MA PETITE VOISINE. (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MA PETITE VOISINE. (3/4)
Je me suis aperçu que Laetitia le sosie de ma petite voisine montpelliéraine n’était autre qu’Ange la jeune fille sage que je rencontre devant l’ascenseur avec Loulou son petit chihuahua avec poil long faisant la pute à l’autre bout de la France je la paye mais je suis incapable de la baiser mon corps refusant de répondre comme il le fait habituellement.
C’est une vraie pro du sexe qu’elle me montre déployant tous ses charmes et toutes les astuces pour que je bande.
Même quand je me frotte à elle ou qu’elle me suce ma verge refuse de se redresser.
Je la quitte croisant son client suivant un black qui a dû la défoncer car à ce que j’entends il est déjà venu la voir hier.
Je veux avoir le cœur net afin de comprendre par quel phénomène mon corps à refuser de répondre à ses sollicitations toutes très professionnelles en appelant une autre pute qui accepte de me recevoir et vers laquelle je me rends.
Je vais pour redémarrer le black ressort de l’immeuble, quand il passe près de moi je l’entends maugréer son ressentiment envers Laetitia et cinq minutes après à trois rues de là, l’ascenseur me dépose sur un palier où l’une des quatre portes est ouverte.
Comme je l’ai vu sur ses photos la pute qui me reçoit est japonaise et est aussi bandante qu’Ange-Laetitia.
• Tu donnes argent.
La manière de parler me montre qu’elle est bien japonaise alors que j’aurais pu penser qu’elle est française d’origine de ce pays.
Par quel étrange parcourt a-t-elle atterri au milieu des putes françaises je me garde bien de chercher à le savoir mais je me dis qu’elle prend moins de risques à monter ses clients en France que dans son pays et quand elle rentre au Japon d’être reconnue comme j’ai reconnu ma petite voisine par un coup du destin.
Ici dans cet appartement sa condition de femme à bite a peu de chances d’arriver jusqu’à sa famille ou mieux son voisin.
• Merci pour argent, viens que je lave queue.
Comme il y a une heure j’enlève mes vêtements dans l’entrée avant de la suivre dans la salle d’eau.
La nuisette qu’elle porte ressemblant à un kimono du moins par les dessins et les couleurs me montrant ses fesses qui tressautent devant moi.
Quand elle se retourne ses seins sont enfermés dans un soutien-gorge aussi pigeonnant que celui de la pute que je viens de quitter, la vue de ses petits obus me fait bander immédiatement contrairement à ce qui est arrivé il y a peu me rassurant sur mon état de santé.
Elle fait couler l’eau prend du savon et quand elle me prend en main sans avoir du plaisir j’envoie mon sperme dans le lavabo.
• Toi drôle de client, première fois que le contact main à moi fait partir liqueur amour.
Toi avoir grande envie baisée petite japonaise venue France pour étudier langue à vous.
Comment lui dire que c’est le petit cul de mon ange que j’ai vu une fraction de seconde sur le même type de haut talon qui a déclenché mon éjaculation alors que devant elle j’étais resté muet.
Comment lui dire que c’est Ange que je souhaite baiser par son intermédiaire pour voir si comme la maman de Loulou l’a dit je suis devenu pédéraste ?
Elle me relave la queue me refaisant partir une érection.
• Viens dans la chambre encore beaucoup temps et toi re-décharger une deuxième fois, mais soit pas si rapide que dans la salle eau.
La chambre est aussi impersonnelle que celle ou travail Ange-Laetitia, il faut que je l’oublie car je risque la même catastrophe que précédemment.
Elle s’assoit sur le lit et entame une fellation très experte pour une étudiante.
Si elle fait la pute pour payer ses études, son Français a encore beaucoup à s’améliorer mais le sexe elle l’a déjà bien assimilé à mon que la-bas au soleil levant elle avait commencé sa carrière dans le sexe avec des messieurs qui lui faisaient des courbettes avant de la sodomiser.
Je constate que la baise dans tous les pays du monde est la même, une femme surtout une pute suce et écarte les cuisses pour que le sexe mâle vienne décharger en elle surtout pour moi qui paye pour baiser hélas trop souvent.
Je suis rapidement tendu qu’il faut que je fasse vagabonder mon cerveau dans d’autres lieux pour éviter de passer pour un éjaculateur précoce.
Je pense à ma boulangère seule femme qui jouit sous ma bite chaque fois qu’elle me rejoint.
Il faut que mon cerveau la quitte car cette salope de boulangère qui me rejoint dans ma chambre d’hôtel n’a rien à envier à une professionnelle du sexe.
