MA FEMME SE DÉVERGONDE EN VACANCES - histoire érotique

Nicole, mon épouse, et moi, Robert, nous nous sommes rencontrés au collège. De l'âge de 12 ans jusqu'à l'âge adulte, nous avons traversé toutes nos années d'études sans nous perdre. Nous nous sommes mariés à l'âge de 24 ans et célébrons maintenant nos 5 ans de vie commune. Nous avons découvert le sexe lors de notre nuit de noces et honnêtement, ce n'était pas une réussite. Trop nerveux, anxieux et maladroits. Au fil du temps, nos rapports sexuels se sont améliorés. Pas au point d'être des bêtes de sexe, mais nous sommes plus aventureux.
De tout temps, j'ai toujours été le demandeur. Nicole est trop réservée et se contente de hocher la tête à mes demandes. Son attitude réservée est incompréhensible pour moi car elle est l'incarnation de la beauté. Ce n'est pas juste un mari amoureux qui le dit. Toutes nos connaissances m'assurent de la chance que j'ai de l'avoir rencontrée. Nicole est grande, presque autant que moi et bien proportionnée car elle est très sportive. Tennis, footing, natation, etc...
Comme elle pratique beaucoup d'activités sportives, en plus de son travail, notre vie sexuelle s'est mise en sommeil. Passé les premiers mois, et les premiers émois, elle m'a fait accepter l'idée qu'une fois par semaine, le week-end, c'était suffisant pour avoir une vie sexuelle épanouie. Nicole semble apprécier le sexe, et bien qu'elle n'atteigne pas l'orgasme à chaque fois, quand elle exulte, elle se lâche vraiment. Mais une fois qu'elle a obtenu un orgasme, elle veut vraiment que je m'arrête rapidement. Je dois généralement me dépêcher et faire de mon mieux pour finir car elle semble agacée à ce stade.
Bien que j'aime lui manger la chatte, elle n'a jamais accepté la réciprocité. En fait, pas une seule fois elle n'a eu ma bite dans sa bouche. Quand elle a réalisé que j'aimais bien lui lécher la chatte, elle a commencé à tailler son buisson et a fini par garder juste un petit toupet au-dessus de son clitoris. Et quand je lui fait minette, impossible de l'embrasser sur la bouche après. Elle prétends être dégoûtée par le contact de mes lèvres d'abord sur sa chatte et ensuite sur sa bouche.
Bien évidemment, au fil du temps, nos relations sexuelles sont devenues monotones. C'est toujours agréable, mais nous n’expérimentons jamais rien de nouveau. Le sexe avec Nicole est presque toujours dans la position du missionnaire. De temps en temps, elle vient sur moi. Mais comme elle bouge peu, c'est moi qui gère l'action. Elle ne se plaint jamais, elle n'a aucune exigence, elle se contente de sourire et de baisser les yeux quand je lui demande d'évoluer un peu. Une fois, j'ai essayé de glisser ma langue sous sa chatte et de lui chatouiller son petit bouton de rose. Elle a repoussé ma tête à deux mains et m'a suggéré d'arrêter si je voulais l'embrasser à nouveau.
Nous vivons une vie très casanière et nous sortons rarement. Mon travail d'animateur des ventes dans un grand groupe m'occupe beaucoup et j'ai de la réussite. A un point tel que j'ai gagné un voyage en République Dominicaine, pendant une semaine, tous frais payés. Nous serons logés dans un palace à Ponta Cana.
Nous avons voyagé tout le vendredi et nous sommes arrivés à l'hôtel en début de soirée. Après l'enregistrement, nous avons été escortés jusqu'à notre chambre par une jeune femme nommée Diane. L'ensemble des logements étaient avec vue sur l'océan. Elle nous a escortés à travers les jardins et a discuté avec Nicole des commodités du palace. Diane a également décrit la côte et la façon dont les habitants interagissent avec les vacanciers.
