Ma première année d'internat (14)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Ma première année d'internat (14)
Chapitre 14
Le lendemain matin, je me sentais beaucoup mieux. Peut-être parce que j’avais enfin déballé tout mon sac à quelqu’un et que cela faisait du bien. J’étais réveillé mais il était encore tôt et décidai de le regarder un peu dormir mais je sentais son érection matinale venir toucher mon entre-jambe. Malgré cette dure soirée, j’avais envie de lui. Je devais profiter d’être avec Bertrand donc, je pris doucement son sexe en main et commençai à le branler tout doucement pour le réveiller. Je vis ses yeux s’ouvrir. Il s’étira en levant les bras puis me sourit en approchant sa bouche de la mienne.
-Tu abuses mon beau !
-Pas du tout. Tu bandais alors je t’aide un peu à faire redescendre tout ça.
-Coquin va, et que veux-tu faire ?
-Je veux ton jus dans ma bouche.
-Mmmmmmm
Il attrapa ma tête et me la fit descendre sur sa queue qui commençait à avoir du pré-sperme que je mis en bouche immédiatement. Je le suçai avec ardeur pour recevoir ce nectar que je voulais avaler. Je suçais rapidement comme si j’étais pressé puis sans me prévenir, il se mit à juter au fond de ma gorge. Une fois qu’il finit d’éjaculer et que j’eu tout avalé, il grogna et me dit :
-T’es vraiment le meilleur mon beau.
Il m’attrapa par la taille et m’allongea près de lui pour m’embrasser. Il me regardait avec tendresse et je me sentais protégé. Je savais très bien que tout cela ne durera pas éternellement mais je voulais juste profiter de ces bons moments. Il me promit qu’à notre retour, il m’aiderait à régler tout ça. Que s’il le fallait, il m’accompagnerait porter plainte contre viol mais je ne voulais pas que mon entourage soit au courant.
Nous nous sommes levés, puis après être préparé et pris notre petit-déjeuner, nous sommes partis en direction du lycée. Nous avons passés la matinée chacun de notre côté car lui était avec les autres professeurs et moi dans la classe de ma correspondante. Puis dans l’après-midi, nous avions du temps libre. Ma correspondante est retournée chez elle et Bertrand était avec un autre prof et nous a demandé s’il voulait qu’on aille un peu dans Londres visiter. Bertrand accepta. Cet autre prof s’appelait Matthew, il devait avoir dans les 32 ans environ. Son allure était plutôt normale avec une silhouette de quelqu’un qui s’entretien. Ils ont beaucoup parlé entre eux. J’essayais de suivre la conversation mais ce n’était pas évident tout le temps. Nous sommes ensuite allés dans un pub pour boire une bière, puis deux, puis trois. Il commençait à se faire tard et Bertrand lui proposa de venir continuer à parler et reprendre une bière dans notre logement ce qu’il accepta.
Matthew se mit tout de même à parler français car il voyait que je peinais à tout comprendre. Je pense que j’avais vraiment un coup dans le nez et j’essayais de ne pas le montrer. Puis Matthew demanda où se trouvait les toilettes puis se leva. Il passa devant les deux chambres et revint vers nous au bout de 5 minutes. En revenant, il avait un grand sourire mais ne dit rien. Il me dévisageait très souvent puis regardait Bertrand qui n’avait pas l’air de s’en rendre compte. Nous discutions toujours dans le salon. J’étais assis à côté de Matthew et Bertrand dans un petit pouf près de moi. Tout en discutant, Matthew passa son bras derrière ma tête sur le rebord du canapé. Ses doigts vinrent se poser sur mon épaule puis avec son index, il me caressait le cou doucement. Je me retournai pour le regarder avec un air qui voulait dire mais que fais-tu ? Il me dévisagea et me fit un grand sourire ainsi qu’un petit clin d’œil. J’allais pour me relever mais sa main et l’alcool aidant, me fit me rasseoir rapidement. Puis, il prit enfin la parole en nous regardant tous les deux.
-Tous les deux, vous couchez ensemble ?
-Pardon, dis Bertrand, mais non, jamais de la vie !
-A d’autre !
-Mais non, ça ne va pas la tête, Jérôme est mon élève tout simplement.
-Je suis passé devant les deux chambres. Dans une le lit est fait avec toutes vos affaires et dans la deuxième, il n’y a pas de draps sur le lit et la chambre est vide.
Il y eu un grand silence, puis il reprit la parole.
-Personnellement, ce n’est pas mon problème, vous savez ce que vous faîtes.
Il commença à me caresser l’épaule puis sa main vint sur torse. Je me laissais faire car cela commençait à me plaire, voire m’exciter et je regardai Bertrand dans les yeux qui comprit ce qu’il se passait.
-Et que veux-tu de nous ?
-Eh bien, si on en discutait dans la chambre car ton élève me plaît beaucoup je dois dire et s’il est d’accord ainsi que toi, j’aimerai beaucoup m’occuper de lui pendant que tu nous regardes.
-Euh, c’est quand même bizarre non ? Tu en penses quoi toi, me dit-il.