La seule différence c’est qu’avec elle je suis un peu autre chose qu’une bite bonne à la saillir dans des moments de délires.
La manière dont elle me pompe au moins deux fois avant minuit avalant mon sperme avec délectation semble-t-il est bien différent à mes arrêts sur les parkings ou les filles après avoir réussit à extraire votre jus ouvre la portière pour tous cracher parterre avant de prendre un mouchoir en papier pour vous essuyer.
• Toi veux baiser moi sans capote, c’est 200 € plus.
Surtout pas surtout après ce que m’a dit Ange-Léticia des sollicitations qu’elle a par de vieux ou jeunes vicieux qui sont prêts à payer cher pour la montée à cru.
Elle me met ma capote ce qui est facile dans l’état où je suis, elle se place en levrette et ayant enfin trouvé mon équilibre je la sexe pendant toute l’heure retenant mon sperme sans problème.
Quand elle est en levrette je glisse ma main sous elle pour constater que même en stimulant son clito elle est aussi sèche qu’une pute française.
Je la sodomise entraînant des halètements qu’il m’est facile de m’apercevoir qu’ils sont feints.
À un moment de nos ébats oubliant les conventions ma bouche est proche de la sienne alors que je la prends ses jambes repliées sur elle dans un missionnaire bon enfant mais me permettant au début étant à genoux d’admirer sa chatte entièrement épilé que mon sexe pourfend par de grands coups et au moment où je me penche elle tourne la tête refusant que je l’embrasse Avant que l’heure sur le réveil que je vois et qu’elle voit arrive aux 60 minutes je remplis la capote qu’elle enlève et reprenant ma bite en bouche me la nettoie.
Le temps imparti à mes 140 € étant terminé je retourne dans la salle de bain me passer du produit aseptisant que j’ai vu à mon entrée qui est posée sur la baignoire et fière d’être redevenu un homme capable de baiser une chatter voir un cul je reprends l’ascenseur du même modèle que celui ou Loulou a failli perdre la vie, étrange coïncidence.
Dans les jours qui ont suivi ma tournée m’entraîne vers Paris où je reste huit jours contrairement à ce que l’on peut penser les artisans électriciens sont nombreux mais aussi les boulangers qui prennent mes chocolats et les restaurants qui achètent mon vin.
Pendant tout ce temps le soir seul dans ma chambre refusant de regarder le site qui m’a fait découvrir la vraie nature d’Ange-Laetitia, je reste chaste rêvant de ce qu’aurait pu être ma vie avec ma petite voisine si lors de l’épisode du chihuahua la petite m’avait invité à venir chez elle et qu’à un moment donné elle m’ait permis de lui faire l’amour. Je l’aurai sûrement demandé en mariage mais maintenant que je sais ce que je sais il est certain qu’une pute restera toujours une pute et qu’il est sûr que l’épouser c’est prendre le risque de voir les hommes défiler chez moi et de passer pour un proxo.
C’est serein sur mon avenir financier mes frais étant pris en charge par les sociétés pour lesquelles je travaille que je prends la route vers la bretagne.
J’ai une grosse désillusion quand j’entre dans sa boutique, ma boulangère me montre un petit vendre bien rebondi présage une naissance future.
Je l’ai toujours baisée avec capote aussi l’enfant qu’elle porte sauf problème de préservatif est à un autre que moi.
Le soir, je pense que je vais dormir seul quand elle entre car comme à chacun de mes passages pour rester discret je l’a laisse ouverte.
Sans un mot elle se déshabille et me rejoint sur le lit.
Sa bouche est suave et sa langue tournoyante me montrant qu’elle est une femme aimant baiser mais plutôt dans le style d’une maîtresse que d’une pro.
• Regarde mon cocu de mari a fini par arriver à me faire un enfant, ce sera la dernière fois que nous allons baiser ensemble du moins je vais te sucer et tu vas me sodomiser comme j’aime et après jusqu’à la fin de mes jours je serais une mère attentionnée.
Pas question que tu me mettes ta bite dans la chatte j’aurais l’impression de tromper le père de mon enfant.
Serment d’ivrogne qui a décidé d’arrêter de boire, son gosse pondu je suis sur que sa chatte va recommencer à la démanger et à 30 ans je pense qu’elle est loin de vouloir arrêter sa vie sexuelle mais seul l’avenir le dira.
Jusqu’à minuit c’est une folle du cul qui me pompe, avale mon sperme pour me faire rebander et la sodomiser, à un moment j’oublie que sa chatte m’est fermée et alors que je vais entrer, étant en levrette elle passe sa main et me remet dans son anneau.
