Ma première année d'internat (11)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Ma première année d'internat (11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma première année d'internat (11)
Chapitre 11.

Il était debout devant le lit et je le regardais de haut en bas. Sa queue s’était ramollie et je souris car une idée venait de me traverser la tête. Je m’avançai doucement de lui qui me regardait faire. Je pris sa queue en bouche et commençai à nouveau de le sucer pendant qu’il était au téléphone. Il se mit à durcir en un éclair. Je me mis au sol et pris sa queue en fond de gorge en m’accrochant à son cul. Sa voix changea d’un coup et il dit au téléphone, désolé ma chérie, je me suis cogné le genou contre la chaise. Il me fit de gros yeux mais je continuais ma pipe. J’avais envie de le faire jouir avant qu’il ne raccroche. Je me mis à le sucer de plus en plus vite en la prenant bien à fond et avec une main, je lui pinçais un de ses tétons. Ça avait l’air de lui plaire car à chaque fois, je voyais ses yeux se lever au plafond et se fermer et sa tête partait en arrière. Après 10 minutes de ce traitement, il voulut me repousser et je savais qu’il était sur le point de non-retour. Je voyais ses couilles se contracter et là il mit sa main sur sa bouche pour s’empêcher de grogner et il largua tout son jus dans ma bouche. Je l’avalais avec délice et lui léchais la bite pour avaler les dernières gouttes. Il finit la conversation avec sa femme et me regarda en me disant :

-T’es vraiment un petit diable toi.
-C’est pour ça que tu me kiffes non ?

Il me sauta dessus et commença à me chatouiller dans tous les sens. Puis il s’allongea de tout son long sur le lit et me dit de venir m’allonger près de lui en ouvrant son bras pour que je me love contre lui. Je posai ma main sur son torse puissant et je le caressais doucement en lui faisant des petits baisers.

-Je ne sais pas ce que tu m’as fait en si peu de temps mais oui comme tu dis je te kiffe.
-Ah ah je le savais.
-Bon, tu veux bien me dire ce qu’il t’est arrivé l’autre jour ? Tu avais le visage dans un piteux état.
-Non, ne t’inquiètes pas pour ça. Ce n’est rien.

Il se leva en me disant de rester là puis revint quelques secondes plus tard. Il revint dans la chambre en ouvrant la fenêtre et vint s’asseoir en demi allongé près de moi et me tendit une cigarette et en alluma une de son côté.

-Tu fumes ?
-Ben oui de temps en temps ça m’arrive.
-Et tu me faisais une mini leçon de morale devant le lycée l’autre jour.
-Oui je sais mais à ce moment-là, j’étais ton prof et non ton amant. Mais ne change pas de conversation. Est-ce que tout va bien ?
-Oui, ça va.
-Tu me promets que si tu as le moindre problème, tu viens m’en parler ?
-Promis.

Nous avons terminé notre cigarette puis nous nous sommes levés en enfilant nos sous-vêtements et il est allé nous ouvrir une bouteille de bière chacun. Nous sommes allés nous asseoir dans le canapé et je vins encore me mettre dans ses bras. J’adore sentir son parfum enivrant. Il posa sa main dans mes cheveux et me caressait la tête. Il bu une gorgé de sa bière et posa sa bouteille sur la table du salon et vint me faire des baisers dans le cou. Je bus moi aussi une gorgée de ma bière et il me la prit des mains pour la poser à côté de la sienne. Il reprit ses baisers dans mon cou et se rapprocha de ma bouche ou il inséra sa langue. Ses mains parcouraient mon corps tout entier et je me laissais aller. Il se mit à genoux et souleva mes jambes en me regardant. Je sentais son souffle au niveau de mon cul puis je sentis enfin sa langue me lécher à partir de mon scrotum puis s’arrêta et commença à s’insérer dans mon petit trou. Je ne sais pas comment il fait ça mais sa langue me faire gémir comme un fou. Ma queue se redresse rien qu’en la sentant. Il me regarda et me demanda :

-Tu es près à passer aux choses sérieuses ? Avec ou sans poppers ?
-Sans. J’ai envie de toi mais va doucement.
-T’inquiètes pas pour ça, je ne te casserai pas.

