MA PETITE VOISINE. (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MA PETITE VOISINE. (2/4)
J’habite à Montpellier et je suis itinérant multicarte principalement pour une société de câble électrique.
Ma petite voisine manque de perdre son chihuahua à poil long prénommé Loulou que je sauve d’une mort atroce broyé par l’ascenseur en détachant le mousqueton de la laisse la porte de l’ascenseur s’étant fermé sans que le chien soit monté.
Il tente de se relancer mais il a besoin de mon soutien pour des délais de paiement.
Je l’invite au restaurant et l’affaire étant rapidement conclue nous en arrivons comme tous hommes ensemble à parler de sexe.
Il a la chance d’être frontalier et moi qui suis souvent contraint à me contenter de relation tarifée au fil des kilomètres eux ils ont Genève et ses bars à putes.
Il me détrompe me signalant un site où des femmes sous couvert de massage et d’effeuillage reçoivent des hommes dans des appartements privés pour une demi-heure ou une heure.
Quand je me connecte, il a raison plusieurs filles très avenantes proposent leur charme avec un numéro 06 à appeler.
L’une d’elles retient mon attention, le sosie d’Ange ma petite voisine montpelliéraine se présente à moi.
Voulant voir si cette Laëtitia comme elle se fait appeler ressemble vraiment à Ange j’appelle et je viens d’entrer dans l’appartement ou un petit chien abois.
La pute que je viens voir lui dit de se taire en sortant de la pièce contiguë aux aboiements en tenue sexy la chatte libérée de toute entrave.
Laëtitia et Ange sont qu’une et même personne ainsi ma petite voisine fait la pute à l’autre bout de la France pour des passes à 140 € l’heure.
• Christian tu m’as suivi et tu viens ici m’humilier me montrant la fille de joie que je suis depuis 5 ans.
Je voudrais la dissuader que c’est un fait du hasard qui m’a conduit dans cet appartement et que seule la ressemblance croyant à un sosie d’elle m’a fait l’appeler.
• Donne-moi mon fric, tu veux voir comment je fais des passes avec tous les clients jeunes ou vieux dans chaque ville ou chaque mois je sous-loue à une organisation ces appartements alors viens avec moi dans la salle de bain que je te lave ta putain de queue.
C’est incroyable elle est en colère comme une femme mariée découvrant que son mari a été aux putes alors qu’elle se donne à lui sans retenue.
Les billets que je sors de ma poche les ayant préparé pour les donner à Laëtitia viennent naturellement dans sa main et en me tirant par la main son contact me laissant froid comparé à la chaleur qui m’avait envahi devant la cage d’ascenseur le jour du sauvetage de son roquet quand mon bras avait touché son sein.
Ses seins que dans le brouillard que j’ai devant mes yeux sont aussi étonnants que l’avaient laissé présager le contact surprenant avec eux dans son déshabillé avec un soutien-gorge pigeonnant laissant paraître leur galbe et les aréoles terminées par une fraise des bois qu’à d’autres moments j’aurais eu plaisir à sucer voire à mordiller.
Pourquoi l’échange d’argent promis par téléphone suis-je resté m’humiliant quand elle dégrafe mon pantalon et qu’elle essaye de prendre ma verge qui refuse désespérément de sortir de sa cachette.
• Que veux-tu que je fasse de ton petit bout de chair ramollie, c’est le seul effet que je te fais, suis-je devenue répugnante car tu as constaté que chaque fois que je pars de 10 à 15 jours c’est pour sucer et me faire enfiler par des dizaines de verges chaque jour ce qui me rapporte un maximum de fric?
Comme un zombi je la suis dans la chambre admirant sa démarche chaloupée percher sur ses talons hauts alors qu’à Montpellier je l’ai toujours vu avec Loulou le promener avec à ses pieds de petits escarpins dans des robes cachant ses formes.
C’est à l’enterrement de sa grand-mère où je m’étais rendu en bon voisin que je l’ai vu.
C’est à cette triste occasion que je l’avais prise pour un ange avant de m’apercevoir dans un premier temps qu’elle s’appelait Ange et à ce jour que c’est un ange noir.