Elle nous a assuré que l'ambiance était bon enfant. Elle nous a prévenus que beaucoup de locaux et de touristes ne portaient aucun vêtement sur la plage. J'ai vu Nicole froncer les sourcils alors j'ai rapidement changé de sujet.
Arrivés dans notre logement, Diane nous a montré la disposition, puis elle nous a expliqué que nous avions également un accès illimité à la piscine, aux plages, aux jet-skis, au parachute ascensionnel et au spa… y compris les massages relaxants! Mon entreprise ne s'était vraiment pas foutu de moi!
Lorsque Nicole est sortie sur le balcon, je l'entendis gémir de joie: "Oh, Robert, cet endroit est fabuleux! Jamais je n'aurais pu imaginer!" Je me suis précipité à ses côtés pour m'imprégner de la vue. L'océan, les palmiers et la brise légère chargée de senteurs florales nous ont fait oublier la France! Malgré l'heure tardive, beaucoup de gens se promenaient sur la plage. Des touristes et des locaux qui n'étaient pas difficile à repérer avec leur peaux sombres et leurs vêtements modestes.
Ensuite, nous sommes rentrés dans la chambre pour déballer et ranger nos affaires. J'ai vu beaucoup de nouveaux vêtements que je ne connaissais pas. Des robes, des shorts et des corsages. Puis elle a commencé à sortir ses bikinis. Des bikinis minuscules, avec des lacets retenant des bandes de tissu qui s'ajustaient aux endroits stratégiques, la chatte et les tétons. Des bikinis qui montraient plus qu'ils ne cachaient. Et il y en avait de toutes les couleurs, même un doré. J'étais sidéré:"Waouh, chérie, ils sont superbes, mais je ne te pensais pas capable de porter quelque chose comme ça. T'as dépensé toutes tes économies, mais ça vaut le coup, on va te remarquer sur la plage!" Nicole a répondu: "Je sais, tu veux toujours que je me lâche et j'ai pensé que ces vacances seraient un bon endroit pour faire l'essai. En outre, la probabilité de rencontrer quelqu'un que nous connaissons ici est voisine de zéro, alors je peux avoir un beau bronzage dans ces bikinis." J'étais d'accord avec elle et j'avais hâte de la voir dans ses nouveaux bikinis.
Le lendemain matin, après le petit déjeuner, nous sommes descendus à la plage, et Nicole en a profité pour prendre le soleil, allongée sur un transat. Son corps incroyable attirait définitivement les regards de l'assistance. J'ai pensé: "Enfin, elle se dessale un peu!"Ce que j'avais caché à Nicole, c'est que je lui avais organisé un massage détente en fin de matinée. J'avais réservé une thérapeute féminine pour qu'elle se sente à l'aise. Elle n'aurait probablement pas accepté qu'un homme la manipule, surtout un noir.
Après la bronzette, je l'ai entraînée vers l'espace spa-massothérapie. Je lui ai rapidement expliqué ce qui l'attendait. Après une brève réticence que j'avais prévue, Nicole accepta de livrer son corps aux mains d'une spécialiste.
Mais là, la surprise fut pour moi. Il y avait deux tables de massage et deux thérapeutes qui nous attendaient. Une femme pour Nicole et un homme pour moi. Apparemment, une erreur s'était glissée dans la réservation et après un instant de flottement j'ai accepté le massage proposé. Ils nous ont installés confortablement sur les tables de massage. Ils ont complètement fermé le local, portes et fenêtres, puis une douce musique relaxante a envahi l'espace.
J'étais un peu anxieux, nu sous une serviette enroulée autour de ma taille. Nicole, de son côté, était enroulée dans une serviette de bain surdimensionnée qui cachait l'intégralité de son corps. Impossible de deviner si elle portait son nouveau bikini sous sa serviette. J'étais allongé sur le dos, Nicole était à plat ventre sur la table.