Il reprit son bouffage de cul et commença à me mettre un doigt tout en me léchant. Puis un deuxième, puis un deuxième. J’étais en transe. Je ne voyais que son regard mais bordel, son regard en disait long. Il voulait dire, je vais te dévorer tout cru. Il se releva et me retourna sur le canapé. Il saliva mon petit trou et sa bite et vint se placer près de moi. Il commença a rentrer son gland en moi doucement et je grognais car son gland est très gros mais je savais que je pouvais encore le faire. Il le passa enfin et me dit :

-Vas-y maintenant, empale-toi sur ma queue. Montre-moi que tu la veux.

Ses mots me firent de l’effet et je me reculais doucement sur son énorme pieu. Il malaxait mon cul pendant que je m’empalais doucement. Une fois que je sentis ses couilles butées contre mon cul, je ne bougeai plus et je sentais sa queue bouger au fond de mon cul. Je me réavançai puis reculai à nouveau. Je tournai la tête dans sa direction et lui dit :

-Vas-y prends-moi bien fort.
-Tu en es sûr ?
-Oui, j’en ai envie. Je suis tout à toi et je veux que tu me prennes bien fort.

Il retira sa queue, je le regardais et il me regardait et d’un coup me l’enfila très fort. Je criai mais pas de douleur, mais de bonheur. Il commença à me pilonner à grands coups de bite. Ses mains m’agrippaient les hanches. Je sentais tout sa force dans ses coups de reins. Il changea de position et s’allongea sur le sol en me demandant de venir m’asseoir sur lui. Je vins m’empaler sans aucun problème et je mis mes mains en arrières et je commençai et monter et descendre sur sa queue. Je la sentais ramoner mon conduit anal. De temps en temps, je le regardais et il fermait les yeux avec la bouche à demi ouverte. Je l’ai chevauché pendant dix minutes avant qu’il se relève un peu et vienne m’embrasser. J’étais toujours empalé sur sa queue et il m’enlaçait avec ses bras musclés. Il continuait ses mouvements de reins tout en m’embrassant. J’étais bien. Il massait ma prostate avec sa queue. Sa langue fouillait ma bouche. Ma queue frottait contre son ventre et je n’en pouvais plus. J’explosais comme un geyser. Il me sourit et sa queue bougea un peu plus vite.

-Tu veux mon jus en toi, c’est ça, hein, dis-le-moi !
-Oui, viens en moi. Je suis tout à toi.

Il prit ma tête dans sa main et de son autre main, il me tenait dans le dos et dans un dernier râle, il déversa toute sa semence en moi. Il m’inonda et ce fut incroyable. Il resta en moi et je le sentais trembler. Il ouvrit les yeux, me sourit, m’embrassa et reposa sa tête sur mon épaule. Je le pris à mon tour dans mes bras et lui déposa de doux baisers dans le cou.
Nous sommes restés dans cette position bien dix minutes sans ne rien dire. Puis, il me proposa d’aller prendre une bonne douche.
Nous nous sommes lavés en même temps mais cette fois-ci gentiment bien que nous nous sommes savonnés mutuellement. Nous sommes retournés au salon en caleçon et T-shirt pour moi et lui caleçon et débardeur. Il me dit qu’il aurait bien voulu aller au resto ce soir mais ne voulait pas que l’on se fasse remarquer et je le compris. Du coup, il me dit que ce soir, il commanderait des sushis si cela me convenait. Il était presque 18h. L’après-midi était passé rapidement. Puis je reçu un appel de Maxence. Je ne savais pas quoi faire et Bertrand me dit de répondre, que cela ne le dérangeait pas du tout. Je répondis donc et Maxence s’inquiétait parce que je n’étais pas à l’internat et il se demandait s’il m’était arrivé quelque chose. Je m’excusais donc en lui disant que je ne dormais pas à l’internat. Et là, il me dit de but en blanc :

-Tu dors chez lui ?
-Ca ne te regardes en rien tu sais.
-Tu dors chez lui ou pas ?
-Qu’est-ce que ça peut bien te faire en fait ?
-Ben tu sais que c’est ton prof et qu’il est marié ?
-Tu me fais une crise de jalousie ? Je te rappelle qu’on est pas ensemble.
-Je sais. Bref, laisses tomber je suis désolé.