Elle me quitte dans un dernier baisé me jurant que j’avais été les meilleurs de ses amants ce qui semblerait dire que je suis loin d’être le seul de profiter de ses charmes.
Et c’est le moment tellement redouté de mon retour à Montpellier pour rencontrer mes employeurs qui souhaitent me briffer sur le nouveau câble plus performant qu’ils souhaitent développer prioritairement à la vente et qui va leur donner une avance sur leurs concurrents.
Il y a deux heures que je suis arrivé et alors que je mange une boîte dans ma cuisine et comme sont faits nos logements j’entends Loulou aboyer quand l’ascenseur s’arrête sur notre palier avant de repartir immédiatement.
La porte de sécurité est restée fermée et je pense que quelqu’un a dû se tromper d’étage et est reparti.
À 13 heures je quitte mon logement craignant de la rencontrer et d’avoir à affronter son regard de désapprobation sur mon impuissance.
En rentrant vers 17 heures quand j’ouvre ma porte une enveloppe rose avec mon nom et un cœur dessiné dessus a été glissé.
« Christian, je me suis rendu compte que j’avais été très incorrecte quand tu as sauvé Loulou, pour me rattraper je t’invite à venir dîner ce soir à 21 heures chez moi.
Après ce qui est arrivé à Annecy et ce que tu as découvert, je te promets une explication franche et entière de toute ma vie »
J’hésite à y aller et c’est au dernier moment que je quitte mon logement pour la rejoindre.
Quand je sonne rapidement elle ouvre son regard toujours aussi angélique, dans une robe du soir blanche le côté fendu montrant un bas gainant divinement sa jambe la rendant magnifique.
Le haut de la robe est aussi bandant que le bas mettant sa poitrine en évidence et qui est nu.
Je dois dire que je bande à la voir se retourner me montrant son décolleté à la Mireille Darc dans le grand blond alors qu’elle me demande d’entrer et de la suivre.
La seule fausse note dans sa tenue ce sont ses talons hauts certes blancs contrairement à ceux d’Ange-Laetitia qui manque de me faire rebrousser chemin.
Elle a mis les petits plats dans les grands et dans sa salle à manger un dîner aux chandelles nous attend.
Je suis impressionné par sa prestance et le sang froid qu’elle affiche devant moi comme si rien n’avait eu lieu à Annecy et qu’elle recevait son amoureux pour une soirée finissant en plan coquin.
• Assieds-toi là, peux-tu ouvrir la bouteille de champagne…
C’est une vraie pro du sexe qu’elle me montre déployant tous ses charmes et toutes les astuces pour que je bande.
Même quand je me frotte à elle ou qu’elle me suce ma verge refuse de se redresser.
Je la quitte croisant son client suivant un black qui a dû la défoncer car à ce que j’entends il est déjà venu la voir hier.
Je veux avoir le cœur net afin de comprendre par quel phénomène mon corps à refuser de répondre à ses sollicitations toutes très professionnelles en appelant une autre pute qui accepte de me recevoir et vers laquelle je me rends.
Je vais pour redémarrer le black ressort de l’immeuble, quand il passe près de moi je l’entends maugréer son ressentiment envers Laetitia et cinq minutes après à trois rues de là, l’ascenseur me dépose sur un palier où l’une des quatre portes est ouverte.
Comme je l’ai vu sur ses photos la pute qui me reçoit est japonaise et est aussi bandante qu’Ange-Laetitia.
• Tu donnes argent.
La manière de parler me montre qu’elle est bien japonaise alors que j’aurais pu penser qu’elle est française d’origine de ce pays.
Par quel étrange parcourt a-t-elle atterri au milieu des putes françaises je me garde bien de chercher à le savoir mais je me dis qu’elle prend moins de risques à monter ses clients en France que dans son pays et quand elle rentre au Japon d’être reconnue comme j’ai reconnu ma petite voisine par un coup du destin.
Ici dans cet appartement sa condition de femme à bite a peu de chances d’arriver jusqu’à sa famille ou mieux son voisin.
• Merci pour argent, viens que je lave queue.
Comme il y a une heure j’enlève mes vêtements dans l’entrée avant de la suivre dans la salle d’eau.
La nuisette qu’elle porte ressemblant à un kimono du moins par les dessins et les couleurs me montrant ses fesses qui tressautent devant moi.
Quand elle se retourne ses seins sont enfermés dans un soutien-gorge aussi pigeonnant que celui de la pute que je viens de quitter, la vue de ses petits obus me fait bander immédiatement contrairement à ce qui est arrivé il y a peu me rassurant sur mon état de santé.