La thérapeute féminine qui devait masser Nicole était une jeune métisse avec des formes à faire bander un mort. Le jeune homme, à la peau plus sombre, était bâti comme un athlète. Je me suis senti un peu intimidé quand ils ont enlevé leurs peignoirs pour nous révéler leurs corps. Tous deux portaient des maillots de bain minimalistes. La fille avait un bikini blanc, un soutien-gorge bandeau avec un string. Le contraste sur sa peau chocolat m'excitait. Le garçon avait un slip de bain gris, très échancré, avec un énorme renflement devant. J'ai tout de suite pensé qu'un engin de cette dimension c'était impossible, et qu'il avait probablement disposé un leurre à l'intérieur. Il a remarqué mon regard et m'a fait un petit clin d'œil.
Je posais ma tête sur la table et je regardais Nicole. Son regard trahissait son anxiété. Sa masseuse, Patricia, l'a rassurée en lui disant de se détendre et de profiter du moment. J'ai fermé les yeux au moment où, Douma, l'étalon noir, se penchait sur moi.
L'impression étrange, à la fois dérangeante et excitante, d'un homme noir posant les mains sur mon corps s'estompa vite devant le professionnalisme et la fermeté des mains du garçon.
Bientôt, j'étais complètement détendu. Je tournais la tête pour voir que Patricia avait descendu la serviette de Nicole jusqu'au bas de son dos, exposant ses bretelles de bikini, mais couvrant toujours son cul.
Douma a descendu ma serviette juste au-dessous de ma taille, couvrant encore mon pubis. Il se tenait près de ma tête et son massage partait de mes épaules et descendait jusqu'à mon ventre. Il était penché sur moi et je redoutais le possible contact de sa grosse queue contre sur ma tête. Un coup d’œil sur ma gauche et j'ai vu Nicole regarder un endroit précis du masseur et dire: "Oh! mon Dieu!"Nicole, le visage figé, suivait de ses yeux écarquillés le caleçon tendu de Douma. Douma remarqua son attention et orienta son bassin vers Nicole pour améliorer son angle de vue. Je lui ai demandé si tout allait bien, elle a sursauté et a enfoui son visage dans le creux de la table avec embarras.
Entre temps, Patricia avait ôté entièrement la serviette de Nicole et avait délié son haut. Patricia massait Nicole depuis ses aisselles, frôlant ses seins, jusqu'en dessous des hanches, englobant les fesses. Un petit gémissement s'est échappé de la bouche de Nicole.
Douma fit le tour de la table pour me masser les jambes. Patricia se pencha sur Nicole pour lui demander quelque chose que je ne pus pas comprendre. Nicole acquiesça d'un hochement de tête et Patricia lui ôta son haut en le faisant glisser. Nicole souleva légèrement son torse pour l'aider mais j'ai pu voir balloter ses seins. Patricia plaça ensuite ses doigts à l'intérieur du slip de Nicole et commença à tirer lentement. J'attendais que Nicole proteste, mais je fus estomaqué quand elle a soulevé ses hanches pour lui faciliter la manœuvre. Le visage de Nicole était toujours enfoncé dans la table, alors je ne pouvais pas voir son expression.
Patricia étalait ses huiles bienfaisantes sur tout le magnifique corps de Nicole. Tout comme moi, Douma regardait le cul blanc de ma femme et massait mes jambes nettement plus fort. Je regardais son ventre et je remarquais que le renflement avait bien grossi!
J'ai perçu un mouvement sur ma gauche, alors j'ai tourné la tête pour voir Patricia à califourchon sur les jambes de Nicole.
Les fesses de Patricia reposaient sur les mollets de Nicole, ses cuisses enserraient les cuisses de ma femme, ses mains pétrissaient fermement son cul soyeux. Chaque fois que Patricia enfonçait ses doigts dans la raie culière de Nicole, je pouvais voir les hanches de ma femme se soulever à la rencontre des mains impérieuses.