Pour seule réponse, je tournai la tête et l’embrassais aussitôt. Il répondit à mon baiser et se leva en m’aidant. Il prit ma main, et m’attira jusqu’à la chambre. Il regarda Bertrand et lui dit de nous rejoindre pour les mater. Il se leva et vint nous rejoindre dans la chambre. Matthew me déshabilla entièrement et m’allongea sur le lit puis il alla vers Bertrand et fit de même avec lui en lui disant de s’asseoir au bord du lit. Il nous regarda et se mit nu à son tour. Il avait un corps fin, la même taille environ que Bertrand. Il avait des abdos apparents. Il était imberbe et sa queue était fine mais très longue avec des couilles assez bien proportionnées et pendantes comme je les aime. Cela lui allait bien. Il s’approcha de moi et caressa tout mon corps. Il se mit ensuite à genoux devant moi et posa sa queue contre ma bouche pour que je le suce. Je me mis sur le ventre et pris sa queue en bouche en regardant Bertrand. Il nous regardait en se branlant doucement. Je pense qu’il était surpris de la tournure de cette fin de journée. Je me mis donc à le sucer en la prenant bien à fond et il me fit cambrer mon petit cul pour me le caresser. Cela a duré plusieurs minutes et il commença à me titiller mon trou. Il me fit me retourner et écarta mes fesses pour venir me manger ma petite rosette ce qui me fit gémir tout en relevant mon cul pour qu’il me le dévore encore plus. Avec sa langue qui me dévorait, il me mit un doigt qu’il faisait entrer et sortir de mon cul puis un deuxième. Nous tournions le dos à Bertrand donc Matthew me fit me retourner à nouveau toujours à quatre pattes sur le lit mais face à mon prof. Il vint donc se placer derrière moi après avoir enfilé un préservatif qu’il avait sorti de son portefeuille et commença à pousser sa queue en moi. Je gémissais fort et Bertrand qui se branlait toujours me pris la main avec celle qui était encore libre. Je le regardais droit dans les yeux et parfois sur sa queue si proche qui avait du pré-sperme qui coulait le long de son gland. Il me lima avec douceur même si de temps en temps il accélérait la cadence. Puis après 20 minutes de cette baise dans cette position, il regarda Bertrand qui ne tenait plus et lui dit de nous rejoindre. Il se leva et vint me donner sa queue à sucer. Matthew attrapa la tête de Bertrand et lui roula une pelle d’enfer. Les deux me donnaient des coups de reins chacun de leur côté. Puis Bertrand alla se mettre derrière moi aussi. Ils m’ont baisé en alternant. Un coup Matthew, un coup Bertrand. Je pris mon pied et ma queue grossissait et était prête à juter tellement ils me baisaient bien. Matthew vint se placer devant moi en enlevant la capote et je le repris en bouche pendant que mon bel amant me pilonnait comme un fou. Je me mis à juter sur les draps sans me toucher ce qui provoqua la jouissance de Bertrand tout au fond de mon cul et Matthew déversa tout son foutre sur mon visage. Je pris ensuite sa queue en bouche pour le nettoyer et Bertrand vint m’embrasser. Je me relevai pour me rincer le visage puis les fesses tandis que les deux autres se rhabillèrent. Lorsque je revins vers eux, Matthew me dit de rester nu car il me trouvait très beau comme et Bertrand acquiesça de la tête pour approuver.
Je vins m’asseoir sur les genoux de Bertrand qui me serra dans ses bras en m’embrassant dans le cou.
-C’était top messieurs, dis Matthew.
-Oui c’était vraiment bien, fit Bertrand.
-Vous êtes ensemble depuis longtemps ?
-Non, je suis marié mais ce petit coquin, m’a eu en usant de ses charmes en début d’année.
-Ah oui, on ne dirait pas comme ça. J’ai vu ses regards qu’il posait sur toi depuis que vous êtes arrivés ici. Je me suis posé des questions mais sans plus de réponses mais quand j’ai vu un seul lit de fait avec toutes les affaires ici j’ai su tout de suite.
-Ok.
-Bon, je vais vous laisser et on se voit demain pour votre dernière journée auprès de nous.
Matthew s’est levé puis est venu nous embrasser chacun notre tour. Bertrand la raccompagné. Ils ont discuté un peu sur le pas de la porte pendant que je rangeais un peu puis je suis allé me mettre dans le lit sur le dos en écartant les jambes. Quand Bertrand est apparu dans la chambre, il m’a vu dans cette position, a souri puis s’est déshabillé et est venu se placer entre mes cuisses que je mis autour de sa taille. Nous nous sommes embrassés longuement et nos queues se sont à nouveau redressées. Il la plaça contre mes fesses et avec des petits coups de reins, elle rentra en moi facilement.
-Tu me surprendras tous les jours toi.
-Qu’est-ce que je devrais dire ?
-Rien du tout. T’es vraiment un petit cochon quand même.
-Oui, mais c’est ce que tu aimes chez moi non ?
-Oui c’est vrai mais pas que.
-Comment ça pas que ?
-Non, rien laisses tomber.
