Ma demi-sœur Delphine - Partie 2 - histoire érotique

Avant d’arriver en haut du sentier, Delphine se retourne pour regarder l’océan.

- C’est quand-même beau, ici !
- Il n’y a pas que le paysage qui est magnifique.
- Tu parles de moi ?
- Non, du pape !

Elle me met un coup de coude dans les côtes et elle se met à courir en direction de la maison. Je la rattrape juste à l’entrée de la terrasse. On est tous les deux essoufflés. Mon père et sa mère rigolent en nous voyant dans cet état.

Afin d’enlever le sel et le sable que l’on a rapporté de notre agréable baignade, nous prenons une douche chacun notre tour. Par galanterie, je laisse Delphine y aller en premier. Pendant ce temps, je vais boire un verre d’eau. Je discute avec mon père et la mère de Delphine en attendant qu’elle sorte de la douche.

Dix minutes plus, Delphine arrive sur la terrasse en portant une robe légère bleu ciel qui met parfaitement en valeur ses fines formes et ses magnifiques yeux bleu. Je vais prendre ma douche a mon tour. Alors que je suis nu sous la douche, la porte de la salle de bain s’ouvre. C’est Delphine.

- J’ai oublié de récupérer mon bikini !

Je vois bien qu’elle se rince l’eau sur mon corps nu avant de ressortir de la salle de bain. Je reste quelques minutes sous la douche pour bien faire disparaître le sel sur ma peau. Je remets mon short et mon t-shirt pour revenir dans ma chambre pour me changer. Je reviens sur la terrasse quelques minutes plus tard avec des habits secs. Delphine se fait recoiffer par sa mère.

- Il te faut quelqu’un pour te recoiffer !
- Maman le fait depuis que je suis toute petite. Et ce n’est pas avec ta calvitie naissance que tu as besoin d’un coiffeur !
- Oh, sympa !

Sa mère regarde sa fille avec un regard noir.

- Excuses-toi, tout de suite ! Ce n’est pas comme çà que je t’ai éduqué ! Ton père aurait honte de toi de là où il est !

Delphine part en sanglots vers sa chambre. Carine m’explique que son mari s’est tué dans un accident de moto trois ans plus tôt. Elle va réconforter sa fille car elle a pris conscience qu’elle a blessé sa fille. Je me trouve avec mon père. Il me tend une bière sans alcool et on s’allonge sur les transats.

- Delphine suce bien ?
- Euh… quoi ?
- Je vous ai vu d’ici !
- Euh, Carine nous a vu aussi ?
- Non, elle était dedans. Tu n’as pas répondu à ma question !

J’hésite un instant avant de lui répondre.

- Oui, papa. Elle est même plutôt douée.
- Saches que tu es un sacré veinard !
- J’adorerais qu’elle me suce et j’aimerais bien coucher avec elle.
- Eh, papa ! Tu entends ce que tu dis ?
- Quoi ? Delphine est quand-même super bandante, non ?
- Tu parles de ta potentielle belle-fille, là !
- Tu oses me dire çà alors que ta potentielle demi-sœur vient de te sucer ! Tu n’as pas honte de me faire la morale !
- OK, pas faux. Même si j’aurais dû l’en empêcher, je ne le regrette pas.
- Et en plus elle doit avaler comme sa mère, pas vrai ?
- Tu a raison, papa.
- J’adorerais faire une partouze avec elles ou un plan à trois si tu ne veux pas participer.

Je suis choqué par la proposition de mon père que j’ai toujours vu comme un homme honnête et droit.

- Tu as déjà fait de telles choses, papa ?
- C’était avant que je connaisse ta mère. Je devais avoir 20 ans et j’avais fais un plan à trois avec deux jumelles de mon âge. C’était un vrai régal ! Et toi, des expériences à plusieurs ?
- Euh…

Je ne pensais jamais avoir une telle discussion avec mon père.

- J’ai couché avec un de mes potes et sa sœur quand on était en école de commerce.
- Deux mecs et une fille ! Pas mal et en plus avec un frère et un sœur ! Tu crois que c’était la première fois qu’ils baissaient ensemble ?
- Je ne crois pas, papa.
- On arrête de parler de ça, sinon je vais commencer à bander.

Je n’ai jamais vu mon père dans un tel état d’excitation. Carine et Delphine nous rejoignent en se tenant par la main.

- Excuses-moi. Je n’aurais pas dû de te dire çà.
- Je te pardonne.

Je me lève de mon transat et je prends Delphine dans mes bras pour lui faire un câlin. En frottant ma main dans son dos, je me rends compte qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je peux même légèrement ressentir ses tétons au travers de nos vêtements.

- On pourrait aller se faire un restaurant au bord de la plage ? Mon idée, vous plaît ?
- Oui, mon guitou !

Delphine explose de rire en entendant le surnom de mon père donné par sa mère. Pour ma part, je reste stoïque.

- Tu mériterais une fessée pour t’être moquée de moi.
- Pardon, Guy. C’est juste que c’est un surnom ridicule.

Delphine se penche vers mon père pour lui faire un câlin. Sa robe se relève légèrement et je peux apercevoir le dessin de son abricot sous son string en dentelle rose. Je ne sais pas si Carine m’a vu reluquer les fesses et ka chatte de sa fille.