Fortement excité, et redoutant de créer une tente avec ma serviette, j'essayais de cacher mon érection. C'est à ce moment que j'ai remarqué que Douma avait cessé son massage et regardait tout comme moi le spectacle sur la table voisine. J'ai demandé à Douma si nous pouvions faire une pause. Il a accepté et, à ma grande surprise, s'est dirigé vers la table voisine!
Douma est allé se positionner devant la tête de Nicole et s'est attaqué à ses épaules. Surprise, elle a relevé la tête pour se trouver nez à nez avec le slip gonflé de Douma. À moins de quinze centimètres de son visage, il y avait une grosse verge noire recouverte d'un mince tissu si huilé que l'on pouvait clairement distinguer son contenu. Nicole a tourné sa tête pour me regarder.
Elle a demandé à haute voix: "Mais, qu'est-ce qui se passe?" Douma a expliqué que leurs services étaient payés pour deux heures, et comme je souhaitais faire une pause, il venait aider Patricia pendant son temps libre. J'ai donné mon accord. Nicole n'a pas protesté, elle a juste remis son visage dans le creux la table.
Patricia s'est assise sur les talons de Nicole, massant ses jambes des mollets jusqu'aux fesses incluses, Douma installé à sa tête massait le dos, des épaules jusqu'aux fesses incluses. Alternativement, les mains des masseurs empaumaient fermement le cul blanc de ma femme. Quand l'homme avait ses mains sur les épaules de Nicole, Patricia s'occupait de son cul, quand les mains de Douma arrivaient en bas des reins de Nicole, Patricia recommençait aux mollets. De cette manière, Nicole avait constamment une paire de mains sur son cul. Elle n'a pas protesté, juste quelques gémissements de temps en temps ont trahi son émoi.
Quand à moi, allongé sur le flanc, je ne perdais pas une miette du spectacle. J'étais attiré par le contraste de ces mains noires sur la peau blanche laiteuse de ma femme. Soudain, j'ai clairement vu le slip de bain gonflé par l'énorme braquemart venir heurter la tête de Nicole puis glisser avec un bruissement soyeux sur ses cheveux.
Cela a duré plusieurs minutes jusqu'à ce que Patricia déclare: "Il est temps de vous retourner, madame". Patricia et Douma se sont relevés, attendant que Nicole se retourne. Nicole a répondu: "Je ne peux pas. Je suis la seule à être nue ici" Sans se démonter, Patricia a déclaré: "Bien, nous allons tous nous mettre nu pour que vous ne soyez pas gênée." Joignant le geste à la parole, les masseurs se déshabillèrent aussitôt. J'étais impressionné par le corps magnifique de Patricia, mais abasourdi par le monstrueuse bite de Douma, qui pendait librement jusqu'en dessous de ses bourses. Mais Patricia me tira de ma contemplation en m'invitant à les imiter en ôtant la serviette qui me couvrait le bassin.
"À vous, Nicole!" a insisté Patricia. D'abord hésitante, Nicole finit par céder et se retourna lentement. Les yeux clos et les mains tentant de couvrir ses seins et sa chatte.
Douma et Patricia ont continué leurs massages avec leurs mains grasses sur sa peau lisse. La respiration de Nicole commençait à s'accélérer. Douma massait le cou, les épaules et la poitrine. Patricia s'occupait des genoux de Nicole jusqu'à son entrejambe. Pour masser l'intérieur de ses cuisses, Patricia lui a fait écarter les jambes, dévoilant sa chatte. C'est à ce moment-là que je me suis aperçu que ma femme s'était totalement épilée la chatte pour les vacances. Abandonnant toute pudeur, Nicole a cessé de couvrir son corps, laissant tomber ses bras sur la table pour se cramponner sur les bords.