-Ben si dis-moi s’il te plaît.
-Eh bien que si je n’avais pas été marié et amoureux de ma femme, je crois que je pourrais m’accrocher à toi.
-Donc ?
-Tu vas me faire cracher le morceau c’est ça ?
-Oui, je veux t’entendre le dire.
-Ben tu me plais. Tu n’es pas qu’une distraction. Ça te va ?
-Oh oui que ça me va.
Il m’embrassa à nouveau et sa queue reprit de la vigueur en moi et il commença à me faire l’amour. Il y allait tout en douceur et avec beaucoup de tendresse. Il me regardait avec une passion que je n’avais pas encore vu en lui jusqu’à présent. Il me fit l’amour dans cette position car il voulait avoir mon regard dans le sien et m’embrassait souvent. Mes jambes restaient autour de sa taille car je ne voulais pas le lâcher. On ne faisait plus qu’un. Nous avons fait l’amour comme ça pendant une heure mais de temps en temps, il arrêtait de bouger en moi pour me regarder et me caresser. Il se déversa en moi en m’embrassant passionnément. Nous nous sommes ensuite endormis dans les bras l’un de l’autre. Il pensait que je m’étais endormi quand je l’entendis dire très doucement un léger : « je t’aime mais c’est compliqué ». Je souris et je compris ce qu’il voulait dire par « c’est compliqué ». Moi-même je pouvais comprendre car malgré ce qui se passait avec Maxence, j’avais eu des sentiments pour lui et ceux-ci ne sont jamais partis même si je ne me l’avoue pas vraiment.
Le matin fut très difficile de nous lever. Nous avons rejoint le lycée pour cette dernière journée de cours pour moi mais cette fois-ci, Bertrand fut parmi nous à chaque cours ainsi que Matthew. L’après-midi fut rapide car le lycée nous a offert un petit pot de départ en il a été conclu que chaque année, il y aurait des échanges entre leur lycée et le notre entre des élèves et certains profs. Le lendemain matin, Matthew est venu nous chercher pour nous emmener à l’aéroport et nous l’avons salué avec une grande accolade. Il me regarda et me dit de faire attention.
Nous sommes rentrés en France puis retour chez moi. J’étais sur un petit nuage. Mais le retour à la réalité revint rapidement. Ma dernière semaine de vacances se passa rapidement et le retour au lycée arriva rapidement.
Le lundi matin, j’étais en cours quand une des surveillantes vint me chercher car je devais aller dans le bureau du principal. Je croisai Tristan mais ne le regardai pas. Lorsque je suis rentré dans le bureau, je vis le principal assis à son bureau et devant lui se trouvait Bertrand. Je suis allé m’asseoir en le regardant et je vins un gendarme dans le coin de la pièce. Je compris tout de suite ce qui se passait.
Le principal avait été mis au courant de ce qui m’était arrivé et il savait aussi que je ne voulais que personne ne sache que j’étais gay. Ce qu’il comprit immédiatement mais le gendarme m’expliqua que je pouvais très bien avoir été abusé sans que pour autant les gens ne pensent que je sois gay. Je fus un peu rassuré. Il m’a aussi convaincu de porter plainte car il était inadmissible d’être abusé comme je l’ai été. Je suis resté trois heures dans le bureau du principal et entre temps mais ça je l’ai su bien après que Tristan avait été arrêté par d’autres gendarmes et qu’il ne reviendrait pas. Je devais donc aller signer ma déposition à la gendarmerie le lendemain et comme j’étais majeur, je n’étais pas obligé de prévenir mes parents.
Je fus ensuite autorisé à ne pas aller en cours pour la journée. Je suis donc parti et Bertrand vint me voir. Il n’y avait personne autour de nous et personne ne pouvait nous voir.
-Je t’avais promis que je m’occuperais de tout.
-Oui merci mais ça me fait peur encore tout ça.
-Peut-être mais la boule au ventre que tu as va pouvoir disparaitre.
-Merci, merci beaucoup.
Je me mis à pleurer et il me prit rapidement dans ses bras.
-Je suis là pour toi et le serai toujours.
-Je sais, merci.
-Vas te reposer, je t’enverrai un message ce soir pour voir comment tu vas et on se revoit aussi dans la semaine.
Il partit rejoindre ses collègues et je me dirigeai à l’internat pour m’allonger. Il était midi et demi et d’un coup la porte de la chambre s’est ouverte et je vis Maxence.
-Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer ?
-Si je sais, t’inquiètes pas.
-T’es au courant pour ce con de Tristan ?
-Oui je le suis.
-Par contre on ne sait pas pourquoi les gendarmes l’ont embarqué ?
-Moi je le sais.
Je lui ai donc expliqué tout en détail ce qui s’était passé depuis qu’il nous avait découvert nous embrasser ce fameux jour et là il m’expliqua lui aussi pourquoi il était devenu aussi froid avec moi. Je suis resté abasourdi de ce que je venais d’apprendre.
-Mais du coup, c’est pour ça que tu me faisais la tête après par rapport à monsieur Fuinel ?
