Ma première année d'internat (13) - histoire érotique

Chapitre 13.

Il partit rejoindre son groupe d’ami quand quelqu’un me pris par le bras et m’entraina loin des autres. Je repris mes esprits et le regardais.

-Putain Charly, mais qu’est-ce que tu fou ?
-Salut Jérôme, me dit-il avec un sourire que je ne connaissais pas encore.
-Qu’est-ce que tu fous ? Pourquoi tu m’as chopper comme ça ?
-Tu t’es bien éclaté hier soir ?
-Comment ça ?
-Tu t’es bien éclaté avec monsieur Fuinel ?
-De quoi tu parles encore ? Qu’est-ce que tu me chantes ? en devenant rouge pivoine ?
-Ben j’ai vu le prof hier en lui livrant une commande de sushis et il était en calbut avec une gaule d’enfer.
-Il fait bien ce qu’il veut.
-Je sais que c’était toi !
-C’est quoi ses conneries ?
-Y’avait ton sac que tu as-là qui trainait dans la pièce. Un sac bien reconnaissable avec tous les dessins dessus.

Je suis resté con la bouche grande ouverte ne savant plus quoi dire. Je ne savais plus quoi lui dire. Il me regarda avec un grand sourire puis vint me prendre par l’épaule.

-Tu penses que je vais te faire chier avec ça ? Ou peut-être le raconter à tout le monde ?
-Ben oui, s’il te plaît, ne dis rien. Personne ne sait pour moi et j’ai pas envie de créer des problèmes à Bertrand, enfin je veux dire monsieur Fuinel.
-T’inquiètes pas gros, je sais que je suis con de temps en temps mais ça restera entre nous. Et franchement, tu tapes haut toi dans le genre mec.
-Comment ça ?
-Ben je suis pas PD mais j’aurai pas cru que le prof serait gaulé comme ça. Franchement, je ne sais pas comment t’as fait pour le choper mais chapeau. Toi le grand timide, qui rougis à tout !!!
-Ben euh oui même moi je n’en reviens toujours pas.
-Mais, il est pas marié ?
-Si et c’est aussi pour ça qu’il ne faut rien dire.
-T’inquiètes pas. Tu sais y’a beaucoup de choses que je sais et que je garde pour moi.
-Comment ça ?
-Oh des choses que je sais depuis le début de l’année mais je ne dis rien. J’attends que l’on vienne m’en parler. Je suis une vraie tombe.
-C’est-à-dire ?
-Des choses que je sais depuis le début de A L’INTERNAT A VRAI DIRE !
-Me concernant ?
-Entre autres oui.
-Tu veux dire que tu sais pour moi et…
-Oui oui toi et mon meilleur pote.
-Je suis désolé !
-Désolé de quoi. J’étais content pour lui et je ne lui aurai jamais tourné le dos parce qu’il préfère les mecs.
-Mais, tu….
-Je le sais depuis longtemps tu sais. Mais tu étais son premier et je ne sais pas pourquoi vous avez tout arrêté ? Il a toujours été avec des nanas pour nier la chose.
-Je ne peux rien dire mais franchement, t’es vraiment un super pote.
-Je sais. Par contre, tu ne lui dis pas que je sais, je veux qu’il vienne m’en parler directement. Et surtout, fais attention avec le prof, même si encore une fois, je trouve que t’as vraiment eu les couilles de te faire le prof.
-Merci.
-A plus tard gros et dernière chose, est-ce Max sait que tu as quelqu’un ?
-Oui, il sait aussi que c’est monsieur Fuinel.
-C’est donc pour ça qu’il est dans tous ses états en ce moment.
-Comment ça ?
-Tu ne vois pas comment il te regarde tous les jours dans la cour, dans le self, partout où il te croise. Il est triste depuis quinze jours.
-Je n’avais pas remarqué. C’est lui qui a voulu tout arrêté et j’en ai souffert. Même encore aujourd’hui j’y pense encore beaucoup.
-Ben alors, pourquoi ?
-Je ne peux pas le dire. C’est trop dur et trop compliqué.
-Bon gros, je te laisse et si tu veux parler, viens me voir ok ?
-Merci Charly.