Douma avait fini par attraper les seins de Nicole. Il effectuait une rotation en partant des bras, les épaules, le cou, le visage, les tempes, puis de nouveau le cou, les épaules, terminant par les seins. Sans toucher les tétons, il empoignait les mamelons, les pressait l'un contre l'autre, les serrait fort comme pour en extraire le jus. Les tétons de Nicole étaient érigés comme des statues. J'étais en érection, en transe. Nicole, les yeux clos, respirait fort.
Tout à coup, Nicole sursauta en ouvrant grand les yeux. Je me soulevais en appui sur mon coude pour mieux voir. Patricia massait l'intérieur des cuisses de ma femme. Ses paumes étaient incroyablement proches de sa chatte et je pouvais compter huit doigts sur son pubis. Ses pouces restaient invisibles. Il m'a fallu peu de temps pour comprendre qu'ils glissaient lentement dans la chatte de Nicole. Quand ils émergèrent au sommet de sa chatte, ses pouces pincèrent le clitoris de Nicole, l'étirant doucement .
Nicole souleva légèrement la tête pour voir les mains de Patricia s'activer entre ses jambes et sa respiration devint bruyante. Pendant ce temps, Douma concentrait son massage exclusivement sur les seins de Nicole, malaxant les mamelons, pinçant et étirant les tétons érigés. Je pouvais voir les prémices d'un puissant orgasme se construire dans le corps de Nicole.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Patricia massant sa chatte en profondeur, Douma malaxant fermement ses seins, Nicole céda à la vague qui l'emportait, laissant retomber sa tête, le dos arqué, son bassin étant agité d'une houle puissante alors que ses lèvres laissaient échapper un feulement rauque qui s'acheva en une plainte aigüe. Les yeux clos, obnubilée par les sensations qui la bouleversait, elle ne remarqua pas le monstrueux sexe noir qui lui caressait les cheveux.
Nicole reprenait lentement conscience quand elle tourna la tête vers moi. Les yeux entrouverts, elle n'a pas compris immédiatement pourquoi elle ne pouvait pas me voir. Douma continuait de lui pétrir les seins, ce qui lui permettait de regarder sa chatte de près, mais aussi son énorme bite pendait juste à côté du visage de ma femme, lui bouchant la vue. Quand elle a réalisé la situation, elle s'est soulevée légèrement pour établir un contact visuel avec moi et m'a demandé: "qu'est-ce qui s'est passé ... que dois-je faire?" J'étais trop excité pour répondre. Devant son regard interrogatif, j'ai capitulé, la laissant se débrouiller seule avec ces deux étrangers.
Les deux jeunes thérapeutes avaient suivi le bref échange entre Nicole et moi. Ils avaient compris que je leur laissais carte blanche. Ils savaient exactement quoi faire, quand le faire et comment faire. Ce n'était sûrement pas des novices. On devait certainement faire appel à eux et à leur science pour dessaler les épouses un peu coincées.
Je savais que c'était un territoire inconnu pour Nicole. Elle n'avait jamais rien connu d'aussi sexuel dans sa vie. Douma relâcha sa pression sur les seins de ma femme pour faire glisser ses mains le long de son corps, jusqu'aux cuisses qu'il a écartées largement.
Remontant lentement à l'intérieur de ses cuisses, il a atteint sa chatte, et il a saisi ses grandes lèvres qu'il a écartées, offrant la chatte de Nicole à la bouche de Patricia. Celle-ci plongea sa bouche gourmande dans la chatte de ma femme, la léchant longuement avant de s'emparer du clitoris qu'elle suça goulûment. Le souffle de Nicole était maintenant parfaitement audible. Sa respiration saccadée était difficile, et elle geignait doucement. Le visage tourné vers moi, ses yeux me lançaient un appel à l'aide muet, mais elle n'obtint pas de réponse.