-Ben d’après toi ? Oui, ça me fait mal que tu vois quelqu’un d’autre.
-Je, je suis vraiment désolé si je t’ai blessé.
-Tu peux oui. Et c’est dur pour moi car je n’avais jamais ressenti ça pour un mec auparavant et là, je sais que c’est mort nous deux.
-Tu sais, je sais très bien qu’avec lui ça n’est pas une relation qui va durer. J’en suis conscient. Mais toi, c’est différent.
-Comment ça avec moi c’est différent ?
-Dois-je te faire un dessin ?
-Non, je pense avoir compris mais avec le prof, tu le vois souvent et tu as dormi chez lui, ce n’est pas que du cul ? Tu as surement des sentiments pour lui ?
-Oui j’en ai. Mais c’est différent. Je sais que je ne pourrais jamais être avec lui et toi tu restes et resteras le premier. Et il est au courant pour toi car c’est lui qui m’a aidé pour le pion.
Il s’approcha de moi et vint s’asseoir à mes côtés en me prenant la main. Nous nous sommes regardé longuement puis nos lèvres se sont rapprochées tout doucement et il m’embrassa. Il resta avec moi à m’embrasser toute la pause du midi puis reparti en cours avec un grand sourire. Ce sourire m’avait manqué. J’ai envoyé un message à Bertrand pour lui expliquer ce qu’il venait de se passer et il me répondit qu’il était heureux pour moi et demanda s’il était possible de se revoir pour que l’on en discute et que si Maxence voulait venir, il pouvait. Je lui ai répondu que je lui redirai le soir même.
J’ai passé l’après-midi à réfléchir de comment j’allais dire ça à Maxence.
Le soir arrivé, Maxence arriva vers moi et me prit dans ses bras puis m’embrassa.
-J’ai quelque chose à te dire.
-Je dois encore être inquiet ?
-Non, je ne pense pas. J’ai parlé avec Bertrand. Enfin, je veux dire monsieur Fuinel.
-Oui, et ?
-Je lui ai dit pour nous et pour ce que Tristan avait fait. Il aimerait nous voir tous les deux. Je pense mercredi aprem. Tu en dis quoi ?
-Oui, on peut si tu t’en sens capable.
-Oui, ça va aller.
-Tu veux venir manger ? Tu n’as déjà pas mangé ce midi.
-Non, mais tu peux me rapporter un bout de fromage si tu veux.
Il est donc allé manger puis il est revenu au bout de trente minutes. Entre temps, j’étais déjà parti me laver et lui s’apprêtait à le faire. En revenant, il était vêtu de sa serviette autour de la taille, me fit un baiser sur la bouche puis me dit qu’il revenait vite. Et c’est vrai, qu’il fut rapide. Il revint dans la même tenue, lança ses affaires sur le lit et vint me rejoindre.
-Je sais qu’on ne peut rien faire et tu n’en a peut-être pas envie mais j’ai envie d’être avec toi et dormir cette nuit avec toi si tu m’y autorise.
-Oui, j’en ai envie.
Il resta près de moi à discuter, m’embrasser de temps en temps jusqu’à 22h pour l’extinction des feux et là, c’est moi qui l’embrassai mais pas un petit baiser, un baiser qui voulait dire j’ai envie de toi là tout de suite. Je me suis allongé sur mon lit en l’entraînant avec moi. Je lui ai retiré sa serviette que j’ai fait voler au sol. Il était déjà en érection. Il retira mon caleçon et mon haut qu’il fit voler lui aussi dans la chambre. Je me suis relevé pour venir me mettre entre ses cuisses et prendre sa queue qui me manquait dans la bouche. Je l’ai sucé longuement puis lui ai fait ma meilleure gorge profonde. Il me stoppa car il allait jouir trop vite sinon puis je me suis à nouveau allongé vers lui. Nous nous sommes caressés tout en nous regardant. Il n’y avait pas de paroles. Tout se jouait dans notre regard. Il continua ses caresses en me titillant mon trou. Il me demanda avant si j’en avais envie et je lui dis oui que j’ai toujours eu envie de lui. Il me doigta tout en douceur puis il me mit sur le côté et se colla dans mon dos. Il appuya son gland à l’entrée de ma rosette puis l’inséra doucement. J’avais envie de lui si fort que je reculais mon cul d’un coup pour qu’il soit en moi très vite. Il releva un peu sa jambe et commença à me mettre des coups de reins tout en m’embrassant dans le cou. C’était intense et magique. Ces derniers moi sans le sentir près de moi ont été tellement longs que je trouvais ce moment vraiment fort. Sa peau était toujours aussi douce. Ses coups de reins devenaient de plus en plus intenses et après une heure comme ceci, je le senti se raidir en moi. Il voulu se retirer mais je le maintins avec mes mains. Il prit, le drap sur le côté et le mit dans sa bouche pour crier son plaisir en jouissant en moi. Plus d’une quinzaine de jets de sperme se déversèrent en moi. C’était fort, c’était intense. Il s’est retiré, je l’ai sucé et je me suis lové ensuite dans ses bras. Tout en le regardant, je lui dis :
-Je t’aime.