Nous nous sommes séparés et avons pris le chemin des cours. Cette révélation m’a mis sur le cul. Je comprenais beaucoup de choses sur les réactions de Maxence. Pourquoi ne l’avais-je pas vu avant ?
La journée se passa normalement et à l’internat, l’ambiance était froide malgré des sourires timides. Les quinze jours suivant furent tranquilles. Je n’avais pas pu revoir Bertrand à part en cours où il me fit signer un papier à mes parents pour dire que mon prof et moi devions partir durant les vacances scolaires françaises pour partir 3 jours à Londres pour un échange scolaire. Mes parents ont accepté de m’y envoyer mais je ne savais pas encore si je dormais chez ma famille de ma correspondante ? Je devais prendre l’avion à partir de Lyon. Nous avons retrouvé Bertrand qui avait les billets et il était avec sa femme et ses deux enfants. Nous avons tous dit aurevoir à nos familles respectives puis nous sommes montés dans l’avion où nous avions deux sièges l’un à côté de l’autre. De temps en temps, il posait sa main près de la mienne en effleurant mes doigts. Une fois arrivé à Londres, Le prof correspondant anglais expliqua que la famille où je devais aller avait un petit souci et ne pouvait pas m’accueillir pour dormir. Bertrand lui, avait un logement prêté par le lycée anglais qui se trouvait dans la rue d’à côté et qu’il y avait deux grandes chambres là-bas. Bertrand dit qu’il n’y avait pas de problème et que lui et moi logeront ensemble. Cela arrangeait donc tout le monde. Bertrand me regarda en souriant et je compris tout de suite. Trois jours avec Bertrand, ça allait être le pied. Nous sommes tous partis dans le lycée anglais où j’ai rencontré ma correspondante qui se trouva être très hautaine envers moi et ne me parlait pas beaucoup. Mais ce n’est pas grave, on verra comment se passe les trois prochains jours. Nous sommes juste arrivés au lycée avant la fin des cours puis le prof correspondant nous accompagna jusqu’à notre logement. Ils ont bu un verre ensemble sans faire cas de moi ce qui me permis d’aller prendre un bon bain chaud dans une immense baignoire. J’en ai profité pour prendre un livre et me détendre tranquillement. Je vidais de l’eau pour en remettre pour que l’eau reste chaude puis au bout de trois quart d’heure, la porte de la salle de bain s’ouvrit et Bertrand y rentra sans rien dire. Il se déshabilla et vint se placer derrière moi dans le bain. Ses mains se placèrent tout autour de ma taille et sa bouche vint déposer des baiser dans mon cou. Puis il me dit :

-Tu m’as manqué mon beau ces dernières semaines et je suis désolé de ne pas t’avoir vu avant.
-Ce n’est pas grave. Qu’est-ce que je suis content d’être avec toi ces trois prochains jours.
-Moi aussi.

Il me fit tourner la tête puis m’embrassa. Ce fut long et passionné. Je sentais sa queue se gonflée dans mon dos. Nous sommes restés bien vingt bonnes minutes encore à s’embrasser, se caresser et se lover dans le bain. Il est ensuite sorti du bain pour se sécher puis me fit me lever à mon tour et c’est lui qui m’essuya. Il me prit ensuite dans ses bras musclés et me déposa sur le lit en venant s’allonger sur moi pour m’embrasser à nouveau. Ses jambes écartèrent les miennes pour qu’ils viennent s’installé. Mes bras s’enroulèrent autour de sa taille et mes mains vinrent caresser ses fesses dures et musclées. Nous nous sommes longuement embrassés. Nous avons un peu roulé sur le lit et je me suis retrouvé cette fois-ci sur lui. Mes mains caressèrent son torse, puis vinrent prendre son sexe bien tendu et je commençai à le branler avec douceur tout en le regardant. J’approchai ma langue contre ce membre bien dur puis le léchai de bas en haut en gobant son gland doucement puis je le fis glisser doucement en gorge profonde toujours en le regardant droit dans les yeux ce qui le fit gémir avec un grand sourire. Je commençai ensuite à le sucer plus rapidement en le branlant en même temps. Je m’amusais avec ses belles couilles pendantes et lui titillait les tétons de temps en temps.
Après plusieurs minutes, je vins sur lui et pris sa queue en main pour la diriger à l’entrée de mon petit trou. Je glissai dessus doucement puis commençai à faire des vas et viens. Je me mis accroupit et il commença à me limer le cul doucement puis plus rapidement. Dans cette position, je pouvais sentir sa queue me défoncer. Je gémissais à chaque fois que sa queue tapait bien au fond de mon cul. Il me mit ensuite à quatre pattes sur le lit puis se plaça derrière moi et me mit sa queue d’un coup sec et me lima bien fort. Avec la fatigue du trajet, il ne fut pas long à décharger tout son jus en moi. Nous nous sommes écroulés sur le lit et il me prit dans ses bras. J’étais dos à lui et je sentais encore sa queue dure contre mes fesses. Il la déplaça et me la remit en moi en me disant :

-Ca fera bouchon.