Elle fait couler l’eau prend du savon et quand elle me prend en main sans avoir du plaisir j’envoie mon sperme dans le lavabo.
• Toi drôle de client, première fois que le contact main à moi fait partir liqueur amour.
Toi avoir grande envie baisée petite japonaise venue France pour étudier langue à vous.
Comment lui dire que c’est le petit cul de mon ange que j’ai vu une fraction de seconde sur le même type de haut talon qui a déclenché mon éjaculation alors que devant elle j’étais resté muet.
Comment lui dire que c’est Ange que je souhaite baiser par son intermédiaire pour voir si comme la maman de Loulou l’a dit je suis devenu pédéraste ?
Elle me relave la queue me refaisant partir une érection.
• Viens dans la chambre encore beaucoup temps et toi re-décharger une deuxième fois, mais soit pas si rapide que dans la salle eau.
La chambre est aussi impersonnelle que celle ou travail Ange-Laetitia, il faut que je l’oublie car je risque la même catastrophe que précédemment.
Elle s’assoit sur le lit et entame une fellation très experte pour une étudiante.
Si elle fait la pute pour payer ses études, son Français a encore beaucoup à s’améliorer mais le sexe elle l’a déjà bien assimilé à mon que la-bas au soleil levant elle avait commencé sa carrière dans le sexe avec des messieurs qui lui faisaient des courbettes avant de la sodomiser.
Je constate que la baise dans tous les pays du monde est la même, une femme surtout une pute suce et écarte les cuisses pour que le sexe mâle vienne décharger en elle surtout pour moi qui paye pour baiser hélas trop souvent.
Je suis rapidement tendu qu’il faut que je fasse vagabonder mon cerveau dans d’autres lieux pour éviter de passer pour un éjaculateur précoce.
Je pense à ma boulangère seule femme qui jouit sous ma bite chaque fois qu’elle me rejoint.
Il faut que mon cerveau la quitte car cette salope de boulangère qui me rejoint dans ma chambre d’hôtel n’a rien à envier à une professionnelle du sexe.
La seule différence c’est qu’avec elle je suis un peu autre chose qu’une bite bonne à la saillir dans des moments de délires.
La manière dont elle me pompe au moins deux fois avant minuit avalant mon sperme avec délectation semble-t-il est bien différent à mes arrêts sur les parkings ou les filles après avoir réussit à extraire votre jus ouvre la portière pour tous cracher parterre avant de prendre un mouchoir en papier pour vous essuyer.
• Toi veux baiser moi sans capote, c’est 200 € plus.
Surtout pas surtout après ce que m’a dit Ange-Léticia des sollicitations qu’elle a par de vieux ou jeunes vicieux qui sont prêts à payer cher pour la montée à cru.
Elle me met ma capote ce qui est facile dans l’état où je suis, elle se place en levrette et ayant enfin trouvé mon équilibre je la sexe pendant toute l’heure retenant mon sperme sans problème.
Quand elle est en levrette je glisse ma main sous elle pour constater que même en stimulant son clito elle est aussi sèche qu’une pute française.
Je la sodomise entraînant des halètements qu’il m’est facile de m’apercevoir qu’ils sont feints.
À un moment de nos ébats oubliant les conventions ma bouche est proche de la sienne alors que je la prends ses jambes repliées sur elle dans un missionnaire bon enfant mais me permettant au début étant à genoux d’admirer sa chatte entièrement épilé que mon sexe pourfend par de grands coups et au moment où je me penche elle tourne la tête refusant que je l’embrasse Avant que l’heure sur le réveil que je vois et qu’elle voit arrive aux 60 minutes je remplis la capote qu’elle enlève et reprenant ma bite en bouche me la nettoie.
Le temps imparti à mes 140 € étant terminé je retourne dans la salle de bain me passer du produit aseptisant que j’ai vu à mon entrée qui est posée sur la baignoire et fière d’être redevenu un homme capable de baiser une chatter voir un cul je reprends l’ascenseur du même modèle que celui ou Loulou a failli perdre la vie, étrange coïncidence.
Dans les jours qui ont suivi ma tournée m’entraîne vers Paris où je reste huit jours contrairement à ce que l’on peut penser les artisans électriciens sont nombreux mais aussi les boulangers qui prennent mes chocolats et les restaurants qui achètent mon vin.