Fin du chapitre 14.
Le lendemain matin, je me sentais beaucoup mieux. Peut-être parce que j’avais enfin déballé tout mon sac à quelqu’un et que cela faisait du bien. J’étais réveillé mais il était encore tôt et décidai de le regarder un peu dormir mais je sentais son érection matinale venir toucher mon entre-jambe. Malgré cette dure soirée, j’avais envie de lui. Je devais profiter d’être avec Bertrand donc, je pris doucement son sexe en main et commençai à le branler tout doucement pour le réveiller. Je vis ses yeux s’ouvrir. Il s’étira en levant les bras puis me sourit en approchant sa bouche de la mienne.
-Tu abuses mon beau !
-Pas du tout. Tu bandais alors je t’aide un peu à faire redescendre tout ça.
-Coquin va, et que veux-tu faire ?
-Je veux ton jus dans ma bouche.
-Mmmmmmm
Il attrapa ma tête et me la fit descendre sur sa queue qui commençait à avoir du pré-sperme que je mis en bouche immédiatement. Je le suçai avec ardeur pour recevoir ce nectar que je voulais avaler. Je suçais rapidement comme si j’étais pressé puis sans me prévenir, il se mit à juter au fond de ma gorge. Une fois qu’il finit d’éjaculer et que j’eu tout avalé, il grogna et me dit :
-T’es vraiment le meilleur mon beau.
Il m’attrapa par la taille et m’allongea près de lui pour m’embrasser. Il me regardait avec tendresse et je me sentais protégé. Je savais très bien que tout cela ne durera pas éternellement mais je voulais juste profiter de ces bons moments. Il me promit qu’à notre retour, il m’aiderait à régler tout ça. Que s’il le fallait, il m’accompagnerait porter plainte contre viol mais je ne voulais pas que mon entourage soit au courant.
Nous nous sommes levés, puis après être préparé et pris notre petit-déjeuner, nous sommes partis en direction du lycée. Nous avons passés la matinée chacun de notre côté car lui était avec les autres professeurs et moi dans la classe de ma correspondante. Puis dans l’après-midi, nous avions du temps libre. Ma correspondante est retournée chez elle et Bertrand était avec un autre prof et nous a demandé s’il voulait qu’on aille un peu dans Londres visiter. Bertrand accepta. Cet autre prof s’appelait Matthew, il devait avoir dans les 32 ans environ. Son allure était plutôt normale avec une silhouette de quelqu’un qui s’entretien. Ils ont beaucoup parlé entre eux. J’essayais de suivre la conversation mais ce n’était pas évident tout le temps. Nous sommes ensuite allés dans un pub pour boire une bière, puis deux, puis trois. Il commençait à se faire tard et Bertrand lui proposa de venir continuer à parler et reprendre une bière dans notre logement ce qu’il accepta.
Matthew se mit tout de même à parler français car il voyait que je peinais à tout comprendre. Je pense que j’avais vraiment un coup dans le nez et j’essayais de ne pas le montrer. Puis Matthew demanda où se trouvait les toilettes puis se leva. Il passa devant les deux chambres et revint vers nous au bout de 5 minutes. En revenant, il avait un grand sourire mais ne dit rien. Il me dévisageait très souvent puis regardait Bertrand qui n’avait pas l’air de s’en rendre compte. Nous discutions toujours dans le salon. J’étais assis à côté de Matthew et Bertrand dans un petit pouf près de moi. Tout en discutant, Matthew passa son bras derrière ma tête sur le rebord du canapé. Ses doigts vinrent se poser sur mon épaule puis avec son index, il me caressait le cou doucement. Je me retournai pour le regarder avec un air qui voulait dire mais que fais-tu ? Il me dévisagea et me fit un grand sourire ainsi qu’un petit clin d’œil. J’allais pour me relever mais sa main et l’alcool aidant, me fit me rasseoir rapidement. Puis, il prit enfin la parole en nous regardant tous les deux.
-Tous les deux, vous couchez ensemble ?
-Pardon, dis Bertrand, mais non, jamais de la vie !
-A d’autre !
-Mais non, ça ne va pas la tête, Jérôme est mon élève tout simplement.
-Je suis passé devant les deux chambres. Dans une le lit est fait avec toutes vos affaires et dans la deuxième, il n’y a pas de draps sur le lit et la chambre est vide.
Il y eu un grand silence, puis il reprit la parole.
-Personnellement, ce n’est pas mon problème, vous savez ce que vous faîtes.
Il commença à me caresser l’épaule puis sa main vint sur torse. Je me laissais faire car cela commençait à me plaire, voire m’exciter et je regardai Bertrand dans les yeux qui comprit ce qu’il se passait.
-Et que veux-tu de nous ?
-Eh bien, si on en discutait dans la chambre car ton élève me plaît beaucoup je dois dire et s’il est d’accord ainsi que toi, j’aimerai beaucoup m’occuper de lui pendant que tu nous regardes.
-Euh, c’est quand même bizarre non ? Tu en penses quoi toi, me dit-il.