Livrée à elle-même, sans défense contre la bouche gourmande qui lui dévorait la chatte, Nicole a laissé retomber sa tête sur la table et a refermé ses beaux yeux. Profitant du travail de Patricia qui maintenait Nicole dans un état d'excitation élevé, Douma se saisit de son chibre et le posa sur le visage de ma femme, les bourses contre ses cheveux, le gland posé sur sa bouche. La bouche entrouverte a laissé passer sa langue qui a commencé par lécher délicatement le frein, puis le méat pour récupérer le liquide qui suintait doucement.
Constatant la bonne volonté de Nicole, Douma se tourna vers moi pour m'adresser un clin d’œil, avant de saisir ma femme sous les aisselles pour la faire glisser sur la table, la remontant jusqu'à ce que sa tête pende dans le vide. De cette façon, la gorge de Nicole s'alignait parfaitement avec le membre de Douma qui continuait de grossir en se raidissant.
Sentant sa proie lui échapper, Patricia suivit le mouvement et s'agenouilla sur la table entre les cuisses ouvertes de Nicole. Une fois en position, elle a sucé son clitoris tandis qu'elle pénétrait sa chatte avec deux doigts à la recherche de son point G. De nouveau, Nicole exprimait son bonheur par une houle sensuelle qui animait son bassin.
Sa bouche ouverte se fit accueillante pour le gland turgescent, puis le manche durcissant suivit, plongeant jusque dans la gorge de Nicole, qui ne tarda pas à s'étouffer. Douma retira sa bite de la bouche de ma femme et un long filet de salive se brisa. Ensuite, il s'est amusé à promener son gland sur sa bouche, son cou, puis à la gifler avec sa bite monstrueuse. Nicole tendait sa bouche grande ouverte pour essayer de gober le monstre, finalement il saisit ma femme par son chignon pour lui baiser la bouche, faisant coulisser son membre jusqu'au fond de sa gorge pour ressortir complètement et replonger aussitôt.
Pendant ce temps, Nicole avait lâché la table pour saisir la tête de Patricia et la plaquer sur sa chatte, tout en remontant ses genoux et en ouvrant ses cuisses au maximum. Cela a stimulé Patricia. Voulant aller plus loin, Patricia descendit son pouce et trouva le trou du cul vierge de Nicole. Avec une poussée délicate, Patricia put enfoncer la première phalange. Nicole a immédiatement commencé à jouir. Patricia a redoublé d'effort et Nicole s'est mise à convulser. Ses cris étaient étouffés par la grosse queue noire qui la bâillonnait.
Patricia lui baisait la chatte et le cul, Douma lui baisait la bouche, Nicole jouissait bruyamment, tremblante et suffocante, et moi je regardais ce spectacle, incrédule, et je ne reconnaissais plus ma petite femme si timide et si pudibonde.
Ils ont relâché Nicole, épuisée et comblée, quelques instants plus tard. La tête, les bras et les jambes pendaient de chaque côté de la table, on l'aurait cru mourante.
En regardant Patricia, Douma a indiqué: "Il nous reste 15 minutes."Patricia a répondu: "Tu vas terminer le travail."Les deux jeunes gens ont échangé leur place, Douma au bas de la table, Patricia à la tête.
Patricia s'est penchée pour murmurer à l'oreille de Nicole: "Chérie, retourne-toi à plat ventre et descend un peu. Je vais te donner un oreiller pour te soutenir." Nicole a obéi sans discuter. Patricia m'a regardé, souriante, et m'a adressé un clin d’œil.
Douma lui a attrapé les chevilles et l'a attiré lentement vers le pied de la table. Patricia a plié deux oreillers qu'elle a placé sous le ventre de Nicole. Cette manœuvre a soulevé son beau cul en l'air, offrant l'accès de sa chatte trempée au chibre de Douma tendu de désir.