Elle s’assoit sur son lit de misère et m’attirant à elle mon pantalon et mon slip baissé sur mes pieds elle se penche et sa bouche mais principalement sa langue vient titiller la petite partie de mon prépuce qui accepte d’être stimulé.
Rien n’y fait, je refuse de bander pourtant ses mains qui caressent mes couilles allant même jusqu’à me les serrer pensant qu’une méthode plus hard viendrait à bout de mes réticences reste lettre morte.
Ange-Laëtitia pour autant montre son expérience quand elle se relève changeant de position.
• On va essayer une autre méthode pour te faire bander.
Elle s’installe en levrette sur le lit me montrant l’intégralité de sa chatte et de son cul qu’elle trémousse comme pourrait le faire une chienne sollicitant son mâle.
• Viens te frotter à moi, le contact de mon intimité va peut-être déclencher ton érection, je suis la première pute avec qui tu baises ?
C’est du bout des lèvres la gorge nouée que j’arrive à dire.
• Non.
• Alors pourquoi avec moi restes-tu impuissant ?
Tu m’as tellement idéalisé que de voir que la petite fille sage que tu vois devant l’ascenseur sortir son chien tous les jours sans jamais ramener d’homme voire une femme à la maison car il m’arrive de me gouiner avec des clientes qui adorent venir me sucer la chatte dès qu’un de mes clients est parti bien que je me fasse baiser toujours avec capotes ?
Avec capote malgré tout le fric que j’aurais pu me faire avec les malades qui me promettent des ponts d’or pour l’enlever.
J’ai commencé le métier avec la génération sida et je me garde bien de baiser à cru.
Allez, frotte-toi à moi, ma fente est–elle si répugnante que cela.
Je monte sur le lit à genoux derrière elle et alors que comme elle me le dit je me caresse la verge à elle un nouvel ordre me parviens de cette jolie bouche que je lui trouvais chaque fois que je la croise.
• Prends-moi les seins dans tes mains, tu peux-y aller ils ont ramassé, quelques putains de clients étant au bord du sado voir du masochisme me les tires allant même jusqu’à essayer de m’arracher mes pointes qui sont si belles.
Pour être belles elles sont belles mais j’ai beau me frotter à son sexe rien ne bouge, ma verge reste désespérément flasques tout juste consent-elle à sortir un peu la tête de quelques centimètres.
• On va essayer une autre méthode, met moi deux doigts dans le cul, il en a vu d’autres, deux ou trois fois par jour je me fais enculer.
Pourquoi alors que j’ai du mal à m’exprimer je sors cette phrase débile.
• Pour le même prix ?
• Oui monsieur, les clients comme toi me payent 140 € ici dans cette ville dans d’autres 150 pour avoir mon corps entièrement à leur disposition ce qui est loin d’être le cas pour toi.
Je lui mets deux doigts dans le cul tout en continuant de me frotter à elle sans aucun succès côté verge.
Je prends l’initiative et je place ma main sous elle pour lui caresser le clito puis lui mettre deux doigts dans le vagin.
Jamais un sexe de femme ne m’est apparu aussi sec, j’ai même du mal à la pénétrer.
• Christian tu découvres ce qu’est une pute, si tu croyais comme beaucoup d’hommes que nous mouillons chaque fois qu’un client entre en nous, tu te trompes, c’est notre fierté nous les pros de mettre à votre disposition notre corps pour que vous fassiez vos saloperies mais pour nous seul votre fric nous intéresse le reste du temps perdu.
Au moment où j’ai débuté quelques jours après mes dix-huit ans je dois reconnaître qu’une ou deux fois je me suis lâchée devant des beaux gosses et que j’ai pris mon pied surtout avec des bites qu’il m’est difficile de comparer avec la tienne vu qu’elle est cachée au fond de toi.
Attends que je me remette devant, je vais une dernière fois essayer de te faire une fellation.
Mince-il reste dix minutes et j’aimerais te faire décharger car sinon j’aurais l’impression de t’avoir volé ton fric mais que je vais garder il va sans dire car j’ai été à ta disposition pendant les 60 minutes qui t’étais imparti.
Je dois reconnaître qu’elle a raison, elle a tout essayé et même jusqu'à insinuer que je suis peut-être pédé quand elle m’a demandé à lui mettre deux doigts dans le cul.