Et nous avons éclaté de rire avant de nous endormir.
Le lendemain matin, le réveil fut plus compliqué et nous sommes descendu dans un café servant les petits-déjeuners puis nous avons rejoint le lycée. Nous avons passé la journée chacun de notre côté mais on arrivait tout de même à s’apercevoir. Et à chaque fois, je sentais son regard sur moi. De mon côté, je trouvais les élèves londoniens spéciaux mais plutôt sympas dans leurs genres.

Le soir, nous sommes rentrés puis sommes allés nous laver car Bertrand qui connaissait Londres voulu m’emmener visiter un peu et manger dans un restaurant qu’il connaissait bien. Arrivés dans le restaurant qui se trouvait en haut d’un building, nous avons été placés près des fenêtres qui nous donnais une superbe vue sur la ville. Nous avons discuté longuement puis arrivé au moment du dessert, il me regarda et me demanda avec beaucoup de précaution :

-Bon, il faut que je te le demande et j’espère que tu seras franc avec moi.
-Oui, promis mais que ce passe-t-il ?
-Tu sais, je commence à te connaître mais certaines fois, je ne te sens pas très bien et la fois où tu étais défiguré, j’ai vu que quelque chose n’allait pas du tout. Dis-moi ce qui se passe réellement ?
-Je, je, je ne sais pas si je peux t’en parler. C’est vraiment trop difficile et tu ne pourras rien faire !
-Essaie toujours ?
-Je ne peux pas sinon, il, enfin ça se passera mal.
-Comment ça il ? C’est qui il ?

Je commençais à devenir tout blanc. J’avais envie de pleurer mais je ne pouvais plus garder tout ça pour moi. On nous a servi le dessert et je lui dis tout. Il restait là à m’écouter attentivement. Je le voyais rouge de colère contre Tristan et il me dit qu’il arrangerait tout à notre retour. Qu’il serait discret et je lui fis promettre que le nom de Maxence ne devait pas être divulgué et que surtout mes parents ne devaient pas le savoir. Nous sommes sortis du restaurant et avons rejoint notre logement. J’étais fatigué et le fait d’avoir tout déballé avait été difficile. Nous nous sommes donc déshabillés puis couchés dans les bras l’un de l’autre. Ce fut une nuit difficile pour moi mais je me sentais protéger dans les bras de Bertrand.
Le lendemain matin, je me sentais beaucoup mieux. Peut-être parce que j’avais enfin déballé tout mon sac à quelqu’un et que cela faisait du bien. J’étais réveillé mais il était encore tôt et décidai de le regarder un peu dormir mais je sentais son érection matinale venir toucher mon entre-jambe. Malgré cette dure soirée, j’avais envie de lui. Je devais profiter d’être avec Bertrand donc, je pris doucement son sexe en main et commençai à le branler tout doucement pour le réveiller. Je vis ses yeux s’ouvrir. Il s’étira en levant les bras puis me sourit en approchant sa bouche de la mienne.

-Tu abuses mon beau !
-Pas du tout. Tu bandais alors je t’aide un peu à faire redescendre tout ça.
-Coquin va, et que veux-tu faire ?
-Je veux ton jus dans ma bouche.
-Mmmmmmm

Il attrapa ma tête et me la fit descendre sur sa queue qui commençait à avoir du pré-sperme que je mis en bouche immédiatement. Je le suçai avec ardeur pour recevoir ce nectar que je voulais avaler. Je suçais rapidement comme si j’étais pressé puis sans me prévenir, il se mit à juter au fond de ma gorge. Une fois qu’il finit d’éjaculer et que j’eu tout avalé, il grogna et me dit :

-T’es vraiment le meilleur mon beau.

Il m’attrapa par la taille et m’allongea près de lui pour m’embrasser.

Fin du chapitre 13.