Patricia s'assit sur la table, à califourchon juste devant la tête de Nicole. Soulevant la tête de ma femme par son chignon, elle glissa son bassin sous le visage de Nicole. De nouveau, Patricia m'a regardé et m'a dit: "Elle va aimer ça!" À ce moment là, j'avais très envie de prendre la place de Douma. Je me suis levé pour m'approcher mais le regard glacial de Douma m'a dissuadé de tenter quoi que soit. Pour le moment, cette femelle lui appartenait et il était hors de question de me laisser sa place.
Je me suis rassis sur ma table pour regarder Douma promener sa bite rigide le long de la chatte de ma femme. Son gland se couvrait progressivement de jus qui suintait de la chatte de Nicole. Chaque fois que le gland touchait son clitoris, elle avait une réaction du bassin comme si elle voulait happer sa bite. Cette action était accompagnée par des gémissements d'impatience et son bassin suivait cette caresse lancinante, s'ajustant aux mouvements de Douma.
Après quelques minutes de ce petit jeu, Douma demanda: "Dis-moi ce que tu veux." "Je veux ton sexe!" répondit aussitôt Nicole.
"Où?""Dans ma chatte! Oh, putain, baise-moi, maintenant! Fourre-moi ta grosse bite noire dans ma chatte!""Comme ça? À cru, sans préservatif?""Oui, baise-moi, prends-moi, balance ton foutre dans ma chatte sans protection, mais viens maintenant, tu me rends dingue!"Après ça, il a laissé son énorme queue envahir la petite chatte serrée de ma femme. Elle était tellement excitée, tellement juteuse, qu'il n'a presque pas rencontré de résistance. Il ne s'est arrêté que quand il s'est senti toucher le fond du vagin.
Nicole convulsait et manquait d'air, le visage enfoui dans la chatte à Patricia.
De mon côté, au comble de l'excitation, j'ai voulu caresser ma bite pour me soulager un peu. Mais le regard méprisant de Patricia m'a stoppé et l'ordre a claqué: "Assieds-toi sur tes mains, pervers!"Je commençais à réaliser la gravité de sa situation. Ma femme était en train de se faire baiser. Par une énorme bite noire. Sans protection. Avec un risque énorme qu'elle se retrouve enceinte. D'un inconnu. Noir. Et l'autre salope me traitait comme un gamin. Mais à ce stade, tout dans l'attitude de Nicole me montrait qu'elle le voulait. Elle en avait besoin.
Si j'intervenais pour faire cesser leurs ébats, j'aurais les trois contre moi. Je n'avais aucune chance. Alors, je me suis assis avec les mains sous mes fesses et j'ai fermé ma gueule. Excité mais frustré. Et je les ai regardés baiser ma femme. La salope!
Patricia a glissé ses mains sous ma femme pour saisir fermement ses seins. Les tétons érectiles de Nicole sont très sensibles et Patricia n'a eu besoin de chercher longtemps pour trouver comment s'en servir.
Douma baisait profondément Nicole. Il se retirait lentement, ne laissant que le gland au bord des lèvres, puis replongeait brutalement au fond de sa chatte, les mains cramponnées aux hanches de ma femme.
Nicole exultait, la chatte distendue et martelée par une énorme bite noire, les seins torturés par une experte en jeux saphiques.
Douma saisit le cul de Nicole à deux mains et lui écarta les joues. Je pouvais voir la chatte de Nicole écartelée par l'impressionnante circonférence de la queue de Douma.
Il a claqué son cul d'une gifle sonore. Elle a crié et a bougé plus vite son bassin, s'empalant elle-même sur le sexe tendu.
Douma était maintenant parfaitement immobile, laissant la femelle faire tout le travail, l'encourageant avec des gifles sonores sur le cul de temps en temps. Nicole semblait adorer cela et ronronnait de bonheur.
Nicole tremblait de désir en frottant son cul contre le pubis de Douma. Un orgasme sans fin explosait dans ses reins. Ma femme, épuisée, à bout de souffle, la bouche coincée contre la chatte de Patricia, râlait de jouissance.