Pendant tout ce temps le soir seul dans ma chambre refusant de regarder le site qui m’a fait découvrir la vraie nature d’Ange-Laetitia, je reste chaste rêvant de ce qu’aurait pu être ma vie avec ma petite voisine si lors de l’épisode du chihuahua la petite m’avait invité à venir chez elle et qu’à un moment donné elle m’ait permis de lui faire l’amour. Je l’aurai sûrement demandé en mariage mais maintenant que je sais ce que je sais il est certain qu’une pute restera toujours une pute et qu’il est sûr que l’épouser c’est prendre le risque de voir les hommes défiler chez moi et de passer pour un proxo.
C’est serein sur mon avenir financier mes frais étant pris en charge par les sociétés pour lesquelles je travaille que je prends la route vers la bretagne.
J’ai une grosse désillusion quand j’entre dans sa boutique, ma boulangère me montre un petit vendre bien rebondi présage une naissance future.
Je l’ai toujours baisée avec capote aussi l’enfant qu’elle porte sauf problème de préservatif est à un autre que moi.
Le soir, je pense que je vais dormir seul quand elle entre car comme à chacun de mes passages pour rester discret je l’a laisse ouverte.
Sans un mot elle se déshabille et me rejoint sur le lit.
Sa bouche est suave et sa langue tournoyante me montrant qu’elle est une femme aimant baiser mais plutôt dans le style d’une maîtresse que d’une pro.
• Regarde mon cocu de mari a fini par arriver à me faire un enfant, ce sera la dernière fois que nous allons baiser ensemble du moins je vais te sucer et tu vas me sodomiser comme j’aime et après jusqu’à la fin de mes jours je serais une mère attentionnée.
Pas question que tu me mettes ta bite dans la chatte j’aurais l’impression de tromper le père de mon enfant.
Serment d’ivrogne qui a décidé d’arrêter de boire, son gosse pondu je suis sur que sa chatte va recommencer à la démanger et à 30 ans je pense qu’elle est loin de vouloir arrêter sa vie sexuelle mais seul l’avenir le dira.
Jusqu’à minuit c’est une folle du cul qui me pompe, avale mon sperme pour me faire rebander et la sodomiser, à un moment j’oublie que sa chatte m’est fermée et alors que je vais entrer, étant en levrette elle passe sa main et me remet dans son anneau.
Elle me quitte dans un dernier baisé me jurant que j’avais été les meilleurs de ses amants ce qui semblerait dire que je suis loin d’être le seul de profiter de ses charmes.
Et c’est le moment tellement redouté de mon retour à Montpellier pour rencontrer mes employeurs qui souhaitent me briffer sur le nouveau câble plus performant qu’ils souhaitent développer prioritairement à la vente et qui va leur donner une avance sur leurs concurrents.
Il y a deux heures que je suis arrivé et alors que je mange une boîte dans ma cuisine et comme sont faits nos logements j’entends Loulou aboyer quand l’ascenseur s’arrête sur notre palier avant de repartir immédiatement.
La porte de sécurité est restée fermée et je pense que quelqu’un a dû se tromper d’étage et est reparti.
À 13 heures je quitte mon logement craignant de la rencontrer et d’avoir à affronter son regard de désapprobation sur mon impuissance.
En rentrant vers 17 heures quand j’ouvre ma porte une enveloppe rose avec mon nom et un cœur dessiné dessus a été glissé.
« Christian, je me suis rendu compte que j’avais été très incorrecte quand tu as sauvé Loulou, pour me rattraper je t’invite à venir dîner ce soir à 21 heures chez moi.
Après ce qui est arrivé à Annecy et ce que tu as découvert, je te promets une explication franche et entière de toute ma vie »
J’hésite à y aller et c’est au dernier moment que je quitte mon logement pour la rejoindre.
Quand je sonne rapidement elle ouvre son regard toujours aussi angélique, dans une robe du soir blanche le côté fendu montrant un bas gainant divinement sa jambe la rendant magnifique.
Le haut de la robe est aussi bandant que le bas mettant sa poitrine en évidence et qui est nu.
Je dois dire que je bande à la voir se retourner me montrant son décolleté à la Mireille Darc dans le grand blond alors qu’elle me demande d’entrer et de la suivre.
La seule fausse note dans sa tenue ce sont ses talons hauts certes blancs contrairement à ceux d’Ange-Laetitia qui manque de me faire rebrousser chemin.
Elle a mis les petits plats dans les grands et dans sa salle à manger un dîner aux chandelles nous attend.
Je suis impressionné par sa prestance et le sang froid qu’elle affiche devant moi comme si rien n’avait eu lieu à Annecy et qu’elle recevait son amoureux pour une soirée finissant en plan coquin.
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