Ma femme ! maligne et insatiable de sexe (5)

- Par l'auteur HDS Noura -
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme ! maligne et insatiable de sexe (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme ! maligne et insatiable de sexe (5)
Les deux jours suivants nous sommes allés à la fête familiale de la sœur de notre hôtesse et le vendredi matin, nous sommes retournés à la maison. Nous étions un peu fatigués et nous avons dormi jusqu'à midi. Vers quinze heures, la voisine du dessous, arabe, a informé notre hôtesse que sa fille vient de se fiancer et nous invite, ainsi que les voisins, à leur fête, pour ce soir, vers 18h.
Notre plan d’aller trouver nos amants, ma femme et moi est donc tombé à l’eau. Mais ma femme a été plus astucieuse que moi, elle a trouvé un stratagème pour se faire baiser par son amant algérien. Elle a soufflé à notre hôtesse l’idée d’inviter ce pauvre marchant de légumes, algérien, vivant loin de sa famille, et le faire passer pour mon cousin. J’étais estomaqué mais notre hôtesse a accepté et a envoyé ma femme pour informer le marchant tout de suite.
Ma femme sautant sur l’occasion, est parti inviter notre amant vers 15h trente. Très rapidement je l’ai suivi de loin et lorsqu’elle a atteint le marché, le jeune homme lui a ouvert rapidement sa caravane. Sevrée de sexe depuis trois jours, ma femme s’est jetée dans ses bras, dehors, devant la caravane et ils se sont embrassés avec fougue. Les grosses mains du marchant étaient sur les fesses de ma femme et il les pétrissait de désir. Ses gestes de possession sur ma femme m’ont excité et mon sexe commençait à durcir.
Ils se sont embrassés longuement et ma femme ondulait du corps contre celui de son amant qui devait certainement bander comme un taureau. Je me disais « zébi ! ech’haal rah ihiss fi e’skhanat batan wa souwat marty ! » ( zebi ! comme il doit sentir la chaleur du ventre et du sexe de ma femme !). Puis ils ont pénétré dans la caravane et fermé la porte.
Je me suis glissé derrière et par la petite fenêtre, je les ai vu se déshabiller en vitesse. Puis, à cause de leur désir affolé, il a plaqué ma femme contre le mur et soulevant sa jambe droite, il a pénétré son gros zob dans la chatte de ma femme, avec un cri de victoire. Comme à son habitude ma femme a aussi crié et « ah ! ech’haal twahachtou ! hadha e’zeb lakhchine ! » (ah ! combien je l’ai désiré ce gros zob).
Les vas et viens du jeune homme étaient d’une puissance et d’une rage telle que j’ai eu peur pour le sexe de ma femme, et je voulais lui souffler « bi chwya ! bi chwya ! ya sahbi ! khalili souwat marti e’s’hiha bach e’nik’ha ana thani ! » (doucement ! doucement ! mon ami ! laisses la chatte de ma femme saine ! pour que je puisses la baiser moi aussi !). Et je me branlais derrière la caravane.
Après une bonne vingtaine de vas et viens, le marchant a dirigé ma femme vers son lit et lui soulevant les jambes et écartant ses cuisses, il replongea son gros zob dans les entrailles de mon épouse totalement étourdie par le plaisir et qui murmurait « doukkou ! zid nikni bezzaf ! e’zeb lahlou ! rah hbib souti » (enfonces le ! continue de me baiser fort ! le zob merveilleux ! c’est l’aimé de ma chatte !). Et le gars s’enfonce et se redresse puis s’enfonce de nouveau avec rage et je voyais ses reins qui se gonflaient en reculant puis se serraient en s’enfonçant dans la vulve de ma femme.
Cette scène d’une rage violente m’a poussé à me branler avec plus de vigueur et d’acharnement et soudain mon sperme jaillit et se projeta sur le mur extérieur de la caravane. J’étais essoufflé, non pas seulement par la quantité de sperme que mes couilles ont rejeté, mais psychologiquement, de la scène érotique de ces deux sexes qui se martyrisaient pour augmenter leur désir et leur jouissance. N’en pouvant plus, j’ai préférais m’éloigner.
A peine ai-je fait deux pas que j’entendais leurs cris de délivrance. L’homme « ah ! zébi ! ya qahba ! e’sourti hlib clawya ! ya souwat qahabti ! moussi zébi lakhchine ! moussi wa e’chourbi! » (ah ! zébi ! ma putain ! avales le lait de mes couilles ! chatte de ma putain ! suces mon gros zob ! suces et bois !) et ma fermme dans un cri hystérique « esguini ! esgui souti al’3atchana ! ah ! ya e’zeb lahbib » ( arroses moi ! arroses ma chatte assoiffée ! ô zob adoré !). J’ai accéléré ma fuite pour ne pas entendre encore plus car cela m’excitait et j’étais fatigué et fâché.
