdit de me branler !
- Non, Éric ! Je n’en freins pas la règle ! J’ai le droit de te branler !
- Mmm, coquine ! Ça me fait du bien !

Après cette petite branlette mammaire, Marie se met debout devant moi elle baisse lentement sa culotte pour finalement me l’a jette au visage. Je la serre contre mon nez pour humer l’odeur de sa chatte. Sa culotte est légèrement trempée. Elle passe deux doigts le long de sa fente avant de les glisser lentement en elle. Elle prend l’un de ses seins dans une main pour le porte à sa bouche et sucer son téton. Je bande comme un âne.

- Oh, si tu continues comme ça, tu vas me faire gicler sans même me toucher !
- J’adore exciter les hommes, Éric.
- Je vois ça, Marie !

Mon gland commence à perler. Aucune fille ne m’a autant excité qu’elle.

Marie vient s’asseoir sur moi et elle vient frotter son bas-ventre le long de ma queue raide. On échange de langoureux baisers en même temps.

- Je peux toucher tes fesses, princesse ?
- Oui, bien sûr.

Je pose donc mes mains sur ses fesses et les pétris délicatement. Elle saisit ma queue bien dure. Elle soulève un peu son bassin et elle fait glisser mon gland dans sa chatte trempée. On pousse tous les deux un long gémissement de plaisir. Je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir de gicler dans sa chatte. Je mordille l’intérieur de mes lèvres. Je gémis fort à chaque fois que je sens mon gland taper au fond de sa chatte. Marie semble ressentir un plaisir immense. Elle coulisse le long de ma queue pendant quelques minutes.

- Oh, Marie ! Mmm tu vas me faire jouir !

À mes mots, Marie sort ma queue de sa chatte et elle vient se mettre à quatre pattes à côté de moi.

- Viens te finir sans mon cul, Éric !
- Oui, princesse !

Je me lève pour me mettre juste derrière elle. Elle pose sa poitrine sur le lit et elle écarte ses fesses avec ses doigts. Je passe à plusieurs reprises ma langue sur son petit trou. Malgré ses dix-huit ans, elle semble déjà avoir pris des queues dans le cul. Je crache sur sa rondelle avant d’y poser mon gland dessus. Je dois tout de même forcer pour glisser mon gland dans son cul.

- AAAAH ! C’est meilleur que mon gode, Éric !
- C’est la première fois que tu te fais enculer, Marie ?
- Par une vraie queue, oui !!
- Mmm, je vais te faire jouir par ce trou-là aussi, princesse !
- J’y compte bien ! Vas-y défonces-moi !

Le fait que je sois le premier à explorer son petit trou ne fait qu’accroître mon envie de la faire crier de plaisir. J’agrippe donc ses hanches et je lui donne de bons coups de reins afin de pouvoir m’introduire plus profondément en elle. Elle crie à chaque fois que ma queue bouge en elle. Marie semble bien encaisser mes coups de queue. J’accélère soudainement mes coups de reins. Marie se met à crier comme jamais.

- OOH OUIIII !!!! PUTAIIIN QUE CEST BOOON !!! PLUS FOOOORT !!!
- Je vais te faire jouir, Marie !!! … Je sens que ça vient aussi !

Je lui défonce le cul avec le plus de force possible. Ma cousine est une vraie salope en chaleur. Je lui fais atteindre l’orgasme et je me vide au fond de son cul presque en même temps. Je reste planté dans son cul pour reprendre ma respiration et récupérer un rythme cardiaque quasi normal. Je sors de son cul lentement pour en profiter encore pendant quelques secondes. On s’écroule l’un à côté de l’autre.

- C’était vraiment trop bon, Éric ! Merci !
- De rien, Marie. Je suis vraiment honoré par le fait d’avoir dépucelé ton cul.
- Dommage que tu sois mon cousin. Je me serais bien marié avec si ce n’était le cas.
- Ça ne va pas nous empêcher de baiser de temps en temps tous les deux, non ?
- Non, Éric.

Après nous être reposés un instant, on va prendre une douche pour nous remettre de nos émotions. On se colle l’un contre l’autre en se faisant face. On échange quelques baisers pendant que l’eau rafraîchit nos corps bouillants. On sort de la douche pour nous rendre sur la terrasse. Nous restons nus.