Il raccrocha sans que je ne puisse répondre mais je sentais dans sa voix une pointe de jalousie et de colère. Mais pourquoi faisait-il ça ? Puis Bertrand me regarda et me dit :

-Ca va toi ?
-Oui, oui ça va. Mon colocataire de chambre qui se demandait où j’étais.
-Ah ok et qu’est-ce que tu as dit ?
-Que je ne dormais pas à l’internat et que ça ne le regardait pas.
-Tu ne l’apprécies pas ?
-Si, mais c’est assez spécial je dois dire.
-Ok.

Bertrand était toujours assis sur son canapé et avait allumé la télé devant une émission. Je vins m’allonger sur le dos et la tête sur ses cuisses. Il me caressa les cheveux et me regardant et me déposa un baiser sur le front et la bouche. Il me demanda ce que j’avais envie de faire et je lui dis que j’étais bien comme ça, tout près de lui. Il me dit qu’il avait des copies à corriger et qu’il ne voulait pas me laisser tout seul. Donc il allait s’installer ici sur la table du salon pour être près de moi. Il se leva et partit prendre son sac où il sortit toute une pile de copie qu’il déposa sur la table du salon. Il se mit assis au bord du canapé et je vins m’asseoir derrière lui. Je commençai à lui faire des papouilles dans le dos et un petit massage tout en lui faisant pleins de bisous. Il était concentré dans son travail mais me dit que c’était agréable et que sa femme ne faisait jamais ça et que c’était compliqué avec deux enfants. Je l’ai laissé se concentrer mais je ne pouvais m’empêcher de le regarder, de le contempler. De temps en temps, il me regardait et me donnait un baiser avec un large sourire. Il travailla durant une bonne petite heure puis rangea ses affaires et commanda le repas du soir. Il me demanda si je voulais boire un verre de vin ce que j’acceptai. Il alla ouvrir une bouteille et je vins à sa rencontre. Pendant qu’il nous servait, je passai mes bras autour de lui en me plaçant dans son dos et je passais ma main sous son débardeur pour lui caresser le torse. Il se retourna, me tendit un verre et nous trinquons un coup. Il porta son verre à ses lèvres et bu une gorgée. Je l’imitai puis je reposai mon verre sur le plan de travail. Je le regardai droit dans les yeux avec pleins de désir.

-Oh, toi tu as ce regard qui en dit long, me dit-il.

Je fis oui de la tête et commençai à embrasser son ventre et remontai jusqu’à ses tétons qui commençaient à pointer.

-Tu vas m’épuiser, dit-il en souriant.
-C’est toi qui m’as demandé de rester dormir chez toi, non ?
-Ce n’est pas faux.

Je repris mes baisers et vins ensuite l’embrasser. Il reprit ensuite une gorgée de vin puis m’attrapa par la taille. Cette fois-ci, il m’assit sur le plan de travail. Je mis mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille et on se regardait comme ça droit dans les yeux. Il me dit doucement :

-Tu me rends dingues, tu le sais ?

Puis il me retira mon T-shirt et retira son débardeur. Je me collais encore plus contre corps musclé. Mes mains le caressaient partout dans son dos et je commençais à lui baisser son caleçon. Il me prit à nouveau dans ses bras et me porta à nouveau dans la chambre avec son caleçon à mi-jambe et sa queue bien dure que je sentais sous mes fesses. Il m’allongea sur le lit et me retira mon caleçon sans prendre le temps de retirer au reste le sien. Il vint se placer sur moi et je passai mes jambes autour de sa taille. Il s’approcha de ma bouche et m’embrassa. Sa queue était contre mon cul. Je sentais son gland proche de mon petit trou et sans ses mains, il se fraya un passage en moi. Il me pénétra d’un coup et me souriait en même temps en me voyant gémir très fort.