On quitte tous les quatre la maison pour se diriger vers le restaurant qui se trouve à environs cinq cent mètres de la maison juste au-dessus des dunes. Nous mangeons ensemble en ayant une vue imprenable sur l’océan. Delphine vient de temps en temps caresser mon genou en me faisant de petits sourires. Je vois dans son regard qu’elle aimerait passer un peu plus de temps seule avec moi. Nous nous connaissons uniquement à peine moins de vingt-quatre heures mais je commence à avoir des sentiments pour elle-même si c’est vrai que la pipe qu’elle m’a prodigué quelques heures plutôt y est sans doute pour quelque chose. Soudainement, le vent se lève, ce qui fait fuir peu à peu les personnes présentes sur la plage.

- Tu penses qu’il va pleuvoir, guitou ?
- Non, ma chérie. C’est juste un coup de vent mais il serait quand-même dangereux d’aller se baigner.
- On va rentrer, alors !

Nous quittons donc le restaurant. Mon père paie et on rentre à la maison. Nos parents marchent devant nous. Delphine me prend la main et elle me fait un grand sourire. Une courte bourrasque de vent soulève la jupe de Carine laissant ainsi voir ses fesses et son string noir. Elle rabat rapidement sa jupe mais j’ai eu le temps d’admirer ses formes. Nous nous pressons de rentrer avant que le vent ne fasse encore des surprises à Carine.

On rentre à la maison et Delphine et moi allons dans nos chambres respectives. Je lui envoie les photos que j’ai faites le matin même. Au bout de quelques minutes, Delphine me rejoint dans ma chambre et elle s’allonge sur mon lit.

- On dirait que tu aimes mes seins, Thibault !
- Euh… pourquoi tu dis çà ?
- Il y a beaucoup de photos sur lesquelles tu as zoomé sur ma poitrine.

Je rougis tout en souriant.

- Euh… c’est vrai qu’ils doivent être jolis.

Sans me le demander, elle se met à genoux sur mon lit et elle baisse les fines bretelles de sa robe pour faire apparaître ses seins.

- Tu ne l’ai trouvé pas trop petits ?
- Euh… tu fais quoi là !
- Tu ne voulais pas voir mes seins ?
- Si… euh… tu es loin d’être une fille pudique !
- Si je deviens mannequin, il ne fait pas que je le sois trop !
- Euh… mais les mannequins sont rarement seins nus !
- Ils ne te plaisent pas, alors ?
- Euh… si, mais c’est juste que je ne m’attendais à ce que tu me les montres aussi facilement.

Alors que j’approche mes mains de la poitrine de Delphine, je ne remarque pas que mon père est caché derrière la porte.

- Ils sont fermes en tout cas et ils tiennent bien dans mes mains. Ils sont aussi fermes que ta queue ?

Delphine me regarde avec ses yeux brillants plein de désir.

- Tu veux encore me sucer ?
- Je me contenterais de te branler vu que nos parents ne sont pas loin.
- Et tu vas faire quoi quand je vais jouir ?
- Je prendrais ton gland dans ma bouche, voyons ! Ça serait dommage de gâcher.
- OK, fais ça vite. Je n’ai pas envie qu’on nous surprenne !

On s’allonge tous les deux sur mon lit. Je baisse mon short et mon boxer. Delphine reste seins nus. Elle saisit rapidement de mon sexe déjà à moitié dur. Je caresse ses petits seins pendant que sa main s’active sur mon membre. Je pince ses tétons et je masse ses seins. Alors que mon sexe devient de plus en plus dur, Delphine soulève sa robe et elle glisse une main dans son string pour se caresser.

- Tu sais comment me rend fou !
- Ça t’excite de me voir de caresser ?
- Oh, oui !

Elle baisse son string d’une main et elle me laisse voir son mont de Vénus lisse avant de recommencer a se caresser le clitoris. Avec sa branlette et le fait de la voir se caresser, je sens rapidement monter mon orgasme. Je me cambre soudainement de plaisir.

- Oh, putain, non, ça vient !

Delphine n’a pas le temps de se pencher pour prendre mon gland dans sa bouche. Je me penche vers elle et je laisse mon gland décharger mon jus sur son mont de Vénus et un peu sur sa robe.

- Oh, désolé, Delphine ! J’en ai mis partout !
- C’était risqué en fait. Je vais aller me changer.
- En tout ça m’a fait du bien.

Delphine remonte son string et elle essuie son pubis lisse avec avant de le remettre. Elle remet ensuite les bretelles de sa robe et elle sort de ma chambre. Je reprends mon souffle avant de remonter mon boxer et mon short. Je sors, à mon tour de ma chambre et je vais boire un verre d’eau dans la cuisine. Mon père et Carine discutent sur la terrasse. J’entends des bribes de leur conversation.

- … tu as tout vu ?
- Non, je suis parti juste avant que ta fille fasse gicler mon fils.
- Pourquoi tu n’es pas resté ?
- J’avais ma main pleine de sperme.
- Et tu ne m’as pas laissé y goûter ?
- Comme je ne t’ai pas vu, j’ai dû rincer ma main dans l’évier.
- Oh, dommage pour moi ! Tu crois que ton fils est prêt pour mon idée de partouze, guitou ?
- Ta fille fait tout pour, en tout cas.
- J’espère qu’il va accepter. J’en ai un peu marre de jouer avec mon gode pendant que tu baises avec ma fille ! J’ai envie de jouer avec un queue moi aussi !
- Nos plans à trois ne sont pas suffisants pour toi ?
- Si, mais je pourrais avoir un queue juste pour moi ça serait encore mieux.

Je suis littéralement choqué par la discussion que je viens d’entendre. Je vais dans ma chambre pour repenser à tout çà. J’ai du mal à croire que mon père a déjà couché avec Delphine et qu’en plus Carine était là. Lui, qui m’avait demandé si Delphine suçait bien, le savait sans doute en fait déjà.