Pour seule réponse, je tournai la tête et l’embrassais aussitôt. Il répondit à mon baiser et se leva en m’aidant. Il prit ma main, et m’attira jusqu’à la chambre. Il regarda Bertrand et lui dit de nous rejoindre pour les mater. Il se leva et vint nous rejoindre dans la chambre. Matthew me déshabilla entièrement et m’allongea sur le lit puis il alla vers Bertrand et fit de même avec lui en lui disant de s’asseoir au bord du lit. Il nous regarda et se mit nu à son tour. Il avait un corps fin, la même taille environ que Bertrand. Il avait des abdos apparents. Il était imberbe et sa queue était fine mais très longue avec des couilles assez bien proportionnées et pendantes comme je les aime. Cela lui allait bien. Il s’approcha de moi et caressa tout mon corps. Il se mit ensuite à genoux devant moi et posa sa queue contre ma bouche pour que je le suce. Je me mis sur le ventre et pris sa queue en bouche en regardant Bertrand. Il nous regardait en se branlant doucement. Je pense qu’il était surpris de la tournure de cette fin de journée. Je me mis donc à le sucer en la prenant bien à fond et il me fit cambrer mon petit cul pour me le caresser. Cela a duré plusieurs minutes et il commença à me titiller mon trou. Il me fit me retourner et écarta mes fesses pour venir me manger ma petite rosette ce qui me fit gémir tout en relevant mon cul pour qu’il me le dévore encore plus. Avec sa langue qui me dévorait, il me mit un doigt qu’il faisait entrer et sortir de mon cul puis un deuxième. Nous tournions le dos à Bertrand donc Matthew me fit me retourner à nouveau toujours à quatre pattes sur le lit mais face à mon prof. Il vint donc se placer derrière moi après avoir enfilé un préservatif qu’il avait sorti de son portefeuille et commença à pousser sa queue en moi. Je gémissais fort et Bertrand qui se branlait toujours me pris la main avec celle qui était encore libre. Je le regardais droit dans les yeux et parfois sur sa queue si proche qui avait du pré-sperme qui coulait le long de son gland. Il me lima avec douceur même si de temps en temps il accélérait la cadence. Puis après 20 minutes de cette baise dans cette position, il regarda Bertrand qui ne tenait plus et lui dit de nous rejoindre. Il se leva et vint me donner sa queue à sucer. Matthew attrapa la tête de Bertrand et lui roula une pelle d’enfer. Les deux me donnaient des coups de reins chacun de leur côté. Puis Bertrand alla se mettre derrière moi aussi. Ils m’ont baisé en alternant. Un coup Matthew, un coup Bertrand. Je pris mon pied et ma queue grossissait et était prête à juter tellement ils me baisaient bien. Matthew vint se placer devant moi en enlevant la capote et je le repris en bouche pendant que mon bel amant me pilonnait comme un fou. Je me mis à juter sur les draps sans me toucher ce qui provoqua la jouissance de Bertrand tout au fond de mon cul et Matthew déversa tout son foutre sur mon visage. Je pris ensuite sa queue en bouche pour le nettoyer et Bertrand vint m’embrasser. Je me relevai pour me rincer le visage puis les fesses tandis que les deux autres se rhabillèrent. Lorsque je revins vers eux, Matthew me dit de rester nu car il me trouvait très beau comme et Bertrand acquiesça de la tête pour approuver.
Je vins m’asseoir sur les genoux de Bertrand qui me serra dans ses bras en m’embrassant dans le cou.
-C’était top messieurs, dis Matthew.
-Oui c’était vraiment bien, fit Bertrand.
-Vous êtes ensemble depuis longtemps ?
-Non, je suis marié mais ce petit coquin, m’a eu en usant de ses charmes en début d’année.
-Ah oui, on ne dirait pas comme ça. J’ai vu ses regards qu’il posait sur toi depuis que vous êtes arrivés ici. Je me suis posé des questions mais sans plus de réponses mais quand j’ai vu un seul lit de fait avec toutes les affaires ici j’ai su tout de suite.
-Ok.
-Bon, je vais vous laisser et on se voit demain pour votre dernière journée auprès de nous.
Matthew s’est levé puis est venu nous embrasser chacun notre tour. Bertrand la raccompagné. Ils ont discuté un peu sur le pas de la porte pendant que je rangeais un peu puis je suis allé me mettre dans le lit sur le dos en écartant les jambes. Quand Bertrand est apparu dans la chambre, il m’a vu dans cette position, a souri puis s’est déshabillé et est venu se placer entre mes cuisses que je mis autour de sa taille. Nous nous sommes embrassés longuement et nos queues se sont à nouveau redressées. Il la plaça contre mes fesses et avec des petits coups de reins, elle rentra en moi facilement.
-Tu me surprendras tous les jours toi.
-Qu’est-ce que je devrais dire ?
-Rien du tout. T’es vraiment un petit cochon quand même.
-Oui, mais c’est ce que tu aimes chez moi non ?
-Oui c’est vrai mais pas que.
-Comment ça pas que ?
-Non, rien laisses tomber.
-Ben si dis-moi s’il te plaît.