Tant bien que mal elle arrive à me reprendre en bouche mais la tension qui en temps normale me fait bander en quelques secondes est inexistante depuis que j’ai compris qu’Ange se fait mettre par qui la paye.
Chou blanc le compte à rebours des 60 minutes qu’elle a déclenché quand nous sommes entrés dans la chambre marque la fin du temps imparti pour mes 140 €.
Comme il faut le dire c’est la queue basse que je remets mon pantalon et que je la quitte.
Arrivé dans le couloir vers la porte d’entrée je me dirige vers les toilettes ayant un début d’envie mais d’uriner et surtout pas de baiser.
• Allô oui, je suis libre dans cinq minutes, vous êtes déjà venu hier, je reconnais votre voix, vous savez où appuyer pour que la porte s’ouvre.
C’est avec beaucoup de peine que je sors discrètement.
Après avoir descendu l’escalier arrivé vers l’entrer un black immense sonne au nom que m’a donné Laëtitia avant que je m’aperçoive que c’est bien ma petite voisine la pute de service.
Comment un corps aussi frêle et aussi mignon va-t-elle accepter de se faire défoncer par ce black qui si son membre est aussi monstrueux que ses pectoraux vont nous la déchirer la rendant infirme pour le restant de sa vie ?
Bien sûr il est déjà venu hier et l’accouplement bestial qui doit avoir eu lieu semble être bien accepté par la petite pute puisqu’elle accepte qu’il revienne.
Arrivé dans ma voiture je reprends mon portable et je retourne sur le site où j’ai trouvé à cause de Stéphane à qui je pense en vouloir toute ma vie le secret de ma jolie poupée au chihuahua.
• Allô, oui vous êtes libre, je peux être chez vous dans cinq minutes, 150 € pour une heure, aucun problème guidé moi.
C’est ainsi alors que je vais pour démarrer ma voiture que je vois le grand noir ressortir pestant contre quelque chose ou quelqu’un et quand il passe à vingt centimètres de moi, les seuls mots que j’entends c’est.
• Quelle petite pute, tout ce chemin pour rien,elle a bien mérité la leçon que je lui ai donnée.
Je démarre pour aller à mon rendez-vous…
Ma petite voisine manque de perdre son chihuahua à poil long prénommé Loulou que je sauve d’une mort atroce broyé par l’ascenseur en détachant le mousqueton de la laisse la porte de l’ascenseur s’étant fermé sans que le chien soit monté.
Il tente de se relancer mais il a besoin de mon soutien pour des délais de paiement.
Je l’invite au restaurant et l’affaire étant rapidement conclue nous en arrivons comme tous hommes ensemble à parler de sexe.
Il a la chance d’être frontalier et moi qui suis souvent contraint à me contenter de relation tarifée au fil des kilomètres eux ils ont Genève et ses bars à putes.
Il me détrompe me signalant un site où des femmes sous couvert de massage et d’effeuillage reçoivent des hommes dans des appartements privés pour une demi-heure ou une heure.
Quand je me connecte, il a raison plusieurs filles très avenantes proposent leur charme avec un numéro 06 à appeler.
L’une d’elles retient mon attention, le sosie d’Ange ma petite voisine montpelliéraine se présente à moi.
Voulant voir si cette Laëtitia comme elle se fait appeler ressemble vraiment à Ange j’appelle et je viens d’entrer dans l’appartement ou un petit chien abois.
La pute que je viens voir lui dit de se taire en sortant de la pièce contiguë aux aboiements en tenue sexy la chatte libérée de toute entrave.
Laëtitia et Ange sont qu’une et même personne ainsi ma petite voisine fait la pute à l’autre bout de la France pour des passes à 140 € l’heure.
• Christian tu m’as suivi et tu viens ici m’humilier me montrant la fille de joie que je suis depuis 5 ans.
Je voudrais la dissuader que c’est un fait du hasard qui m’a conduit dans cet appartement et que seule la ressemblance croyant à un sosie d’elle m’a fait l’appeler.
