Ma première année d'internat (12) - histoire érotique

Chapitre 12.

Il me mit encore quelques coups de reins bien fort mais cette fois-ci, il me reposa au sol et couru chercher son caleçon dans la cuisine puis son portefeuille sur le plan de travail quand on frappa à la porte. Je me cachai dans la cuisine et il alla ouvrir. Il avait une érection d’enfer et ne pouvait pas faire autrement. Il ouvrit la porte et dit bonjour au livreur. Je regardais dans ma cachette et merde le livreur, je le connaissais : C’est Charly ! Il dévisageait Bertrand et vu sa tenue et son érection. Il lui dit bonjour avec beaucoup de mal. De mon côté, je me reculais mais faillis tomber en me rattrapant de justesse. Je fis beaucoup de bruit et Charly voulu regarder ce qui se passait. Je me suis vite caché et je ne pense pas qu’il m’a vu. Ouf. Il partit en disant aurevoir à Bertrand et lui dit avec un grand sourire :

-Passez une bonne soirée monsieur Fuinel.

Le tout en lui montrant son pouce. Bertrand ferma la porte et vint vers moi rouge écarlate.

-Tu as fait un de ces bordel, il ne t’a pas vu j’espère ?
-Désolé, quand j’ai vu que c’était lui, j’ai eu peur et j’ai failli tomber mais non il ne m’a pas vu.

Il posa les sushis au frais et me dit :

-On en était où tous les deux ?

Il retira son caleçon puis m’attrapa et me projeta sur le canapé. Il se branla rapidement devant moi et ne fut pas rapide à bander. Il me retourna. J’avais le haut du corps contre le dossier du canapé et mon cul lui était tendu. Il me fit cambrer un peu plus et me mit sa queue directement d’un coup sec. Je ne m’attendais pas à ça et poussa un cri de surprise. Puis il commença à me pilonner très vite et très fort. Il sortait sa queue et la rentrait d’un coup en poussant de « Han » d’extase. De mon côté, je gémissais très fort et cela le rendait encore plus dingue et il redoublait ses coups de reins encore plus intenses que les premiers. Au bout d’un bon quart d’heure, il mit un dernier coup de rein qui le fit grogner comme un animal et je sentis tout son jus se déverser bien au fond de mon cul. Il continua son pilonnage pour tasser tout son jus que je sentais couler un peu sur mes couilles. Il me mit une claque sur le cul et alla s’asseoir sur le fauteuil en face du canapé tout en me regardant.

-Tu vas vraiment m’épuiser tu sais.

Je restais toujours dans la même position et me retourna doucement en lui souriant. Puis je descendis du canapé toujours à quatre pattes en me dirigeant vers lui. Il me regardait faire avec un sourire. Je vins entre ses cuisses et s’en m’aider de mes mains je pris sa queue en bouche pour lui nettoyer sa queue qui perlait encore de quelques gouttes de sperme. Une fois bien propre, il se baissa un peu et me déposa un doux baiser. Je me relevai puis parti à la salle de bain pour me laver rapidement et revins à ses côtés en récupérant nos caleçon et T-shirt et son débardeur.

-Tu sais, on n’est pas obligé de se rhabiller, me dit-il ?
-Oui, mais j’ai pas l’habitude de rester nu.
-Fais comme tu veux. Moi je reste comme ça si cela ne te dérange pas.
-Tu es chez toi, tu fais comme tu veux et te voir nu ne me dérange pas du tout, Bien au contraire.
-Je m’en serais un peu douté. Je te remets un verre de vin ?
-Euh oui.

Il nous resservit et nous nous sommes remis sur le canapé avec un peu de musique tout en discutant. Nous avons passé la soirée à manger nos sushis et parler. Vers 22h, nous sommes allés nous mettre dans le lit. Cette fois-ci, il me déshabilla et me dit de venir dans ses bras. Je me mis face à lui puis nous nous embrassâmes longuement. Malgré toute cette demie journée de sexe, ma queue se redressa doucement. Il me caressait dans le dos et ses mains descendaient de temps à autres sur mes fesses.