En effet, un peu plus loin, je me suis calmé. Puis, je me suis raisonné. C’étais bien moi qui a jeté ma femme dans ces aventures érotiques et dans les bras et les zobs de ses deux amants. Pourquoi alors suis-je un peu ennuyé ? Soudain, l’image des belles fesses de ma femme s’est pointée dans mon esprit et, paradoxalement étant donné les circonstances, cela a commencé à m’exciter. Impossible ! me disais-je !
Serais-je en train de recommençais à désirer ma femme ! ou bien est-ce mon jeûne sexuel des trois derniers jours, qui me rendait ainsi sensible. Pourquoi ne pas aller chez l’autre marchant black et tirer un coup pour ma terma avec son long et gros zob. Ma femme a eu son plaisir et ainsi j’aurais aussi le mien pour ce soir. Non ! le moral n’y était pas, je me sentais même assez fatigué après ma masturbation..
Sachant parfaitement la suite de la séance, j’ai préféré m’éloigner hors du marché pour rejoindre la fête qui continuait dans notre bâtiment. J’ai attendu ma femme pendant presque une autre heure et enfin, lorsqu’elle est rentrée, évidemment, avec le jeune marchant algérien, il était déjà plus que 17h30.
Donc, ils sont restés ensemble à baiser, à niquer, certainement par devant et par sa terma pendant plus de deux heures entières. On a fait les présentations, et le gars, qui a déjà gouté à ma propre terma, m’a jeté un regard complice, comme pour me confirmer qu’il venait de jouir de ma femme pendant deux heures et que son sperme doit être encore dans la chatte et la terma de mon infidèle épouse.
Puis on a été à la fête chez les voisins. Il y avait une trentaine de personnes, hommes et femmes et après une collation on nous a servi un léger repas, puis trois jeunes ont formé un petit orchestre et la musique a démarré. Les convives ont chanté et dansé une bonne partie de la nuit. Moi, je me tenais un peu à l’écart avec notre hôtesse.
Un certain moment, j’ai remarque que ma femme avait disparu. Je suis sorti et monté à la maison mais l’oncle était seul. Il était 18h trente et la fête continuait. J’ai inspecté les environs puis je me suis dirigé vers la zone du marché fermé. Il y avait de la lumière dans la caravane du marchant de légumes et même de la musique en sourdine.
Passant par derrière, j’ai constaté que les deux amants étaient à l’intérieur, déjà nus. L’homme était couché sur le dos et ma femme accroupie sur son ventre, le zob de l’homme totalement enfoncé dans sa chatte. Elle dansait sur cette belle queue et levait les bras en esquissant des mouvements de danse arabe du ventre, accompagnant la douce musique arabe.
Et voila, ma femme, insatiable, n’a pas pu résister. Ainsi, les baises de l’après-midi n’ont pas suffi à ma femme. Elle a obligé le jeune homme à aller la baiser encore, le soir, dans sa caravane et lui, jeune et vigoureux, avait de la ressource pour la faire jouir devant et derrière.
J’étais étonné par ma femme qui ne rate aucune occasion pour se faire lustrer la chatte et la terma. Et moi, comme un cocu malchanceux, je vais l’attendre pour la réaccompagner. Non ! je ne suis pas d’accord, je dois moi aussi avoir ma part de plaisir ce soir. J’avais raté l’occasion cet après-midi, mais j’étais fatigué et démoralisé. Mais l’idée de me faire sodomiser maintenant restait tenace dans ma tête.
Et comme à son habitude, ma terma a suivi mon désir mental. Elle commençait à me démanger et chatouiller d’envie, alors j’ai cédé. Je suis allé frapper à la porte du marchant black qui m’a ouvert aussitôt. Il m’a sourit et m’a fait rentrer tout de suite, mais il n’était pas seul. Il était avec un ami, assez âgé et black avec lequel il jouait aux cartes sur la table. Sans hésiter et malgré mon regard courroucé, il m’a présenté comme sa petite amie, sa putain à la terma blanche et insatiable.
J’étais très gêné, mais agréablement excité, et je voulais partir, mais il m’ tenu par le bras et m’a présenté son ami comme un affamé du cul, surtout des terma blanches et qu’ils allaient me niquer tous les deux. J’ai hésité, pour la forme, et aussitôt, il m’a fait enlever mes vêtements pendant qu’ils se déshabillaient. J’ai alors vu le zob de son ami aussi gros et long que celui de mon amant.