Je me grille une cigarette comme j’en ai l’habitude après m’être vidé les couilles.

On admire le coucher de soleil en se tenant par la main. Nos ventres gargouillent. On était tellement occupé à baiser que l’on se s’est pas rendu compte qu’on avait pas mangé depuis notre arrivée dans la maison. Comme on a tous les deux la flemme de préparer à manger, on se fait livrer des sushis.

Notre première nuit ensemble dans un vrai lit est plus que très calme. On ne fait que s’échanger quelques baisers avant de tomber dans les bras de Morphée.

Le lendemain matin, je me réveille en sentant une main s’active délicatement sur ma queue. C’est bien sûr celle de Marie.

- Mmm bonjour, Marie.
- Salut, Éric. Vu que tu bandais ce matin, je n’ai pas voulu te laisser dans cet état-là. J’espère que tu ne m’en veux pas ?
- Je n’en voudrais jamais à une jolie fille qui me branle de bon matin.
- En plus, je n’ai pas encore goûter à ton jus.
- Fais-toi plaisir, Marie. Par contre, je ne suis pas sûr qu’il me reste beaucoup de sperme à te donner.
- Ce n’est pas grave, Éric.

Je bande comme un âne. Je sens bien que mes couilles sont pratiquement vides. Marie pose ses lèvres sur mon gland et elle commence à me sucer. Elle caresse mes couilles du bout de ses doigts. Elle plonge son regard dans le mien tout en faisant coulisser sa tête le long de ma queue. Ma cousine suce merveilleusement bien. J’appuie sur sa tête pour qu’elle prenne toute ma queue dans sa bouche. Je sens mon gland entrer dans sa gorge. Je prend un pied monstre. Marie me fait une gorge profonde et je sens sa salive couler le long de ma queue jusqu’à mes couilles. Elle sort mon gland de sa gorge pour pouvoir respirer. Elle me branle énergétiquement tout aspirant mon gland entre ses lèvres. Ma cousine se débrouille très bien.

- Oh, tu vas me faire gicler, Marie ! Mmm oooh

Elle continue à jouer avec ma queue jusqu’à ce que mon gland libère ma semence dans sa bouche. Elle aspire mon gland pour en extraire mes dernières gouttes de sperme. Elle sort ma queue de sa bouche. Elle l’ouvre en grand pour me montrer mon sperme qu’elle a récolté au creux de sa langue avant de l’avaler en souriant.

- J’ai eu droit à ma dose de vitamines pour ce matin.
- J’espère que tu en as eu assez pour te régaler.
- Oui, c’était suffisant, Éric.

Il est déjà temps rentrer chez nous. On va se prendre une dernière douche avant de refaire le lit et faire un peu de rangement.

Dès que nos sacs sont prêts, on va dans ma voiture pour prendre le chemin du retour.

Sur la dernière aire d’autoroute avant de rejoindre l’endroit où habite ma cousine, on s’y arrête pour aller tirer un dernier coup. On va se cacher derrière une haie pour assouvir une dernière pulsion. Marie relève sa robe et elle baisse sa culotte. Ma queue est déjà bien dure car cela fait prés de dix kilomètres qu’elle me branle. Je plante ma queue dans sa chatte et je lime son puits d’amour avec force. Malgré ma fatigue et mes couilles vides, j’arrive à décharger un peu de sperme dans sa chatte. On se rhabille rapidement afin de faire les derniers kilomètres.

Je me gare devant chez elle. On s’embrasse tendrement une dernière fois avant qu’elle n’aille récupérer son sac dans le coffre.

Marie vient me dire un dernier mot.

- Si tu veux venir chez moi, le week-end prochain, je serais heureuse de t’accueillir.
- Je vais accepter ton invitation, cousine. Je pourrais amener un ami ?
- Oh, bonne idée ! J’ai jamais baiser avec deux mecs. À la semaine prochaine, alors !
- À la semaine prochaine, Marie !

Je reprend la route vers chez moi. Je n’ai jamais autant pris de plaisir avec une fille. Ma jolie cousine est un merveilleux vide-couilles.

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