• Donne-moi mon fric, tu veux voir comment je fais des passes avec tous les clients jeunes ou vieux dans chaque ville ou chaque mois je sous-loue à une organisation ces appartements alors viens avec moi dans la salle de bain que je te lave ta putain de queue.
C’est incroyable elle est en colère comme une femme mariée découvrant que son mari a été aux putes alors qu’elle se donne à lui sans retenue.
Les billets que je sors de ma poche les ayant préparé pour les donner à Laëtitia viennent naturellement dans sa main et en me tirant par la main son contact me laissant froid comparé à la chaleur qui m’avait envahi devant la cage d’ascenseur le jour du sauvetage de son roquet quand mon bras avait touché son sein.
Ses seins que dans le brouillard que j’ai devant mes yeux sont aussi étonnants que l’avaient laissé présager le contact surprenant avec eux dans son déshabillé avec un soutien-gorge pigeonnant laissant paraître leur galbe et les aréoles terminées par une fraise des bois qu’à d’autres moments j’aurais eu plaisir à sucer voire à mordiller.
Pourquoi l’échange d’argent promis par téléphone suis-je resté m’humiliant quand elle dégrafe mon pantalon et qu’elle essaye de prendre ma verge qui refuse désespérément de sortir de sa cachette.
• Que veux-tu que je fasse de ton petit bout de chair ramollie, c’est le seul effet que je te fais, suis-je devenue répugnante car tu as constaté que chaque fois que je pars de 10 à 15 jours c’est pour sucer et me faire enfiler par des dizaines de verges chaque jour ce qui me rapporte un maximum de fric?
Comme un zombi je la suis dans la chambre admirant sa démarche chaloupée percher sur ses talons hauts alors qu’à Montpellier je l’ai toujours vu avec Loulou le promener avec à ses pieds de petits escarpins dans des robes cachant ses formes.
C’est à l’enterrement de sa grand-mère où je m’étais rendu en bon voisin que je l’ai vu.
C’est à cette triste occasion que je l’avais prise pour un ange avant de m’apercevoir dans un premier temps qu’elle s’appelait Ange et à ce jour que c’est un ange noir.
Elle s’assoit sur son lit de misère et m’attirant à elle mon pantalon et mon slip baissé sur mes pieds elle se penche et sa bouche mais principalement sa langue vient titiller la petite partie de mon prépuce qui accepte d’être stimulé.
Rien n’y fait, je refuse de bander pourtant ses mains qui caressent mes couilles allant même jusqu’à me les serrer pensant qu’une méthode plus hard viendrait à bout de mes réticences reste lettre morte.
Ange-Laëtitia pour autant montre son expérience quand elle se relève changeant de position.
• On va essayer une autre méthode pour te faire bander.
Elle s’installe en levrette sur le lit me montrant l’intégralité de sa chatte et de son cul qu’elle trémousse comme pourrait le faire une chienne sollicitant son mâle.
• Viens te frotter à moi, le contact de mon intimité va peut-être déclencher ton érection, je suis la première pute avec qui tu baises ?
C’est du bout des lèvres la gorge nouée que j’arrive à dire.
• Non.
• Alors pourquoi avec moi restes-tu impuissant ?
Tu m’as tellement idéalisé que de voir que la petite fille sage que tu vois devant l’ascenseur sortir son chien tous les jours sans jamais ramener d’homme voire une femme à la maison car il m’arrive de me gouiner avec des clientes qui adorent venir me sucer la chatte dès qu’un de mes clients est parti bien que je me fasse baiser toujours avec capotes ?
Avec capote malgré tout le fric que j’aurais pu me faire avec les malades qui me promettent des ponts d’or pour l’enlever.
J’ai commencé le métier avec la génération sida et je me garde bien de baiser à cru.
Allez, frotte-toi à moi, ma fente est–elle si répugnante que cela.
Je monte sur le lit à genoux derrière elle et alors que comme elle me le dit je me caresse la verge à elle un nouvel ordre me parviens de cette jolie bouche que je lui trouvais chaque fois que je la croise.
• Prends-moi les seins dans tes mains, tu peux-y aller ils ont ramassé, quelques putains de clients étant au bord du sado voir du masochisme me les tires allant même jusqu’à essayer de m’arracher mes pointes qui sont si belles.