Le vieux se branlait légèrement et m’a demandé de le sucer tout de suite et j’ai pris son zob entre mes mains puis je l’ai glissé dans ma bouche. Il était chaud, doux et dur à la fois et il m’a excité tout de suite. Le plus jeune me léchait les fesses et l’anus et me lubrifiait le cul avec sa salive. Puis le plus vieux s’est glissé derrière moi pendant que je me positionnais, à genoux sur le lit, le cul en l’air.
Immédiatement son zob m’a pénétré et le vieux s’est lancé dans une course endiablée de vas et viens dans ma terma. Il devait être pressé car très vite il a atteint son top et s’est déchargé les couilles dans mes entrailles, puis il s’est retiré. Il paraissait fatigué. Je suis allé dans le petit coin pour vider mon cul de son sperme puis j’ai rejoins le plus jeune qui m’appelait, nu, couché, dos sur le lit. Son zob pointait presque à la verticale, alors j’ai pris position sur son ventre, accroupi, et doucement, tenant son zob à la main, je l’ai introduit dans ma terma.
Elle connaissait ce gros zob noir sur lequel elle mouillait dès qu’elle le voyait. Alors, elle s’est noyée dans ses désirs, dans son suc de jouissance. Je dansais, comme d’habitude sur ce zob merveilleux et rapidement la jouissance commençait à m’étourdir. Je criais mon plaisir et mon propre zob s’est gonflé. Alors, j’ai commencé à me branler, tout en masturbant le zob de mon ami avec ma terma. J’étais merveilleusement ouvert par derrière et excité par devant.
Soudain mon ami, tenant mes hanches avec violence, se redressant légèrement, puis d’une forte poussée de ses reins bloqués, il enfonça à fond son zob dans ma terma, et expulsa plusieurs rafales de son sperme dans mes entrailles. Ses jets de sperme chaud et en abondance ont augmenté mon excitation et je suis arrivé, moi aussi, à éjaculer sur son ventre en criant de plaisir. Ce que je ressentais avec cet homme n’avait aucune comparaison avec ce que m’a donné son copain tout à l’heure.
Avec cette sodomie, j’ai reçu ce que je suis venu chercher et désirer avec impatience, à l’instar de ce que faisait ma femme, au même moment avec l’autre marchant de légumes, à quelques pas d’ici. Notre couple vient de se faire plaisir par la chatte et le cul avec ces deux marchants, et je n’éprouvais aucun gène, au contraire. Puis je me suis redressé et j’ai nettoyé avec ma bouche le zob de mon ami en dégustant les restes de sperme sur sa hampe. Ensuite, je suis allé me vider au coin.
Je voulais partir car j’avais peur qu’on se rende compte de mon absence de la fête, après celle de ma femme. Mais, en me baissant pour remettre mon slip, le vieux, toujours nu, m’a agrippé les hanches par derrière et s’est plaqué sur mon dos. Je sentais son zob qui a, apparemment repris de la vigueur, sur mes fesses, cherchant mon anus. Je restais assez courbé et écartant les jambes et les cuisses, je lui ai facilité sa recherche et rapidement j’ai ressenti son zob qui glissait dans ma terma.
Il m’a sodomisé, debout, les mains sur mes hanches et me secouait avec violence et forts grognements. Il me pilonnait à coups de reins rageurs et, cette fois ci, j’ai très bien senti la vigueur de son zob dans ma terma et j’ai eu du plaisir, beaucoup de plaisir. Peut-être, est-ce la surprise et la violence de la saillie qui m’ont ébranlé les nerfs et m’ont excité. En tout cas, je commençais à jouir et à bien jouir de la terma et malgré la fatigue de ma position courbée, les mains sur mes genoux, je restais accroché au plaisir qui mouillait et enchantait ma terma.
Rapidement, cette fois aussi, il est arrivé à sa jouissance et par plusieurs jets de sperme, il s’est vidé les couilles dans mes entrailles. Puis, il s’est dégagé, alors je me suis relevé et j’ai désiré voir son zob qui viens de me faire jouir, avant qu’il ne débande. J’étais étonné en le voyant, gros, long, puissant et brillant de sperme. Il me semblait même plus gros et plus viril que celui de l’autre. Alors, pour nous faire plaisir à tous les deux, je l’ai empoigné et gobé dans ma bouche chaude. Je l’ai sucé et nettoyé avec délectation, c’etait ma manière de le remercier.
Ensuite, très rapidement, je me suis nettoyé au mieux, je me rhabillé et, constatant qu’il était déjà presque 20h et que cela faisait plus d’une heure que je me faisais sodomiser, j’ai filé dehors en les remerciant de leurs prestations. Passant à coté de la caravane de l’autre marchant algérien, il y avait un peu de lumière et toujours en sourdine, de la musique arabe. Par curiosité, je suis allé par derrière et jetant un coup d’œil par la fenêtre, j’ai pu constater, encore une fois que ma femme était vraiment insatiable.