-Tu bandes encore petit cochon ?
-Ben oui, je suis désolé mais je crois que sentir tes caresses sur mes fesses et ton baiser me font de l’effet.
-T’es vraiment insatiable toi. Mes batteries ne sont pas encore rechargées tu sais.
-Ce n’est pas grave.

Il me fit m’installer sur le dos et prit mon sexe avec sa main et commença à me branler en m’embrassant. Son autre main caressait mon torse puis vint vers mon petit trou. Il arrêta de m’embrasser mais il fit parcourir sa langue en partant de ma bouche, mon menton, mon torse, mon nombril puis il vint prendre ma queue dans ma bouche pour commencer à me sucer. Deux de ses doigts étaient entrés dans mon cul et il s’amusait à me doigter tout en me suçant. Il allait de plus en plus vite avec ses doigts et je ne fus pas long à venir jouir dans sa bouche. Il avala tout puis m’embrassa en retirant ses doigts.

-Tu as aimé, ça t’a calmé un peu ?
-Oui, c’était génial et oui ça va mieux.
-On va pouvoir dormir tranquillement, me dit-il en me souriant.
-Oui.
-Bonne nuit mon beau.
-Bonne nuit à toi aussi.

Il m’embrassa passionnément et ouvrit son bras pour que je vienne me lover contre lui en posant ma tête sur son torse et ma main autour de lui avec son bras qui m’enlaçait. J’étais bien et je m’endormis comme une masse. Sur le matin, une heure avant de me réveiller, j’avais dû tourner durant la nuit et cette fois-ci, j’étais tourner dons à lui et lui contre moi en cuillère. Je sentais sa queue contre mes fesses qui bandait très dure. Ma queue se réveilla d’un coup. J’avais encore envie de lui mais ne pouvait le réveiller. Je remuais donc mon cul contre sa queue qui la massait doucement. Je faisais des petits mouvements réguliers. Tout en bougeant, son gland se présenta à l’entrée de mon petit trou encore dilaté de la veille. Je reculais mon cul tout doucement pour faire glisser sa queue en moi. Je me retins de gémir pour ne pas le réveiller. Je trouvais ça tellement excitant. Puis, tout doucement, j’avançais mon cul puis reculais doucement. Je ne voulais pas réveiller Bertrand qui avait l’air de dormir. Je tournais la tête de temps en temps pour le regarder mais ses yeux étaient toujours aussi clos. Mais je me trompais. Quand je repris moi-même cette enculade, je sentis sa main resserrer ma hanche et son corps se rapprocher de moi. Je sentis ensuite son souffle contre ma joue puis au creux de mon oreille, il me dit doucement :

-Tu croyais que je dormais ?
-Ben oui, je t’ai regardé plusieurs fois.
-Eh bien non, je t’ai senti te réveiller et j’ai décidé de te laisser faire. Je voulais savoir ce que tu allais faire en sentant mon érection contre ton petit cul ?
-Putain, mais t’es un vrai pervers.
-Pas plus que toi mon beau. Tu la veux ma queue ?
-Mmmmmm oui, grave.
-Viens me sucer avant alors.

Il la sorti de mon cul et je vins m’occuper de sa queue en la prenant directement en gorge profonde ce qui lui fit relever le bassin en grognant de plaisir. Je la pris avec ma main puis je le suçais avec envie. Il gémissait de plus en plus en appuyant ses mains derrière ma tête pour que je la prenne bien à fond. Il retira ses mains et me regardait comme si j’étais sa proie qu’il allait dévorer. Je vins sur lui et plaçai mes jambes de chaque côté de ses hanches, pris sa bite et m’empala dessus directement. Il releva le bassin et commença à me défoncer comme un fou tout en me faisant me baisser un peu pour m’embrasser. Sa bite me défonçait très fort et il me fit crier de plaisir. Heureusement, qu’il n’y avait pas de voisins. Il m’allongea sur le ventre en écartant les jambes et vint me planter sa bite puis me m’encula de plus belle. Je faisais tellement de bruit qu’il enfonça ma tête dans l’oreiller. Après plusieurs minutes, il me mit sur le dos en me faisant écarter les cuisses pour me voir. Il s’amusait à me faire crier de plaisir en me disant :

-Hein que tu aimes ça ? Hein que tu veux me faire juter dans ton petit cul ? Dis-moi que tu es à moi ?