Patricia se pencha et lui demanda: "Es-tu prête à le recevoir?" Nicole ne pouvait pas répondre.
Patricia leva les yeux vers Douma et ordonna: "Vas-y, baise-la bien, à fond."Sans hésiter, Douma saisit ma femme par les hanches pour la défoncer comme un malade, à grands coups de rein.
Il heurtait le fond de sa vulve sans ménagement. Il martelait la chatte de ma femme comme si c'était une pute. Sa pute.
Ses mains cramponnaient fermement ses hanches quand il poussait profondément sa grosse bite noire dans la petite chatte étroite.
Le dos arqué, le visage enterré dans la chatte de Patricia, Nicole subissait l'assaut sans se dérober, les gémissements qui sortaient de sa bouche exprimaient son plaisir. Les joues de son cul avaient rougies sous les coups du jeune étalon, mais ça aussi elle ne semblait pas s'en soucier. Elle enchaînait les orgasmes à répétitions, geignante et gémissante, ivre de luxure. bacchanale déchaînée acceptant toutes les humiliations.
Douma a attrapé le chignon de ma femme pour lui relever la tête. Il voulait l'entendre crier de plaisir quand il se viderait en elle.
Patricia écarta les jambes, glissant ses mains sous le menton de Nicole et lui murmura: "Maintenant tu vas t'amuser!"Nicole était dans un état d'extase continuelle. Le martèlement incessant de sa chatte par Douma la transportait vers des rivages inconnus. Cet état de grâce se poursuivait depuis plusieurs minutes et il ne connaissait pas d'arrêt.
Patricia garda une main sous le menton de Nicole, et tendit l'autre main pour remplacer celle de Douma, se saisissant du chignon doré de ma femme. Douma utilisa sa main libre pour claquer fermement les fesses de Nicole. Il alternait les coups, une fois à droite, une fois à gauche. Bouche grande ouverte, ma femme s'offrait avec délice.
Patricia glissa son pouce dans la bouche de Nicole, maintenant fermement la langue, pour l'empêcher de hurler. On ne sait jamais, une cabine voisine pouvait être occupée.
Douma commençait à avoir du mal à se retenir. De grosses gouttes de sueur coulaient sur son visage et sur son corps. A chaque fois que sa queue percutait la chatte de ma femme, ses couilles se heurtaient à son clitoris.
Soudain, Douma sentit ses bourses éclater. Le gland fermement calé au fond de la vulve de la femelle, de longs jets de sperme soulagèrent sa tension accumulée depuis près de deux heures. Il se libéra en grognant, déclenchant le plus violent orgasme que ma femme ait jamais connu. Incapable de crier, cet orgasme dévastateur lui fit perdre conscience.
Douma a sorti sa queue, l'a secouée et l'a essuyée sur le cul de ma femme. Ensuite, il l'a remerciée en lui claquant fermement une dernière fois les fesses, ce qui a sorti Nicole de sa rémanence.
La chatte rougie et distendue de Nicole commençait à laisser s'échapper le trop-plein de foutre et elle a glissé une main entre ses cuisses pour essayer d'endiguer le flot.
Sans perdre de temps, les deux jeunes gens se sont rhabillés pour aller reprendre du service.
En passant devant moi, Douma s'est contenté d'un clin d’œil.
Mais Patricia s'est arrêtée devant moi pour me faire le signe universel entre le pouce et l'index qui veut dire: "Pourboire!"Avec un clin d'œil pour me remercier du billet, elle était partie aussi.
Regardant Nicole recroquevillée en tas sur la table, j'ai finalement demandé: "Chérie, ça va?"Elle gémit doucement. "Mon dieu, ramène-moi dans la chambre ... je vais te montrer comment ça va, d'accord?"J'ai le sourire. Je sais à partir de maintenant que notre vie sexuelle ne sera plus jamais monotone.