En effet, et cela faisait presque deux heures qu’ils étaient ensemble et ma femme se faisait encore lustrer la chate et la terma. Pour l’instant, elle dansait sur le ventre de son amant, avec son zob plongé dans sa terma. Son amant me l’a déjà dit, ma femme, et lui-même, préfèrent baiser par la terma qui semblait plus étroite que la chatte, et cela permettait de meilleur frottements du zob sur la tendre chair du sphincter. L’excitation augmente plus vite et le plaisir est décuplé. La sodomie, malgré (ou peut-être parce que) son coté d’interdit, prend toujours le pas sur la baise de la vulve.
Je me suis rapidement éloigné et croyant que ma femme allait retourner, seule, à la maison, j’ai décidé de l’accompagner par sécurité. Alors, je me suis installé sur un banc pas très loin du marché et ayant une vue sur la caravane du marchant. Vers 21h trente, la porte de la caravane s’est ouverte sur le couple. Ils ont baisé de 18h30 à 21h trente, pendant presque trois heures. Ma femme était insatiable et l’homme avait de la vigueur et de la ressource.
L’homme ferma sa caravane et, tenant ma femme par la taille, comme un couple d’amoureux, ils se sont dirigés vers la zone de notre maison. Pendant qu’ils se donnaient du plaisir, moi, je faisais le pied de grue pour rien, dans l’obscurité et la solitude, comme un cocu pour ne pas dire autre chose.
Pendant qu’ils se défonçaient la chatte, la terma et le zob, moi, je m’inquiétais, dans la rue, pour la sécurité du retour de ma femme ! J’ai arrêté les plaisirs de ma terma avec deux magnifiques zobs blacks et qui, après une heure pouvaient encore me donner le maximum de jouissances. J’aurais souhaité rester avec eux pour sucer le zob de l’un pendant que l’autre me sodomisait et ensuite ils échangeraient leurs places. J’aurais aussi souhaiter continuer à danser sur le zob de mon ami, couché sur le lit ou assis sur une chaise pendant que j’enfonçais son zob dans ma terma chérie.
Hélas, juste une heure de plaisir et trois sodomie rapides, et tout cela pour attendre ma femme qui se donnait la maximum de plaisir sans même penser à moi ou à la fête. J’étais, encore une fois furieux contre moi. Alors, dans l’obscurité de la nuit, sur ce banc solitaire, j’ai dégagé mon zob et je me suis masturbé avec fureur jusqu’à l’éjaculation.
Comme mon éjaculation tardait trop, j’ai fait appel à ma technique habituelle. Me soulevant un peu et descendant sur mes genoux mes vêtements, j’ai réussi à me sodomiser un peu, à m’enfoncer deux doigts dans mon anus. Puis, je me suis masturbé et la terma et le zob au même rythme et avec vigueur. Le plaisir a aussitôt démarré et rapidement j’ai réussi à éjaculer avec force en criant mon plaisir dans la solitude de la nuit. Mon cri a été un soulagement, un fort dégagement de toute mon amertume.
Apaisé, je me suis rhabillé et j’ai rejoint la fête qui continuait. J’ai alors récupéré ma femme qui discutait gentiment avec notre hôtesse. Elle me souriait, avec innocence, alors que le sperme de son amant remplissait encore ses entrailles et se collait sur ses cuisses et ses fesses. Mais, moi aussi, j’ai encore un peu de sperme de mes deux amants, dans ma terma, sur mes fesses et mes cuisses, dons soyons honnête et acceptons la situation avec philosophie et plaisir.
Puis, vers 22h, nous sommes montés, ensemble en famille à la maison. Immédiatement, ma femme a couru vers les toilettes pour enlever ses vêtements souillés, se nettoyer et se doucher. Ensuite, ce fut mon tour d’en faire autant. Enfin, notre nuit a été l’exacte copie des précédentes, avec son calme hypocrite et ses désirs assouvis pour les deux parties.
Paradoxalement, et malgré qu’elle s’est certainement bien nettoyée et douchée, j’avais l’impression de sentir l’odeur du sperme mâle sur le corps de ma femme. Peut-être que je me trompais et que c’était plutôt mon propre corps qui dégageait cette odeur ou simplement mon imagination excitée ! Demain, ce sera un autre jour, le dernier de nos vacances à l’Etranger, terre de l’étrange et de la liberté..sexuelle.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
tres tres jolie comme d'habitude continue comme ça sur tout les textes en arabe



Texte coquin : Ma femme ! maligne et insatiable de sexe (5)
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