Pour être belles elles sont belles mais j’ai beau me frotter à son sexe rien ne bouge, ma verge reste désespérément flasques tout juste consent-elle à sortir un peu la tête de quelques centimètres.
• On va essayer une autre méthode, met moi deux doigts dans le cul, il en a vu d’autres, deux ou trois fois par jour je me fais enculer.
Pourquoi alors que j’ai du mal à m’exprimer je sors cette phrase débile.
• Pour le même prix ?
• Oui monsieur, les clients comme toi me payent 140 € ici dans cette ville dans d’autres 150 pour avoir mon corps entièrement à leur disposition ce qui est loin d’être le cas pour toi.
Je lui mets deux doigts dans le cul tout en continuant de me frotter à elle sans aucun succès côté verge.
Je prends l’initiative et je place ma main sous elle pour lui caresser le clito puis lui mettre deux doigts dans le vagin.
Jamais un sexe de femme ne m’est apparu aussi sec, j’ai même du mal à la pénétrer.
• Christian tu découvres ce qu’est une pute, si tu croyais comme beaucoup d’hommes que nous mouillons chaque fois qu’un client entre en nous, tu te trompes, c’est notre fierté nous les pros de mettre à votre disposition notre corps pour que vous fassiez vos saloperies mais pour nous seul votre fric nous intéresse le reste du temps perdu.
Au moment où j’ai débuté quelques jours après mes dix-huit ans je dois reconnaître qu’une ou deux fois je me suis lâchée devant des beaux gosses et que j’ai pris mon pied surtout avec des bites qu’il m’est difficile de comparer avec la tienne vu qu’elle est cachée au fond de toi.
Attends que je me remette devant, je vais une dernière fois essayer de te faire une fellation.
Mince-il reste dix minutes et j’aimerais te faire décharger car sinon j’aurais l’impression de t’avoir volé ton fric mais que je vais garder il va sans dire car j’ai été à ta disposition pendant les 60 minutes qui t’étais imparti.
Je dois reconnaître qu’elle a raison, elle a tout essayé et même jusqu'à insinuer que je suis peut-être pédé quand elle m’a demandé à lui mettre deux doigts dans le cul.
Tant bien que mal elle arrive à me reprendre en bouche mais la tension qui en temps normale me fait bander en quelques secondes est inexistante depuis que j’ai compris qu’Ange se fait mettre par qui la paye.
Chou blanc le compte à rebours des 60 minutes qu’elle a déclenché quand nous sommes entrés dans la chambre marque la fin du temps imparti pour mes 140 €.
Comme il faut le dire c’est la queue basse que je remets mon pantalon et que je la quitte.
Arrivé dans le couloir vers la porte d’entrée je me dirige vers les toilettes ayant un début d’envie mais d’uriner et surtout pas de baiser.
• Allô oui, je suis libre dans cinq minutes, vous êtes déjà venu hier, je reconnais votre voix, vous savez où appuyer pour que la porte s’ouvre.
C’est avec beaucoup de peine que je sors discrètement.
Après avoir descendu l’escalier arrivé vers l’entrer un black immense sonne au nom que m’a donné Laëtitia avant que je m’aperçoive que c’est bien ma petite voisine la pute de service.
Comment un corps aussi frêle et aussi mignon va-t-elle accepter de se faire défoncer par ce black qui si son membre est aussi monstrueux que ses pectoraux vont nous la déchirer la rendant infirme pour le restant de sa vie ?
Bien sûr il est déjà venu hier et l’accouplement bestial qui doit avoir eu lieu semble être bien accepté par la petite pute puisqu’elle accepte qu’il revienne.
Arrivé dans ma voiture je reprends mon portable et je retourne sur le site où j’ai trouvé à cause de Stéphane à qui je pense en vouloir toute ma vie le secret de ma jolie poupée au chihuahua.
• Allô, oui vous êtes libre, je peux être chez vous dans cinq minutes, 150 € pour une heure, aucun problème guidé moi.
C’est ainsi alors que je vais pour démarrer ma voiture que je vois le grand noir ressortir pestant contre quelque chose ou quelqu’un et quand il passe à vingt centimètres de moi, les seuls mots que j’entends c’est.
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