-Eh bien que si je n’avais pas été marié et amoureux de ma femme, je crois que je pourrais m’accrocher à toi.
-Donc ?
-Tu vas me faire cracher le morceau c’est ça ?
-Oui, je veux t’entendre le dire.
-Ben tu me plais. Tu n’es pas qu’une distraction. Ça te va ?
-Oh oui que ça me va.
Il m’embrassa à nouveau et sa queue reprit de la vigueur en moi et il commença à me faire l’amour. Il y allait tout en douceur et avec beaucoup de tendresse. Il me regardait avec une passion que je n’avais pas encore vu en lui jusqu’à présent. Il me fit l’amour dans cette position car il voulait avoir mon regard dans le sien et m’embrassait souvent. Mes jambes restaient autour de sa taille car je ne voulais pas le lâcher. On ne faisait plus qu’un. Nous avons fait l’amour comme ça pendant une heure mais de temps en temps, il arrêtait de bouger en moi pour me regarder et me caresser. Il se déversa en moi en m’embrassant passionnément. Nous nous sommes ensuite endormis dans les bras l’un de l’autre. Il pensait que je m’étais endormi quand je l’entendis dire très doucement un léger : « je t’aime mais c’est compliqué ». Je souris et je compris ce qu’il voulait dire par « c’est compliqué ». Moi-même je pouvais comprendre car malgré ce qui se passait avec Maxence, j’avais eu des sentiments pour lui et ceux-ci ne sont jamais partis même si je ne me l’avoue pas vraiment.
Le matin fut très difficile de nous lever. Nous avons rejoint le lycée pour cette dernière journée de cours pour moi mais cette fois-ci, Bertrand fut parmi nous à chaque cours ainsi que Matthew. L’après-midi fut rapide car le lycée nous a offert un petit pot de départ en il a été conclu que chaque année, il y aurait des échanges entre leur lycée et le notre entre des élèves et certains profs. Le lendemain matin, Matthew est venu nous chercher pour nous emmener à l’aéroport et nous l’avons salué avec une grande accolade. Il me regarda et me dit de faire attention.
Nous sommes rentrés en France puis retour chez moi. J’étais sur un petit nuage. Mais le retour à la réalité revint rapidement. Ma dernière semaine de vacances se passa rapidement et le retour au lycée arriva rapidement.
Le lundi matin, j’étais en cours quand une des surveillantes vint me chercher car je devais aller dans le bureau du principal. Je croisai Tristan mais ne le regardai pas. Lorsque je suis rentré dans le bureau, je vis le principal assis à son bureau et devant lui se trouvait Bertrand. Je suis allé m’asseoir en le regardant et je vins un gendarme dans le coin de la pièce. Je compris tout de suite ce qui se passait.
Le principal avait été mis au courant de ce qui m’était arrivé et il savait aussi que je ne voulais que personne ne sache que j’étais gay. Ce qu’il comprit immédiatement mais le gendarme m’expliqua que je pouvais très bien avoir été abusé sans que pour autant les gens ne pensent que je sois gay. Je fus un peu rassuré. Il m’a aussi convaincu de porter plainte car il était inadmissible d’être abusé comme je l’ai été. Je suis resté trois heures dans le bureau du principal et entre temps mais ça je l’ai su bien après que Tristan avait été arrêté par d’autres gendarmes et qu’il ne reviendrait pas. Je devais donc aller signer ma déposition à la gendarmerie le lendemain et comme j’étais majeur, je n’étais pas obligé de prévenir mes parents.
Je fus ensuite autorisé à ne pas aller en cours pour la journée. Je suis donc parti et Bertrand vint me voir. Il n’y avait personne autour de nous et personne ne pouvait nous voir.
-Je t’avais promis que je m’occuperais de tout.
-Oui merci mais ça me fait peur encore tout ça.
-Peut-être mais la boule au ventre que tu as va pouvoir disparaitre.
-Merci, merci beaucoup.
Je me mis à pleurer et il me prit rapidement dans ses bras.
-Je suis là pour toi et le serai toujours.
-Je sais, merci.
-Vas te reposer, je t’enverrai un message ce soir pour voir comment tu vas et on se revoit aussi dans la semaine.
Il partit rejoindre ses collègues et je me dirigeai à l’internat pour m’allonger. Il était midi et demi et d’un coup la porte de la chambre s’est ouverte et je vis Maxence.
-Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer ?
-Si je sais, t’inquiètes pas.
-T’es au courant pour ce con de Tristan ?
-Oui je le suis.
-Par contre on ne sait pas pourquoi les gendarmes l’ont embarqué ?
-Moi je le sais.
Je lui ai donc expliqué tout en détail ce qui s’était passé depuis qu’il nous avait découvert nous embrasser ce fameux jour et là il m’expliqua lui aussi pourquoi il était devenu aussi froid avec moi. Je suis resté abasourdi de ce que je venais d’apprendre.
-Mais du coup, c’est pour ça que tu me faisais la tête après par rapport à monsieur Fuinel ?
-Ben d’après toi ? Oui, ça me fait mal que tu vois quelqu’un d’autre.