Je lui répondais oui à tout. Il m’a donc baisé pendant presque 40 minutes. Il grognait de plus en plus et je le voyais transpirer comme un dingue. Il donna un violent coup de reins quand il éjacula en moi. Il se retira se releva rapidement pour lancer ses deux derniers jets de sperme sur ma bouche que j’ouvris immédiatement. Il me planta ensuite sa queue au fond de ma gorge et je me mis ensuite à la sucer en avalant son jus. Je sentais couler son jus de mon cul et il le récupéra pour me le faire lécher.

-Tu vas vraiment me vider toi.
-Mmmm j’adore ça.
-Allé, on se bouge car il est 6h30. Tu vas prendre ta douche et je prépare le petit-déjeuner.
-Oui, j’y vais tout de suite.

Je pris ma douche puis le rejoints dans la cuisine. Il avait préparé du café, du jus d’orange, des tartines. Je me suis installé à côté de lui et il m’embrassa. Une fois le petit-déjeuner prit, Il partit se laver et me proposa de me déposer une rue plus haut que le lycée pour pas que l’on se fasse prendre. Arrivé dans cette fameuse rue, il regarda tout autour de nous puis attrapa mon visage pour me donner un baiser et me dire qu’il avait passer un moment exceptionnel. Je rougis puis sortis de la voiture avec mes affaires en le voyant repartir.
Arrivé devant le lycée, j’allumai une cigarette et je vis Maxence venir vers moi.

-Salut, me dit-il sèchement.
-Salut.
-Alors, tu as passé un bon mercredi.
-Oui, assez je dire.
-Non, en fait, je ne veux pas savoir. Tu étais donc avec lui ? Et ça ne te déranges pas qu’il soit marié ?
-Parles doucement s’il te plaît !
-Ok mais réponds-moi.
-Ben désolé mais je n’y pense pas.
-Mais tu sais qu’il ne te choisira pas entre lui, sa femme et ses enfants ?
-Arrêtes maintenant, on dirait que tu es jaloux ?

Il y eu un moment de silence puis :

-Tu dis n’importe quoi !
-Ben, ce n’est pas ce que tu montres en tout cas.
-Je ne suis pas jaloux.
-Alors dis-moi en quoi tout cela peut te concerner ?
-En rien c’est vrai mais n’empêche que tu vas tomber de haut.
-Peut-être mais si tu es réellement mon ami comme tu me l’as déjà dit, promets-moi une chose ?
-Quoi ?
-N’en parle à personne ok ?
-Tu sais très bien que je ne ferai jamais ça. Bonne journée à plus tard.
-Oui comme tu dis et merci.

Il partit rejoindre son groupe d’ami quand quelqu’un me pris par le bras et m’entraina loin des autres. Je repris mes esprits et le regardais.

-Putain Charly, mais qu’est-ce que tu fou ?
-Salut Jérôme, me dit-il avec un sourire que je ne connaissais pas encore.
-Qu’est-ce que tu fous ? Pourquoi tu m’as chopper comme ça ?
-Tu t’es bien éclaté hier soir ?
-Comment ça ?
-Tu t’es bien éclaté avec monsieur Fuinel ?
-De quoi tu parles encore ? Qu’est-ce que tu me chantes ? en devenant rouge pivoine ?
-Ben j’ai vu le prof hier en lui livrant une commande de sushis et il était en calbut avec une gaule d’enfer.
-Il fait bien ce qu’il veut.
-Je sais que c’était toi !
-C’est quoi ses conneries ?
-Y’avait ton sac que tu as là qui trainait dans la pièce. Un sac bien reconnaissable avec tous les dessins dessus.

Je suis resté con la bouche grande ouverte ne savant plus quoi dire.

Fin du chapitre 12.