-Ce n’est pas ce que tu voulais ?
-Si, baises-moi s’il te plaît !
-Mmmmm, tu as envie de quoi ?
-Ce que tu voudras, je suis tout à toi.

Il se redressa, prit mes jambes qu’il mit sur ses épaules et commença à me pilonner de toutes ses forces. Je gémissais de plus en plus fort en ouvrant la bouche tellement c’était intense. Il souriait à chaque coup de reins en me disant que j’allais en recevoir du jus et qu’il allait encore bien me remplir. Ses mots étaient crus, mais avec lui, je trouvais ça tellement chaud et sexy. Il me retourna, me fit relever le cul et pencha le haut de mon corps contre le lit. Il plaqua mon visage contre le coussin et me défonça le cul comme un fou. Mes cris étaient étouffés par l’oreiller et de temps en temps, il me mettait des claques sur le cul. Il me défonça encore un quart d’heure puis me retourna encore sur le dos pour voir mon visage. Un coup de sonnette venant de l’interphone nous interrompit et il allait pour retirer sa queue en moi mais je m’accrochais à lui. Il me chopa par la taille, me porta jusqu’à l’interphone et répondit. J’avais encore sa queue en moi et j’étais collé au mur. C’était le livreur de sushis qui venait livrer. Il ouvrit la porte du bas et voulu me reposer au sol pour s’habiller vite fait. Je m’accrochais encore plus fort. Il me mit encore quelques coups de reins bien fort mais cette fois-ci, il me reposa au sol et couru chercher son caleçon dans la cuisine puis son portefeuille sur le plan de travail quand on frappa à la porte. Je me cachai dans la cuisine et il alla ouvrir. Il avait une érection d’enfer et ne pouvait pas faire autrement. Il ouvrit la porte et dit bonjour au livreur. Je regardais dans ma cachette et merde le livreur, je le connaissais : C’est Charly ! Il dévisageait Bertrand et vu sa tenue et son érection. Il lui dit bonjour avec beaucoup de mal. De mon côté, je me reculais mais faillis tomber en me rattrapant de justesse. Je fis beaucoup de bruit et Charly voulu regarder ce qui se passait. Je me suis vite caché et je ne pense pas qu’il m’a vu. Ouf. Il partit en disant aurevoir à Bertrand et lui dit avec un grand sourire :

-Passez une bonne soirée monsieur Fuinel.

Le tout en lui montrant son pouce. Bertrand ferma la porte et vint vers moi rouge écarlate.

-Tu as fais un de ces bordel, il ne t’a pas vu j’espère ?
-Désolé, quand j’ai vu que c’était lui, j’ai eu peur et j’ai failli tomber mais non il ne m’a pas vu.

Il posa les sushis au frais et me dit :

-On en était où tous les deux ?

Fin du chapitre 11.

Les avis des lecteurs

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Vraiment dommage les trous… pas moyen de le lire ailleurs ? Si HDS censure ?

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Pourquoi HDs refuse de publier les épisodes manquants ?

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QUelles sont les raisons du refus de HDs de publier les parties manquantes ?

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Vraiment dommage que lon arrive pas a suivre cette histoire !!!!!!
Je dirais que c'est même chiant

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Dommage que hds ne les mette pas dans l'ordre car l'histoire est sympa

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Bonjour je suis l'auteur. Les chapitres sont écris. C est HDs qui ne veut pas les mettre

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Bien dommage qu'il manque des épisodes.

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après ne pas avoir le chapitre 5,on saute du 8 au 11.sans intéret



Texte coquin : Ma première année d'internat (11)
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