-Je, je suis vraiment désolé si je t’ai blessé.
-Tu peux oui. Et c’est dur pour moi car je n’avais jamais ressenti ça pour un mec auparavant et là, je sais que c’est mort nous deux.
-Tu sais, je sais très bien qu’avec lui ça n’est pas une relation qui va durer. J’en suis conscient. Mais toi, c’est différent.
-Comment ça avec moi c’est différent ?
-Dois-je te faire un dessin ?
-Non, je pense avoir compris mais avec le prof, tu le vois souvent et tu as dormi chez lui, ce n’est pas que du cul ? Tu as surement des sentiments pour lui ?
-Oui j’en ai. Mais c’est différent. Je sais que je ne pourrais jamais être avec lui et toi tu restes et resteras le premier. Et il est au courant pour toi car c’est lui qui m’a aidé pour le pion.
Il s’approcha de moi et vint s’asseoir à mes côtés en me prenant la main. Nous nous sommes regardé longuement puis nos lèvres se sont rapprochées tout doucement et il m’embrassa. Il resta avec moi à m’embrasser toute la pause du midi puis reparti en cours avec un grand sourire. Ce sourire m’avait manqué. J’ai envoyé un message à Bertrand pour lui expliquer ce qu’il venait de se passer et il me répondit qu’il était heureux pour moi et demanda s’il était possible de se revoir pour que l’on en discute et que si Maxence voulait venir, il pouvait. Je lui ai répondu que je lui redirai le soir même.
J’ai passé l’après-midi à réfléchir de comment j’allais dire ça à Maxence.
Le soir arrivé, Maxence arriva vers moi et me prit dans ses bras puis m’embrassa.
-J’ai quelque chose à te dire.
-Je dois encore être inquiet ?
-Non, je ne pense pas. J’ai parlé avec Bertrand. Enfin, je veux dire monsieur Fuinel.
-Oui, et ?
-Je lui ai dit pour nous et pour ce que Tristan avait fait. Il aimerait nous voir tous les deux. Je pense mercredi aprem. Tu en dis quoi ?
-Oui, on peut si tu t’en sens capable.
-Oui, ça va aller.
-Tu veux venir manger ? Tu n’as déjà pas mangé ce midi.
-Non, mais tu peux me rapporter un bout de fromage si tu veux.
Il est donc allé manger puis il est revenu au bout de trente minutes. Entre temps, j’étais déjà parti me laver et lui s’apprêtait à le faire. En revenant, il était vêtu de sa serviette autour de la taille, me fit un baiser sur la bouche puis me dit qu’il revenait vite. Et c’est vrai, qu’il fut rapide. Il revint dans la même tenue, lança ses affaires sur le lit et vint me rejoindre.
-Je sais qu’on ne peut rien faire et tu n’en a peut-être pas envie mais j’ai envie d’être avec toi et dormir cette nuit avec toi si tu m’y autorise.
-Oui, j’en ai envie.
Il resta près de moi à discuter, m’embrasser de temps en temps jusqu’à 22h pour l’extinction des feux et là, c’est moi qui l’embrassai mais pas un petit baiser, un baiser qui voulait dire j’ai envie de toi là tout de suite. Je me suis allongé sur mon lit en l’entraînant avec moi. Je lui ai retiré sa serviette que j’ai fait voler au sol. Il était déjà en érection. Il retira mon caleçon et mon haut qu’il fit voler lui aussi dans la chambre. Je me suis relevé pour venir me mettre entre ses cuisses et prendre sa queue qui me manquait dans la bouche. Je l’ai sucé longuement puis lui ai fait ma meilleure gorge profonde. Il me stoppa car il allait jouir trop vite sinon puis je me suis à nouveau allongé vers lui. Nous nous sommes caressés tout en nous regardant. Il n’y avait pas de paroles. Tout se jouait dans notre regard. Il continua ses caresses en me titillant mon trou. Il me demanda avant si j’en avais envie et je lui dis oui que j’ai toujours eu envie de lui. Il me doigta tout en douceur puis il me mit sur le côté et se colla dans mon dos. Il appuya son gland à l’entrée de ma rosette puis l’inséra doucement. J’avais envie de lui si fort que je reculais mon cul d’un coup pour qu’il soit en moi très vite. Il releva un peu sa jambe et commença à me mettre des coups de reins tout en m’embrassant dans le cou. C’était intense et magique. Ces derniers moi sans le sentir près de moi ont été tellement longs que je trouvais ce moment vraiment fort. Sa peau était toujours aussi douce. Ses coups de reins devenaient de plus en plus intenses et après une heure comme ceci, je le senti se raidir en moi. Il voulu se retirer mais je le maintins avec mes mains. Il prit, le drap sur le côté et le mit dans sa bouche pour crier son plaisir en jouissant en moi. Plus d’une quinzaine de jets de sperme se déversèrent en moi. C’était fort, c’était intense. Il s’est retiré, je l’ai sucé et je me suis lové ensuite dans ses bras. Tout en le regardant, je lui dis :
-Je t’aime.
Fin du chapitre 14.
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